[06/07] 21ème J: Montpellier / Strasbourg : 0-0

[urotsukidogi]

J'ai l'impression qu'on répète chaque semaine la même chose. Cette équipe a fait illusion sur la première partie du championnat par ses qualités morales et un Eric Mouloungui que les défenseurs adverses ne connaissaient pas encore. Mais depuis le premier match, cette équipe n'a jamais montré de fond de jeu, et là  c'est encore pire, parce qu'on ne veut pas mettre 2 attaquants (allez savoir pourquoi d'ailleurs....) on va coller le pauvre Cohade en créateur du milieu lui qui a autant de sens créatif qu'une moule (on a jamais demandé à  Makélélé de faire du Zidane!! toutes proportions gardées).
JPP doit revoir son système et d'urgence au train ou vont les choses on va finir 5 ou 6ème.
Ah puis j'espère juste qu'on ne revit pas le mirage de l'UEFA de l'an dernier avec la coupe de France dans ce rôle parce que la branlée contre Lille va faire mal mais ne va surement pas réveiller l'équipe.


JPP erreur de casting?

[urotsukidogi]

Petit profit

Venu à  Montpellier dans l'espoir de prendre les trois points, le Racing a dû se contenter, hier après-midi, du strict minimum. Toujours installés sur le podium de la Ligue 2, les Strasbourgeois voient leur marge de manoeuvre se réduire de manière dangereuse.

« Un point, c'est toujours bon à  prendre. » Même dans la difficulté, Jean-Pierre Papin ne se départit jamais de son optimisme. Au sortir de cette première empoignade en championnat de la nouvelle année, l'entraîneur alsacien aurait pourtant pu manifester quelques signes d'agacement. La première période a ainsi été affligeante. Aucune frappe cadrée, pas le moindre mouvement construit, des pertes de balles à  foison, rien n'a laissé supposer au public héraultais, venu en petite chambrée, que cette équipe-là  était à  la lutte pour la montée. Sans la présence rassurante de Bellaïd et un arrêt décisif de Cassard, cette agréable après-midi se serait transformée en cauchemar.

L'insoluble problème de l'efficacité offensive

« On a eu du mal à  se mettre en route, reconnaît tout juste JPP. Mais on a su imposer notre rythme et notre vivacité en seconde période. » Encore heureux que les Strasbourgeois aient un tant soit peu haussé leur niveau de jeu face à  une équipe montpelliéraine, certes vaillante, mais sans grand ressort. Toujours est-il que Pionnier, le gardien local, n'a rien vu venir. Si ce ne sont deux coups francs de Cohade. Sur le front offensif, Rangelov, Mouloungui et M'Bodji ont beau permuter sans cesse, les ébauches d'occasions se comptent sur les doigts d'une main. « D'autres équipes viendront ici se casser les dents, car cette équipe n'est pas à  sa place, devise Papin. On ne va pas faire la fine bouche. » Une fois encore, le problème de l'efficacité offensive revient sur le tapis. « Un buteur, c'est un buteur, il met la balle au fond, poursuit JPP. Et nous, on n'en a pas. » L'arrivée de M'Bodji, auteur de quinze buts l'an dernier avec Créteil, était pourtant censée répondre à  cette attente. Il faut croire que non. Désireux de se séparer de Rangelov, le Ballon d'Or aimerait récupérer un joueur à  son image, à  savoir quelqu'un « qui pèse sur les défenses, affiche de la vivacité et de l'enthousiasme. » Pas sûr, toutefois, que cette nouvelle requête ne trouve une oreille attentive au sein des dirigeants.

Le président Ginestet monte au créneau

Avant le coup d'envoi, Philippe Ginestet avait ainsi prévenu qu'il n'y aurait « aucune excuse » en cas de contre-performance, son équipe ayant préparé cette rencontre « dans les meilleures conditions. » Le discours était à  l'avenant au sortir des vestiaires. « On ne peut se satisfaire de ce résultat. La Ligue 2, c'est un combat. Il ne faudrait pas tomber dans le confort. » En attendant, Le Havre et Dijon sont revenus à  deux points du Racing. S'il n'y a pas encore lieu de « céder à  la panique », comme le rappelle sagement Pascal Camadini, la pression commence quand même à  monter. Les prochaines semaines, où défileront des adversaires modestes - Niort, Guingamp, Tours - seront déterminantes. Il ne sera alors plus question de se contenter de petits profits.

Sébastien Keller

[urotsukidogi]

CASSARD () : sur la seule balle chaude de la première période, il sauve les siens en se jetant au devant de Mendy (37e'). Une sortie qui lui vaut quelques frayeurs, puisqu'il est touché à  la cuisse. Plus de peur que de mal. Par la suite, il verra fuser quelques ballons chauds au ras de ses poteaux, sans avoir toutefois à  s'employer.
DEROFF () : aux prises avec Darbion, le capitaine d'un soir - après la blessure de Lacour -, a été inégal dans sa performance. A la peine en première mi-temps, il s'est repris par la suite, malgré une tergiversation tout au bout du temps additionnel.
BELLAàD () : meilleur Strasbourgeois sur la pelouse, le jeune défenseur central a repoussé les - rares - assauts locaux. Son retour suivi d'un tacle salvateur face à  Malm avant la demi-heure de jeu symbolise son implication et son efficacité.
STRASSER () : a paru moins serein qu'à  l'accoutumée, comme sur cette relance hasardeuse que Lafourcade n'a pu exploiter (27e'). Est venu placer sa tête sur chaque coup de pied arrêté, sans succès. Quant à  ses longues ouvertures, elles ont constitué les seules munitions offensives en première période.
VERGEROLLE () : au marquage du remuant Atik, le latéral gauche n'a pas été à  la fête en première période. Un peu moins inquiété après la rentrée de Montanio en seconde période, malgré une situation favorable pour le Colombien sur la fin.
LACOUR : touché dans un contact avec Delaye (9e'), Lacour est contraint de céder sa place à  EKOBO (13e' ), au rendement défensif brouillon, malgré l'un ou l'autre jaillissement. A surtout accumulé les fautes, jusqu'à  être logiquement averti.
CAMADINI () : début de rencontre pénible pour le Corse, associé à  Lacour dans l'entrejeu. Sa relance imprécise n'a pas contribué à  asseoir le jeu alsacien. S'est repris par la suite, son jeu court permettant aux siens de s'installer dans la partie.
M'BODJI () : la recrue a débuté la rencontre sur le côté droit de l'attaque. N'est jamais parvenu à  déborder Clément. A ensuite permuté avec Mouloungui et Rangelov sans jamais peser sur la défense. Remplacé par MATHLOUTHI (78e'), dont la vitesse aurait pu être salutaire plus tôt dans la partie.
COHADE () : placé en soutien des attaquants, il a tardé à  trouver la bonne carburation. S'est illustré à  travers ses coups de pied arrêtés et un rendement plus élevé en fin de partie.
MOULOUNGUI () : capable, sur un coup de rein, de déstabiliser la défense. Dommage que le Gabonais ne se soit manifesté qu'en toute fin de rencontre, à  travers deux accélérations. Peu impliqué le reste du temps.
RANGELOV () : grosso modo, cette titularisation constituait sa dernière chance. Le Bulgare n'a pas su la saisir. Papin aimerait récupérer un autre attaquant. Remplacé par GASMI (61e'), auteur d'une rentrée encourageante après près de deux mois d'absence.

[argueti]

À deux à  l'heure

Tenu en échec hier après-midi à  Montpellier à  l'issue d'un match soporifique (0-0), le Racing ne compte plus que deux points d'avance sur le tandem de poursuivants, Le Havre et Dijon. L'étau se resserre.

« Nous n'avons plus que deux points d'avance sur le quatrième ? Oui, bon, mais nous avons deux points de plus que lui, non ? » Pascal Camadini sait rester stoïque en toutes circonstances. Le Corse, qui en a vu d'autres alors que son 35e printemps approche, se refusait donc à  verser dans la morosité hier soir en quittant la Mosson. Pourtant, quelques minutes plus tôt, le Racing venait d'y concéder un nul guère rassurant face à  un faiblard onze montpelliérain. N'allez cependant pas croire que le milieu de terrain du Racing soit aveugle. Il n'a besoin de personne pour reconnaître que « dans le jeu, ce n'était pas terrible. D'un autre côté, prendre un point à  l'extérieur chez une équipe de Montpellier qui avait le couteau sous la gorge et n'a rien lâché ne me semble pas si catastrophique. Tout le monde a l'air de s'alarmer. Mais n'oublions pas qu'il y avait une équipe en face. » Un discours que fait également sien Jean-Pierre Papin, pas si marri que ça de ce nul, malgré un match aussi vierge dans le jeu qu'au score. « Si on avait dit en début de saison que nous prendrions un point ici, personne n'aurait fait la fine bouche. Un nul à  Montpellier n'est pas une contre-performance, ni une mauvaise opération pour la suite. Montpellier a des qualités et n'est pas à  sa place. D'autres équipes viendront se casser le nez ici, voire y perdre. Ce 0-0 est bienvenu. Il faut savoir accepter des points comme celui-là . »

Ginestet : « Ne tombons pas dans le confort »

Visage fermé après la rencontre, le président Philippe Ginestet ne partage pas ce point de vue positiviste et l'a d'ailleurs fait savoir aux joueurs. Avec fermeté, mais sans céder à  la tradition, souvent en vigueur dans ce milieu, du coup de gueule hystérique. « Je leur ai dit calmement que j'étais déçu pour eux, mais que d'un autre côté, on ne pouvait pas se contenter d'un tel 0-0, du moins pas de cette manière. La L 2 est un combat et on ne doit pas l'oublier. Entre le stage à  Hendaye ou les déplacements en avion privé, nous vivons au rythme d'une équipe de L 1. Mais la L 1, nous n'y sommes pas encore. Il ne faudrait pas tomber dans le confort. On peut accepter beaucoup de choses, mais pas le manque d'enthousiasme. » Un manque d'allant doublé d'un déficit d'efficacité auquel Jean-Pierre Papin s'efforce – dit-il – « de trouver des solutions. » Hier, il a ainsi tour à  tour demandé à  ses attaquants de permuter, relancé un Romain Gasmi qui n'avait plus joué depuis le 27 novembre à  Vesoul et envoyé au feu un Ali Mathlouthi qui « a, comme d'habitude, fait ce qu'il sait faire. » Mais alors qu'il a déjà  enrôlé un Papys M'Bodji (15 buts en L 2 l'an passé avec Créteil) plutôt effacé ce dimanche, JPP continue d'appeler de ses vÅ“ux le recrutement d'un buteur patenté. « Son profil ? Le mien, mais ça n'existe plus ou alors pas au même tarif », ironise-t-il, « un buteur, c'est quelqu'un qui la met au fond et nous ne l'avons pas. Nos soucis offensifs ne sont pas une nouveauté. Cette fois encore, ç'a été flagrant. Il faut enrôler quelqu'un qui pèse sur les défenses, apporte vivacité et enthousiasme. » Avant-hier déjà , l'ex-international avait regretté le dégraissage au ralenti d'un effectif pléthorique (Ndlr : seul Perbet a été prêté à  Charleroi – voir ci-contre). « Oui, ça me gêne, car ça bloque le recrutement. Toutes les équipes de tête ont un duo d'attaquants efficaces, sauf nous. À la limite, ça ne me dérangerait pas si chacun de mes attaquants tournait à  6 ou 7 buts. Le problème, c'est que notre meilleur buteur, Renaud Cohade, joue milieu et a inscrit ses sept buts sur penalty. » Reste à  savoir si le mutisme des attaquants résulte d'une valeur individuelle insuffisante ou de l'absence de ballons négociables, symptôme plus inquiétant d'un jeu sujet à  interrogation.

Comme une impuissance

C'est un match que personne ne méritait de gagner et que, logiquement, personne n'a gagné. Jouée sur « un faux rythme », comme le reconnaît sans se cacher Pascal Camadini, cette 21e levée de Ligue 2 n'a pas accouché de grand-chose. Sinon d'un jeu ennuyeux qu'un Racing sans ressort n'a pas su dynamiser. « Certains avaient les jambes lourdes », glisse Jean-Christophe Vergerolle en guise d'explication. En fait, il aura fallu attendre 52'pour voir le premier tir cadré. En l'occurrence un coup franc de Cohade légèrement dévié par le mur et extirpé de sa lucarne par un Pionnier vigilant. Ce coup de pied arrêté marque le début d'une bonne période strasbourgeoise, matérialisée par une tête de Strasser au-dessus (53e) et une reprise de Mouloungui du gauche juste à  côté (55e). « Nous avons eu quelques occasions sur coups de pied arrêtés, mais nous n'avons pas su les concrétiser », regrette un Jean-Pierre Papin qui cherche toujours en vain la parade à  l'indigence offensive – mais pas seulement – de son équipe.

Une quête, pas de solutions

Hier, l'entraîneur strasbourgeois a, comme à  Ajaccio, multiplié les formules. Comme en Corse, Rangelov a ainsi débuté en pointe, avant de reculer à  gauche, puis à  droite. Le Bulgare, transférable depuis une semaine, était attendu au tournant dans l'Hérault. Aux yeux de son entraîneur qui l'a remplacé peu après l'heure de jeu, il est sans doute sorti de route. L'entraîneur alsacien n'a d'ailleurs pas eu un regard pour l'ex-joueur du Levski Sofia à  sa sortie. Une image tout en contraste avec celle aperçue un quart d'heure plus tard quand il a donné l'accolade à  M'Bodji qui quittait la pelouse. Bref, on peut remuer le problème dans tous les sens : le Racing a raté son match. Il suffisait de voir, pour en être convaincu, la mine déconfite de son état major après la rencontre. Soyons honnêtes : les Strasbourgeois n'ont guère été mis en danger non plus par une formation héraultaise guère fringante, sauf sur de bons tirs trop croisés de Malm, après un premier contre de Bellaïd (28e), puis sur une déviation de Lafourcade (50e), ou encore une demi-volée du gauche du même Lafourcade (66e). Point commun toutefois à  ces quelques velléités pailladines : aucune n'était cadrée. Du reste, hormis une sortie sacrificielle devant Mendy à  la 38e, Stéphane Cassard n'a pas eu le moindre arrêt à  réaliser. « Jouer 45 minutes n'est pas suffisant », souligne Habib Bellaïd, « D'un autre côté, nous n'avons pas trop souffert derrière. Nous pouvons nous appuyer sur cette solidité. Mais nous devons à  tout prix travailler les relations entre notre milieu et nos attaquants. »
À défaut, l'avance réduite ce matin à  deux points sur Le Havre et Dijon risque, en cet hiver d'une rare clémence, de fondre comme neige au soleil.

Lacour touché sans gravité

Blessé dès la 8e sur une charge sévère du capitaine montpelliérain Philippe Delaye, Guillaume Lacour n'a pas pu reprendre le jeu et a été remplacé par Eugène Ekobo cinq minutes plus tard. A priori plus de peur que de mal pour le capitaine du RCS, victime d'une béquille en haut de la cuisse gauche. « La douleur était vive et j'ai dû céder ma place. Mais j'espère que deux jours suffiront à  me remettre d'aplomb. »

Rangelov dépité

« Au moins ne me suis-je pas blessé. » L'Å“il triste, Dimitar Rangelov s'efforçait de faire contre mauvaise fortune bon cÅ“ur hier en laissant Montpellier derrière lui. Le Bulgare semble se résigner à  devoir quitter le RCS en prêt, comme l'a demandé Jean-Pierre Papin au président Philippe Ginestet. Un JPP qui n'a toujours pas parlé directement à  son joueur, mais s'efforce, au moins dans le discours, de calmer le jeu. « Quand je vois Rangelov à  l'entraînement, je me dis que c'est un joueur hors normes. Malheureusement, en match, j'en vois un autre. Il n'y arrive pas. Je ne jette pas la pierre à  l'un ou à  l'autre. Je cherche juste des solutions pour marquer des buts. »

Perbet buteur

Alors que le Racing est en proie à  une récurrente panne d'efficacité, Jérémy Perbet, qui vient d'être prêté jusqu'en juin à  Charleroi (6e de D 1 belge), a déjà  retrouvé le chemin des filets. L'ancien meilleur buteur du National (23 buts avec Moulins en 2005-2006), sous contrat à  Strasbourg jusqu'en 2009, a offert samedi une courte victoire à  son nouveau club en amical contre Roda JC Kerkrade (9e du championnat hollandais). Il a en effet inscrit le seul but de la partie dès la 14e, d'un intérieur du gauche (1-0).

Stéphane Godin

Et Perbet qui marque ! Excellent Alors c'est toujours les joueurs les problemes ?

[NéRiK]

Qu'il arrete de se voiler la face. Serieux des fois je me demande s'il est con. Normal qu'on plante pas de buts. On joue avec un attaquant qu'on envoie au casse pipe face à  4 defenseurs. Sans parler MBodji à  droite...

No comment

[The_Key_Player]

Pour l'instant beaucoup de ceux qui partent revivent!



Mais toujours aucune remise en question de la part du coach!

Moi c'est ce qui m'inquiétait un peu avec Papin, certes il a de l'envie, de l'enthousiasme, mais j'ai l'impression qu'il est borné et ne se remet que très peu en question, vu de l'extérieur en tout cas c'est l'impression que ça donne!

[Keating]

Faut arrêter, le délire, quand on voit qu'on est quand même souvent dangeureux sur coup de pied arrêtés, c'est qu'on est pas si maladroit devant, mais bien que ce sont les ballons qui manquent en phase de jeu ...
Alors, JPP, ton 1er boulot à  l'entrainement, c'est faire en sorte que tes attaquants aient des ballons

[Kindskopf67]

Et puis il faudrait aussi qu'on voit un ti peu plus de centres...moi je sais pas à  chaque fois que j'assiste à  un match du rcs j'ai l'impression qu'ils font tjr les mauvais choix en attaque, pourtant ils doivent bien travailler ça à  l'entrainement...C'est quand même fou qu'on marque si peu de buts sur des actions de jeu...L'année prochaine on aura plus autant de penaltys faut pas se leurer...Espèrons qu'on (re)trouve une qualité et un fond de jeu d'ici la fin janvier...

[fab]

Il est rigolo JPP, quand il dit qu'il veut un type qui pese devant, et qui mette les ballons au fond...

Mais quels ballons????

La qualité de l'animation offensive se compte en nombre d'actions offensives qui aboutissent à  des situations de frappe.

La qualité d'un attaquant se compte en nb de buts/nombres d'actions + sa participation à  l'animation offensive...

Dire qu'on ne marque pas par un manque de buteur effiace, c'est un non sens evident. C'est ahurissant que Jpp ne voit pas ça...

C'est pourtant flagrant qu'on ait meme pas l'occasion de tirer au but non?

En fait, ce qu'il veut, ben c'est drogba, ou tu lui balances un ballon pourri et qu'il transforme ça en but...

[urotsukidogi]

Et encore chez nous Drogba, le ballon pourri il l'a même pas!!!
Sinon tout a fait d'accord avec toi