[07/08] 32ème CDF : Rouen / RCS - 0/0 tab 4/5

[Stan]

Comment on peut être une solution pour le porteur du ballon en phase défensive ?

(non mais j'ai compris ce que tu voulais dire..)

[Bou]

On est en 16eme, on est en 16eme, on est , on est , on est en 16 eme !!!!

A quel match, du suspens de l'engagement, de la technique, de la tactique, des coups de genie en veux-tu en voila !!!



J'ai bien fait d'enregistrer le colombo qui passait sur Tv Breizh, j'ai pu voir un truc interessant hier soir du coup...

[D520]

Cohade ce soir j'ai trouvé que c'était l'un des seuls qui ouvrait le jeu, qui essayait d'écarter un max en donnant pour ses ailiers, ce que le rcs aurait du faire tout le long du match pour contrer le jeu de pressing, le jeu groupé de Rouen a mon avis. Donc de là  a le mettre dans les pires du match, je n'pense pas

oui il a essayé tout cela , mais le problème c'est qu'il a systèmatiquement ou presque fait les mauvais choix !!!!
lorsqu'il écartait vers la droite, il aurait fallut jouer à  gauche .
ou alors il trouvait un collègue par surprise qui faisait un controle à  10 metres

[D520]

Keating a dit

Aujourd'hui, pas de top, mais de gros flop :

pas d'accord , un top : Puydebois qui sort 2-3 arrets déterminant après un début de match avec des parades peu conventionnelles !!
et c'est lui qui arrete le tir au but !!

Top
=Puydebois

=Cohade pour son abattage au milieu de terrain et le nombre de ballon qu'il a récupéré et son tir au but , c'est quand même le 1er tireur

Flop:
=Fanchone qui n'a pas pesé , pas débordé bref pas du tout le bon joueur du début de championnat
=Santos un attaquant de pointe qui n'a aucune pointe de vitesse, que je n'ai pas vu de tout le match
Cohade pour son festival de passes raté

[silex57]

Franchement la défense n'a pas été trop mauvaise ce soir face à  des attaquants pas mauvais et qui surtout se connaissent super bien et sont bien complémentaires.

Moi j'ai trouvé Puydebois bon dans ce qu'il a eut à  faire, Lacour pas mal dans l'engagement, Johansen comme d'habitude par moment dans ses changement de jeu, Rodrigo on le voit jamais beaucoup mais il fait quand même du boulot, Ducrocq c'est quand même un bon remplacant et enfin Durak a fait une entrée intéressante.

Cohade, Bellaid ils ont tout juste assuré le minimum par rapport à  ce dont ils sont capables.

D'un autre coté Fanchonne a été trop lent et a manqué a peu près tout, Abdessaki était clairement à  la rue physiquement, Santos va falloir qu'il apprenne a contrôler un ballon, Dos Santos il s'est fait débordé trop souvent par le joueur dans sa zone qui est quand même un joueur de CFA 2 !

[Keating]

Top :
=Cohade pour son abattage au milieu de terrain et le nombre de ballon qu'il a récupéré et son tir au but , c'est quand même le 1er tireur

Flop:
Cohade pour son festival de passes raté

[D520]

et oui , c'est le Docteur Jeckil et Mister Hide
dans le même match il fait du très bon et du très mauvais

[argueti]

D'extrême justesse

Incapable de venir à  bout des amateurs de Rouen dans le jeu, le Racing a arraché sa qualification pour les seizièmes de finale à  l'issue de la séance de tirs au but, grâce à  un sans faute et un arrêt de Nicolas Puydebois. Il n'y a pas de quoi pavoiser.

ROUEN 0
RACING 0 a.p.
(4-5 t.a.b.)
Tirs au but réussis : Cohade, Alvaro Santos, Rodrigo, Gasmi, Johansen pour le Racing ; échec de Louiron pour Rouen.
Stade Robert-Diochon. - Arbitre : M. Turpin. 6 892 spectateurs. Temps doux et pluvieux. Pelouse en mauvais état. Avertissements : Cacérès (76e', tacle à  retardement sur Abdessadki) à  Rouen ; Rodrigo (52', tacle dangereux sur Da Costa), Cohade (79', antijeu sur Eveno) au Racing.
ROUEN : Verger - Louiron, M. Camara, Béhary, Prieur - Olou
(Heyman, 114'), D. Camara (cap.), J.-P. Mendy, Cacérès (Meunier, 82') - Eveno, Da Costa. Entraîneur : Eric Garcin.
RACING : Puydebois - Lacour, Bellaïd, Ducrocq, Dos Santos - Rodrigo (cap.), Cohade - Fanchone (Durak, 82'), Abdessadki (Gasmi, 113'), Johansen - Alvaro Santos. Entraîneur : Jean-Marc Furlan.

Rouen est une ville de foot, dit-on dans la préfecture et un peu partout en Haute-Normandie. Même si la ville ne vibre plus quotidiennement au rythme des Diables Rouges, qui se débattent dans l'anonymat du CFA - le quatrième niveau français - depuis trois saisons, la flamme de la passion crépite toujours dans les coeurs.

La maîtrise est alsacienne, les occasions sont normandes

Hier soir, dans un stade Robert-Diochon aux travées garnies comme aux plus beaux jours, cette flamme n'attendait qu'une bise favorable et portante pour se muer en brasier infernal. « Faites nous rêver », pouvait-on lire dans l'une des deux tribunes abritées du crachin normand. La vaillante troupe d'Eric Garcin a pris ce souhait au pied de la lettre, le transformant même en ardente résolution de la nouvelle année. Face à  ces pros venus d'Alsace, les amateurs rouennais ont croqué dans la partie à  pleines dents. En dépit d'une première alerte sur le but de Verger, consécutive à  une reprise en demi-volée trop écrasée de Fanchone sur un centre de Dos Santos (2e'), les locaux ne se laissent nullement démonter. Les Strasbourgeois sont peut-être maîtres du ballon, qu'ils parviennent à  faire courir prestement sur toute la largeur du terrain, ce sont les Normands qui se créent les occasions les plus franches. Puydebois, l'homme des coupes, doit ainsi s'employer dans les pieds du remuant Da Costa (3e'), sur une frappe appuyée d'Eveno, le buteur-maison (9e'), ou encore quand Jean-Paul Mendy place une reprise lointaine dans les arrêts de jeu de la première mi-temps.

Pas le moindre but en trois rencontres

Jean-Marc Furlan, en excellent connaisseur des choses de la Coupe, précieux héritage de ses années à  Libourne, avait pourtant mis ses hommes en garde. Face aux « petits », mieux vaut rapidement se mettre à  l'abri. Encore faut-il se montrer pressant sur le but adverse. Hier soir, le Racing en était bien incapable. L'absence de quatre attaquants - Mouloungui, Mulenga, Renteria et Gameiro - ne constitue en rien une excuse suffisante. Avec le seul Alvaro Santos - inexistant - en pointe, Fanchone et Johansen sur les côtés et Abdessadki à  la mène, le Racing aurait dû afficher un visage plus conquérant. Las, seules deux occasions ont égayé la soirée strasbourgeoise. Mais Fanchone voit mourir sa balle au-dessus de la transversale, sur une ouverture de Johansen prolongée de la tête par Abdessadki (12e'). Et quand Cohade exécute un impeccable ciseau retourné sur un centre de Fanchone, c'est Verger qui l'extirpe au ras de son poteau (69e'). Lors des trois dernières rencontres, les Bleus n'ont pas inscrit le moindre but. Le Racing a même failli s'en retourner chez lui tout penaud à  l'issue du temps réglementaire. Une frappe de Cacérès meurt dans le petit filet (79e'), avant que la reprise victorieuse de Da Costa ne soit invalidée pour une position limite de hors jeu (84e').

Puydebois assure la qualification

Toujours est-il que Rouen contraint les Alsaciens à  la prolongation. Une victoire en soi, déjà . Puydebois sauve encore les meubles sur une tête plongeante de Da Costa (99e'). Dans les derniers instants de la prolongation, le jeune Durak, sur un centre de Dos Santos, aurait pu arracher la décision pour les Alsaciens. Ce sont les tirs au but qui éviteront l'élimination honteuse. « Nico » Puydebois s'oppose sur le quatrième essai normand, tiré par Louiron, alors que ses coéquipiers réalisent le sans faute. La qualification est dans la poche. C'est l'essentiel, somme toute.

Sébastien Keller

Puydebois évite le pire

Pascal Johansen a inscrit le penalty synonyme de qualification, hier soir. Mais le Racing est passé par la petite porte.

Grâce à  un arrêt de son gardien dans la série de tirs au but, le RCS a assuré une qualification tirée par les cheveux hier à  Rouen (0-0, 4-5 aux t-a-b). Il jouera les 16es de finale de la Coupe de France.

C'est toujours la même histoire. Celle du Petit Poucet de CFA qui veut se faire aussi gros que l'ogre de L 1 et, souvent, s'éclate. Jean-Marc Furlan, qui dirigeait Libourne Saint-Seurin au 4e niveau national voici quelques années et s'était offert le scalp de Lille, Metz, Châteauroux (L 2), Lyon et Le Mans (L 2), savait à  quoi s'attendre en débarquant en Normandie. Il n'imaginait pas son équipe conquérante et ne lui avait finalement demandé que la qualification, indépendamment de la manière. Il ignorait alors que ses joueurs allaient prendre cette requête au pied de la lettre et le faire trembler jusqu'aux 12 coups de minuit ou presque. Le scénario du match fut celui qu'avait envisagé le coach strasbourgeois : face à  des Rouennais courageux en diable, Rodrigo et les autres s'enlisèrent. Empêtrés dans une domination aussi manifeste que stérile, du moins avant le repos. Car après un début de match vaguement équilibré, les Bleus prirent la direction des opérations. Il est vrai que les deux premières occasions très nettes de Fanchone avaient refroidi les ardeurs des joueurs d'Eric Garcin. Mais l'ex-Manceau n'avait été heureux ni sur sa volée après un centre de Dos Santos (2e), ni sur son petit lob juste au-dessus (12e). Toutefois, ces deux tentatives précoces furent à  peu près les seules. Le Racing s'offrit bien quelques situations chaudes, mais rien de décisif. De sorte que des Normands d'abord prudents prirent peu à  peu leurs aises pour bousculer joyeusement la hiérarchie et gommer les trois divisions d'écart. Puydebois dut ainsi faire échec aux deux seuls tirs cadrés de cette première période, difficilement d'abord sur un tir puissant d'Eveno (12e), plus aisément ensuite sur une bonne reprise des 20 m signée Mendy (45e). La deuxième mi-temps fut sensiblement du même tonneau. Autrement dit : inquiétante pour le RCS, même si Cohade fut à  deux doigts de faire frissonner d'admiration le stade Robert-Diochon d'un splendide ciseau retourné (69e). Mais la main ferme de Verger ne trembla pas. Il avait fallu attendre près de 25 minutes pour que les hommes de Furlan se montrent enfin dangereux. Et cinq de plus pour voir Johansen allumer une frappe sans réel danger pour un Verger enraciné sur ses appuis (74e). Dans ce second acte encore moins maîtrisé par les Bleus que le premier, deux événements retinrent l'attention : un, le carton reçu par Rodrigo qui lui vaudra d'être suspendu le 19 janvier à  Auxerre ; deux, les grands débuts chez les pros du jeune attaquant du CFA, Mustapha Durak.

Près de la correctionnelle

Mais un autre fut tout près de les éclipser : à  la 89e, le rentrant Meunier déposa un centre au cordeau que le Portugais Da Costa catapulta d'une reprise parfaite dans la lucarne. Le but fut refusé pour hors-jeu. Pour une poignée de centimètres, le Racing venait d'éviter l'humiliation. Puydebois – le seul à  évoluer à  son niveau — la lui évita de nouveau en prolongation, en se couchant à  une vitesse supersonique sur une tête plongeante de l'intenable Da Costa (99e). Certes, Durak, d'une tête joliment détournée par une manchette de Verger, faillit offrir au RCS une qualification avant la loterie des tirs au but (120e). Mais les Bleus durent en passer par la toujours stressante séance pour s'en sortir. Leurs cinq tireurs ne tremblèrent pas et Nicolas Puydebois paracheva son Å“uvre en stoppant la tentative de Louiron. Suffisant pour épargner aux siens une élimination aussi prématurée que malvenue.

Stéphane Godin

[argueti]

Nos danceuses de milieu de terrain n'ont pas été capable de gagner le match et les duels, bilan : devant aucune occassion ou presque, pratiquement aucune attaque dans l'axe et mise en danger derriere ...

Rouen peut vraiment regretter son hors jeu !

Pitoyable mais bon pour une fois, on a super mal joué et on gagné ... L'important est là  mais voila ...

[D520]

si on gagne la coupe en jouant comme ca pourquoi pas ?