[06/07] 29ème J: Grenoble / Strasbourg : 1-1

[argueti]

C'est quand la derniere fois qu'on a marqué les premiers

Encore une mi-temps complete à  coté de la plaque ...

Après la perf de Grenoble à  Caen, un point est un bon résultat

[Stan]

N'empeche que.. On se plaint constamment sur le forum (et souvent je veux bien croire que c'est justifié) mais peut être qu'au final ben on va tout de même monter, et c'était là  l'unique objectif du club après le fiasco de l'année dernière et tout les changements intervenus à  l'inter-saison..

Alors, soit l'Alsacien est exigeant, soit.. euh non c'est bien ça, l'alsacien est exigeant.

Allez racing, plus que 6 matches à  fond et on y sera, ne lachez rien !

[Manu]

l'Alsacien est peut être exigeant mais il n'a pas peut être pas tout à  fait tort... Si on veut avoir un statut de favori faut peut être avoir des matchs références ou de belles victoires, car cette année heureusement que l'on assuré à  la meinau (quelques fois par chance) et que l'on a battu le Havre chez lui car niveau spectacle désolé mais on se régale pas et si on monte l'année prochaine, on pleurera encore chaque samedi soir en trouvant d'éternelles excuses...

Réussissons déjà  à  monter et papotons comme chaque été de joueurs de talents qui ne viendront pas chez nous...

[ZITELLI]

Bon, on prend 1 point, certes, c'est laborieux, mais réjouissons nous, l'objectif initial de remontée immédiate est en passe de se réaliser.

c'est déjà  pas si mal.
Certes, c'est très loin d'être parfait, mais on verra bien ce qui se passera en cas de L1.
Le foot n'est pas une science exacte, Lorient qui a finit 3è l'an passé se révèle comme le meilleur promu, alors qui sait?

[Hans]

l'Alsacien est peut être exigeant mais il n'a pas peut être pas tout à  fait tort... Si on veut avoir un statut de favori faut peut être avoir des matchs références ou de belles victoires, car cette année heureusement que l'on assuré à  la meinau (quelques fois par chance) et que l'on a battu le Havre chez lui car niveau spectacle désolé mais on se régale pas et si on monte l'année prochaine, on pleurera encore chaque samedi soir en trouvant d'éternelles excuses...

Réussissons déjà  à  monter et papotons comme chaque été de joueurs de talents qui ne viendront pas chez nous...

Tout est dit !

[argueti]

Un joker qui rapporte

En match en retard de la 29e journée de Ligue 2, le Racing a ramené un nul intéressant de Grenoble, ce mardi soir. Bousculés en première période, les hommes de Jean-Pierre Papin ont bien réagi ensuite et Mouloungui, encore lui, a permis aux siens de revenir de ce déplacement avec un point. Un point précieux dans la course pour la montée.

D'un point de vue comptable, le Racing ne risquait pas grand-chose, ce mardi soir à  Grenoble. Ce match en retard de la 29e journée de Ligue 2 n'aurait pas eu de conséquences fâcheuses, quoi qu'il advienne au stade Lesdiguières. Assurés de rester troisièmes avec trois longueurs d'avance sur Amiens et cinq sur Le Havre, les joueurs strasbourgeois savaient que tout résultat positif ramené d'Isère pouvait, en revanche, constituer une sacrée bonne affaire. Une victoire, donc trois points supplémentaires sur les poursuivants, et la Ligue 1 se serait rapprochée de manière assez nette à  six matches de la fin. Le nul décroché face à  une équipe totalement libérée et qui restait sur une performance de choix à  Caen vendredi dernier (victoire 1-0) est un résultat qui fait largement les affaires de Jean-Pierre Papin. L'entraîneur voulait voir une réaction de ses hommes après le non-match d'Istres, il a eu ce qu'il souhaitait.

Huitième but de Mouloungui

Déçu par la prestation de sa formation quelques jours plus tôt, JPP a dû apprécier la réaction de l'équipe après la pause, ce mardi à  Grenoble. Parce que durant les quarante-cinq premières minutes, on a bien cru revivre le scénario de la rencontre perdue à  Istres. Dès les premiers instants, le Racing était dépassé par Grenoble qui accumulait les situations dangereuses devant Stéphane Cassard. L'ouverture du score de Yann Kermorgant (17e) sanctionnait assez justement le début de rencontre loupé du RCS. Au retour des vestiaires, Papin changeait ses plans en faisant entrer Kevin Gameiro et Ali Mathlouthi à  la place de Joao Paulo et Yacine Abdessadki. Les Strasbourgeois montraient un nouveau visage, plus entreprenant et plus ambitieux dans le jeu. Une tentative de Moulougnui était repoussée in extremis par Wimbée (60e). Dix minutes plus tard, le Gabonais trouvait enfin le chemin des filets sur un centre de Cohade repris victorieusement, au premier poteau, de la tête (71e). Il devenait ainsi le meilleur réalisateur alsacien avec huit buts depuis le début de la saison.

Une avance qui augmente

Il fallait remettre certaines choses au clair après la défaite subie à  Istres. C'est chose faite avec ce match. « Nous avons besoin de nous rassurer et de nous relancer », avait expliqué Jean-Pierre Papin avant de se rendre à  Grenoble. De ce point de vue-là , l'objectif est certainement rempli. Le joker que possédait le Racing avec ce match en retard a donc été fructifié grâce à  ce point ramené d'Isère. Le Racing ne risquait rien avec ce match en retard, mais, à  la faveur de ce résultat, il accentue son avance au classement. Le voilà  désormais avec quatre points d'avance et un goal average favorable sur Amiens et six longueurs sur Le Havre. A un mois et demi de la fin du championnat, la Ligue 1 se rapproche gentiment.

Les réactions

Jean-Pierre Papin (Entraîneur RC Strasbourg): « Nous avons pris un très bon point face à  une équipe de qualité. On s'est fait bouger comme rarement, ce soir. Heureusement, nous avons redressé la barre en seconde période avec l'apport des jeunes du club. Nous prenons un point et nous effectuons un pas de plus. Il était surtout important de ne pas perdre, une deuxième défaite d'affilée aurait fait très mal. Les joueurs ont eu la volonté de ne rien lâcher lors de ce match. Peut-être a-t-on senti un peu de pression en début de rencontre car on a été fébrile. Nous avons été plus relâchés après la pause. Il était important de stopper l'hémoragie. Mais, franchement, après le premier but de Grenoble, j'ai eu très peur. »

Pascal Camadini: « En première période, on s'est fait bouger. Mais chacun a eu sa mi-temps. Le score est logique. En ce moment, il faut faire le dos rond car nous sommes moins réalistes offensivement et défensivement. Ce nul n'est pas extra mais ce n'est pas mal non plus car nous prenons un point sur tout le monde. La Ligue 1 s'annonce bien mais il faut continuer à  gagner des matches. »

Renaud Cohade: « Nous avons réalisé une mauvais première période. Nous avons subi et nous avons perdu le ballon trop vite. Ca nous a coûté cher. Nous avons eu une bonne réaction en deuxième mi-temps. Nous avons trouvé plus de solutions offensives. Cela fait quelques matches que nous avons du mal à  entrer dans nos matches. Il va falloir régler ça. Mais on montre aussi que l'on sait réagir, c'est intéressant. Prendre un point ici, c'est bien car, au début, on a eu peur de revivre le match d'Istres. Nous avons montré que nous ne voulions rien lâcher. Il reste six matches, et il va falloir tout donner jusqu'au bout. Il ne faut plus se poser de questions. »

[silex57]

Un poitn qui peut faire une sacrée différence, il nous donne un jocker par rapport aux poursuivants, en espérant que nous n'ayons pas à  l'utiliser.

D'apèrs Lucille, Deroff a fait un super match ...

[argueti]

Un point et rien de plus

Le Racing a arraché le point du match nul, hier, grâce à  un but de la tête de Mouloungui. Précieux, puisque les Strasbourgeois ont désormais quatre longueurs d'avance sur Amiens.

A la fin de la première mi-temps, le stade Lesdiguières scande le nom de... Pouliquen. Un hommage plus qu'appuyé à  l'entraîneur de leur équipe, qui a appris cette semaine qu'il ne sera plus à  la tête du GF 38 l'an prochain. Malgré, comme l'annonce une banderole grenobloise, « la meilleure saison de Grenoble depuis 24 ans ». Un Yvon Pouliquen aussi applaudi par la centaine d'Ultra boys strasbourgeois présents hier soir à  Grenoble. Des supporters qui n'avaient d'ailleurs pas vraiment eu l'occasion de s'enthousiasmer outre mesure, tellement le Racing a semblé à  côté de son sujet durant les 45 première minutes de ce match en retard.

« On s'est fait bouger comme on l'a rarement été »

Empruntés, comme éteints, les joueurs Strasbourgeois ont en effet laissé à  Grenoble la maîtrise du jeu durant tout cette mi-temps. « On s'est fait bouger comme on l'a rarement été cette année », reconnaissait volontiers Jean-Pierre Papin à  l'issue de la rencontre. « Cette première mi-temps me laisse des regrets, ajoute comme en écho Yvon Pouliquen, on aurait pu enfoncer le clou et plus faire douter cette équipe de Strasbourg ». Sûr que les Grenoblois auraient largement pu mener de trois buts à  la pause, malgré une paire Bellaïd/Devaux qui a joué hier soir les pompiers de service. N'Ganga, Dja Djedje et Belghazouani passent comme dans du beurre dès l'entame de match et Kermorgant concrétise logiquement cette domination locale dès la 17e minute. On se dit que ce Racing-là , atone et peu inspiré, risque de souffrir le martyre en seconde période face à  des joueurs grenoblois qui rêvent de s'offrir le scalp du Racing après celui de Caen. Il n'en sera rien, grâce - notamment - au bon coaching de JPP, qui fait entrer dès la reprise Mathlouthi et Gameiro. Un sang neuf appréciable, qui va, enfin, apporter des solutions offensives à  un RCS qui n'a pas une seule fois approché les buts de Wimbée en première période. « On a su redresser la barre en deuxième mi-temps grâce aux jeunes », reconnaît encore le coach strasbourgeois avec raison. Au milieu, un Cohade retrouvé bonifie ses coups de pied arrêtés et le Racing commence, enfin, à  se montrer dangereux sur corners. Wimbée retarde l'échéance, mais les Strasbourgeois égalisent finalement grâce à  un coup de boule de l'inévitable Mouloungui, qui inscrit ainsi son 8e but en L 2 cette année. Mais la fin de match est crispante pour un Racing qui souffre face aux contre-attaques éclair du GF 38. Mais si les Strasbourgeois souffrent, ils ont compris la leçon reçue à  Istres et ne lâchent rien. Pour obtenir, au final un match nul plutôt logique.

« On a stoppé l'hémorragie »

« Je suis content de ce point, on a stoppé l'hémorragie et je pense que face à  cette belle équipe de Grenoble, c'est un très bon point », souligne un JPP visiblement soulagé de ne pas s'être incliné deux fois de suite.
Pour le coach ciel et blanc, la « pression de la montée » expliquerait en partie cette première mi-temps ratée. « Les joueurs étaient beaucoup plus fébriles. Heureusement, en deuxième mi-temps, ils ont recommencé à  jouer leur jeu, à  faire les choses simples qu'ils savent faire », tranche Jean-Pierre Papin. Sur le plan comptable, le Racing peut souffler. Il n'est plus qu'à  deux points de Caen et surtout, il relègue Amiens à  quatre longueurs. Précieux, à  six journées de l'échéance.

Mouloungui force 8

Point fort du Racing cette saison, le milieu de terrain a failli hier soir face à  une équipe de Grenoble plus compacte et plus vive. Et a dû compter sur la réussite de Mouloungui pour s'en sortir.

CASSARD (). - Pas fautif sur le but grenoblois, le portier a ensuite fait un match sérieux face à  une équipe de Grenoble très rapide en contre-attaque. Sauve son équipe du 2-1 à  la 75e, face à  Sarr.
DEROFF (). - Après son match catastrophique face à  Istres, le latéral s'est repris et a mieux tenu son couloir, même s'il n'est pas exempt de reproches sur le but de Kermorgant.
DEVAUX (). - Il a imposé son physique face au très rapide Dja Djedje et a su user de son métier lorsqu'il a été pris de vitesse. A néanmoins commis pas mal de fautes, offrant à  des coups francs précieux à  des Grenoblois qui n'en demandaient pas tant.
BELLAID (). - Encore une fois, le défenseur central a tenu la baraque et a été un des seuls à  évoluer à  son niveau, notamment lors d'une première mi-temps entièrement en faveur des Grenoblois. A sauvé son équipe à  plusieurs reprises, comme lors de cette offensive grenobloise où il dégage proprement face à  Dja Djedje parti seul au but (35e).
VERGEROLLE (). - Pour son retour parmi les pros, le latéral gauche a eu du mal à  retrouver le rythme en début de match. A ensuite joué sobrement, n'hésitant pas à  balancer en touche face au danger permanent que représentait face à  lui un Belghazouani très en jambes. Sauve son équipe à  la 51e face au même Belghazouani.
CAMADINI (). - Lui aussi plus que discret en première mi-temps, où il n'a finalement touché que très peu de ballons. Une absence de percussion qui a manqué au Racing, qui a largement perdu la bataille de la récupération en milieu de terrain.
LACOUR (). - Auteur de quelques ouvertures intéressantes dans une première mi-temps bien morose, le capitaine a tenté, comme à  son habitude, relancer la machine strasbourgeoise après l'ouverture du score adverse. Avec moins de réussite qu'à  l'habitude.
COHADE (). - Pas au mieux, le milieu a mal débuté son match, ratant de nombreuses passes. S'est ensuite révolté et a beaucoup permuté avec ses compères Mouloungui ou Abdessadki. Mais sans beaucoup de réussite. Du mieux en seconde mi-temps, où ses coups de pieds arrêtés ont toujours été dangereux.
ABDESSADKI (). - Replacé juste derrière Joao seul en pointe, le Franco-Marocain a semblé un peu perdu, touchant beaucoup moins de ballons qu'à  son habitude. Remplacé par MATHLOUTHI (, 46e), toujours très vif.
MOULOUNGUI (). - Discret en début de match, le Gabonais a une nouvelle fois joué à  l'intermittent du spectacle, n'usant qu'avec parcimonie de son incroyable pouvoir d'accélération. Sauve son équipe d'une belle balle piquée qui trouve les cages de Wimbée, inscrivant ainsi son 8e but de la saison.
JOAO (). - Seul en attaque, le Brésilien a beaucoup joué dos au but, en déviation. N'a pas pesé sur le défense de Grenoble et a eu tendance à  trop chercher la faute. Est logiquement averti pour simulation pour son plongeon dans la surface peu avant la mi-temps. Remplacé par GAMEIRO (, 46e), qui a apporté de la fraîcheur tout comme son compère Mathlouthi.

Barbara Schuster

Un nul qui rassure

Les joueurs du Racing se sont partiellement rassurés, hier soir à  Grenoble, en décrochant le point du match nul (1-1). Les voilà , ce matin, nantis de quatre points d'avance sur leur premier poursuivant, Amiens.

Le Racing tenait hier l'occasion de frapper un très gros coup dans le haut du classement de Ligue 2. En décrochant finalement son 13e match nul de la saison sur le terrain de Grenoble, il ne l'a pas fait. Mais que l'on ne s'y trompe pas, il n'en n'a pas moins réalisé un résultat satisfaisant. Car face à  une formation grenobloise qui venait de briser l'invincibilité de Caen à  domicile et qui a montré de grosses qualités durant plus d'une heure de jeu, le Racing a longtemps cherché la solution. Il l'a finalement trouvée grâce à  son mental et à  la tête de l'inévitable Mouloungui. Ce matin, le Racing est donc plus que jamais 3e au classement avec quatre longueurs d'avance sur son premier poursuivant, Amiens. À six journées de la fin, voilà  qui est plutôt de bon augure … Le début de rencontre des Strasbourgeois est poussif pour ne pas dire très médiocre. Incapable de faire tourner le ballon et visiblement peu à  son aise dans sa nouvelle configuration tactique en 4-2-3-1. Incapable de faire tourner le ballon, le Racing se trouve d'emblée pris à  la gorge par le jeu rapide des Grenoblois. Les deux premiers avertissements, signés Dja Djédjé (1re) et Kermorgant (2e), sont sans frais. Mais la troisième tentative est déjà  la bonne. Sur un long changement d'aile de Stinat, Kermorgant, totalement oublié sur son côté gauche, vient catapulter des 20 mètres le ballon dans les filets de Cassard (17e). Cette ouverture du score allait-elle avoir au moins le mérite de réveiller un RCS en panne d'inspiration ? Pas vraiment. Tout heureux de pouvoir s'engouffrer dans les brèches laissées par la défense strasbourgeoise, ce sont les hommes d'Yvon Pouliquen qui assurent toujours le spectacle, à  l'image d'une percée de Belghazouani (énergiquement stoppé par Vergerolle, 29e) et de cette tête hors cadre de Pelé (30e).

Mouloungui en sauveur

Côté strasbourgeois ? Rien, si l'on excepte un coup franc largement au-dessus frappé par Devaux (27e). De quoi obliger JPP à  revoir ses plans. Dès la demi-heure de jeu, le technicien strasbourgeois décide de revenir à  un plus traditionnel 4-4-2, avec Cohade à  gauche, Abdessadki à  droite, et un duo d'attaque Joao-Mouloungui. Si le dernier quart d'heure devient dès lors plus calme, le visage du Racing, lui, ne s'en retrouve pas métamorphosé pour autant. Et Jean-Pierre Papin se voit une nouvelle fois contraint de modifier le visage de sa formation durant la pause. Histoire d'apporter enfin de la profondeur au jeu strasbourgeois, Mathlouthi et Gameiro font leur apparition. Cette fois, le coaching de JPP semble trouver un écho favorable sur la pelouse. À l'heure de jeu, Mouloungui signe la première véritable occasion strasbourgeoise du match. Mais sa volée au second poteau se heurte au bras de l'impeccable Wimbée. Dans la foulée, le portier isérois doit encore intervenir sur des coups francs de Cohade (66e et 68e). Enfin dans son assiette, le Racing maintient la pression sur le but grenoblois. La récompense survient à  la 71e, lorsque le pied gauche de Cohade trouve la tête l'inévitable Mouloungui dans les airs. Le « coup de boule » de l'attaquant strasbourgeois ne laisse aucune chance à  Wimbée (1-1). Le Racing peut pousser un « ouf » de soulagement, d'autant que Cassard est encore mis à  contribution sur un tir heureusement trop écrasé de Sarr (76e).

Jean-Pierre Pain : « Ce point me convient bien »

Jean-Pierre Papin (entraîneur du Racing) : "Comme on en a pris la mauvaise habitude depuis le début de saison, on a mal négocié notre entame de match. L'équipe était crispée et fébrile sur quelques coups. En deuxième période, on a vu en revanche le vrai Racing : celui qui joue, qui va vers l'avant et qui a envie de gagner. Une nouvelle fois, on a dû se mettre en quatre pour revenir et arracher le match nul. C'est un point qui est très précieux et qui me satisfait totalement. Grenoble est une équipe talentueuse et c'est véritablement une grosse performance de venir chercher le nul ici. Maintenant, on va savourer ce point, se reposer et pour une fois regarder les autres jouer ce vendredi. Après, il sera temps de se plonger dans le match de Reims. Il faudra être à  100 % car c'est tout aussi costaud que Grenoble."

Yvon Pouliquen (entraîneur de Grenoble) : "Ce match nul ? J'en suis plutôt content. Nous avons développé du beau jeu et offert une très belle première période à  notre public. On aurait peut-être mérité mieux que 1-0 sur cette première mi-temps. Avec un second but, nous aurions vraiment enfoncé cette équipe de Strasbourg qui s'est, malheureusement pour nous, réveillée en seconde période. On voulait les trois points, on se contentera donc d'un seul. Nous ne sommes plus qu'à  deux points du total de l'année dernière donc nous ne sommes pas loin d'avoir d'ores et déjà  rempli notre objectif initial."

Pierre Chatelus

[fl0w]

Dommage qu'on ai commencé à  jouer à  la 45°...

Quand le racing joue 90° min c'est quand même mieux

Oué donc pour avoir eu la chance de voir le match ben on a fait une vraie première mi-temps de mer** avec un vergerolle au ras de paquerette, un paulo invisible le tout mélangé au manque d'envie des autres... (il y avait juste bellaid et lacour qui était bien présent).

Et puis enfin j'ai repris espoir avec la sortie de paulo! et surtout l'entrée des 2 jeunes qui ont vraiment apporté du peps devant. Le tout avec un "NET" regain de motivation général et ça à  donné une période où on a vu qui jouait le montée. bref une égalsiation logique pour un nul logique.

[silex57]

Vu que t'es l'un des seuls (sinon le seul) à  avoir vu le match que penses tu (c'est une question qui en travaille beaucoup) de la prestation de ... Deroff ?