[05/06] 16ème UEFA retour : RCS / Litex Lovech : 0-0

L'actualité du Racing dans les coupes européennes
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volvo67
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Message par volvo67 »

fallait s'abonner : c'était gratos ce soir ;)
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Its_me
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Message par Its_me »

Kriskool a écrit :Ils avaient qu'a laisser entendre dans la presse qu'ils déjoueraient...ça aurait évité de claquer 10 euros pour voir de la merde ;)
Si t'avais eu un abonnement, t'aurais rien payé :lol:
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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raphou96
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Message par raphou96 »

argueti a écrit :
NianKaRud a écrit :FLOP :

:D :D Deroff
:D Alex Farnerud
Et moi je met :D :D :D à  Krebs qui a été nul de chez nul et competement transparent, pire qu'Alex !

Le Pen a été aussi tres timide, Devaux aussi ...

Pour ce match, on peut pas mettre de FLOP car y aurait presque toute l'équipe ...
Pareil Krebs est passé à  coté de son match, quoique le racing y allant très calme cela peux expliquer le fait qu'il etait moi en vue hier soir.
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lordraven
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Message par lordraven »

Psychogene a écrit :
lordraven a écrit :minable voir scandaleux
C'est clair qu'un match façon Toulouse à  l'aller, avec du beau jeu, et au final un score de 2-4 (et donc élimination) çà  aurait été bien mieux :roll:

Nan mais franchement :lol: Comme l'a dit argueti on est qualifié, on s'est pas trop dépensé pour avoir cette qualif, point barre :twisted: Le reste on s'en contrefout :lol:

dna ce matin:
Hier soir, il a en tout cas offert un spectacle pitoyable aux quelque 9 000 courageux venus humer le parfum européen. Pourtant, personne ne s'en plaindra vraiment.
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argueti
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Message par argueti »

Suis bien d'accord mais on avait pas a faire plus, surtout vu notre calendrier ;)
L'Alsace a écrit :Comme on se retrouve…

Qualifié pour les 8e s de Coupe UEFA après son nul contre Lovech hier à  la Meinau (0-0), le Racing y retrouvera Bâle. Une revanche après le succès du RCS au Parc Saint-Jacques en phase de poules (2-0).

« L'essentiel est fait. » Tous les Strasbourgeois avaient ce mot à  la bouche hier soir après leur qualification somme toute peinarde — à  défaut d'être brillante — pour les 8e s de finale de la Coupe de l'UEFA. Tout le monde se satisfera donc de ce piètre match nul (0-0) décroché à  la Meinau face à  une formation de Lovech plutôt compatissante. Pour trois raisons au moins : un, le RCS a préservé son invincibilité continentale (5 victoires, 3 nuls) ; deux, il vient d'enchaîner une 5e rencontre sans défaite, série inédite cette saison ; trois, il a ainsi reçu un avertissement sans frais avant le match décisif dans la course au maintien en L 1 qu'il livrera dimanche (18 h) dans cette même Meinau face au premier non-relégable, Troyes. Hier, les deux antagonistes ont quitté l'enceinte meinovienne plutôt satisfaits. L'entraîneur de Lovech, Ljupko Petrovic, en tête. Rouge cramoisi après la défaite des siens à  l'aller l'autre mercredi (2-0), le technicien serbe a retrouvé une équipe plus consistante en Alsace : « Elle a montré qu'elle méritait sa place en 16e s et a joué comme je l'avais exigé. Mais dans un match aussi important, si tu ne concrétises pas les trois ou quatre occasions que tu te procures, tu ne peux prétendre à  rien. Si nous avions ouvert le score, peut-être aurions-nous pu créer la surprise. C'est à  Lovech que nous avons été éliminés, pas à  la Meinau. Je souhaite à  Strasbourg de sauver sa tête en Ligue 1 et d'aller le plus loin possible en UEFA. Et pourquoi pas de la gagner d'ailleurs. Nous pourrions ainsi dire que nous avons été sortis par le futur vainqueur (sourire). » On n'en est pas là . On en est loin même. Car pour envisager poursuivre l'aventure, le Racing devra montrer autre chose. Il devra surtout le faire dès dimanche contre Troyes. Un rendez-vous vers lequel Jacky Duguépéroux était déjà  tourné hier. « C'est le match de l'année. Un autre match de Coupe que nous devrons jouer différemment. Maintenant, pour en revenir à  ce nul contre Lovech, l'essentiel était de se qualifier. C'est fait. En l'emportant 2-0 là -bas, nous avions fait un grand pas. Nous n'avons pas encaissé de but, pas enregistré de nouvelle blessure. C'est une bonne soirée. Certains seront peut-être surpris de voir le 19e de L 1 en 8e s, mais ça ne me paraît pas immérité sur ce que nous avons réalisé jusqu'ici. »

« Un rappel à  l'ordre »

« Il ne faut pas faire la fine bouche », lui fait écho le gardien Nicolas Puydebois, « Il était important de se qualifier sans prendre de buts. Nous ne sommes pas très contents de la manière et tant mieux si c'est un rappel à  l'ordre avant Troyes. Mais nous sommes en ce moment dans une position où il faut privilégier le résultat à  la manière. » Peut-être. Mais Duguépéroux est suffisamment lucide pour savoir que ses troupes ont rendu une copie à  peine passable face à  un bien pâle Litex. Il est même le premier à  les avoir rudoyées dans le vestiaire à  la mi-temps. « Je n'étais pas très satisfait de notre prestation en première période. Nous nous sommes mis en danger tout seuls. Mais bon, on va considérer que c'est de l'expérience en plus pour le prochain tour. A l'hôtel (Ndlr : où les Bleus se sont rendus cette nuit), mes joueurs vont peut-être m'expliquer qu'ils ont maîtrisé les débats. Je ne serai pas obligé de les croire (sourire). Ceci étant, quel que soit l'adversaire que nous aurons à  affronter, nous n'aurons pas de complexe à  nourrir. Nous avons battu Bâle chez lui en phase de poule (2-0). Et contre Monaco, nous n'avons perdu 2-1 chez nous que sur deux grosses fautes d'arbitrage, avant d'aller chercher un bon nul à  Louis II (1-1). » Le Racing ne retournera pas en Principauté, mais retrouvera un FC Bâle qui, après avoir terrassé les Monégasques au Parc Saint-Jacques à  l'aller (1-0), est allé chercher le nul à  Louis II hier soir (1-1). Ce 8e de finale exhalera forcément un parfum de déjà  vu : le 20 octobre, en poules, le Racing s'était effectivement imposé 2-0 à  Bâle. Le match aller y aura lieu le 9 mars. Retour à  la Meinau le 15 ou 16. Les Bleus partiront sans nul doute avec un petit ascendant psychologique.

A mourir d'ennui

Le Racing n'a pas tremblé, sinon de froid, pour assurer hier soir sa qualification pour les 8e s de finale de la Coupe de l'UEFA. En contenant sans puiser dans leurs réserves les rares velléités offensives de Bulgares passablement résignés, les Strasbourgeois ont tranquillement préservé l'avantage de deux buts acquis l'autre mercredi à  Lovech (2-0). Mais pour être tout à  fait franc, jamais on ne s'était autant ennuyé cette année à  la Meinau que lors de ce soporifique 16e de finale retour. Sans le froid glacial qui rongeait jusqu'aux os, les 9615 courageux qui avaient fait le déplacement seraient sans doute entrés en hibernation, plongés dans un profond sommeil par l'atonie des débats. Jacky Duguépéroux s'attendait à  un pressing de folie des Bulgares dès le coup d'envoi. Il s'était trompé. Le match ne sortit jamais de sa torpeur, notamment pas au cours d'une première mi-temps affligeante, « illuminée » par une seule véritable occasion : une tête trop décroisée du Slovène de Lovech, Milivoe Novakovic, pourtant idéalement placé sur un centre de son capitaine Jelenkovic (17e). Le reste de ces 45 minutes initiales fut à  l'image des deux tentatives strasbourgeoises, signées par le transparent Alexander Farnerud (11e) et Abdessadki (25e) : hors cadre et, pour tout dire, hors sujet.

Gameiro l'accélérateur

Le rythme ne s'accéléra pas après la pause. Du moins pendant 20 minutes, puisque seul un tir lointain de Berberovic fit passer dans le dos des supporters strasbourgeois un frisson qui n'était pas dû au froid (46e). Petit à  petit néanmoins, les Bulgares, mis en confiance par la piètre production alsacienne, s'enhardirent. Hagui se trouva à  point nommé pour repousser une reprise de Novakovic (66e) et Puydebois dut se détendre pour écarter d'une main ferme une tête de Kirilov (67e). Le rentrant Lyubenov avait amorcé ces deux pétards du Litex. Pour dynamiser une attaque amorphe – c'est un euphémisme – Jacky Duguépéroux avait choisi, à  l'heure de jeu, de lancer Kevin Gameiro dans la « bataille ». En à  peine plus de dix minutes, l'attaquant de poche des Bleus se montra plus tranchant que tous ses coéquipiers réunis. Il alluma deux mèches, la première du droit (69e), la seconde du gauche (72e), mais trouva sur son chemin un Vutov aussi vigilant et inspiré qu'à  l'aller. Ces deux tirs cadrés ne furent que des éclairs dans l'épaisse grisaille qui enveloppait la Meinau. Avec – histoire d'être exhaustif – cette ultime frappe de Loue qui donna surtout l'occasion à  Vutov de faire crépiter les flashes des photographes (88e). Dans l'intervalle (84e), Lovech avait été à  deux doigts d'être récompensé de sa plus grande « audace », mais Jelenkovic avait lui aussi manqué la cible. En réalité, ce match nul qui portait parfaitement son nom méritait-il autre chose que ce piteux 0-0 ? La réponse est contenue dans la question.
Cap sur Bâle

Le Racing affrontera Bâle en huitièmes de finale de la Coupe d'Europe. Voilà  bien la seule information à  retenir. Hier soir, les Strasbourgeois ont juste essayé de contenir les gentils Bulgares de Lovech. Ils y sont parvenus (0-0), au terme d'une partie insipide. Place, désormais, au championnat et à  la venue de Troyes.

Parfois, les sentiers de la gloire sont parsemés de chausse-trappes. Le Racing a benoîtement trébuché. Encore heureux qu'il ne soit pas tombé...
Hier soir, il a en tout cas offert un spectacle pitoyable aux quelque 9 000 courageux venus humer le parfum européen. Pourtant, personne ne s'en plaindra vraiment.
Ce matin, le Racing est en huitièmes de finale de la Coupe de l'UEFA, compétition dans laquelle son invincibilité est devenue une référence.
Début mars, il sera opposé au FC Bâle, vieille connaissance qu'il avait dominée en phase de poules (0-2). Forcément, la tension ira crescendo. L'intensité dramatique sera autrement plus palpable.
Contre Lovech, la sortie des Bleus s'apparentait à  une figure imposée. Rien de plus. « Nous avions fait un grand pas en nous imposant là -bas 2 à  0, rappelle Jacky Duguépéroux. Le plus important était de ne pas prendre de but. Voilà , on a assuré l'essentiel. Même si je ne suis pas du tout content de notre première mi-temps. »

Les Strasbourgeois ont joué avec le feu

A vrai dire, les Strasbourgeois ont dangereusement joué avec le feu. Pour un peu, ils seraient parvenus à  remettre en selle une équipe bulgare certes appliquée, mais totalement inoffensive.
Novakovic, oublié par la défense alsacienne au quart d'heure de jeu, était d'ailleurs tout près de faire renaître un fol espoir. Sa tête, heureusement, n'est pas cadrée.
Ceux qui ont vu les deux dernières prestations des Bleus, que ce soit à  Lovech (0-2) ou à  Toulouse (1-2), n'en croient pas leurs yeux. Cette équipe-là  est méconnaissable. A l'image d'Alexander Farnerud, qui a décidé de jouer aux pieds nickelés seul en pointe, le Racing déjoue.
Nonchalants, lents, mal inspirés, les Alsaciens se prennent inexplicablement les pieds dans le tapis. Vutov, le gardien bulgare, n'a pas une balle à  se mettre entre les gants. Ça en devient pathétique.
« J'ai dû les remuer à  la pause, sourit Duguépéroux. A moins qu'ils ne m'aient pas prévenu et qu'ils aient décidé de gérer. Ce qui voudrait dire que mon équipe a gagné en expérience. Parce que pour le moment, on n'a jamais su garder un résultat ! »

Le match de l'année contre Troyes

Revenus sur la pelouse avec des intentions un peu plus louables, notamment après la rentrée de Gameiro à  l'heure de jeu, les Strasbourgeois terminent en roue libre. Tranquille pépère.
« Finalement, c'est une bonne soirée, poursuit Duguépéroux. Il n'y a pas de blessés, j'ai pu faire souffler quelques joueurs qui ont beaucoup été sollicités ces dernières semaines. J'espère désormais que l'on va pouvoir accélérer en championnat. »
En attendant l'avènement européen du mois de mars, le Racing abat une carte décisive dimanche (18h) dans la course au maintien. Face à  Troyes, les Kanté, Abou, Loué et autre Pontus Farnerud, tous préservés hier, devront mettre les bouchées doubles pour entretenir l'espoir. « C'est le match de l'année », conclut l'entraîneur strasbourgeois.
L'élan européen ne doit en effet servir que cette cause. Il sera alors toujours temps de s'engouffrer sur les sentiers de la gloire et d'éviter les chausse-trappes suisses.

Intermittents du spectacle

Prudents à  l'extrême tout au long d'une première période qui ne les a pas vus se créer la plus petite occasion de but, les Strasbourgeois se sont montrés un peu plus entreprenants par la suite, sans pour autant trouver la faille. Mais l'objectif est atteint, puisqu'ils n'ont pas pris de but.

Image

PUYDEBOIS. - Jamais en danger en 1re période, il a fait le nécessaire par la suite, notamment sur un bon coup de tête de Kirilov (66e') qu'il repoussa avant que Deroff ne vienne à  la rescousse. N'a relâché aucun ballon aérien.
DEROFF. - Il a respecté au pied de la lettre les consignes de prudence de son coach, ne tentant aucune incursion loin de sa zone. Un match très sobre.
DEVAUX. - Lui et son compère de la défense centrale Karim Haggui se sont retrouvés sur le grill face à  une équipe usant et abusant de longs ballons aériens. Quelques frayeurs à  l'arrivée, sans plus.
HAGGUI. - L'international tunisien, rentré « rincé » de la Coupe d'Afrique des nations, retrouve des couleurs. Ses interventions se sont avérées efficaces et son jeu de tête précieux face aux grands gabarits bulgares, toujours prompts à  éléver les débats.
BOKA. - Joueur de tempérament, il a eu du mal à  réfréner ses ardeurs et s'est montré plus entreprenant sur son côté gauche que son compère du couloir droit.
LACOUR. - Placé devant la défense, il s'est beaucoup démené, ne lâchant rien et créant un peu de jeu çà  et là .
ABDESSADKI. - Une activité incessante, et comme de coutume beaucoup de mordant. Il n'a rien lâché, se dépensant jusqu'au coup de sifflet final sans parvenir néanmoins à  créer le danger.
KREBS. - Peu en vue, il n'a pas toujours été bien compris de ses partenaires. Remplacé par GAMEIRO (60e'), auteur de deux frappes cadrées qui mirent Vutov à  contribution.
DIANE. - Difficile pour un joueur aussi vif et aussi explosif de trouver sa place dans un schéma aussi prudent, et dans un match manquant à  ce point de rythme. Branché sur courant alternatif, il a produit quelques éclairs, notamment à  la reprise après le rappel à  l'ordre général de Duguépéroux. Remplacé par LOUE (68e'), très solide, et auteur d'une bonne frappe des 25 mètres (cadrée) en fin de match.
LE PEN. - Il fut l'un des rares Strasbourgeois à  se montrer entreprenant en 1re période, sans parvenir pour autant à  porter un réel danger sur le but de Vutov. Remplacé par P. FARNERUD (75e').
A. FARNERUD. - Prestation insipide du cadet des Farnerud, placé seul en pointe. Il a souvent ralenti le jeu, se révélant au final bien inutile dans un rôle de point de fixation qu'on l'a déjà  vu occuper avec davantage d'efficacité.

« Il n'y a pas photo »

- JACKY DUGUEPEROUX (entraîneur Strasbourg) : « C'est une bonne soirée. Ce match-là , c'est de l'expérience en plus pour la suite. Même si les Bulgares ont eu des occasions, il n'y a pas photo sur l'ensemble des deux matches. Maintenant, nous allons devoir gérer au mieux les 48 heures qui nous attendent jusqu'au match de dimanche, contre Troyes. Pour moi, ce sera le match de l'année. Un vrai match de coupe aussi, mais qu'il faudra jouer très différemment... »
- LJUPKO PETROVIC (entraîneur Lovech) : « Notre équipe a montré qu'elle méritait de se retrouver en 16es de finale. Mais en coupe d'Europe, on ne peut pas se permettre de manquer les trois ou quatre occasions franches qu'on se crée. Si nous avions eu la chance de marquer un premier but, je suis convaincu que nous aurions pu créer la surprise. Pour le reste, mes joueurs ont dans l'ensemble bien respecté mes consignes. C'est à  Lovech, à  l'aller, que nous avons été trop sûrs de nous. Je souhaite maintenant au Racing de se maintenir en Ligue 1 et, pourquoi pas, d'aller au bout de l'aventure. Ainsi pourra-t-on dire que nous avons été éliminés par le vainqueur de la Coupe de l'UEFA. »
- NICOLAS PUYDEBOIS (gardien Strasbourg) : « Les Bulgares ne nous ont posé des problèmes que dans le jeu aérien, ce à  quoi nous étions préparés. Nous n'y avons peut-être pas mis la manière, mais il faut savoir ce que l'on veut, et à  l'arrivée, le résultat est là . Nous n'avons pas pris de but et nous sommes qualifiés pour les 8es de finale, là  où personne ne nous attendait. Nous avons su rester concentrés et rigoureux jusqu'au bout, ce qui nous a trop souvent manqué cette saison en championnat. »
- JEAN-CHRISTOPHE DEVAUX (défenseur Strasbourg) : « En ne prenant pas de but, nous avons fait ce qu'il fallait. Et les rares occasions des Bulgares, c'est nous qui leur avons offertes en perdant le ballon. Ce n'était évidemment pas un match exceptionnel. Juste un match correct que nous avons su gérer. »
- KEVIN GAMEIRO (attaquant Strasbourg) : « Le coach m'a fait rentrer pour que je prenne la profondeur et que je tire au but. C'est ce que j'ai essayé de faire sans me poser de question, et tant pis si je n'ai pas marqué. Ce sera peut-être pour dimanche... »
L'histoire est en marche ...
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Gotcha
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Message par Gotcha »

content de pas avoir payé pour voir ce match de merde :lol:
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argueti
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Message par argueti »

Ca a l'air de surprendre tout le monde, perso je m'y attendais mais j'avais juste peur qu'on prenne un but ...
L'histoire est en marche ...
Merwan
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Message par Merwan »

Petit coup de geule sur les gens qui sont aux guichets.. y'a des sacrés quiches.. tu demandes des places groupés.. Non c'est impossible.. Depuis quand? C'est toujours comme ça.. :shock:
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lordraven
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Message par lordraven »

Merwan a écrit :Petit coup de geule sur les gens qui sont aux guichets.. y'a des sacrés quiches.. tu demandes des places groupés.. Non c'est impossible.. Depuis quand? C'est toujours comme ça.. :shock:
au racing ils sont modernes: c'est le dégroupage total ok :arrow:
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D520
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Message par D520 »

argueti a écrit :Les gens rallaient mais pour une fois qu'on arrive a gerer, c'est la qu'on voit que beaucoup ne comprennent rien ...

Dimanche sera un autre combat ;)
c'est comme les blaireaux qui ont sifflés Alex pendant tout le match ou presque ;)
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