[07/08] 16ème J: Lyon / Strasbourg : 5-0

L'actualité du Racing en championnat
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FM17
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Message par FM17 »

de retour de Lyon...
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
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enzy
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Message par enzy »

Gotcha a écrit :j'ai pas senti un racing qui s'était déplacé pour faire la guerre à  lyon ....

au contraire, ils semblaient relax, sereins, et déjà  préparés mentalement à  se prendre une branlée... la prédisposition au match était tres mauvaise
J'ai aussi eu ce sentiment, mais comme personne n'en n'a parlé, je me suis dit que je devais me faire des films :oops:
De toute façon, il n'y a pas mort d'hommes
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FM17
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Message par FM17 »

ils etaient...contents eux aussi de jouer contre Lyon...
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NéRiK
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Message par NéRiK »

Y avait aucune envie dans cette équipe. :roll:

Faudrait qu'on apprenne à  jouer plus collectif. Ca me soule qu'apres 2 passes on perd déjà  le ballon. Sans parler les nombreuses contre attaques possibles et où on rejoue à  l'arrière, ca me gave.

Faudrait arriver à  proposer un jeu plus rapide, en touche de balle, un peu comme Lyon, Arsenal ou le Werder. Un peu comme au début de saison.

;)
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
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argueti
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Message par argueti »

Guy Roux dans les spécialistes a également noté l'aide magnifique des arbitres hier soir qui malgré le niveau de Lyon, les poussent encore plus ...

A noter que sur le premier but, qui suit le fameux hors jeu, c'est Fanchone qui ne suit pas Kallstrom ...
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Message par argueti »

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Message par FM17 »

je ne peux pas passer sur ce que c est passé dimanche...comment peut on, si on joue le maintien..., mettre 4 attaquants à  15 mn de la fin quand on est mené 3-0 ??? C etait du suicide évident ! résultat, l équipe prend 2 buts en plus (bravo pour le goal average !), on ne se cree plus du tout d occasion d ailleurs et psychologiquement l équipe se met en danger avec un tel score !
techniquement le Racing etait inférieur mais tactiquement en dessous de tout...Pourquoi tester Mouloungui, Gameiro et Fanchone en même temps à  Lyon ??? je n ai rien compris au placement de Gameiro...
un dernier mot sur Johanssen : il a été le plus dangereux offensivement avec 2 belles frappes et 2 ou 3 belles ouvertures mais à  côté de cela, défensivement il a été insuffisant...Résultat avec Mouloungui, Gameiro, Fanchone (transparent) et Johanssen qui ne défendait pas, le milieu a été vite bouffé...Bref, un match à  vite oublier !
Je trouve que Bellaid a été tres mauvais encore dimanche, dans la continuité de son match affreux avec les espoirs...
Modifié en dernier par FM17 le 4 déc. 2007 7:02, modifié 1 fois.
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Message par FM17 »

mon top
Paisley a évité plus de buts à  lui tout seul
Johanssen pour son apport offensif
Mouloungui a crée le danger pas aidé par les autres
mon flop
Ducrocq à  la rue
Bellaid à  la ramasse physiquement je pense
Gameiro inutile
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silex57
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Message par silex57 »

enzy a écrit :
Gotcha a écrit :j'ai pas senti un racing qui s'était déplacé pour faire la guerre à  lyon ....

au contraire, ils semblaient relax, sereins, et déjà  préparés mentalement à  se prendre une branlée... la prédisposition au match était tres mauvaise
J'ai aussi eu ce sentiment, mais comme personne n'en n'a parlé, je me suis dit que je devais me faire des films :oops:
Ils l'ont relevé sur Canal notamment lors du placement du mur sur le coup franc de Juninho où c'est n'importe quoi, les mecs rigolent à  la limite ...
"Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" Nietzsche.
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Pinon
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Message par Pinon »

L'Alsace a écrit :Une barre à  tenir

Alors qu'un fort vent contraire freine sa progression depuis quatre matches, le RCS, haché menu dimanche à  Lyon (5-0), saura-t-il garder le cap et la tête froide ? De sa capacité à  y parvenir dépend sans doute son redressement.

Le cyclone rhodanien a tout emporté sur son passage. Pris dans la tourmente avant-hier soir à  Gerland, la maison bleue du Racing s'est effondrée. Mais dans un tel déchaînement, provoqué par un OL stratosphérique, une bonne moitié des habitations de la Ligue 1 se seraient pareillement écroulées. Les hommes de Jean-Marc Furlan n'ont pas touché terre dimanche. Faut-il pour autant se laisser aspirer par la gravité, comme le suggérait un Habib Bellaïd anéanti avant de quitter le Rhône ?
Avant-hier, les Bleus se sont effectivement fait méchamment secouer. Sur le terrain d'abord où les Lyonnais ne se sont pas privés de leur décoller la pulpe façon Orangina. Dans l'avion du retour ensuite où de vilaines rafales de vent ont fait perler quelques gouttes de sueurs sur le front de certains.
Alors que l'équipage RCS traverse une zone de turbulences (1 point sur 12 lors des 4 dernières journées, 1 seul but inscrit, 10 encaissés), toute la question est de savoir si dans un club souvent agité de soubresauts, le commandant de bord - le président Philippe Ginestet en l'occurrence - et sa garde rapprochée sauront garder la tête froide.
Car les chiffres, c'est vrai, ne plaident guère en faveur de Rodrigo et ses partenaires ces temps-ci. Et on peut les aligner à  foison : plus de trois matches sans inscrire le moindre but (5 h 10' de stérilité), 10 buts concédés en quatre rencontres, contre huit seulement lors des 12 journées précédentes, et une glissade de la 6e à  la 13e place.
À leur décharge, les événements se sont ligués contre eux à  Lyon. Sous forme d'un hors-jeu inexistant de Gameiro qui filait seul au but à  0-0 ou d'une faute tout aussi inexistante de Rodrigo sur Govou sur le 2e but signé Juninho. « Aucune circonstance ne nous a été favorable », constate, amer, Jean-Marc Furlan.
Le RCS a surtout eu le malheur de tomber sur un OL aussi tranchant qu'un rasoir multilames. La première a coupé les jambes des Bleus en vingt minutes.

« En L 1, chaque point se mérite »

Les autres les ont taillés en pièces. « C'était une soirée très dure », soupire un Stéphane Cassard sans qui la note aurait pu être plus salée, « Les Lyonnais sont en pleine bourre et étaient trop forts pour nous. On avait le sentiment qu'ils pouvaient marquer à  tout moment. »
La mauvaise affaire comptable (notamment en matière de goal-average) devra cependant être vite digérée. Car le programme du RCS avant la trêve (réception de Rennes samedi, de Nancy le dimanche 16, puis déplacement à  Caen le samedi 22) n'autorise pas le moindre apitoiement. « Le championnat est un marathon », pointe Cassard, « c'est très serré. Caen était derrière nous et vient de nous doubler à  la faveur d'une bonne série. Nous devons bien négocier les trois prochains matches pour passer une bonne trêve. »
« Il faut en gagner deux sur trois pour s'offrir des vacances tranquilles », calcule Ducrocq, « Nous devons nous tourner exclusivement vers ça. » Avec, dans le viseur, toujours le même objectif. « Le maintien », rappelle un Jean-Marc Furlan qu'on ne pourra jamais taxer de tromperie sur la marchandise. « En L 1, chaque point se mérite. Je dis depuis le début qu'il faut récolter 44 points. Je n'ai pas changé de discours. »
Dans un club dont le fort n'a jamais été de garder le cap dans la tourmente, mais qui affiche clairement sa volonté de gagner en stabilité, les semaines à  venir seront à  n'en pas douter instructives.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo

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