carlito a écrit :hello tout le monde,
je n'ai pas été au stade hier soir, mais j'ai l'impression qu'une fois encore notre cher racing n'a pas du tout "maitrisé " la rencontre, comme trop souvent depuis le début de la saison. Une équipe qui veut monter doit s'imposer à l'dversaire et ne pas attendre un coup de bol, une erreur de l'adversaire. a chaque fois que je les ai vu jouer j'ai trouvé que les joueurs manquaient de caractère, de volonté, de hargne. C'est bien beau d'avoir soi disant des joueurs de ligue 1 encore faut il le montrer, et j'ai bien peur que beaucoup se voilent la face juste avce le classement et les résultats. car quand on voit la manière........
baskath a écrit :Franchement, si j'étais tourangeau, je serais dégoûté d'abord du résultat, et surtout de la prestation de l'arbitre. On ne peut nier qu'il nous a largement aidés hier soir ! Entre le but refusé à Tours sur une faute pas évidente à mon avis et la main de Lacour non sifflée dans la surface, il y a de quoi être énervé.
J'étais du coté ou Tours avait marqué le 2e but et il n'y avait absolument pas faute, puisque c'est Cassard qui lache la balle dans les pieds du tourangeau. Pour la main, j'ai pas vu ce qu'il s'est passé. On est vraiment vernis comme l'on dit les DNA.
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
merci pour le message de bienvenue
il est clair qu'il faut aussi de la chance, et l'an dernier on n'en a pas eu. mais ces derniers temps on en a eu un max et ça ne va pas durer....
autant contre lille en 2ème mi temps ya eu de la révolte, de la gnac, de l'engagement, de jolis mouvement, autant depuis c le désert..... et pourtant il y quand même quelques joueurs de qualité !! mais on ne joue pas en équipe, pas de "bloc " équipe cher à Amamao Jacquet !! il faut s'imoposer à l'adversaire, physiquement notamment, mettre du rythme, bref être plus volontaires que ça !
but de ginbert pour tours qui va dominé mais se faire voler comme d'hab à l'extérieur chez les gros poissons de L2
_________________ http://sectionmadsboys.populus.ch
Keating a écrit :FM, tu ne crois pas que si on veut éviter les défaites à venir il faut tirer une leçon de ses matchs ? On n'aura pas toujours la chance avec nous ...
mais je suis d accord avec vous tous....on joue tres mal et on est chanceux d etre 3è aujourd hui...mais personnellement j ai envie de voir des Racing-PSG, des Racing-OM etc etc l an prochain....hier on gagne et on reprend des points à tout le monde...Seule la victoire est belle ! L an dernier DES AOUT je disais à tout le monde qu on irait en L2 et tout le monde encensait le jeu du Racing....Je vais même plus loin, hier c est vraiment un déclic, je suis certain qu on gagnera à Chateauroux !
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
NéRiK a écrit :J'étais du coté ou Tours avait marqué le 2e but et il n'y avait absolument pas faute, puisque c'est Cassard qui lache la balle dans les pieds du tourangeau. Pour la main, j'ai pas vu ce qu'il s'est passé. On est vraiment vernis comme l'on dit les DNA.
Chui pas vraiment d'accords, j'ai revu les images et on voit quand même que l'attaquant bouscule bien le gardien
Or à c'que je sache les gardiens sont assez protégés des contacts, je veux dire par là que en quelque sorte si tu touche trop fort le gardien et ben y'a faute
La semaine du Racing s'est achevée sur un bilan positif : quatre points pris en deux rencontres et une place reconquise sur le podium de la Ligue 2. S'il n'y avait cette affligeante pauvreté dans le jeu, les indicateurs seraient au vert...
Un dixième, tout au plus. Si le Racing de Jacky Duguépéroux avait eu ne serait-ce qu'un dixième de l'insolente réussite qui guide les pas des hommes de Papin, il serait assurément encore en Ligue 1. Ce constat, une bonne partie des quelque 11 000 spectateurs incrédules rassemblés vendredi soir à la Meinau a dû le tirer en quittant le stade, au terme d'un nouveau renversement de situation autant imprévisible qu'heureux. Leur équipe est pourtant revenue sur la 3e marche du podium, repoussant les Havrais à deux points. Aucune personne de bonne composition ne pavoisera ni ne fanfaronnera.
Riche en points mais pauvre dans le jeu
L'an dernier, le Racing produisait du jeu, emballait même parfois les foules mais finissait invariablement par déchanter. La faute, souvent, à une frappe qui s'écrasait sur un poteau ou un tir contré qui terminait au fond des filets strasbourgeois. Un sentiment d'impuissance, pour ne pas dire d'injustice, accablait les Bleus et participait à l'impression un brin diffuse de pénible fatalité. Les Tourangeaux en savent quelque chose, eux qui ont hérité de ce lourd fardeau. Vendredi, la troupe d'Albert Falette a quitté la Meinau contrite, tête basse et moral dans les chaussettes. Deux erreurs, en trois petites minutes, ont suffi à introniser Joao Paulo et Tum en saints sauveurs et à anéantir tous les efforts consentis quatre-vingt minutes durant. « Ça c'est le genre de défaite qui fait très mal et dont on ne se relève que rarement », disait ainsi Habib Bellaïd, lui qui est venu « couper » la balle de break offerte sur un plateau à Tony Vairelles juste avant le but victorieux. Le jeune défenseur alsacien, embarqué dans la sale galère de la saison passée, sait de quoi il parle. Il n'apprécie que mieux la passe actuelle, riche en termes de points mais terriblement pauvre en ce qui concerne le projet de jeu.
« Il n'y a pas de quoi être rassuré »
« Pourtant, on est capables d'en produire, du jeu, indique le président Ginestet. On l'a notamment vu contre Caen cet automne ou face à Lille en Coupe de France. Si je suis inquiet ? Disons qu'il n'y a pas de quoi être rassuré. » Car si le Racing a adopté une vitesse de croisière qui sied à un prétendant à la montée, depuis sa claque essuyée à Metz (4-1) en décembre dernier - onze points pris sur quinze possibles -, il ne doit perdre de vue que les adversaires rencontrés n'ont rien de foudres de guerre. Amiens mis à part, les Bleus ont croisé la route de mal lotis, de Montpellier aux trois relégables. Ils n'ont strictement rien prouvé. Si ce n'est leurs vertus mentales dans l'épreuve et la difficulté. Pour ce qui est du jeu, de ses bases et de sa construction, il faudra repasser.
Trouver la clé avant un mois de mars à haut risque
Il faut en tout cas espérer que Papin trouve la clé, s'il en existe une, avant un mois de mars à haut risque, où il s'agira de se coltiner le Havre, Grenoble et Caen chez eux. Excusez du peu. Autant dire que le Racing serait bien inspiré de pouvoir s'appuyer sur ce qu'il est convenu d'appeler un « match-référence » d'ici-là . Ça tombe bien, le déplacement de dimanche prochain (16h15) à Châteauroux constitue une excellente opportunité. La Berrichonne, désarçonnée vendredi à Istres (3-1), a perdu le podium de vue. L'une des dernières chances de l'approcher sera encore de battre Strasbourg. Bref, une victoire alsacienne chez le cinquième permettrait de marquer de précieux points. Et pas seulement au niveau comptable.
Les inscriptions au forum sont rouvertes 
