[05/06] 33ème J: Nice / RCS : 3-1

[FM17]

Une question...c est quoi ttes ces stars qu on nous promettait Hosni, Abou, Farnerud ...je ne parle mm pas de Loue (moitie moins bon que Bassila..) ?
Vous croyez qu en L2 on va se ballader ? je ne crois pas du tout....

[Pinon]

Ah moi je crois beaucoup plus aux chances de maintien en L2 pendant quelques saisons

[Keating]

Bon ben maintenant, vous y croyez toujours

moi non pourquoi ? vous y avez cru un jour ?

Si on s'en sort (OK, ya peu de chance), je me mets ce quote en signature

[argueti]

Le fil ténu de la survie

Après le statu quo de la 33e journée, le Racing, méconnaissable avant-hier à  Nice (1-3), reste en course pour le maintien. Il lui reste cinq rencontres pour accomplir le miracle.

Si Abou et Yacine Abdessadki sont rentrés de Nice avec une béquille qui ne les empêchera pas d'être opérationnels pour la venue de Nantes samedi (20 h) à  la Meinau, ce sont surtout les bleus à  l'âme qui font mal aux Strasbourgeois depuis leur non-match de samedi sur la Côte d'Azur. « Nos pires 90 minutes de la saison, avec le déplacement à  Lille (2-0 le 6 novembre) », reconnaît volontiers un Jacky Duguépéroux qui, à  chaud, avouait « n'avoir rien compris au film. » Même avec 24 heures de recul, l'entraîneur strasbourgeois peine à  cerner le pourquoi et le comment de ce qu'il convient d'appeler une débâcle, même si les Alsaciens eurent le grand bonheur de n'encaisser le premier but qu'après l'heure de jeu. On n'ose imaginer ce qui aurait pu se passer si les Niçois avaient trouvé l'ouverture en première période comme ils en eurent trois ou quatre fois l'occasion.

« Il nous faudra trois victoires »

« Ce non-match est inexplicable », enchaîne l'entraîneur qui, comme il l'avait annoncé la veille, s'est exprimé devant son groupe hier matin avant le décrassage. « Il nous a dit qu'il ne comprenait pas comment nous avions pu jouer ainsi », témoigne le capitaine intérimaire Yves Deroff, « et que pour lui, seuls deux joueurs, Pascal (Johansen) et Cédric (Kanté), avaient évolué à  leur niveau. Quand on perd 3-1 alors qu'on espère au moins un nul, la déception est grande, surtout lorsque la défaite est concédée de cette manière. Nous n'arrivons pas à  comprendre pourquoi nous n'avons été plus percutants. Nous n'avons pas d'explication rationnelle, d'autant que comme d'habitude, nous avions les cartes en main en sachant avant le coup d'envoi que Troyes avait perdu. Nous n'arrivons pas à  nous lâcher. Et nous avons sombré collectivement alors que, ces derniers matches, nous étions en progrès sur ce plan .» Résultat : comme ne le cache pas le capitaine du RCS, « l'ambiance était morose » ce dimanche matin. « Nous avions tous un gros goût d'amertume en bouche », souligne le latéral droit, « J'espère que ça va passer dans la semaine. Depuis quelque temps, le vestiaire était particulièrement enjoué. Là , tout le monde avait la tête dans le sac. Avant la réception de Nantes samedi, ça fait un peu peur. Mais bon, avec la fatigue, c'est souvent comme ça dans les heures qui suivent une défaite. Nous avons six jours pour effacer cette déconvenue. » Le statu quo du week-end devrait aider à  avaler la pilule. Car pour la première fois depuis belle lurette, les quatre derniers ont perdu lors de cette 33e journée. « C'est le côté positif des choses », tente de se réconforter « Dugué », « dans notre malheur, tous les autres se sont inclinés. Les quatre équipes de fin de classement ont le même parcours irrégulier et ça s'annonce indécis jusqu'à  la fin. Comme les autres, nous faisons du surplace. Il ne reste que cinq journées, mais notre espoir est finalement le même qu'avant ce revers à  Nice. Il nous faudra trois victoires pour nous en sortir. Sochaux, qui s'est mis à  l'abri contre Ajaccio, aura moins de pression quand nous irons là -bas. Mais soyons clairs : ce sera compliqué, notamment parce que sur nos cinq dernières rencontres, nous devons disputer deux derbies. » Yves Deroff veut lui aussi voir dans cette déconfiture simultanée de la bande des quatre un signe du destin. « C'est un truc de fou de se dire que nous pouvons toujours nous sauver alors que nous n'avons remporté que 5 matches sur 33, non ? Ce samedi, nous recevons des Nantais qui viennent d'en prendre trois à  la maison contre Marseille (1-3). Souvent cette saison, nous avons su rebondir après une grosse désillusion. Ce sursaut doit avoir lieu face aux Canaris. Ensuite, il faudra enchaîner à  Sochaux, où nous pouvons aller chercher quelque chose, puis contre Nancy que nous avons battu à  l'aller chez lui. Je suis convaincu que si nous négocions bien ces trois matches, nous pouvons pratiquement assurer notre avenir avant nos deux déplacements finaux à  Marseille, puis Auxerre. » Connaissant le programme des rivaux des Bleus (voir ci-dessous), cette trilogie, fût-elle glorieuse, ne suffirait pas à  mettre définitivement le Racing à  l'abri. Mais elle le rapprocherait de la terre promise. Pour lui, la réalité du dernier mois et demi de compétition doit dépasser l'affliction d'avant-hier.

Abdessadki suspendu

Averti avant-hier pour la 3e fois en moins de dix journées, le milieu de terrain droit du Racing, Yacine Abdessadki, sera suspendu le 15 avril pour le derby à  Bonal contre Sochaux. Nice retrouve l'efficacité. Les trois buts encaissés par le RCS avant-hier au stade du Ray coïncident avec le réveil offensif d'un « Gym » à  la peine depuis quelque temps. Les partenaires des deux anciens Strasbourgeois Olivier Echouafni (dont la tête en première période a fini sur le poteau) et Mamadou Bagayoko (auteur d'un joli second but) n'avaient fait trembler les filets qu'une seule fois lors des cinq dernières rencontres. Jamais, du reste, ils n'avaient marqué trois buts en L 1 cette saison. Une défense gruyère. Jacky Duguépéroux le disait en milieu de semaine dernière : « On a longtemps stigmatisé les lacunes de notre compartiment offensif, mais on a o ublié combien notre défense était perméable. Depuis quelque temps, à  de rares exceptions près, nous encaissons deux buts par match. » La moyenne a encore grimpé samedi sur la Côte d'Azur. Avec 45 buts déjà  concédés, le RCS possède déjà  une arrière-garde plus poreuse que sur toute la saison passée (43). Le tout à  cinq journées de la fin, dont trois déplacements. Bagayoko, son but annuel face au RCS. Depuis son départ de Strasbourg à  l'été 2003, après quatre années mouvementées en Alsace (notamment une mise à  l'écart de quatre mois sous l'ère Ivan Hasek), Mamadou Bagayoko ne perd jamais une occasion de se rappeler au bon souvenir de son ancien club. En trois saisons, il a ainsi inscrit trois buts contre le Racing, sous trois maillot différents. Avant samedi, il avait toujours frappé à  la Meinau : le 13 septembre 2003, il y avait inscrit le premier but de l'AC Ajaccio, mais n'avait pu empêcher la défaite des Corses (3-2) ; puis le 2 octobre 2004, il avait ouvert la voie du succès nantais en Alsace (2-0), précipitant involontairement l'éviction d'Antoine Kombouaré. Muet cette saison à  l'aller dans l'enceinte strasbourgeoise (0-0), le Malien avait dans un grand sourire annoncé la couleur samedi soir avant le coup d'envoi. « C'est vrai que jusqu'ici, j'ai toujours marqué contre Strasbourg à  la Meinau, mais ça va changer. » Il a tenu parole en assommant les Bleus à  la 63e minute, sur un tir hors de portée de Cassard décoché moins de 45 secondes après le premier but de Jarjat. « Si ça me motive de marquer contre Strasbourg ? Oui, quand même. Franchement, cette victoire fait du bien au groupe, à  moi aussi. Nous préparons bien notre finale de Coupe de la Ligue contre Nancy (le 22 avril au Stade de France). Le Racing n'était pas dans un grand soir, mais c'est aussi parce que nous lui avons posé des problèmes. » Auteur de 8 buts en 2003-2004 avec Ajaccio et de 7 avec le FC Nantes en 2004-2005, l'ex-Racingman en est aujourd'hui à  5, mais ignore de quoi sera fait son avenir. « Je suis prêté à  Nice cette saison, mais sous contrat jusqu'en 2008 avec Nantes où je n 'ai pas envie de retourner. Le Gym a une option d'achat. Je ne sais pas s'il va la lever. Dans le cas contraire, pourquoi pas une expérience à  l'étranger ? » Des retours dès demain. Pontus Farnerud (bronchite), Gnoleba-Edgard Loue (béquille), Sidi Yaya Keita (ligaments croisés) et Salim Arrache (cuisse) reprendront l'entraînement demain matin avec le groupe strasbourgeois. Seuls Jean-Christophe Devaux (mollet) et Ulrich Le Pen (qui passera une IRM aujourd'hui pour juger de l'état de son mollet blessé) devront patienter. Haikel Gmamdia, opéré de l'épaule voici quelques semaines, revoit le chirurgien ce lundi. Ce dernier pourrait lui donner le feu vert.

[Seb T.]

Une question...c est quoi ttes ces stars qu on nous promettait Hosni, Abou, Farnerud ...je ne parle mm pas de Loue (moitie moins bon que Bassila..) ?
Vous croyez qu en L2 on va se ballader ? je ne crois pas du tout....

Abou a fait de bons matches jusqu'à  celui de Nice, Loué est bien meilleur que Bassila...

C'est quasi toute l'équipe qui a flanché à  Nice...

[Kriskool]

Je crois que Loué commence a pécher par excès de facilité...

[télésupporteur]

je viens de revoir la 1e mi-temps de ce match, et surtout la prestation de bellaid
ce joueur n'a jamais été débordé par un attaquant niçois
on peut certes lui reprocher sa mauvaise relance de la 23e mn
mais de là  à  le sortir
combien d'occasions niçoises lors de cette mi-temps
donc je confirme coaching aberrant de JD à  la mi-remps
on connait la suite

[D520]

je ne suis toujours pas d'accord avec toi ....

JD remplace un jeune "Bellaid" qu'il sent en difficulté face à  la vitesse de Koné par le titulaire du poste (que toute l'europe veut nous acheter ,voir le topic sur Haggui): décision logique

et là  , c'est la "star" Haggui qui merde !!!!

pour moi le coatching est logique .
JD n'a pas de boule de cristal et ne pouvait imaginer que Haggui serait comme toute l'équipe hors du coup !!!!