[05/06] 28ème J: RCS / Troyes : 2-0

[argueti]

AUXXXXXXXX ARMESSSSSSSSSSSSSSSSSS

[Psychogene]

Bah c'est surtout que d'habitude ils ferment pas aussi tôt, je vais souvent vite fait me chercher une conso en 2ième mi-temps style quand un joueur se fait soigner, comme çà  y'a pas de queue. Et puis là  rideaux descendus alors qu'on se les pellait et qu'un p'tit vin chaud (de + ) aurait fait du bien.

[argueti]

Le Racing quatre à  quatre

Grâce à  sa victoire sur Troyes (2-0) hier à  la Meinau qui lui permet d'enchaîner pour la première fois quatre matches sans défaite en L1, le RCS ne pointe plus qu'à  quatre points des Aubois.

Jacky Duguépéroux pourrait afficher un sourire large jusqu'aux oreilles. Mais lorsqu'il se présente hier vers 20 h 15 dans l'espace presse de la Meinau, l'entraîneur strasbourgeois n'a pas le coeur à  rire. Certes, son équipe vient de battre son concurrent direct, Troyes (2-0). Certes, depuis le 11 janvier, elle a réduit son retard sur l'ESTAC, premier non-relégable, de 9 points. Elle pointait à  13 longueurs des Aubois le 11 janvier. Elle n'en a plus que quatre de retard ce matin. Mais « Dugué » n'est pas d'humeur joyeuse en ce glacial dimanche soir. Car si les Bleus ont signé leur 4e succès 2005-2006, le second consécutif (une première), et aligné ainsi une 6e rencontre sans défaite (toutes compétitions confondues), ils ont aussi perdu pour six mois leur feu follet offensif, Kevin Gameiro, victime d'une rupture des ligaments croisés du genou gauche (voir encadré). L'entraîneur strasbourgeois est furax. « C'est inadmissible et lamentable. Le joueur qui a agressé Kevin (Ndlr : Blaise Kouassi) est un méchant et n'a pas cessé de donner des coups et provoquer nos attaquants, mais il a été blanchi par l'arbitre. Sur la faute, il n'y a eu ni carton jaune, ni même coup franc. Nous allons devoir digérer ce nouveau coup dur.»

Furlan : « Ça ne change pas grand-chose »

La colère passée, Jacky Duguépéroux reverra sans doute à  froid des images moins accablantes pour Kouassi que ses propos. Il n'en ruminera pas moins sa frustration. « Cette saison restera noire jusqu'au bout. C'est la pire que j'aie connue. J'avais dit après le succès à  Toulouse que la lueur d'espoir n'était pas éteinte. Elle est un peu plus grande ce soir (hier). Nous faisons une bonne opération, mais nous comptons toujours quatre points de retard et rien n'est acquis. Nous ne méritons pas notre position au classement. » Une position un peu moins fragile qu'hier matin. Les Bleus, qui n'ont encaissé qu'un but lors de leurs quatre dernières sorties officielles, ont grappillé une place (18e) et mènent désormais la chasse derrière une ESTAC qui, à  l'image de son entraîneur Jean-Marc Furlan, s'efforce de garder une contenance. « La victoire alsacienne est méritée, surtout sur la première mi-temps. Notre seconde période a été meilleure. Nous avons tenté de revenir au score parce que 1-0 ou 2-0, pour nous, ça ne changeait rien. Mais nous avons manqué de percussion. Ce succès de Strasbourg relance l'intérêt du championnat. Mais par rapport à  notre projet, notre combat pour le maintien, ça ne change pas grand-chose. Fin juillet, tout le monde nous avait affublés du dossard n°20. Aujourd'hui, certains disent que nous n'avons plus que quatre points d'avance. Je préfère dire que nous en avons encore quatre et que ça reste beaucoup. » Que Troyes soit conscient du danger ou non, Strasbourg n'en a cure. Son objectif : poursuivre sur sa lancée. « Depuis notre succès à  Nancy le 10 décembre (2-1), nous avons toujours été bien, hormis contre Lyon (0-4), même si nous n'avons pas toujours été récompensés, comme à  Bordeaux et à  Lens », martèle Duguépéroux, «Maintenant, nous allons nous efforcer de bien récupérer (Ndlr : le RCS est au repos ce lundi) pour préparer notre déplacement à  Rennes qui vient de marquer 8 buts en deux matches et chez qui nous en avions pris 4 la saison passée. » Forts de leur second succès de la saison dans une Meinau (re)conquise, les Bleus, qui ont rallumé la flamme de toute une région, peuvent prétendre stopper l'embellie rennaise.

La victoire en déchantant

Les Bleus ont remporté un succès amplement mérité hier soir contre Troyes, mais terni par la grave blessure de leur petite merveille Kevin Gameiro.

Il n'a pas hésité une seconde. D'une course rectiligne, Yacine Abdessadki est allé se jeter direct dans les bras de Jacky Duguépéroux. On jouait la 88e et l'infatigable milieu relayeur du Racing venait, enfin, de délivrer les Bleus sur un service d'Alexander Farnerud. Le RCS, qui avait ouvert le score par Amara Diané dès la 13e, avait tremblé – et pas seulement de froid – jusqu'à  cette fameuse 88e minute. Jusqu'à  ce que « Abde » assure le quatrième succès strasbourgeois de la saison. Le second d'affilée. Ce galop échevelé de l'international marocain vers un coach qui n'avait guère apprécié les conditions de son départ en juin et n'était, initialement, pas forcément très chaud pour son retour en janvier, est, assurément, le symbole de l'union sacrée décrétée dans les rangs strasbourgeois alors qu'une lutte sans merci est engagée pour le maintien en L 1. Ces Bleus ont l'âme et ça se voit. Depuis six matches (toutes compétitions confondues), ils n'ont plus perdu. Mais comme – trop – souvent depuis le coup d'envoi 2005-2006 fin juillet, ils se sont fait peur dans une partie qu'ils ont pourtant dominée de la tête et des épaules. « Nous n'avons mis que deux buts alors que nous nous sommes procuré des tonnes d'occases », ne peut que constater Amara Diané, auteur de son 7e but officiel (le 5e en L 1). « Mais l'essentiel, c'est la victoire. Aujourd'hui, nous sommes à  quatre points de Troyes. Nous avons faim et très envie de progresser. » Longtemps donc, Guillaume Lacour et les autres sont restés sous la menace de Troyens qui, en fin de partie, ont tenté le tout pour le tout. Jean-Marc Furlan a même lancé quatre attaquants. Sans résultat. En tout et pour tout, Nicolas Puydebois n'aura été sollicité que trois fois : sur un tir de Nivet à  la trajectoire flottante dès la 2e, sur un déboulé de l'ancien Racingman Gharib Amzine bien lancé en profondeur par Dallet (47e) et sur une ultime tentative de Bangoura dans les arrêts de jeu (90e + 1). Par trois fois, le gardien bas-rhinois aura été incapable.

Neuf occasions nettes plus deux buts

La liste des occasions strasbourgeoises, toutes plus nettes les unes que les autres ? Elle est une nouvelle fois longue comme un jour sans pain. Le Crom se chargea d'en annihiler quelques-unes, boxant un coup franc de Le Pen (4e), détournant une frappe d'Abou sur sa transversale (10e), puis, d'une phalange, une mine de Gameiro juste au-dessus de sa latte (34e), avant d'effleurer juste ce qu'il fallait un tir croisé de Diané qui arrivait seul devant lui (37e). Sur le coup, Gameiro fut un poil trop court. On peut ajouter sans exagération ces deux coups de tête rageurs, mais non cadrés de Haggui (30e et 33e), cet autre de Diané au-dessus (25e), ce tacle de Gameiro trop enlevé sur un caviar de Le Pen (38e) ou ce retour in extremis de Boucansaud dans les pieds de l'intenable lutin bas-rhinois (32e). Bref, sans l'ouverture du score signée Diané à  la 13e (un superbe tir du gauche sous la barre, après un dribble sur Boucansaud facilité par l'écran de Gameiro), le Racing aurait pu regagner les vestiaires avec une énorme frustration. Il n'en fut rien. Et si la suite de sa production fut moins convaincante, le club strasbourgeois parvint non seulement à  juguler le sursaut aubois, mais – on l'a vu – à  se mettre hors de portée à  la 88e. Pour un succès logique et revigorant, mais terni par la grave blessure de Gameiro. Quatre points à  reprendre à  l'ESTAC en dix matches : tel est le défi proposé au RCS. Ce n'est pas gagné. Mais ce n'est sûrement plus perdu, comme beaucoup le redoutaient après le nul concédé contre Ajaccio il y a quinze jours à  peine.

Gameiro : rupture des croisés

Jacky Duguépéroux a beau ne pas décolérer, la faute imputable à  Blaise Kouassi sur la grave blessure de Kevin Gameiro juste après l'heure de jeu n'est pas aussi méchante que le coach strasbourgeois le laissait entendre hier soir à  chaud. Les images télé montrent certes une charge du défenseur aubois sur l'attaquant de poche du RCS, mais ce dernier semble se blesser en retombant mal sur la pelouse. Sa jambe gauche se plante malencontreusement dans le terrain. L'effet et, malheureusement pour le « gamin », comme le qualifie affectueusement « Dugué », le diagnostic sont sans appel : rupture des ligaments croisés du genou gauche. Le docteur Christian Lutz, qui travaille avec le professeur Jean-Henri Jaeger, a ausculté sur place le jeune (18 ans) attaquant. Un premier examen qui ne laisse guère place au doute. « Il y a 95 % de chances que la rupture soit confirmée », précise Nagib Remita, le kiné du club. « Kevin verra le professeur Jaeger ce lundi à  10 h 30 et sera opéré dans la foulée. » Après Sidi Yaya Keita, blessé à  Ajaccio le 21 septembre et qui recommence seulement à  travailler avec le ballon, Gameiro est le second Strasbourgeois victime d'une rupture des croisés cette saison.

Bà¶là¶ni : « 200 % mérité »

Laszlo Bà¶là¶ni, l'entraîneur de Rennes où se rendra le Racing ce samedi (20 h), était présent hier soir dans les tribunes de la Meinau pour superviser son prochain adversaire. Après une passe très difficile de cinq défaites consécutives, le Stade rennais vient de redresser la tête de façon très spectaculaire en inscrivant 8 buts lors de ses deux dernières rencontres. Les Bretons ont d'abord passé un cinglant 4-1 à  Lens au stade de la Route de Lorient, avant d'aller s'imposer sur le même score samedi, à  la surprise générale, dans l'antre du quadruple et futur quintuple champion de France Lyon. Transfuge de Lens cet été, le Nigérian John Utaka, qui n'avait inscrit que trois buts en L 1 cette saison, a multiplié son total par trois en réussissant deux triplés consécutifs contre son ancien club et à  Gerland. Hier, le technicien roumain du Stade rennais a observé sans surprise une fringante équipe strasbourgeoise. « Le Racing a remporté une victoire à  200 % méritée sur laquelle le doute n'a plané que parce que le 2e but n'est tombé que très tard, malgré toutes les occasions qu'il s'est offertes. Dans un cas comme celui-là , on n'est jamais à  l'abri. Nous serons évidemment méfiants samedi, mais je n'ai pas eu besoin d'attendre de voir Strasbourg – Troyes pour l'être. Je sais que Strasbourg n'est pas à  sa place en Ligue 1. Ce succès confirme tous les renseignements que j'ai pu recueillir ici et là  sur cette équipe. » Ettorre, le retour. L'ancien entraîneur des gardiens du RCS, Michel Ettorre (de janvier 1997 à  mai 2001), avait lui aussi fait le court déplacement depuis Metz pour assister à  ce Racing — ESTAC. Le fidèle adjoint de Joël Muller en Lorraine était pourtant rentré tard dans la nuit après le prolifique match nul du club messin à  Bordeaux samedi soir (3-2). Les partenaires de Grégory Proment menaient même 3-2 au stade Chaban-Delmas. « Quand je nous vois capables de poser autant de problèmes au dauphin de Lyon, à  la meilleure défense du championnat, je me dis qu'il n'est pas possible que nous soyons lanterne rouge. Et pourtant… Mais je sais, pour regarder la plupart de leurs matches, que les Strasbourgeois n'ont rien à  faire non plus en bas de tableau. Pour nous, le moment de vérité approche. Nous recevons Monaco samedi, puis Nancy le mardi suivant en match en retard. Après ces deux rendez-vous à  domicile, nous saurons si nous avons encore une chance de rester en Ligue 1. »

Belle soirée, sale soirée

Pour la première fois cette saison, le Racing a gagné deux matches de suite en Ligue 1. Le voilà  18e, à  4 points de Troyes, sa dernière victime. Tout espoir de maintien n'est pas perdu. Mais il faudra finir la saison sans Gameiro, victime d'une rupture des ligaments croisés du genou gauche.

« C'est un coup dur à  encaisser. Kevin était devenu notre attaquant. Il nous amenait de la vitesse et de la profondeur, et le voilà  gravement blessé par un joueur viril, et même méchant. Faut-il vraiment en arriver là  pour garder sa place en Ligue 1 ? C'est inadmissible, lamentable. Et dire que l'arbitre n'a même pas sifflé coup franc ! Ça me gâche la soirée. » Jacky Duguépéroux est furieux. Pour un peu, il en oublierait la victoire, nette et sans bavure, décrochée par son équipe aux dépens d'une pauvre formation troyenne.
Le Racing va donc devoir finir la saison sans sa révélation de l'hiver, le jeune Gameiro (18 ans). Très remuant et souvent dangereux pendant une heure, il a quitté le terrain sur une civière à  la 63e minute, hurlant sa douleur. Blaise Kouassi, dont on conviendra qu'il n'a rien d'un poète, venait de lui disputer un ballon de manière engagée. Sans plus. Depuis les tribunes, cette action n'eut l'air de rien. Ses conséquences furent pourtant des plus graves, puisque fut immédiatement diagnostiqué une rupture des ligaments croisés du genou gauche. Une des plus vilaines blessures qui soit pour un sportif. Saison terminée.
« C'est décidément une saison noire. La plus noire de toute ma carrière, se lamente Duguépéroux. Mais nous allons nous accrocher, parce qu'il n'y a rien d'autre à  faire. Il va falloir être vraiment costauds. »

« On s'est créé un nombre d'occasions incroyable »

Ces Strasbourgeois ont décidément de la ressource. C'était unanimement admis : en cas de défaite face à  Troyes, la cause serait entendue, et adieu la Ligue 1. La pression était donc énorme. Ils l'ont finalement bien supportée. Mieux, ils ont puisé dans ce terrible enjeu une force, une énergie peu commune grâce à  laquelle ils ont réussi une première mi-temps de très haute volée.
« C'est vrai qu'on s'est créé un nombre d'occasions incroyable. Ces 45 premières minutes ont été très bonnes, vraiment. Nous maîtrisions complètement le match », se réjouit Duguépéroux, rassuré après la prestation bien mièvre de ses ouailles jeudi contre Lovech. « Les joueurs ne m'avaient pas menti : ils avaient bel et bien géré leurs efforts. » Pour mieux prendre à  la gorge des Aubois qui ne s'attendaient pas à  souffrir autant à  la Meinau.
« C'est vrai que Strasbourg a réussi une première mi-temps de grande qualité. De façon intrinsèque, cette équipe n'est évidemment pas à  sa place au classement », servait Jean-Marc Furlan. Un discours maintes fois entendu cette saison.

Le Racing a largement les moyens de reprendre quatre points à  l'ESTAC en dix journées

L'entraîneur troyen, même s'il affiche une décontraction assez déroutante dans le contexte actuel (« Quatre points d'avance, c'est encore beaucoup, et nous sommes maîtres de notre destin... »), est sûrement reparti de Strasbourg avec de sérieux doutes, et même un peu d'anxiété.
Car sur ce qu'il a été donné de voir hier à  la Meinau, le Racing a largement les moyens de reprendre quatre points à  l'ESTAC en dix journées. Très largement, même. « La lueur d'espoir est un petit peu plus grande aujourd'hui qu'hier », nuance Duguépéroux. Il va falloir faire encore beaucoup d'efforts, et démontrer une grande force mentale. » Et ce dès samedi prochain en Bretagne, face à  un Stade Rennais en pleine bourre qui vient de s'imposer 4-1 à  Lyon ! « Le problème, c'est que si nous perdons à  Rennes pendant que Troyes bat Auxerre, ça annule tout », prévient « Dugué ». Et si c'était l'inverse ?

Abdessadki pour l'ensemble de son oeuvre

Exact au rendez-vous, le Racing a littéralement surclassé Troyes en première période, manquant le K.-O. à  plusieurs reprises. Toute heureuse de n'accuser qu'une longueur de retard à  la pause, l'ESTAC a retrouvé quelques couleurs par après, le Racing payant sur la fin sa débauche d'énergie, avant d'inscrire un 2e but sur contre-attaque en toute fin de match, par Abdessadki.

PUYDEBOIS (). - Très peu de travail. Un premier arrêt mal maîtrisé. Tout le reste fut propre et efficace.
LACOUR (). - Peu mis à  contribution par l'attaque troyenne, le capitaine a su se rendre disponible, cherchant toujours à  produire du jeu.
HAGGUI (). - Dominateur dans les airs, il aura multiplié les interventions. Beaucoup d'engagement, aucune erreur. Bref, du bon Haggui.
KANTE (). - Serein et rassurant, le patron de la défense strasbourgeoise ne s'est jamais retrouvé en difficulté. Du travail de pro.
ABOU (). - Auteur d'une très bonne première mi-temps, le jeune Egyptien mérite assurément ses galons de titulaire. Pas toujours irréprochable sur un strict plan défensif, il possède en revanche un gros volume de jeu.
LOUE (). - Un peu fébrile en début de rencontre (le temps de trouver ses marques) mais globalement très efficace, il a fait parler sa puissance dans son registre habituel.
ABDESSADKI (). - Excellent, infatigable, il n'a cessé de se battre, ne lâchant jamais rien. Son engagement a été récompensé par le but du 2-0.
P. FARNERUD (). - Il a touché beaucoup de ballons, pour les bonifier la plupart du temps, et n'a par ailleurs jamais renâclé à  la tâche. Si on a parfois pu reprocher naguère à  l'aîné des Farnerud une activité insuffisante, voire une certaine discrétion, il n'en est plus rien aujourd'hui.
LE PEN (). - Lui aussi a touché beaucoup de ballons et tout fait pour accélérer le jeu. Ne s'est jamais démonté malgré les nombreuses fautes dont il a été victime. Remplacé par BOKA (87e').
DIANE (). - Assurément le joueur le plus dangereux du Racing, dans tous les bons coups ou presque. Et maintenant, en plus, il marque. Un but splendide (son 7e de la saison, le 5e en L1), qui a eu le mérite de débloquer la situation.
GAMEIRO (). - Disponible, percutant, il a remué comme un beau diable pendant une heure, avant de s'effondrer. Le corps médical a diagnostiqué à  chaud une rupture des ligaments croisés du genou gauche. Le joueur consultera aujourd'hui le professeur Jaeger pour confirmation du diagnostic. Remplacé par A. FARNERUD (65e'), très décevant, au point d'être pris en grippe par le public strasbourgeois.

[Keating]

Par trois fois, le gardien bas-rhinois aura été incapable.

Ya comme une erreur dans le choix du mot

[NéRiK]

Félicitations au 20000 qui sont venus ce soir pour soutenir l'équipe, malgré le froid. Meme si il a fallut 30 minutes pour les gens se decongelent

C'est clair qu'il faisait bien froid, j'avais les pieds gelés. Dans le kop il y avait le Capo torse nu.

[Gotcha]

Tres faible équipe de troyes, mais le Racing a fait son match, notamment une excellente premiere mi-temps.

Diané et gameiro, on remarque une certaine complicité, les 2 se trouvent dans les intervales et ca créé du jeu ....

Toute l'équipe a fait un match vraiment bon, excepté Alex qui ne doit clairement pas évoluer en pointe .... il se fait copieusement siffler (apres bassila, et Pagis, .... où s'arrêtera ce public de merde ? ), mais faut dire que c'est pas totalement démérité, il a abusé de toute notre patience celui-là .
Je l'aurai mis dans le flop s'il n'avait pas fait de passe décisive, mais du coup je m'abstiendrai.

Mon top :
Gameiro : quelle tristesse sa blessure .... je crois qu'elle nous sera fatale, à  moins que Nemeth se dévoile enfin
Abdé : Tres bon match
Loué : pour sa présence, son envie, et sa vision du jeu ... certes il fait des boulettes, mais il est tellement précieux dans la récupération !!!

J'aurai bien mis Abou, mais il a alterné le très très bon avec le très mauvais (comme en tout début de 2nde mi temps, en ne s'alignant pas avec la défense, un attaquant troyen part seul en face à  face avec puydebois). Mais le mauvais, c'était surtout au niveau de son placement défensif.

Lacour n'était pas transcendant, mais il fait un match correct, sans grosses erreurs, et présent au marquage (vraiment, c'est le jour et la nuit avec Deroff)

Depuis que deroff et Alex ne jouent plus, on retrouve de la cohésion dans cette équipe....

Un ptit mot sur l'attaquant troyen Sebastien Dallet (le chauve, n°4), entré au bout de 30 minutes de jeu, que j'ai trouvé excellent. Exactement le genre de joueurs qu'il nous faudrait pour la L2, habitué par la L2, un vrai guerrier, qui joue vite, dans les intervales, et n'hésite pas à  aller au charbon.

[anonix]

Un ptit mot sur l'attaquant troyen Sebastien Dallet (le chauve, n°4), entré au bout de 30 minutes de jeu, que j'ai trouvé excellent. Exactement le genre de joueurs qu'il nous faudrait pour la L2, habitué par la L2, un vrai guerrier, qui joue vite, dans les intervales, et n'hésite pas à  aller au charbon.

L2 ?? c'est quoi ca ? Ah oui c'est le bouton derrière la manette de playstation
Trêve de connerie, je ne vois pas pourquoi ce joueur qui évolue en L1 serait interessé par la L2.
Et de toute facon on restera en L1

[Gotcha]

ben il arrive souvent que des joueurs qui sont sur des bancs de L1 soient intéressés pour aller dans un club de L2 qui ambitionne la remontée. Comme Fauré l'an dernier par exemple, qui est allé à  Istres...

[vincenzo2004]

tres bon match du racing...

par contre j'ai peur azvec la blessure de gameiro qu'on perde beaucoup, en effet a part nemeth on a rien ...

je pense que la reaction du public est tout a fait logique envers alexander farnerud compte-tenu ce qu'il montre sur un terrain par rapport a gameiro ou a un loué ou a un abou farrag...

qu'il se bouge un peu, qu'il provoque comme un gameiro ou a un diané, je pense que tout le monde peut faire ca...

maintenant il est evident qu'il n'apporte rien devant mais je saurais pas ou le mettre??

je ne pense pas qu'il faut traiter le public de je ne sais quoi quand on voit que pres de 75% du stade etait plein pour un match entre le 18eme et le 17eme et de plus avec ce froid...je dis stoppe

[enzy]

Choqué par les sifflements d'une partie du public lors de l'entrée d'Alex.
Cest exactement ce qu'il faut faire pour enfoncer encore plus un joueur qui doute.

C'est pas nouveau, la connerie d'une partie du public alsacien n'est pas une légende.

Finalement si on descend, on aura une équipe du niveau de son public.

Le pire dans tout ça , c'est que ceux qui sifflent n'ont jamais joué au foot