[05/06] 16ème CDF : Lyon la Duchère / RCS : 0-0 (5-4 tab)

[NéRiK]

Lol décidement quelle année de merde.

[enzy]

Finalement, c'est un bon résultat pour le raçing.

En y regardant de plus près, il n' y avait qu'une division d'écart ce soir entre une équipe du niveau du national et une autre bientôt en L2.

Avec l'avantage du terrain pour Lyon et les blessés du coté du raçing, c'est une perf d'être arrivé aux pénos.

D'autres équipes à  notre place auraient perdus dans le temps reglementaire.

Donc félicitations aux joueurs et à  l'ensemble du staff pour cette soirée de rêve.

Allez Colmar

[NéRiK]

Lol, il y a du vrai dans tes propos.

[Bou]

on a quand meme marque 4 buts !

[Tormentor2]

Une CFA qui élimine une Ligue 1 ...

Fais attention, ton doigt a rippé ! C'est L 2 !!

[argueti]

Lyon-La Duchère, qui lutte pour le maintien en CFA, s'est offert une belle bouffée d'oxygène en se qualifiant pour les huitièmes de finale en éliminant Strasbourg, (5 tirs au but à  4) après avoir tenu le nul à  l'issue de la prolongation (0-0). Le portier alsacien, Nicolas Puydebois (formé à ... Lyon), n'a eu aucun arrêt à  faire pendant toute la rencontre, pas plus que durant la séance de tirs au but au cours de laquelle les joueurs d'Alain Moizan ont réalisé un sans faute. C'est finalement Ulrich Le Pen qui a manqué le sien. Face à  un Racing diminué par l'absence de nombreux titulaires, dont le forfait de dernière minute de Pascal Johansen, victime d'une tendinite à  un pied, les Lyonnais sont restés bien organisés, formant un bloc homogène. Pour le Racing, cette désillusion s'ajoute à  un maintien en L1 qui s'annonce aléatoire et à  des éliminations peu glorieuses concédées dans un passé plus ou moins récents face à  des clubs de divisions inférieures telles Epinal, Bourg-Péronnas ou Noisy-le-sec.

Tout est pourri au Racing cette année ...

Le Racing tombe dans le piège

L'aventure en coupe de France s'est arrêtée ce mardi soir, à  Lyon-Duchère, face à  une équipe de CFA. Dominateurs et malgré de grosses occasions tout au long de la rencontre, les hommes de Jacky Duguépéroux se sont fait éliminer après la séance des tirs au but (5-4). Une désillusion de plus.

Le Racing avait tout pour accéder aux huitièmes de finale de la coupe de France. Passer ces seizièmes tranquillement et engranger, au passage, un peu de confiance aussi. Il avait tout pour poursuivre une aventure qui se révèle toujours sympa dans cette compétition.
Finalement, il se fait sortir par une formation de Lyon-Duchère dont le quotidien est le championnat de CFA. Et qui se retrouve toute heureuse de franchir, pour la première fois de son histoire, le cap des seizièmes de finale. Après Toulouse, sorti au tour précédent (2-1), c'est Strasbourg qui est tombé dans le piège. Le Stade de Balmont doit peut-être effrayer les formations de L1.

Le charme de la Coupe

Le Racing avait tout pour se qualifier, ce mardi soir. Malgré les quatorze absents, Pascal Johansen s'étant ajouté, juste avant le coup d'envoi, à  la liste des manquants. Au nombre d'occasions, le club strasbourgeois n'aurait jamais dû se faire sortir. Une dizaine d'opportunités franches, dont deux barres transversales en seconde période, contre quelques incursions timides de la part des Lyonnais.
C'est donc après la séance des tirs au but, après cette loterie, que les Alsaciens sont éliminés. Alors que les cinq joueurs de Lyon-Duchère inscrivaient leur essai, Ulrich Le Pen était le seul à  manquer le sien, côté Racing. Une élimination peut-être imméritée mais comme la coupe de France en réserve souvent. C'est aussi ça le charme de la Coupe...
Après avoir brillamment sorti Nancy (4-0) en 32es de finale, le Racing quitte la compétition face à  une équipe évoluant trois niveaux en-dessous. Et avec pas mal de regrets, forcément, au vu des occasions en sa faveur. Mais cette saison est marquée par les occasions manquées, alors...

Jean-Christophe Devaux (Capitaine RC Strasbourg): « Nous avons eu les occasions pour gagner. Mais nous avons grillé nos jokers. Lyon-Duchère a eu moins d'opportunités. A chaque fois, il y avait un joueur pour sortir le ballon. Ca veut dire qu'ils en voulaient plus que nous. Après, les tirs au but, c'est comme ça. Ils ont tout marqué et le résultat c'est que nous sommes éliminés. Il faut se reconcentrer pour le championnat, c'est ce qui reste le plus important. »

Nicolas Puydebois: « C'est un cas de figure fréquent en coupe de France. C'est ce qui fait le charme de cette compétition. Nous avons eu beaucoup d'occasions mais nous n'avons pas marqué. Nous n'avons pas pris de but mais nous n'en avons pas marqué non plus. Nous sommes déçus. Pendant les prolongations, j'espérais que les gars marqueraient. Lyon a bien défendu et il y avait toujours quelqu'un pour sortir le gardien, en plus d'un bon gardien. Nous ne pouvons nous en prendre qu'à  nous-mêmes. Nous aurions pu faire plus. SI nous avions été à  notre niveau, normalement il n'y aurait pas eu photo. »

Rudy Carlier: « J'ai eu des occasions mais je n'ai pas marqué. Cette élimination me laisse donc un goût amer. Pourtant, nous avons essayé de rester calmes pendant tout le match. Nous pensions que ça rentrerait à  un moment. Personnellement, c'est un coup dur car je pensais vraiment que j'allais marquer. Je me sentais bien et je suis encore plus déçu. L'équipe a pris une claque derrière la tête mais il faut se remettre en question et réagir rapidement. »

Yacine Abdessadki: « Pour moi, commencer par une défaite, ce n'est pas réjouissant. Nous avons pêché par manque de réussite. Il faut apprendre à  tuer les matches car nous avons eu beaucoup d'occasions. Si Lyon-Duchère passe c'est qu'ils le méritaient. Nous n'avons certainement pas mis tout en oeuvre pour nous qualifier. C'est toujours humiliant de perdre contre une équipe de niveau inférieur. Mais il ne faut pas s'apitoyer sur notre sort et relever la tête. Un match important nous attend samedi à  Lens. »

Math Sup ?

Heureux de ne pas avoir prit de but contre une CFA ... laissez moi rigoler c'est nerveux.

[argueti]

Le scénario d'une série noire

Le Racing, pourtant nettement dominateur, s'est fait sortir aux tirs au but hier à  Lyon – La Duchère (0-0, 4-5), club de CFA qui rejoint les rangs fournis de ses modestes tombeurs en Coupe de France.

On l'a senti venir pendant deux heures. Et la sanction est tombée comme une évidence. Au bout d'un scénario auquel on a l'impression d'avoir déjà  assisté cent fois, l'équipe de Jacky Duguépéroux a disparu de la Coupe de France dès les 16e s de finale face à  un adversaire classé trois échelons plus bas dans la hiérarchie. Lyon-Duchère, qui avait accroché à  son tableau de chasse Croix-de-Savoie (National), puis Toulouse (L 1) aux deux tours précédents, s'est offert le scalp d'un RCS qui peut, une fois encore dans cette saison pourrie, regretter son inefficacité. On l'avait dit, écrit et répété : ce déplacement dans le sinistre stade Balmont à  La Duchère sentait le piège à  plein nez. Dans une configuration comme celle-là , tous les clubs professionnels vous le diront : le plus difficile est d'ouvrir le score. Pour n'avoir pas su le faire alors qu'ils ont multiplié les occasions, les joueurs de Jacky Duguépéroux ont vécu une maudite soirée que leurs devanciers avaient trop souvent connue ces dernières années, de Noisy-le-Sec à  Bourg-Péronnas, en passant par Nîmes, Créteil, Epinal ou Calais. Pour ne rien arranger, juste avant le coup d'envoi, l'entraîneur strasbourgeois avait enregistré le forfait de Pascal Johansen, tenaillé par la douleur au tendon d'Achille droit qui s'était réveillée la veille à  l'entraînement. Présent sur la feuille de match, le Colmarien avait finalement cédé sa place à  Ricardo Faty et « enrichi » d'une unité la liste d'indisponibilités des Bleus. Quatorze absences simultanées : du jamais vu dans l'histoire récente du RCS. Du coup, Jacky Duguépéroux avait innové, en lançant le néophyte Jean-Christophe Vergerolle (titulaire d'un contrat amateur) au poste de latéral gauche et en titularisant en pointe Rudy Carlier, préféré à  la recrue slovaque Szilard Nemeth. Globalement, les Bleus maîtrisèrent sans trop de souci les rares velléités duchéroises. Dans ses buts, le gardien lyonnais Brice Morandini n'eut d'ailleurs guère le loisir de refroidir. A lui seul, Carlier le sollicita à  trois reprises (15e, 23e et 34e) en première période, mais la plus belle occasion de ces 45 minutes initiales échut à  Amara Diané à  la demi-heure de jeu. Sur un centre parfait de Le Pen, l'Ivoirien, en embuscade au second poteau, décroisa un poil trop sa tête.

Deux tirs sur la transversale

Que dire alors de la seconde mi-temps durant laquelle les Bleus touchèrent du bois à  deux reprises : d'abord par Carlier dont la reprise du gauche frappa de plein fouet de la transversale, après une première tentative de Diané sauvée sur la ligne par Damiani (64e) ; ensuite par Diané lui-même, à  la réception d'un coup franc de Farnerud. Le virevoltant ailier bas-rhinois ne fut pas plus heureux que son jeune partenaire, puisque un pied lyonnais dévia sa tentative sur la barre (69e). Sans réelle surprise, l'explication entre le 19e de L 1 et le 14e de CFA se poursuivit en prolongation. Le RCS en profita pour faire enfler son compteur d'occasions avec une frappe en pivot un peu molle de Nemeth, à  peine entré en jeu (105e) et, surtout, une faute de Tonnetot sur Diané dans la surface sur laquelle M. Malige ne broncha pas (117e). Fatalement, l'épilogue de ce scénario qui semblait écrit avant le coup d'envoi se dénoua aux tirs au but. Cette loterie qu'avaient préparée les Bas-Rhinois la veille à  l'entraînement, mais qu'ils ne parvinrent pas à  négocier sans dommage. Par un vilain raccourci du destin, les Bleus ne ratèrent qu'une seule de leurs tentatives. Par Ulrich Le Pen, celui-là  même qui venait de transformer deux penalties contre Metz et à  Bordeaux. Nicolas Puydebois, qui n'avait rien eu à  faire du match, ne parvint pas à  stopper le moindre tir lyonnais. Et le piège de cette glaciale soirée dans le Rhône finit par se refermer sur un Racing dont la saison noire s'est prolongée chez le 14e de CFA. Hier, le club alsacien a bu la Coupe jusqu'à  la lie.

« Pas su être efficaces »

Un quart d'heure après le coup de sifflet final, Jacky Duguépéroux et Philippe Ginestet sont déjà  installés dans le bus. Ni l'entraîneur strasbourgeois, ni le président ne souhaite s'exprimer malgré les sollicitations. « Demain », glisse juste « Dugué » dans une moue significative qui reviendra ce matin après le décrassage sur cette élimination dure à  digérer. Les Bleus sont donc passés à  la trappe hier soir à  Lyon – La Duchère comme à  Bourg-Péronnas, autre club de CFA en janvier 2003. Cette élimination sans gloire en 16e de finale a, pour les Bleus, comme un arrière-goût amer qu'ils connaissent trop bien. « Le coach nous avait pourtant prévenus », dit ainsi Amara Diané, très en verve, mais pas veinard. « Il nous avait dit qu'au tour précédent, Toulouse avait raté quatre ou cinq occasions nettes et qu'il faudrait être plus efficace. Nous n'avons pas su le faire. La Duchère a démontré des qualités de coeur et de combativité dont nous devrons nous inspirer pour nos prochains rendez-vous en championnat. Cette élimination est le reflet d'une saison noire. A nous de la gérer au mieux et de retenir la leçon dès samedi à  Lens. » Réduit au chômage technique pendant 120 minutes, le gardien Nicolas Puydebois n'a pas su lui non plus être décisif lors des tirs au but. « Je m'y étais pourtant préparé, même si j'ai espéré de bout en bout que mes coéquipiers allaient trouver la faille. Le gardien duchérois, Morandini, que j'ai fréquenté au centre de formation de Lyon, a été très bon. Il faut lui tirer un coup de chapeau. Mais nous ne pouvons nous en prendre qu'à  nous-mêmes. »

A s'en mordre les doigts

Entre des Strasbourgeois incapables de marquer un but dans le jeu et des Duchérois archi-dominés, cela ne pouvait se terminer qu'aux tirs au but. Maudit comme toujours, le Racing est éliminé (5-4).

Le Racing ne refera donc pas le coup de 2001. Mal en point en championnat et relégué en fin de compte cette année-là , il avait pourtant trouvé le moyen de remporter la 3e Coupe de France de son histoire.
Sorti d'emblée en Coupe de la Ligue cette saison, il n'aura donc guère fait mieux en Coupe de France, sortant par la petite porte dès sa deuxième apparition sur le terrain d'une équipe de CFA qui ne lui a absolument rien montré hier soir. Hormis un réalisme sans faille à  l'heure des tirs au but, Nicolas Puydebois n'ayant pu que brasser de l'air tout au long de cette série.

C'est alors à  Le Pen de s'avancer vers le but. Morandini plonge du bon côté

« Il y a à  redire sur ce que nous avons montré. En tout cas, nous n'avons pas su faire les efforts nécessaires dans ce genre de match. Et à  l'arrivée, c'est la Duchère qui se qualifie, et c'est mérité », commentait le portier strasbourgeois (et ancien Lyonnais) à  chaud.
Après deux heures de domination strasbourgeoise, nous voici donc à  l'heure des tirs au but. Côté Racing, Devaux montre la voie avec autorité, mettant d'entrée de jeu la pression sur Gourouli. Le Géorgien répond en réussissant le contre-pied parfait.
C'est alors à  Le Pen, peut-être le meilleur Strasbourgeois pendant les 120 longues minutes qui viennent de s'écouler, de s'avancer vers le but. Morandini plonge du bon côté. C'est raté. La pression change de camp. Et à  l'arrivée, les Lyonnais sont reçus 5 sur 5 et réussissent le sans faute qui les qualifie pour les 8es de finale.
Dans les rangs strasbourgeois, c'est la consternation. Vrai que les hommes de Duguépéroux pouvaient se mordre les doigts, tant ils s'étaient créé d'occasions franches jusque-là . Une bonne demi-douzaine à  coup sûr. Et encore, en faisant le tri.
Mais Brice Morandini, héros du tour précédent, avait toujours pris le dessus, sa barre transversale le suppléant tout de même à  deux reprises en 2e période. Il ne lui restait qu'à  s'illustrer sur les tirs au but. Un seul arrêt a suffi.
Le Racing, privé de ses attaquants les plus en vue de janvier (Alex Farnerud et Gameiro), a donc fait la pluie et le beau temps sur le terrain difficile du plateau de Balmont, sur les hauteurs de Lyon.

Nicolas Puydebois n'aura pas eu le moindre arrêt à  effectuer

C'est bien simple : les hommes d'Alain Moizan n'ont jamais inquiété Nicolas Puydebois, lequel n'aura pas eu le moindre arrêt à  effectuer.
Les Lyonnais ont en réalité très rapidement compris qu'ils en seraient réduits à  faire de la résistance, et que seul un coup tordu pourrait leur donner l'occasion de trouver la faille. Après tout, pourquoi pas ? Loué et Devaux n'ayant pas toujours dégagé la sérénité de circonstance, il y avait de l'espoir.
Il y en avait d'autant plus qu'aux 13 forfaits annoncés lundi était venu s'en ajouter un 14e juste avant le coup d'envoi : celui du maître à  jouer Pascal Johansen, qui a finalement dû renoncer en raison de l'inflammation de son tendon d'Achille droit. Peut-être le forfait de trop...

[Gotcha]

En y regardant de plus près, il n' y avait qu'une division d'écart ce soir entre une équipe du niveau du national et une autre bientôt en L2.

où t'as vu que c'était une équipe du niveau du national ?

Bordel, Lyon la duchere est 14ème sur 18 dans son groupe de CFA, ils luttent pour le maintien !!!!!

Sinon je rejoindrai FM sur un point .... ca sert à  quoi de recruter Nemeth si c'est pour ne pas le faire jouer ??? D'autant plus que le joueur semble manquer de compétition, c'était parfait pour lui donner du temps de jeu, pour qu'il retrouve des sensations !!!

Quel coaching de MERDE, j'hallucine !!!

Là , c'est sur, je vois pas qui va nous marquer des buts à  Lens.

Allez, plus que 4 mois, vivement la fin de la saison j'en peux plus de celle la....

[argueti]

Allez, plus que 4 mois, vivement la fin de la saison j'en peux plus de celle la....

C'est clair

[lolo]

Une CFA qui élimine une Ligue 1 ...

Suis mort de rire ...

Comme Toulouse...