[07/08] 11ème J: Strasbourg / Bordeaux : 1-1

[NéRiK]

Quel dommage de ne pas avoir pris ces 3 points qui nous pendaient au nez.

[D520]

D520 tu as un chat noir chez toi ?

non mais j'avoue que le week-end était assez poisseux puisque je suis tombé sur le genou gauche en déchargeant du bois samedi matin et que cela me fait un mal de chien !!!!!!!!

[EDES]

Est -ce que les chats peuvent avoir un mal de chien

[D520]

merde c'est pas drôle , j'ai mal

[EDES]

C'est sûr : à  force de décharger

[D520]

[baskath]

Eric Poulat avait le coup de sifflet plutôt énigmatique hier.

J'adore l'euphémisme !

[momofifa67]

Eric Poulat avait le coup de sifflet plutôt énigmatique hier.

J'adore l'euphémisme !

a se demander si ce n'etait pas un match de quidditch

[argueti]

Eternels insatisfaits

Même s'ils estiment que le nul n'est pas illogique, les Strasbourgeois ont tous le sentiment d'être passés à  côté de quelque chose de grand avant-hier à  la Meinau contre Bordeaux (1-1).

La scène est racontée par le président Philippe Ginestet qui, comme à  chaque fois, est passé dans les vestiaires du Racing avant-hier soir après le nul concédé – ou récolté, c'est selon – face aux Girondins de Bordeaux. « Les joueurs auraient pu être contents d'avoir tenu tête, bousculé même, l'une des grosses équipes de Ligue 1. Au lieu de ça, j'ai vu des garçons déçus, agacés aussi de n'avoir pas gagné. C'est un état d'esprit qui me plaît. Je m'en félicite et je les en félicite aussi. Ça en dit long sur la volonté qui les anime et que le public peut voir à  chaque match sur le terrain. » Dans les rangs strasbourgeois, personne ne songe pourtant à  remettre en cause la légitimité du point pris par les hommes de Laurent Blanc à  la Meinau. Pendant 25 minutes en deuxième mi-temps, beaucoup, parmi les quelque 19000 spectateurs présents, auraient volontiers signé pour un nul. La pression bordelaise était alors à  son paroxysme, alimentée par une attaque tricéphale à  laquelle Marouane Chamakh, entré à  la mi-temps, avait permis de prendre de la hauteur. « Les joueurs entrés à  la pause ont parfaitement apporté ce qu'on attendait d'eux », souligne d'ailleurs un Laurent Blanc qui, fidèle à  son habitude, a martyrisé la touillette qu'il mâchonne fiévreusement pour calmer son anxiété. Pour autant, les Bleus, qui firent mieux que tenir la dragée haute à  des Bordelais peu inspirés en première période, puis furent à  deux doigts de s'adjuger leur troisième victoire à  la Meinau en fin de rencontre, nourrissent quelques regrets. A l'image d'un Kevin Gameiro buteur pour la troisième fois de la saison et qui estime « que nous nous sommes procuré les plus nombreuses et plus nettes occasions. Il y a de quoi être déçu. »

« Pas des tâcherons poussifs »

Le président Philippe Ginestet dresse sensiblement le même constat. Comme ses joueurs, il juge que le partage des points n'a rien de scandaleux. « Mais ce point est tout de même meilleur pour Bordeaux que pour nous », corrige-t-il. « Je considère que nous avons plutôt perdu deux points que pris un bon. Parce que précisément, à  mon sens, Strasbourg a gagné ce match aux points. » Avant-hier soir, dans les sous-sols de la Meinau, un confrère bordelais faisait cette analyse : « Strasbourg n'a rien du promu tel qu'on le conçoit habituellement. Ce n'est pas une équipe de tâcherons poussifs. Elle est composée de joueurs de talent et peut légitimement ambitionner autre chose qu'un simple maintien. » Un pronostic que les Bleus devront confirmer ces prochaines semaines à  Lille, contre Paris, puis à  Monaco. Trois cadors supposés de la Ligue 1 classés derrière Rodrigo et les autres. « On a vu contre Lorient ou Le Mans que les réputations ne veulent rien dire. Et nous le vérifierons encore face à  Valenciennes ou Nancy », dédramatise le président Ginestet. « Lille, Paris et Monaco sont des matches comme les autres, à  bien négocier. » Histoire pour le Racing « de poursuivre sa route », comme le dit Rodrigo. Et de confirmer son joli bilan des deux dernières journées : quatre points.

Stéphane Godin

[Dropsy]

c'est un match frustrant.

On tient le match, on sent qu'on peut le gagner, mais on encaisse un but sur une grossière erreur de défense et surtout de placement de Ducroq, exactement la même erreur qui avait déjà  failli couter un but identique quelques minutes plus tôt (tir du bordelais dans le petit filet).

En même temps, la tête de Chamack sur la barre...

Inconcevable aussi les deux énormes occasions croquées par Alvaro Santos en seconde mi-temps. Au moins une des deux (surtout la tête) doit rentrer.

Et ce penalty non sifflé...

En même temps, la main de Cohade, alors au sol, en seconde mi-temps, aurait dû lui couter au moins un carton jaune. Totalement stupide et inutile ce geste.

Bref, le sentiment qui domine reste la frustration.