[07/08] 2ème J: Nice / Strasbourg : 1-0

L'actualité du Racing en championnat
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Keating
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Message par Keating »

télésupporteur a écrit :cassard :D :D :D ne peut rien sur le but dévié par hognon
J'ai beau re-re-regardé ce but, je pense justement qu'il aurait pu l'avoir, le ballon est à  peine dévié, et il ne fait aucun geste ... Le plus petit des gestes aurait suffit à  la sortir ...
télésupporteur
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Message par télésupporteur »

je précise que c'etait cohade qui "surveillait" hognon :cry:
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Keating
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Message par Keating »

DNA a écrit :Cinq minutes de trop

Des Strasbourgeois réduits à  dix après l'expulsion de Manuel Dos Santos ont été héroïques durant 85 minutes hier soir au stade du Ray, à  Nice, avant d'encaisser un but sur coup-franc. Dura lex, sed lex.

« J'ai des regrets, surtout au vu de la première mi-temps. On a l'emprise et on a des occasions. On doit rentrer au vestiaire avec un avantage », lance Jean-Marc Furlan à  l'issue de la rencontre.
Et des regrets le coach peut en avoir. Car la rencontre a basculé hier soir à  la 46e', alors que le RCS restait sur une belle première période.
Apam, lancé dans le couloir droit, tente de déborder Dos Santos. Ce dernier met la jambe et prend un carton jaune logique. Sauf que c'est le deuxième pour le latéral gauche, qui en a déjà  pris un juste avant la mi-temps. Et après avoir outrageusement dominé, les Strasbourgeois réduits à  dix vont se retrouver acculés vers les buts. « La physionomie du match a complètement changé », résume Furlan.
Cette expulsion, mauvais coup du sort, venait après une autre bien mauvaise nouvelle. Celle du forfait de Pascal Johansen. Victime d'une lésion tendineuse derrière le genou, détectée lors du dernier entraînement avant le match, le maître à  jouer des ciel et blanc était finalement resté à  Strasbourg.
Ne manquait plus à  ce scénario catastrophe qu'un dernier coup de bambou, histoire de justifier l'adage populaire « Jamais deux sans trois ». Il est intervenu à  la 86e minute, lorsque M. Ruffray siffle une faute imaginaire à  Grégory Paisley.

Le coup-franc, tiré des 30 m par Hellebucyk ne semble pas poser de problème à  Cassard. Sauf que le bout du pied d'Hognon est lui-aussi sur la trajectoire. Cassard est pris à  contre-pied et la balle finit sa course au fond des filets strasbourgeois. Aïe, aïe, aïe.
« Il y a beaucoup de déception ce soir, moi j'ai l'impression d'avoir été volé, parce que sur le coup-franc il n'y a pas faute, je ne lui touche même pas la jambe », argue un Grégory Paisley au visage fermé.
Reste que si le résultat est forcément mauvais, avec zéro point ramené dans la besace, le Racing a tout de même confirmé hier qu'il avait du jeu dans les jambes, lors d'une première mi-temps de feu. Après trois minutes de flottement, ce sont en effet des Strasbourgeois sans complexe qui mettent la pression sur les buts de Lloris.
Grâce notamment à  Abdessadki et Cohade, insaisissables au milieu de terrain, ou encore Fanchone, qui a souvent pris le dessus sur Rool. Ne manquait que ce petit but, ce brin de réussite, qui aurait pu concrétiser ce net ascendant strasbourgeois.
« On domine, ça va dans le bon sens et on peut tuer le match en première période, mais après, il faut de la réussite, lâche un Abdessadki lui aussi déçu de l'issue de la rencontre. Mais là , ça s'est retourné contre nous ».

Hormis la défaite, Jean-Marc Furlan déplore aussi la pluie de cartons (6) qui se sont abattus sur ses joueurs au stade du Ray. « Sur la prestation des joueurs, on peut être fier, mais là , j'ai un blessé (NDLR : Johansen, out pour 15 jours), un suspendu et en plus on repart avec beaucoup de cartons jaunes alors que l'on n'est pas une équipe agressive. Et ça me fait peur pour l'avenir », explique le coach.
Un coach qui devra trouver dès mercredi, face à  Auxerre, une nouvelle solution de dépannage, cette fois pour le couloir gauche. Pas évident, surtout que les Strasbourgeois n'ont que trois jours pour se préparer. Et comme le dit encore Jean-Marc Furlan, « ce soir, c'est lourd, pour le court comme le moyen terme ». C'est peu de le dire.
Au bout d'eux-mêmes
Réduits à  dix durant toute la deuxième période, les Strasbourgeois ont défendu comme des chiens, ne s'inclinant que sur un coup du sort. Rageant, forcément.

CASSARD (). Peu de travail en début de rencontre. Plus, beaucoup plus ensuite, mais le portier a su garder son calme et colmater comme il fallait les brèches dans sa défense une fois les Strasbourgeois réduits à  10. Avec notamment une sortie miraculeuse dans les pieds de Koné (63e'). Ne peut rien sur le but.
LACOUR (). Un peu limite face à  Ederson en début de rencontre, le latéral droit strasbourgeois a ensuite pris la mesure de son vis à  vis. Encore un dépannage plus que correct.
BELLAID (). Excellent en première mi-temps, comme lorsqu'il stoppe d'un tacle propre Koné, parti seul au but (9e'). Idem face à  Bamogo, à  la 17e'. Plus de difficultés ensuite, à  l'image de l'ensemble de la défense, une fois son équipe réduite à  10.
PAISLEY (). L'ex-parisien a bien fait son boulot défensif, tout comme son acolyte Bellaïd, sans se départir de son calme habituel. A tenu comme il pouvait la baraque avec Bellaïd en fin de match, face aux incessants assauts niçois.
DOS SANTOS (). Face à  Bamogo et Koné, constamment entrain de permuter sur les ailes, Dos Santos a eu un peu le tournis en fin de première période. Et sa première faute dès le début de la seconde période, sur Apam, lui vaut un deuxième carton jaune synonyme d'expulsion.
RODRIGO (). Le Brésilien a une nouvelle fois fait preuve d'un engagement physique sans faille et a collé comme il pouvait le poison Laslandes. Tout en restant proche de sa défense quand Cohade partait à  l'offensive. C'est simple, ce Rodrigo est solide comme un roc.
COHADE (). Deux balles perdues en début de rencontre laissaient présager le pire, mais c'est finalement son meilleur visage que « Coco » a montré hier soir. Il a récupéré un nombre incroyable de balles en milieu de terrain, tout en apportant des solutions offensives sur les côtés. Sans oublier de redescendre défendre lors des moments chauds.
FANCHONE (). Peu en vue face à  Marseille, l'ailier a montré hier qu'il pouvait prétendre à  un bien meilleur niveau. Il n'a cessé de combiner avec Abdessadki, tout en offrant de bons centres à  Renteria. Remplacé par CAMADINI (57e).
ABDESSADKI (). Absent face à  Marseille, Yace a une nouvelle fois étalé son talent technique hier soir, en faisant tourner en bourrique la défense niçoise. Est ensuite redescendu au poste de latéral gauche après l'expulsion de Dos Santos, où il a su se montrer à  la hauteur.
MOULOUNGUI (). Il est souvent passé face à  Apam, grâce à  une pointe de vitesse inégalée et a joué moins « perso » qu'à  son habitude. Dommage qu'il n'ait pas réussi à  se montrer décisif, comme lorsqu'il s'est retrouvé seul face à  Lloris (20e). Remplacé par MATHLOUTHI (68e).
RENTERIA (). Le Colombien monte en puissance et a prouvé qu'il savait garder la balle, même cerné par trois défenseurs. Et a su aider sa défense quand le besoin s'est fait sentir. Ne manque qu'un but. Remplacé par GAMEIRO (62e).
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Message par D520 »

je viens de voir le résumé sur C+ et le nul voir la victoire du Racing m'aurait paru justifié ;)
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silex57
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Message par silex57 »

Moi je ne veux retenir qu'une chose de ce match, à  11 contre 11 on ramenais au pire le nul.
"Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" Nietzsche.
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enzy
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Message par enzy »

Match vu à  la télé :

D'accord avec l'analyse de Télésup.

Une première mi-temps très rassurante au point de vue du jeu, les niçois ont courus après le ballon une bonne partie des 45 premières minutes.

Le raçing s'est crée 3-4 occasions nettes durant cette première mi-temps, ce qui en théorie et surtout à  l'extérieur devrait suffir, mais pas hier soir :?

Après, avec l'expulsion stupide de Dos santos (les fans d'Abou doivent être content), le match n'a bien sur plus été le même et malgré tout le raçing a su contenir cette équipe niçoise jusqu'à  ce coup du sort à  5 minutes de la fin.

Cassard ne peut absolument rien faire sur le but.

Effectivement, ce début de saison rappelle éttangement celui d'il y a 2 ans, mais je préfère retenir le positif sur ce match, car il y a eu pas mal de motifs de satisfactions.

Une victoire face à  Auxerre serait bien sur le meilleur moyen d'oublier ce match.

En ce qui concerne les joueurs, l'ensemble de l'équipe a repondu présente en première mi-temps.

Mention spéciale à  Paysley, véritable patron de la défense et à  Lacour, dommage que Furlan veuille l'utiliser au milieu.
De toute façon, il n'y a pas mort d'hommes
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Kriskool
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Message par Kriskool »

On s'en fout, une fois de plus on perd!

:x
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Message par urotsukidogi »

Cassard ne peut rien sur le but, alors là  je ne suis absolument pas d'accord, certes il est caché mais personne ne le dévie ce ballon!!! la prise à  la main non mais un pied qui la sort ou au moins la dévie là  ça aurait été normal. maintenant il en a sorti pas mal avant donc c'est plus l'expulsion qui nous coute que cette erreur.
Pour rebondir sur Key (il a un peu grossi alors on rebondit bien.... :lol: ) on doit oublier le plus vite possible ce 451 on a pas les mecs pour pénétrer une défense de loin et pour tirer de loin. J'ai vu que le résumé de France2 mais on a mis en danger par des tirs de loin, on ne peut s'approcher du but. On aurait un 9 et 1/2 ce serait beaucoup mieux et ce surtout à  domicile face à  des équipes à  domicile à  notre portée.
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Feu rouge à  Nice

Auteur d'une superbe première période, le Racing, handicapé dès la reprise par l'expulsion de Dos Santos, a résisté avant de s'incliner en toute fin de match hier à  Nice sur un coup franc de Hellebuyck dévié par Hognon (1-0).

Grégory Paisley ne décolère pas. « J'ai l'impression que nous avons été volés », lâche-t-il juste avant de quitter le stade du Ray hier soir. Quelques minutes plus tôt, à  la 86e minute du match du Racing à  Nice, l'arbitre Bruno Ruffray avait sanctionné une supposée faute du défenseur strasbourgeois sur Lilian Laslandes. « Je ne l'ai pas touché. Il tombe comme une m… », peste-t-il encore. Une décision arbitrale lourde de conséquences. Car sur le coup franc qui suit, la frappe lointaine de Hellebuyck est déviée du bout des orteils par Vincent Hognon. Juste ce qu'il faut pour tromper Stéphane Cassard (86e). Le Racing ne s'en remit jamais, d'autant qu'il évoluait à  10 depuis le début de la seconde période après l'expulsion logique de Manuel Dos Santos. Ce but conçu par les deux anciens Stéphanois réduisit ainsi à  néant l'excellente partie de Lacour et ses coéquipiers. Il est trop tôt pour dire jusqu'où ira ce RCS façonné par Jean-Marc Furlan, mais une chose semble évidente après deux journées : ce Strasbourg 2007-2008 est cohérent. Et il aurait mérité d'ouvrir le score au Ray au cours d'une première minute où il apposa sa touche personnelle sur les débats. Notamment sur cette frappe non cadrée de Cohade, servi en retrait par un Fanchone beaucoup plus en vue que face à  Marseille (13e), cette chevauchée de Mouloungui mis en échec par une sortie canon de Lloris (19e) ou cette frappe du gauche à  ras de terre signée Abdessadki sur le poteau gauche du gardien niçois, largement battu (35e).

« On nourrit de gros regrets »

Malgré cette emprise alsacienne, le « Gym » n'était pas resté les deux pieds dans la même chaussure à  crampons. Bellaïd avait même dû s'arracher sur deux tacles rageurs pour empêcher Koné de filer seul au but (9e et 17e). Et dès que les Bleus connurent une petite baisse de régime, les Aiglons en profitèrent pour reprendre le contrôle des opérations. Koné fit trembler l'extérieur du petit filet (29e). Et Hognon trouva même l'ouverture à  la 42e, mais son but de la tête fut logiquement refusé pour un hors-jeu. Survint alors le fait majeur de la rencontre, déjà  évoqué ci-dessus, qui, en tout début de deuxième période, compliqua sensiblement les affaires alsaciennes. Déjà  averti en fin de première période, Manu Dos Santos faucha Apam et reçu sans protester un second avertissement justifié. Abdessadki recula alors à  un poste de latéral gauche inédit pour lui. Jean-Marc Furlan changea aussi ses batteries en lançant successivement Camadini, Gameiro et Mathlouthi. Cassard sortit alors le grand jeu, en effaçant la seule erreur de Bellaïd grâce à  un duel gagné devant Koné (63e). Et lorsque Bamogo trouva à  son tour la faille, son but fut lui aussi refusé pour un hors-jeu d'un bon mètre (65e). En cette seconde période, le RCS ne se créa qu'une seule occasion très nette, avec cette frappe tendue de Cohade que le portier azuréen claqua impeccablement au-dessus de sa barre à  la 70e. Contraint pour l'essentiel de faire le dos rond, il semblait néanmoins en mesure de repartir avec le point du nul lorsque M. Ruffray fit basculer au grand dam de Greg Paisley. « Nous ne sommes pas abattus. On nourrit simplement de gros regrets », s'efforce de positiver Stéphane Cassard. « Avec la victoire à  trois points, on sait qu'on peut vite se replacer. C'est ce que nous tenterons de faire mercredi à  la Meinau contre Auxerre. »

L'info Johansen forfait

Pascal Johansen, qui avait quitté la séance d'entraînement avant-hier pour une douleur derrière le genou gauche, n'a finalement pas fait le déplacement à  Nice. Parti au vert avec ses partenaires vendredi soir, il est rentré chez lui hier matin, son pépin tendineux n'étant pas résorbé. Le Colmarien passera une IRM demain pour déterminer la durée de son indisponibilité. « Peut-être quinze jours », avançait hier soir au stade du Ray le directeur général Jean-Luc Herzog. « Difficile à  dire », estimait de son côté le kiné Eric Moerckel. « Ce qui est sûr, c'est que la douleur était plus vive ce samedi matin que vendredi soir. » Le Colmarien en saura plus demain.

Grégory Paisley : « J'ai horreur de l'injustice »

Jean-Marc Furlan (entraîneur de Strasbourg) : « On nourrit des regrets, notamment sur la physionomie de la première mi-temps. Lorsqu'on a autant l'emprise sur le jeu et qu'on rate autant d'occasions, il peut arriver ce qui s'est passé ce soir (hier) : le match change de physionomie sur un fait de match, en l'occurrence une expulsion. La sortie de Manu Dos Santos a perturbé l'équipe dans son organisation. Si nous étions rentrés aux vestiaires à  la pause avec un avantage, nous aurions pu gérer cette infériorité. Là , ç'a été plus difficile. Il n'est pas dans mes habitudes de parler de l'arbitrage, mais je constate simplement que nous avons fini la rencontre avec un nombre de cartons conséquent et incroyable pour une équipe qui ne pratique pas un jeu dur. Au bout de deux matches, nous n'avons toujours pas marqué. Mais pour juger de la capacité offensive d'une équipe, il faut retenir le nombre d'occasions qu'elle se crée. Et nous nous en créons. Il faut juste persévérer. »

Grégory Paisley (défenseur du Racing) : « Il n'y a pas faute sur le coup franc décisif. Je ne le touche pas. Je suis énervé, parce que j'ai horreur de l'injustice. Nous sommes promus et nous apprenons. J'espère que ça nous servira de leçon. Nous allons devoir réagir dès mercredi contre Auxerre, mais sans nous mettre la pression. Même si nous sommes abattus, nous devons rebondir vite. Malgré la défaite, nous avons montré que nous pouvons voyager correctement. Nous essayons de poser notre jeu, d'être cohérents. Mais d'un autre côté, nous repartons avec zéro point et ça ne peut pas être positif. »

Frédéric Antonetti (coach de Nice) : « Le plus important, c'est de prendre les trois points. Le match s'est déroulé en trois parties : une première demi-heure dominée par Strasbourg qui aurait mérité de mener au score, un dernier quart d'heure de la première mi-temps où à  11 contre 11, nous étions beaucoup mieux et une seconde mi-temps dont l'expulsion de Dos Santos a changé la physionomie. Nous nous sommes alors créé des occasions que nous avons ratées, par manque de clairvoyance ou excès de nervosité. Egalement parce que Cassard a bien joué le coup. Et tout s'est débloqué sur un coup de pied arrêté. »

En jeu

Strasbourg : Cassard : 7. Lacour : 5,5. Bellaïd : 6,5. Paisley : 7,5. Dos Santos : 0 (expulsion). Cohade : 6. Rodrigo : 6. Fanchone : 7. Abdessadki : 7. Mouloungui : 4,5. Renteria : 4,5.

Stéphane Godin
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Pinon
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Message par Pinon »

Seb T. a écrit :Pas de défenseur sur le banc alors que Tritz et Weber s'entrainent tous les jours...
Il me semble que Tritz était sur le banc ;)
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