[07/08] 16ème CDLL : RCS / Amiens - 0/2

L'actualité du Racing dans les coupes nationales
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Manu
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Message par Manu »

et les autres ils en disent quoi ?

Racingstub :
Moi aussi je me suis bien amusé, c'était mythique.

Tout le monde s'en foutait de ce match, même les joueurs. Un comble tout de même quand on sait que l'équipe était composés de remplacants sensés se battre pour essayer de prouver leur valeur et montrer qu'ils peuvent devenir titulaire. Johansen par exemple n'a plus interet à  venir pleurnicher sa mére qu'il ne joue plus après sa prestation...
J'étais à  ce match mythique, c'est une grande satisfaction. Je fais partie des 4000 personnes qui ont eu l'idée saugrenue d'aller assister à  cette affiche punk. Le fait qu'on ait perdu donne encore plus de cachet à  cette expérience forte et renforce la fierté d'appartenir à  la famille des supporters strasbourgeois. Dans 10 ans, on aura oublié le racing-Lens du début de saison, pas ce sinistre racing-Amiens.Ce soir, c'est le plaisir masochiste dans toute sa splendeur, c'est trop bon !
4074 spectateurs... whaou je crois que c'est un record... j'ai décidé de ne pas me rendre au stade car je trouvais injuste de ne pas inviter les abonnés pour un match comme ca... et heureusement j'ai bien fait. C'était honteux, très soporifique... il est où le beau jeu de furlan ?? avec papin c'etait les memes matchs mais on les gagnait !

alvaro santos.... gmamdia n'est pas plus mauvais !
Gameiro a été le seul à  en vouloir et à  proposer des solutions.
Paisley a été très correct. Assez technique et propre. Le seul à  son niveau en defense.
Bellaid et Szelesi décevant...
Abou je l'ai défendu à  de nombreuses reprises mais là ... expulsion idiote avec 2 fautes grotesques (les memes en plus) dos santos est largement meilleur.
Camadini y'a rien à  en tirer. Johansen, malgre quelques bonnes passes, non plus.
Mouloungui quand il est mauvais, il est tres enervant.

Faut vraiment faire quelque chose là ... la tactique ne prend plus. il n'y a aucune solution en attaque. Je pense qu'il faudrait repasser à  un 4-4-2.

5 matchs sans marquer un but... meme en 2005/2006 on n'avait pas fait ca.
j'ai même pas envie de réagir à  chaud, tellement je suis écoeuré (et c'est peu dire ... )
Lamentable , de pire en pire ,à  la limite du honteux .... Et voila Metz qui se profile , ca sent vraiment , mais alors vraiment , mauvais.

Au fait , la prochaine fois que je vois le gros bouli jouer , je fais un massacre
Vu à  la télé, et content de ne pas m'être déplacé et d'avoir payé pour ça. Ou est passé le Racing que l'on voyait si brillant face à  Auxerre ou Lens ?

L'effet promu du début de saison a disparu, l'état de grâce est retombé, et qu'est-ce qu'on a vu ce soir ? Des joueurs qui se cherchaiennt, des passes sans cesse mal ajustées, des joueurs qui tournaient le dos en duel, rien pour avancer franchement....

Ca fait un bail qu'on a plus marqué et là  on se fait sortir par une L2 chez nous.... Faudrait peut être recadrer les joueurs, sinon on va dans le mur quand on voit ce qui nous attend en championnat
;)
baskath
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Message par baskath »

Moi, je retiens une chose : deux matches où je ne peux pas aller à  la Meinau, deux défaites....

Rassurez-vous, je reviens bientôt ! ;)
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Pinon
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Message par Pinon »

dna a écrit :La douche froide

Après trois matchs sans victoire, la Racing comptait sur la coupe pour se relancer. Mais une équipe d'Amiens pleine d'opportunisme et repliée en défense en a décidé autrement en réalisant le hold-up parfait à  la Meinau.

Même si l'objectif strasbourgeois se résume cette saison en un seul mot, à  savoir le maintien en Ligue 1, l'équipe du Racing ne voulait pas - ne pouvait pas - passer à  côté de ce match face à  Amiens.
D'abord parce que le RCS, dans son antre de la Meinau, se devait de retrouver une confiance quelque peu ébranlée après trois matchs de championnat sans victoire. Qui plus est face à  une équipe d'Amiens en plein doute, enlisée au fond du classement de Ligue 2.

« Soit tu passes, soit tu ne passes pas »

Même dans un stade aux trois quarts vides - si ce n'est le kop, qui avait déployé une très explicite banderole « le foot n'est pas une marchandise » - les Strasbourgeois n'avaient d'autre choix que de s'imposer. « En Coupe, il n'y a pas d'analyse, soit tu passes, soit tu ne passes pas », expliquait même Furlan la veille du match, qui avait annoncé qu'il se satisferait d'une petite victoire, « même 1-0 sur penalty au bout de la nuit ».
Reste que pour passer sans attendre une hypothétique séance de penalties, Jean-Marc Furlan avait décidé de mettre sur le terrain un savant mélange lui permettant de garder « une ossature », tout en apportant du sang neuf.
Aux côtés des Paisley, Bellaïd et Rodrigo, le coach alsacien n'a donc pas hésité à  lancer Camadini, Abou, Gameiro et Johansen. Tout en faisant confiance au seul Alvaro Santos en pointe, histoire de mettre un peu la pression sur le très inconstant Wason Renteria.
En face, Batelli, le coach amiénois toujours coiffé de son inévitable casquette, avait pour sa part mis en place une défense à  trois centraux, avec deux latéraux coulissants au sein d'un milieu fourni et le seul Raynier en pointe.

Un seul objectif avoué : aller aux tirs aux buts

Avec un seul objectif avoué : aller aux tirs aux buts. En première mi-temps, la stratégie d'Amiens semble être la bonne. Le Racing domine et fait le jeu, mais de manière stérile. Gameiro et Fanchone, sur les ailes, se créent les meilleures occasions mais butent sur un Benvegnu en pleine réussite.
Amiens ne fait pas grand-chose, si ce n'est procéder par contres. Des contres à  deux doigts de surprendre les Strasbourgeois grâce à  une paire Raynier/Kadir très en jambes.
Le début de la seconde période est une copie conforme de la première, avec une équipe strasbourgeoise qui maîtrise le ballon, sans toutefois se montrer assez tranchante pour faire la différence.
Les efforts de Gameiro, Johansen et Alvaro n'y font rien. Et, à  ce petit jeu là , Amiens prend peu à  peu confiance. A la 58e, un énième contre des Picards fait mouche. Traoré, lancé par Raynier, trompe Puydebois. Et Amiens de mener, complètement contre le cours du jeu, face à  des Strasbourgeois malheureux et maladroits.
De trois, Amiens passe alors à  cinq défenseurs. Pour le Racing, la soirée tourne alors au cauchemar, avec l'expulsion d'Abou pour un tacle trop appuyé sur Raynier. A 10 contre 11, la messe est dite. Les entrées de Mouloungui puis de Renteria n'y changeront rien. Et dans les arrêts de jeu, Kadir double la mise.
« Si on ne marque pas les premiers, on s'expose à  un contre et après c'est difficile. Cette gifle peut être salutaire pour remettre les gens au travail et dans la lutte. Une contre-performance peut réveiller un effectif », explique Jean-Marc Furlan. Avant d'ajouter : « Ce match confirme notre mauvaise passe et là  on subit de plein fouet, on n'a plus de fraîcheur, et pas plus d'enthousiasme. »
Sûr que hier soir, il n'y avait rien d'enthousiasmant dans une Meinau qui a pris l'eau, à  tous les sens du terme. Une bonne douche froide, même.
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argueti
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Message par argueti »

L'Alsace a écrit :La Coupe à  la grimace

Hier à  la Meinau, les Strasbourgeois se sont fait piéger comme des Bleus par une équipe d'Amiens experte dans l'art de bétonner et celui du contre (0-2). Ils quittent la Coupe de la Ligue dès leur entrée en lice, en 16esde finale.

Est-il temps de commencer à  s'inquiéter lorsqu'une équipe vient d'enchaîner cinq matches sans victoire sans inscrire le moindre but ? La réponse est pratiquement contenue dans la question. Hier soir à  la Meinau, devant une affluence digne des heures les plus sombres de la L2 (à  peine plus de 4000 spectateurs), le Racing s'est pris les pieds dans le tapis, coincé dans la souricière mise en place par onze Amiénois décidés à  ne pas céder le moindre pouce de terrain. Comment contourner un mur de béton monté par le terrassier Batelli ? Tel le problème – insoluble visiblement - auquel s'est trouvé confronté le Racing en cette fraîche soirée de mercredi. Car pour troubler les cartes, le coach picard s'y entend comme personne. Le décryptage de son schéma tactique – disons un 5-3-1-1 pour résumer – et le placement inhabituel de certains de ses joueurs ont donné la migraine à  toute la tribune de presse, y compris chez les suiveurs habituels du football amiénois. En revanche, ses intentions étaient plus claires : bétonner et attendre l'ouverture dans le dos des Alsaciens. Et à  ce petit jeu, force est de constater que ses joueurs ne sont pas maladroits. Certes, en première période, les occasions les plus franches furent strasbourgeoises. Malheureusement pour lui, l'opiniâtre Kévin Gameiro n'attrapa le cadre sur aucune de ses trois frappes (16e, 29e et 32e). Ses coéquipiers se montrèrent plus précis que lui, mais ils vinrent buter sur un Benvegnu chaud comme une bouillotte. L'habituel gardien remplaçant de l'ASC, déjà  héros du tour précédent lors de la séance victorieuse de tirs au but contre Guingamp, signa d'abord une double parade sur une tête de Fanchone, puis la reprise aux 16 m de Camadini (23e). Et il brilla encore sur une demi-volée d'un Fanchone décidément pas verni (34e).

Abou expulsé

Mais malgré une maîtrise du ballon quasiment exclusive du RCS, les Amiénois avaient prouvé en deux ou trois circonstances que les Bleus n'étaient pas à  l'abri d'une mauvaise surprise. Vigilant sur une sortie dans les pieds de Raynier (13e), puis dans un duel gagné face au remuant Perchet (24e), Nicolas Puydebois la leur évita en première période. En revanche, le gardien bas-rhinois ne put rien lorsque Levrat, d'une passe millimétrée dans l'intervalle, envoya Bakaye Traore le crucifier juste avant l'heure de jeu (59e). Il restait une demi-heure aux coéquipiers de Pascal Camadini, capitaine d'un soir, pour relever la tête. L'entrée d'Eric Mouloungui, puis celle de Wason Renteria provoquèrent à  peine un frémissement. Et comme il était dit que le Racing devait boire la Coupe jusqu'à  la lie, Abou eut la mauvaise idée de se faire expulser à  un quart d'heure de la fin, conséquence logique de deux avertissements reçus pour des tacles aussi dangereux qu'inutiles. Pour faire bon poids bonne mesure, Kadir, parti – c'est un euphémisme – à  l'extrême limite du hors-jeu, s'en vint éliminer Puydebois dans les arrêts de jeu pour inscrire le second but dans un angle impossible (90e + 3). Pour préparer le déplacement du 6 octobre chez un voisin messin en pleine renaissance, dix jours ne seront pas superflus pour retaper un RCS au moral dans les chaussettes.

« Au creux de la vague »

Jean-Marc Furlan : « Cette élimination confirme la mauvaise passe que l'équipe traverse ces temps-ci. Nous payons notre début de saison durant lequel nous avons presque tourné en surrégime. Nous sommes au creux de la vague. Nous n'avons plus en ce moment la fraîcheur et l'enthousiasme qui nous ont permis de faire la différence durant le premier mois de compétition. L'adversaire a parfaitement joué le coup. Il s'est mis en bloc et a attendu une opportunité. Quand on se heurte à  un bloc défensif regroupé sur 30 m, il faut absolument marquer les premiers. Sinon, on s'expose à  un contre et ça devient forcément difficile, surtout quand on se retrouve à  10. Nous avons vécu la réplique du scénario contre Le Mans. Les matches à  élimination directe n'ont rien à  voir avec la hiérarchie. Sur 90 minutes, cette hiérarchie n'a pas d'importance. Mais c'est vrai que c'est très désagréable d'être éliminé par le 18e de L2, surtout chez soi. Si j'ai des motifs d'inquiétude ? Honnêtement, aucun. Car, dès mon arrivée, je connaissais la position de ce club dans le foot français. Et mon seul objectif est de l'aider à  se maintenir. »

Ludovic Batelli: « Quand une équipe de L2 élimine une L1, c'est toujours une surprise. Mais dans le contenu, on a vu des choses intéressantes. Durant les deux derniers jours, on a mis des choses tactiques en place et les joueurs les ont parfaitement répétées sur le terrain.»

Stéphane Godin
L'histoire est en marche ...
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pouic
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Message par pouic »

Y a qu'un seul mot pour décrire la prestation d'hier soir: minable.
Ca fait maintenant cinq matchs sans victoire (3 nuls pour 2 défaites) ont peut difficilement faire pire.
Après les illusions estivales retour à  la realité automnale . Le racing est donc à  l'image des saisons , il decline inexorablement au fur et a mesure que le mercure descend...
L'equipe est en perte de confiance et Furlan va vite devoir secouer tout ca pour que ca reparte du bon pied ...avant la saison froide.
EDES
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Message par EDES »

Et c'est reparti pour une saison galère. J'espère qu'ils n'ont pas oublié les rames et qu'il y aura un fort vent de révolte pour gonfler les voiles qui feront avancer la barque avant qu'elle ne prenne l'eau de toutes parts.
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Message par Phapha »

Hervé Bride hier soir sur Europe 1 à  propos de la prestation du Racing : "faute professionnelle".
J'espère que c'est aussi l'avis des joueurs. :?
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G-Rom
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Message par G-Rom »

"manque de fraîcheur, de spontanéité", cette phrase commence à  me sortir par le nez doucement... On va rigoler en hiver si on continue a avoir les mêmes 18 joueurs... Et les autres ont joués moins de matchs que nous pour avoir + de fraîcheur et de spontanéïté. ok on produit du jeu, ça fatigue, etc, mais j'ai du mal à  croire qu'on soit le seul en ligue 1 a le faire quand même...
Manu
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Message par Manu »

Manque de fraincheur je sais pas mais moi ici je caille !

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lolo
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Message par lolo »

FM75 a écrit :qu on met Abdessadki arriere gauche comme à  Nices...
C'est pas ton pote Kombou qui avait inauguré ce genre de poste pour Abdé? :roll:
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
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