ben mai j'ai vu le match à partir de la 30 eme...
Je vais pas revenir sur les analyses, mais j'ai aussi trouvé cohade tres tres moyen! Il a perdu un gros nombre de ballons (surtout en 2eme mi temps). Offensivement, il a vraiment du mal et reste pour moi limité à la recup.
Je parie meme que lacour va lui piquer sa place ( si il prend pas celle de szelezi)
[07/08] 13ème J: Strasbourg / Paris : 1-2
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Pareil, jetais au match et j ai trouvé Cohade volontaire et entreprenant
s il n a pas toujours eu la reussite avec lui, cela n enleve rien au fait qu il s est battu et a pris des initiatives, c est deja bien
avec cet etat d esprit et un brin de realisme ou de reussite supplementaire nous n avons rien a craindre
Et de maniere generale, aucun joueur hier soir n est a accabler, ils se sont tous reellement revolté et ont enthousiasmé la Meinau
Seul Rodrigo a été malheureux mais nous savoms tous bien que ce n est qu un accident ...
s il n a pas toujours eu la reussite avec lui, cela n enleve rien au fait qu il s est battu et a pris des initiatives, c est deja bien
avec cet etat d esprit et un brin de realisme ou de reussite supplementaire nous n avons rien a craindre
Et de maniere generale, aucun joueur hier soir n est a accabler, ils se sont tous reellement revolté et ont enthousiasmé la Meinau
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SI T'ES FIER D'ETRE STRASBOURGEOIS FRAPPE DANS TES MAINS
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télésupporteur a écrit :cohade n'apporte rine tactiquement au racing
les spécialistes auront noté son placement lors du 2e but
trop de duels perdus et des passes inoffensives
à son crédit, une bonne passe à la dernière minute
sinon la hargne ne suffit pas à faire un bon joueur de L1
Il vaut mieux en rire, tu l'as vraiment grave dans le pif.
Alors, dans l'ordre :
Quand tu dis que Cohade n'apporte rien tactiquement, je suppose que tu fais allusion au fait qu'il devrait d'après toi être plus efficace dans la construction du jeu après avoir récupéré le ballon.
Mais ce n'est pas ce qu'on lui demande, il ratisse un max de ballons aux 4 coins du terrain, et ça lui arrive d'être dans les bons coups offensivement.
On ne lui demande pas d'être le dépositaire du jeu du raçing, à chacun son rôle.
Son placement sur le 2ème but ? Il aurait sans doute du prévoir la mauvaise passe de Rodrigo
Il y a forcément du déchèt dans dans son jeu, mais ça c'est une caractéristique propre à tous les milieux défensifs qui touchent énormément de ballons, sauf quand tu t'appelle Gerrard ou Pirlo.
La hargne permet de compenser beaucoup de lacunes, des joueurs comme Deschamps, Di Meco, Puel, Fernandez ont eu de très belles carrières tout en ayant une technique très limitée et une qualité de frappe de balle de vétéran (valable surtout pour Deschamps ).
Bref, on ne peut en aucun cas associer Cohade au naufrage de Rodrigo.
Après Dugé et JPP, on connait enfin le nouveau souffre douleur de Télésup
Ceci n'enlève en rien à tes qualités d'analyse des matchs et du jeu, mais quand tu n'aimes pas , tu n'aimes pas et ça frise un peu la mauvaise foi.
En même temps, on a chacun nos têtes.
De toute façon, il n'y a pas mort d'hommes
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DNA a écrit :Cruel scénario
Le Racing n'a pas réussi à bonifier sa victoire lilloise et s'est incliné pour la deuxième fois de la saison à la Meinau. Pas de quoi inquiéter Jean-Marc Furlan, qui préfère mettre en avant « les qualités collectives » entrevues.
Au coup de sifflet final, certains se sont effondrés sur la pelouse, comme James Fanchone. D'autres, comme Alvaro Santos, se sont pris la tête entre les mains. La défaite, 2-1, face à Paris, est dure à avaler. Presque inexplicable, même, au vu de l'acharnement inouï de ces Strasbourgeois-là pour arracher le match nul.
Car au terme d'une deuxième mi-temps un peu folle, le RCS a finalement rendu les armes face à une équipe parisienne qui n'a pas montré grand-chose, si ce n'est un incroyable réalisme. Un réalisme qui s'est doublé d'un brin de chance, quand Rodrigo dévie du genou le centre de Ceara pour l'ouverture du score dès la 7e minute, sur la première offensive parisienne.
Un scénario d'autant plus cruel que le capitaine brésilien est depuis le début de saison l'un des meilleurs joueurs de la troupe ciel et blanc. Et qu'il n'a, hormis ses deux erreurs, pas fait un mauvais match.
« Moins de déchets en seconde période »
Reste que si le Racing peut se mordre les doigts d'avoir laissé échappé un, voire trois points, il le doit surtout à une première mi-temps gâchée. « C'est vrai qu'il y a eu moins de déchets en seconde période », reconnaissait un Habib Bellaïd très déçu à l'issue de la partie.
Jean-Marc Furlan, lui, voit plutôt le verre à moitié plein qu'à moitié vide. « Franchement, si on ne prend pas ces deux buts, notre première mi-temps n'est pas ratée. Toute la perception en aurait été changée », estime même le coach strasbourgeois.
Un coach qui a pris la bonne option en relançant Wason Renteria, auteur d'un but somptueux - son 5e de la saison - et Kevin Gameiro, qui n'a cessé de permuter avec Eric Mouloungui pour offrir des solutions.
Furlan voit même des raisons d'espérer malgré cette deuxième défaite concédée à domicile, après le revers face au Mans. « On a multiplié les occasions nettes, j'ai vu de la volonté, de l'enthousiasme. Et s'il y a le contenu et la qualité, il y aura des victoires », assure Furlan, qui rappelle qu'il faut « se projeter à long terme ».
« Il faut mettre en exergue les points forts de l'équipe »
« Le classement pour moi n'a aucune importance, il nous faut 44 points pour nous maintenir et c'est l'objectif à atteindre au plus vite », ajoute l'entraîneur. Et dans cette perspective, cette contre- performance est toute relative. « Il faut mettre en exergue les points forts de l'équipe, assène-t-il, la qualité individuelle comme la qualité collective est porteuse d'espoir. Et en face, il ne faut pas oublier que vous avez un très gros club ».
Un très gros club peut être, mais pas une grande équipe. Incapables de faire le jeu, les Parisiens n'ont pas non plus tiré profit des boulevards qui s'ouvraient à chaque vague d'attaque strasbourgeoise. Si ce n'est sur quelques contres rapidement tués dans l'oeuf par le repli défensif du Racing et un Grégory Paisley intraitable. Le PSG doit même une fière chandelle à Mickaël Landreau, qui a évité à son équipe un partage des points qui aurait somme toute été équitable.
« On l'a échappé belle en fin de match »
« On l'a échappé belle en fin de match », reconnaissait d'ailleurs Paul Le Guen, tout en admettant que son équipe avait manqué de « sérénité ».
Bref, samedi soir, la chance avait choisi son camp et il n'était pas strasbourgeois. Mais les Alsaciens ont tout de même une raison de se réjouir. La défaite n'a pas entamé leur cote, toujours énorme, à la Meinau. « Le public nous a soutenu, on a vraiment joué à douze, achève Habib Bellaïd, on est contents de jouer à la maison et on va marquer des points ici. Ça ne saurait tarder ».
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Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
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L'Alsace a écrit :La marche est haute
L'histoire se répète pour un RCS qui, à chaque fois qu'il a eu la possibilité de s'installer durablement dans le haut du tableau, a échoué à la Meinau. Samedi, le PSG est à son tour venu se rassurer en Alsace (1-2).
Le Racing n'est jamais avare de paradoxes. Cette année, plutôt calme et sereine pour l'instant, comme les autres. Brillant à l'extérieur où il a déjà engrangé trois victoires (soit presque autant que la saison passée en L 2 où il l'avait emporté à quatre reprises hors de ses bases), le club alsacien peine à la maison.
Sa longue invincibilité dans son fief (23 matches en un an et demi, entre le 30 avril 2006 et le 22 septembre 2007) n'est plus qu'un lointain souvenir. Les quatre derniers visiteurs de la Meinau (1) n'ont laissé aux hommes de Furlan que des miettes : deux points sur douze. Evidemment insuffisant pour prétendre troubler les cartes des cadors de la Ligue 1 que le RCS et son budget plus modeste que ses ambitions dans le jeu vont devoir regarder pour un temps encore avec une certaine déférence.
Néanmoins, hormis sur deux absences coupables lors des vingt premières minutes, les Bleus n'ont jamais souffert samedi de la comparaison avec un PSG qui, malgré les soubresauts qui l'agitent depuis le début de saison, reste, avec Rennes, la seule équipe invaincue en déplacement. Par-delà un revers frustrant, Jean-Marc Furlan veut y trouver la marque d'une certaine constance dans la qualité. « Que nous ne puissions pas revenir, alors que nous avons étouffé le PSG en deuxième mi-temps, est un coup du sort. Sur le plan comptable, la soirée n'est pas bonne, alors que c'est pourtant l'un des matches où nous avions le plus de force et d'inspiration. J'ai vu un bon match de la part du Racing. Et je crois que les 25000 spectateurs ont passé une bonne soirée. » Son président Philippe Ginestet croit lui aussi percevoir dans ce revers plutôt injuste « l'annonce de lendemains plus faciles. »
« Le classement n'a aucune espèce d'importance »
Il n'en reste pas moins que pour la troisième fois consécutive à domicile, le RCS a raté la marche. Piégés par Le Mans (0-1), tenus en échec par Bordeaux (1-1) et battus par Paris (1-2), Rodrigo, héros malheureux de la soirée avec un but contre son camp et un autre offert à Arnaud, via Rothen, et les siens ont laissé filer le wagon de tête et vu celui de queue se rapprocher. Cette dernière défaite ne les a cependant pas exclus du premier tiers du tableau. « Le classement d'aujourd'hui n'a aucune espèce d'importance », démystifie Jean-Marc Furlan. « Ce qui compte, c'est d'atteindre la barre des 44 points nécessaires au maintien. Et si nous continuons à montrer cette compétence dans le jeu, les victoires viendront toutes seules. »
Elève doué, le RCS n'a pas dépassé ses maîtres. Le coordinateur sportif Ferhat Khirat sait que seules la patience et la stabilité permettront au club de s'inscrire dans la durée. « En Ligue 1, pour prendre les points, c'est la guerre. Personne ne lâche rien. On a vu samedi ce qui fait la différence entre une équipe qui monte et est en reconstruction comme la nôtre et une autre qui est à ce niveau depuis un, deux ou trois ans et maîtrise ces virages-là . Nancy et Rennes (Ndlr : qui a tout de même essuyé son troisième revers à domicile contre un Monaco aux abois) en sont les meilleurs exemples. Lyon aussi, évidemment. »
Après ce coup d'arrêt, l'ivresse des cimes n'est donc pas pour demain. Mais en venant à bout du Rocher monégasque samedi en Principauté, le Racing reprendrait au moins son ascension.
(1) Lorient 0-0, Le Mans 0-1, Bordeaux 1-1, Paris Saint-Germain 1-2.
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