[8ème J] Sochaux / Strasbourg : 0-0

[D520]

ben il n'a pas mis de carton aux joueurs du racing , donc pas trop mauvais .
bon cela dit , j'ai vu le match au bistrot sur un écran , donc je n'ai pas fait attention a l'arbitrage

[silex57]

En tous les cas aux spécialistes ce soir ils ont insisté sur le nombre de hors jeu de Sochaux, 10 sur le match c'est un record !! Et ils ont dit que c'est l'excellente défense strasbourgeoise qui y est pour beaucoup !

[lolo]

Limite pro Racing

Ah bon? Moi je l'ai trouvé mauvais, mais sans avantage pour l'une ou l'autre équipe...

[Manu]

3 cartons jaunes pour Sochaux et rien pour nous c'est pour ça que je dis ça

[NéRiK]

En tous les cas aux spécialistes ce soir ils ont insisté sur le nombre de hors jeu de Sochaux, 10 sur le match c'est un record !! Et ils ont dit que c'est l'excellente défense strasbourgeoise qui y est pour beaucoup !

Il est évident que notre defense est toujours bien placée, en particulier Paisley que j'aime beaucoup, il est partout. Et puis sans Deroff, fini les courants d'air.

[argueti]

C'est clair qu'entres les cartons bêtes et les hors jeu, on a été tranquille ...

[télésupporteur]

milieu besogneux et dépourvu de tout talent

J'avais cru lire après nos 1ers matches que Rodrigo était phénoménal..

lors de ce match, rodrigo a fait partie de la défense centrale dans un rôle de libéro devant la défense
le milieu c'était les trois autres

[argueti]

La bonne moyenne

Avec un point et demi par match depuis le début de saison, le promu strasbourgeois reste ancré dans la première moitié de tableau. Attention tout de même : sans victoire ni but inscrit depuis trois journées, il n'a engrangé que deux points sur neuf.

Deux points par match à  la Meinau (8 en 4 rencontres), un point par déplacement (4 en autant de journées) : le Racing poursuit sans faire de bruit son petit bonhomme de chemin. À l'heure de la distribution des bons points, l'élève admis cet été en classe supérieure en a déjà  récolté douze quand les deux autres promus, Metz et Caen, se contentent d'une place au fond de la classe, parmi les trois cancres relégables potentiels. Sachant que les Caennais disposent tout de même de deux matches en retard pour s'extraire de ce maelstrà¶m qui les attire irrémédiablement vers le fond. Au rythme de 1,5 point par rencontre, l'équipe de Jean-Marc Furlan navigue en eaux calmes. Mais personne – et surtout pas le capitaine Guillaume Lacour qui s'en disait bien conscient avant-hier à  Bonal – n'oublie que les Strasbourgeois n'ont plus gagné depuis trois journées (défaite 2-0 à  Saint-Etienne, puis nuls 0-0 contre Lorient et à  Sochaux). Et que dans ce laps de temps, ils n'ont pas marqué non plus. Depuis leur second but contre Lens, signé Renaud Cohade à  la 64e, le 25 août (2-1), les Bleus n'ont plus trouvé le chemin des filets. 296 minutes exactement. Sans compter les arrêts de jeu. Depuis, donc, un peu moins de cinq heures ou un peu plus, selon que l'on comptabilise le temps additionnel ou non. D'où ce « sentiment mitigé » qu'évoquait Lacour après le nul rapporté de Sochaux dans un derby plutôt hermétique, surtout après le repos. Les mathématiciens ont déjà  noté au tableau noir que le Racing vient de n'engranger que deux points sur neuf. La finalité du football étant tout de même de marquer des buts, la réception du Mans samedi (20 h) à  la Meinau prend forcément une résonance particulière.

Deuxième défense de Ligue 1

Mais à  l'heure où le FC Sochaux/Montbéliard, relégable, en est toujours à  attendre sa première victoire et où son entraîneur Frédéric Hantz avoue encore que son équipe est « trop hétérogène », le Racing n'en continue pas moins de dégager une jolie impression collective. Il est loin des malheurs doubistes, stigmatisés ainsi par un Hantz contraint de se raccrocher aux branches : « Sur nos trois précédents matches à  Bonal, nous avions encaissé au moins deux buts. Contre Strasbourg, nous n'en avons pas pris. Mais quand on ne récolte pas assez de points, c'est difficile. Plus ça dure et plus c'est dur. » Le Racing pourrait transposer ce constat à  sa façon. « Moins on prend de buts et plus c'est facile. » Avec cinq buts encaissés en huit journées, Lacour et les autres possèdent rien moins que la 2e défense de L 1. Potentiellement la première même, si l'on songe que Lens, qui n'en a concédé que quatre, a deux matches en retard (à  Lyon et contre Caen). Hormis celui inscrit par Yacine Abdessadki contre son camp à  Saint-Etienne, il n'a toujours pas pris le moindre but sur action de jeu, Stéphane Cassard ne s'étant incliné par ailleurs que sur quatre coups de pied arrêtés. Les Bleus sont efficaces à  un bout du terrain. Il leur reste à  le (re) devenir à  l'autre bout. Les rentrées de Wason Renteria (revenu de Colombie) et d'Alvaro Santos (la dernière recrue arrivée de Sochaux et privée de derby dans le cadre d'un accord avec son ancien club) offriront des solutions supplémentaires. « Le coach va devoir faire des choix douloureux », reconnaît Jean-Marc Furlan. D'aucuns lui rétorqueront qu'en football, l'embarras du choix vaut toujours mieux que l'embarras tout court.

Mutants de la permutation

Depuis le début de saison, les Strasbourgeois étonnent par leur sens de l'adaptation tactique et leur interchangeabilité dans une même organisation.
Bien malin celui qui peut décrypter aujourd'hui le jeu strasbourgeois. Car avec les mêmes hommes, Jean-Marc Furlan est capable de faire évoluer son équipe dans différents schémas. Illustration en a encore été donnée samedi à  Bonal où le 4-1-3-2 de la première période, déjà  furtivement expérimenté à  Saint-Etienne avant que l'expulsion de Guillaume Lacour n'oblige à  une redistribution des rôles et des cartes, s'est effacé après le repos au profit du 4-2-3-1 qui a d'ordinaire les faveurs du coach alsacien. Bien sûr, la capacité d'improvisation – raisonnée – de l'entraîneur général bas-rhinois a ses limites. Elle ne touche pas à  un bloc défensif monolithique. « N'attendez pas de ma part beaucoup de surprises en défense », avertissait-il d'ailleurs jeudi, « Autant les changements sont plus aisés au milieu et devant, autant je bouge rarement ma défense. Ça fait dix ans que je procède ainsi. Pour bien défendre, il faut bien se connaître. C'est la force de l'habitude qui fait une défense solide. » Mais dans les autres secteurs de jeu, Furlan offre à  ses joueurs une grande liberté de mouvement. Au sein d'un même système d'ailleurs. Avant-hier à  Bonal, Guillaume Lacour s'est ainsi retrouvé tour à  tour milieu récupérateur, milieu droit et, épisodiquement, ailier gauche, comme sur ce centre coupé par Kévin Gameiro juste à  côté de la lucarne de Richert (61e). « L'intérêt d'une animation offensive, c'est de n'être pas figée », insiste l'entraîneur, « sinon, on devient prévisible. »

« On a les joueurs pour le faire »

Ainsi J.-M. Furlan n'a-t-il pas hésité à  revoir sa copie après un début de deuxième mi-temps poussif. « On avait dû faire la sieste à  la mi-temps et on a eu du mal à  revenir dans la partie », sourit-il, « J'ai préféré replacer les joueurs dans un 4-2-3-1 où ils ont leurs repères et qui leur donne une certaine sécurité. » Mais même ainsi repositionné, le RCS ne s'est pas sclérosé. « Le coach nous demande aussi de beaucoup permuter », confie le capitaine Lacour, « Nous avons les joueurs pour le faire. Nous sommes interchangeables. Quand Pascal (Johansen) est entré (à  la 80e à  la place d'Abdessadki), nous savions que nous pourrions continuer à  bouger, car il a lui aussi ce profil. En fait, sur ce match, nous avons manqué de réussite et de gnac devant le but. Il nous faut être plus précis dans la dernière passe et le dernier geste. Quelque part, c'est ennuyeux de ne pas marquer. » « Nous avons manqué de lucidité sur nos occasions », acquiesce Kévin Gameiro, « Nous étions venus prendre un point minimum. On va se satisfaire de ce résultat. Mais le contrat est à  moitié rempli, car nous pouvions viser mieux. Quelque part, le score est logique. Les deux équipes n'étaient pas forcément très bien en place et il y a eu des espaces des deux côtés. » Les 16 087 spectateurs qui ont assisté à  une deuxième mi-temps sinon soporifique, du moins cadenassée ne partageront pas forcément ce dernier avis. Ils souligneront plutôt que la force du Racing 2007-2008 tient dans ce constat : malgré ces permutations incessantes qui, parfois, pourraient lui valoir de se prendre les pieds dans le tapis, le jeu qu'il tricote maille après maille ne s'effiloche pas.

Stéphane Godin

[FM17]

furlan fait le mieux possible avec l'effectif mis à  sa disposition
à  priori, toujours confiant dans le maintien en L1 ( ce qui est l'objectif du racing )

....
Papin que tu critiquais est monté avec des Deroff, Vergerolle, Camadini, Strasser etc etc...
Furlan a une équipe pour être dans les 10 premiers....
un tres bon gardien, des internationaux espoirs (Gameiro, Bellaid)...il avait Matlouthi mais Furlan a préféré à  tort prendre Mulenga !!
Des internationaux etrangers (Szelesi, Abdessadki, Renteria, Mouloungui, Abou, Gargorov), des joueurs d experience (Paisley, Dos santos, Rodrigo, Johanssen) etc etc..et tu dis qu il fait avec ce qu il a ???????????? Est ce pour essayer de faire oublier les 4 derniers matchs ??? ou les 5 matchs sans que l équipe ne marque ?? Je suis certain que le Racing peut finir dans les 8 premiers...Ce sera sans doute grâce à  Furlan hein ??
Quant à  Jpp, bon vent à  Lens...merde ils ont gagné 1-0 sur pénalty...tu as du être vert...

[télésupporteur]

humour ou déraison
je t'annonce aussi que lors du mercato d'hiver, le racing prévoit d'engager deux internationaux venant du lichtenstein et du vatican