[05/06] 33ème J: Nice / RCS : 3-1

L'actualité du Racing en championnat
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alphons
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Message par alphons »

soit les joueurs n ont simplement pas le niveau


soit ils ont deja la tete ailleurs....negocient avec leur agent leur prochain transfert



les 2 sont peut etre vrais

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La L1 j y crois encore
On est en L1 ...on est en L1 ....lalalallalalalalalalallaalaaaaaa
télésupporteur
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Message par télésupporteur »

je viens de voir les notes de l'equipe.fr
bellaid 6
kante 4
;)
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argueti
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Message par argueti »

DNA a écrit :Toujours en sursis

Hors sujet une grande partie de la soirée, le Racing a connu une réaction tardive qui s'est avérée insuffisante pour rattraper son retard. Sans conséquence au classement, cette défaite n'en reste pas moins inquiétante sur le fond. A cinq journées de la fin, le droit à  l'erreur est désormais proscrit.

Pourtant, tout se présentait bien. Marc Keller joue même les oiseaux de bon augure. Alors que les Strasbourgeois arrivent dans les vestiaires spartiates du stade du Ray, le futur ex-directeur général du Racing s'empresse de souffler aux oreilles de Duguépéroux la défaite de Troyes contre Lyon (0-1).
Ainsi, le premier non relégable reste à  portée de fusil des Strasbourgeois. En cas d'exploit sur la Côte-d'Azur, ils pourraient même quitter la zone de relégation. Ce qui n'était plus arrivé depuis la... cinquième journée, le 27 août de l'an passé. Une éternité.

« Au lieu de se relâcher, les gars ont paru tétanisés »

Cette simple perspective aurait dû décupler leur motivation. C'est tout le contraire qui s'est produit. « J'avais décidé de leur faire part du résultat avant l'échauffement, dit l'entraîneur alsacien. C'était peut-être une erreur. Au lieu de se relâcher, les gars ont paru tétanisés. »
D'entrée, les Bleus sont à  la peine. En manque d'inspiration, de vitesse et de lucidité, ils traînent les pieds sans jamais parvenir à  hausser le ton. Heureusement, les serres des Aiglons ne sont guère plus affûtées. Du moins pas encore.
Du coup, la première période est d'une fadeur affligeante. Strasbourg ne parvient pas une seule fois à  frapper au but de Lloris. Même pas une petite incursion dans le camp niçois. Rien. Le néant absolu.
Il faut dire qu'Alex Farnerud est complètement placé sous l'éteignoir, physiquement « mangé » par Abardonado et Traoré. Diané, lui, ne semble pas vraiment concerné. A sa décharge, les ballons n'arrivent que rarement dans ses pieds. A moins que l'Ivoirien ne les sollicite pas assez...
Si Cassard n'avait été sauvé par son poteau, quand Echouafni est venu placé sa tête sur un coup franc de Vahiura, le Racing aurait rejoint les vestiaires avec un but dans la musette. Cet avertissement sans frais aurait dû provoquer une prise de conscience générale. Il n'en est rien.

« J'ai cru voir de la suffisance dans le comportement de certains »

Toujours aussi apathique dans le second acte, les Bleus vont complètement craquer en l'espace de deux minutes. A l'heure de jeu, Jarjat et Bagayoko trouvent la faille. « J'ai rien compris au film, déplore Duguépéroux. On savait que Nice était dangereux sur coup de pied arrêté. Résultat, on multiplie les fautes stupides et les pertes de balle sur les côtés. J'ai cru voir de la suffisance dans le comportement de certains joueurs. En-dehors de deux ou trois, on était complètement à  côté du sujet. »
Paradoxalement, c'est après ce coup de massue que les Alsaciens vont relever la tête. Grâce à  Johansen, ils parviennent à  produire du jeu et à  prendre racine dans le camp niçois. Après la réduction du score, oeuvre de Johansen, le coup semble encore jouable. Boka, Carlier et Nemeth se créent des occasions grosses comme des maisons. Cassard, lui, détourne un penalty. Mais comme trop souvent cette saison, le Racing laisse passer sa chance.
Complètement dépassé par les événements, les Strasbourgeois ont du mouron à  se faire. Au classement, pourtant, la situation reste inchangée. Les défaites de Metz, Ajaccio et de Troyes engendrent le statu quo en bas de classement. « Si on joue comme ça, on a peu de chance de s'en sortir », conclut Duguépéroux.
Strasbourg a laissé passer une occasion en or de recoller au classement. Celle-ci ne se représentera peut-être jamais. A force d'accumuler le sursis, les Bleus vont finir par prendre « ferme ». Ne resteront alors que les regrets.

A côté de leurs crampons

Plutôt inspirés ces dernières semaines, les Bleus sont méchamment retombés dans leurs travers. Absents, transparents, ils ont plongé en l'espace de deux minutes. Sale soirée.

CASSARD () : l'une des rares satisfactions de la soirée. De retour après deux mois de blessure, le gardien strasbourgeois a su gagner les duels à  sa portée, détournant même un penalty tiré par Varrault. Lâchement abandonné par les siens sur les trois buts niçois.
DEROFF () : en première période, le latéral droit a été l'un des rares à  tenter quelque chose, combinant plutôt intelligemment avec Abdessadki. A aussi su couper quelques trajectoires dangereuses. Trop de fautes en seconde période.
BELLAàD () : en grosse difficulté face à  la vitesse de Koné et la percussion de Bagayoko, le jeune défenseur a mis les siens dans le pétrin. En dépit d'une fin de mi-temps un brin plus convaincante, Duguépéroux décide de le remplacer par HAGGUI (46e' ). Absent sur les deux premiers buts niçois, à  l'origine du troisième. Mauvaise soirée.
KANTE () : impérial pendant une heure, le patron de la défense a colmaté les brèches et découragé les attaquants niçois. Dépassé par les événements durant les deux minutes fatales, il a pourtant continué d'y croire jusqu'au bout.
ABOU () : transparent, le petit Egyptien. Dans son couloir gauche, il n'a jamais pesé sur les débats. Paraît à  court de forme depuis deux semaines.
HOSNI () : l'autre Egyptien s'est mis au diapason de son coéquipier. On ne l'a quasiment pas vu. Jamais dans les bons coups, en tout cas.
ABDESSADKI () : actif en début de rencontre, le milieu offensif a progressivement disparu de la circulation. Touché à  la cuisse (béquille) sur une intervention de Jarjat, il cède sa place à  CARLIER (71e') qui manque le ballon de l'égalisation.
JOHANSEN () : la révolte alsacienne, c'est lui qui l'a insufflée. Auteur d'une grosse prestation après la pause, il a surnagé dans un océan de désespoir.
BOKA () : hormis quelques timides incursions sur la fin, l'Ivoirien a paru absent, non concerné par les événements. Est parfois capable du meilleur, souvent du pire.
A. FARNERUD () : mais où est donc passé Alex ? A Nice, en tout cas, personne ne l'a vu. Remplacé par NEMETH (69e') qui tente un lob astucieux et joue mal le coup sur une tête, seul face à  Lloris.
DIANE () : l'Ivoirien marque le pas. Hier soir, il a mis plus d'une heure à  sortir de sa torpeur. Provoque le penalty qui permet de réduire le score avant de disparaître à  nouveau de la circulation.
L'Alsace a écrit :À côté sur la Côte

Hors sujet pendant plus d'une heure, le Racing a, malgré une réaction d'orgueil sur la fin, subi une défaite logique hier à  Nice (1-3) et n'a pas su profiter des échecs de Troyes, Ajaccio et Metz.

Si le Racing descend au soir du 13 mai, cette saison 2005-2006 méritera d'être qualifiée de bal des occasions manquées. Hier soir à  Nice, les Bleus en ont laissé filer une nouvelle en ne profitant pas des défaites conjuguées de leurs trois concurrents dans la course au maintien, Troyes, Ajaccio et Metz. Et pour être tout à  fait franc, les hommes de Jacky Duguépéroux ont rarement été aussi médiocres que lors de leur première période niçoise. Sans rythme, sans inspiration non plus. Hormis les quelques combinaisons ébauchées sur le côté droit par le capitaine Yves Deroff et Yacine Abdessadki et la solide partition jouée par Cédric Kanté, contrepoids indispensable aux hésitations du jeune Habib Bellaïd, remplacé dès la pause par Karim Haggui, la copie rendue par le Racing est presque blanche.

60 secondes de cauchemar

Les Niçois ne sont à  vrai dire guère plus convaincants. Les Aiglons peinent à  prendre leur envol, hormis sur coups de pied arrêtés où leur puissance aérienne maltraite l'arrière-garde alsacienne. Sur un corner de Vahirua, Jarjat place une première tête au-dessus (10e). Un avertissement sans frais pour un RCS qui frôle la correctionnelle sur un coup franc du Tahitien, détourné du sommet du crâne par l'autre ex-Racingman du « Gym », Olivier Echouafni. Stéphane Cassard, préféré à  Nicolas Puydebois et archi battu sur le coup, n'est pas malheureux d'être suppléé par son poteau gauche (19e). Sans être étouffés, les Bleus supportent le poids du match, ce qui n'est jamais bon signe. Et si la mi-temps est atteinte sur un score nul, vierge et surtout flatteur, il n'y a pas de quoi pavoiser. Au moins les résultats à  la pause – Metz et Ajaccio sont menés – font-ils les affaires du RCS. Mais ces affaires-là  vont se gâter en moins d'une minute peu après l'heure de jeu. Le déclic niçois ? Un nouveau coup franc, signé Balmont cette fois, que Jarjat, du point de penalty, catapulte d'un violent coup de tête dans la lucarne (62e). Ce méchant coup de boule fait vaciller les Bleus. Mamadou Bagayoko va les mettre définitivement K-O moins de 60 secondes plus tard. Au sortir d'une percée rageuse, l'ex-Strasbourgeois décoche une frappe tendue à  ras de terre et ne laisse aucune chance à  Cassard (63e).

Strasbourg frôle l'égalisation

Pour soudain qu'il soit, ce break azuréen n'a rien d'illogique. Jacky Duguépéroux décide alors de jouer le tout pour le tout. Alexander Farnerud et Abdessadki (victime d'une béquille à  la cuisse droite) sont rappelés sur le banc, remplacés par Nemeth et Carlier. Ce pari du tout-offensif va très vite se révéler payant. Abardonado ceinture Diané dans la surface. M. Sars n'hésite pas. Pascal Johansen non plus qui transforme sans trembler le penalty et couronne ainsi une nouvelle très belle prestation personnelle (74e). Ce but réveille les Strasbourgeois d'entre les moribonds. Et en deux occasions – un lob de Nemeth au-dessus à  la 74e, après une frappe contrée de Boka, et un tir de Carlier repoussé par Lloris à  la 80e – Deroff et les autres vont frôler l'égalisation.

Cassard stoppe un penalty

Pourtant, lorsqu'à  la 81e, Kanté déséquilibre Koné qui s'apprêtait à  défier Cassard, les carottes semblent définitivement cuites. Mais le gardien bas-rhinois jaillit sur son côté droit pour repousser le penalty du capitaine niçois Varrault. Toutes les conditions semblent réunies pour un miracle qui n'aura pas lieu. Car cette réaction-là  n'a qu'un seul défaut : elle est bien trop tardive pour éviter un échec alourdi par la tête retournée de Sammy Traoré dans les arrêts de jeu (90e + 4). À la sortie de cette 33e journée, le Racing passe à  côté d'une juteuse opération. Une fois de plus. On n'ose dire une fois de trop, de peur d'être démenti samedi prochain, quand il accueillera Nantes pendant que Troyes ira à  Metz. Mais une chose est sûre : il devra montrer autre chose.

Jacky Duguépéroux : « Nous ne méritions pas mieux »

Jacky Duguépéroux : « Contrairement à  beaucoup d'autres matches, je n'ai aucun regret. Nous avons cherché ce qui nous est arrivé. Nous n'avions pas été brillants en première période et j'ai cru bon de rectifier certaines choses au repos. Résultat : nous avons fait le contraire de ce que j'avais demandé, en concédant beaucoup trop de coups francs alors que nous savions que les Niçois étaient dangereux sur les coups de pied arrêtés. Nous avons encaissé le premier but comme ça. Le pire, c'est que nous aurions presque pu égaliser sur la fin, mais j'admets que ça aurait relevé du miracle. Nous ne méritions pas mieux. Je n'ai pas eu l'impression de diriger une équipe qui a envie de s'en sortir. Et je demanderai des explications aux joueurs dès ce dimanche matin au décrassage, car je suis perplexe. Nous avons fait preuve de suffisance en songeant que les Niçois se réserveraient peut-être pour leur finale de la Coupe de la Ligue et nous nous sommes fait punir. Avant le match, j'avais pourtant informé les joueurs que Troyes avait été battu, en espérant que ça décuplerait leur motivation, d'autant que nous n'étions plus qu'à  deux points d'eux après avoir compté 13 points de retard. Je me suis trompé. Il faut croire que ça les a plus tétanisés que libérés. Si nous voulons nous en sortir, il faudra montrer plus de coeur et d'envie. C'est incompréhensible. Nous avons raté notre match et j'avoue n'avoir pas encore tout compris au film. Hormis 2 ou 3, les joueurs n'ont pas été à  leur niveau. C'est une bonne leçon. Comme tous nos concurrents ont perdu et comme c'est le statu quo au classement, j'espère qu'elle sera salutaire. Notre marge de manoeuvre se réduit et si nous voulons nous sauver, il va falloir nous retrousser les manches et ne pas nous prendre pour ce que nous ne sommes pas. Car quand nous n'y sommes pas en termes d'état d'esprit, nous sommes immédiatement sanctionnés. » Stéphane Cassard : « C'est très décevant. Nous nous sommes tués tout seuls. Nous savions les Niçois dangereux sur coups de pied arrêtés. Nous avions failli être sanctionnés en première période et nous avons commis les mêmes erreurs en seconde. L'état d'esprit n'était pas bon. C'est rageant de perdre de cette façon-là  et je suis en colère. C'est pour ça que je suis intervenu dans le vestiaire. Nous avions déjà  grillé pas mal de jokers. Ça fait un de plus. Nous nous sommes réveillés quand nous étions dos au mur. Quand j'ai stoppé le penalty, j'y ai cru. Mais par rapport au contenu de notre prestation, revenir à  2-2 aurait tenu du miracle. Il faut tirer la sonnette d'alarme avant qu'il ne soit trop tard. »
L'histoire est en marche ...
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Keating
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Message par Keating »

lequipe a écrit :Strasbourg rate le coche
Le Racing avait l'occasion de sortir de la zone rouge. Il n'a rien fait
pour y parvenir face à  une équipe niçoise efficace.
1-0 : Jarjat (62e)
2-0 : Bagayoko (63e)
2-1 : Johansen (73e)
3-1 : S. Traoré (90e+ 4)

NICE –
de notre envoyé spécial
« J'AI LONGTEMPS hésité à  leur donner le résultat de Troyes battu l'après-midi par Lyon. Et puis je me suis décidé à  leur dire au retour du décrassage. J'ai insisté sur le fait qu'on avait une occasion unique de
sortir de la zone rouge (pour la première fois depuis la 6e journée). Finalement c'était une erreur. Je me suis planté car je crois que ça les a surtout tétanisés. »
En tout cas, Jacky Duguépéroux n'a pas reconnu son équipe hier soir à  Nice. Même s'il a rarement été en réussite cette saison, le Racing a souvent proposé du jeu et s'est toujours battu.Hier, il n'a faitni l'un ni l'autre et il est passé globalement à  coté de son sujet. « Finalement je n'ai pas de regret vu qu'on a cherché ce qui nous est arrivé, reprend l'entraîneur alsacien. On ne méritait pas mieux. On a
souvent fait l'inverse de ce que j'avais demandé et on n'a jamais montré l'envie que notre situation au classement impose. C'est une soirée qui me
laisse perplexe, même si on a la chance que tous nos concurrents directs aient perdu. Demain (cematin) au décrassage je demanderai quelques éclaircissements. » Ça risque donc deronfler sérieusement ce matin à  la Meinau et les coéquipiers de Yves Deroff auront au moins une grosse explication de texte. Car au stade du Ray, ils n'ont jamais été en mesure de mettre à  mal une équipe niçoise qui pour la première fois cette saison a marqué trois buts en Championnat. Pour cela, il lui a fallu attendre la deuxième période d'une rencontre qu'ils ont pratiquement maîtrisée de bout en bout.C'est Jarjat, libre de tout marquage, qui a ouvert le score sur un coup franc de Balmont (62e) et le Gym a tout de suite enfoncé le clou sur une frappe de Bagayoko hors de portée de Cassard (63e). Nice se fait peur Nice déroulaitmais s'est quand même fait quelques frayeurs quand Strasbourg est revenu à  2-1 sur un penalty de Johansen (73e) avant que Traoré rassure tout le monde dans le temps additionnel (90e+ 4) de la tête sur un coup franc d'Ederson. Perfectionniste c'est sur ce petit coup de mou que Frédéric Antonetti a préféré insisté après le coup de sifflet final. « On a eu un petit moment de flottement pendant un bon quart d'heure qui aurait pu nous coûter cher. C'est la preuve qu'on a encore beaucoup de progrès à  faire dans la gestion d'un match. » Mais l'entraîneur du Gym ne boude pas son plaisir pour autant. Car son équipe a encore livré, devant son public, une très bonne partie qui l'installe un peu mieux dans le top dix du classement. « Il y a quand même de quoi être largement satisfait. On a proposé du jeu, on s'est créé des occasions et on a marqué trois buts. C'est une victoire logique et méritée. C'est l'équipe qui la voulait le plus qui a gagné. Nos challenges sont maintenant
très clairs. On veut terminer par une série de victoires ininterrompues à  domicile et aller voir si possible dans les parages de la 6e ou de la 7eme place. » Ceci en Championnat. Parce que le gros défi du Gym cette saison est ailleurs et en particulier dans la finale de la coupe de la Ligue qui l'opposera le 22 avril à  Nancy au stade de France. En tout cas l'équipe d'Antonetti a parfaitement lancé hier un mois d'avril crucial.
JEAN-PIERRE RIVAIS

CASSARD (6) : très peu sollicité avant la pause malgré la domination des Niçois, il a du s'incliner deux fois ensuite mais a stoppé un penalty.
DEROFF (5) : sérieux sur son côté droit il a été présent pour écarter un frappe de Bagayoko (27e). A cherché à  combiner avec Abdessadki placé devant lui. Quelques balles perdues.
BELLAàD (4) : il a beaucoup souffert pour contrer la puissance de Bagayoko et a eu plusieurs relances déficientes.
Remplacé à  la mi temps par HAGGUI (5) plus efficace.
KANTE (6) : confronté à  la puissance de Bagayoko et à  la vivacité de Koné il s'est appliqué et s'en est sorti correctement.
ABOU (5) : du mal à  tenir à  la fois le feu follet Koné tout en gardant une oeil sur les percussions de Balmont. S'est accroché.
HOSNI (4,5) : très peu en vue tout au long de la rencontre, il a régulièrement souffert de la comparaison avec l'entrejeu niçois.
JOHANSEN (5) : une ou deux ouvertures mais trop peu de présence et d'emprise sur le jeu pour aider véritablement son équipe.
ABDESSADKI (4,5) : quelques combinaisons avec Deroff en début de rencontre avant de disparaître peu à  peu et de laisser sa place à  CARLIER.
BOKA (4) : il a semblé un peu perdu dans ce rôle de milieu gauche qu'il tient depuis quelque temps.Une occasion sortie par Lloris.
FARNERUD (5) : des initiatives dans la construction du jeu offensif grâce à  sa technique mais il a décliné et a été suppléé par NEMETH.
DIANE (4) : il a obtenu un penalty qui aurait pu relancer les Strasbourgeois mais c'est à  peu près tout ce qu'il a fait.
Désolé télésupporter, il y a dû y avoir une faute de frappe quand ils ont mis les notes sur le net ;)
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Message par Its_me »

DNA a écrit : Il cède sa place à  CARLIER (71e') qui manque le ballon de l'égalisation.
(...)
Remplacé par NEMETH (69e') qui tente un lob astucieux et joue mal le coup sur une tête, seul face à  Lloris.
Donc si j ecomprends bien on avait encore 3 occasiosn franches qu'on a foiré comme des glands.
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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Keating
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Message par Keating »

Je vois surtout qu'on a attendu comme des cons d'être mené pour commencer à  jouer :evil:

Pour le lob de Nemeth, il n'était pas évident parce qu'il y avait 3gars sur le ligne, mais le ballon passe quand même un bon mètre au dessus ...
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enzy
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Message par enzy »

Les joueurs ne méritent pas que Dugué se flagelle pour eux.

"Les pauvres, il ne fallait pas leur dire que Troyes avait perdu, quelle erreur".

Tu parles, n'importe quoi, c'est des joueurs de foot en passe de se sauver ou une bande de loppettes à  qui on a à  faire :?:

D'un autre coté ,c'est normal qu'il protège ses joueurs à  5 journées de la fin.

Il allait pas dire en conférence de presse:

"Je pensais qu' en leur disant le résultat de Troyes , ça allait les bouster; je pensais avoir une réaction d'hommes et non pas une réaction de fiottes hypersensibles", même si aujourd'hui il doit le penser.
De toute façon, il n'y a pas mort d'hommes
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Message par anonix »

J'ai vu le match a la télé. C'était un match de merde. Après les 2 buts j'avais même plus envie de regarder le "match". J'ai trouvé Kanté et Bellaid très nuls. Je ne comprend pas comment lequipe.fr peut donner 6 à  Bellaid qui n'a pas sa place (je trouve). Trop de mauvaise relance, etc.. Vraiment pas rassurant cette défense. Dailleures ca se voit au score ! Vivement le retour des blessés. Quoique ca pourrait presque être pire. :oops: A ce qui parait, le match qu'à  livré Loué en CFA faisait peur à  voir.
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FM17
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Re: [On refait le match] Nice / Strasbourg : 3 - 1

Message par FM17 »

Pinon a écrit :Bon ben maintenant, vous y croyez toujours :roll:
moi non pourquoi ? vous y avez cru un jour ?
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
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Message par FM17 »

Stan a écrit :Et ce con de Baga qui a encore marqué..
Attends Pagis et Niang dans 3 matchs...
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
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