[05/06] 12ème J: Le Mans / RCS - 2/0

L'actualité du Racing en championnat
Verrouillé
Manu
Manager général@Directoire
Manager général@Directoire
Messages : 10821
Enregistré le : 19 août 2002 16:52

Message par Manu »

Avatar du membre
PoY
Manager général@Directoire
Manager général@Directoire
Messages : 11866
Enregistré le : 9 nov. 2003 21:26
Localisation : Longjumeau

Message par PoY »

Seul note correcte pour Kanté : 7 :roll:
Avatar du membre
Keating
Président@Directoire
Président@Directoire
Messages : 15699
Enregistré le : 24 déc. 2004 0:21

Message par Keating »

S.CASSARD 4
Y.DEROFF 5
J.DEVAUX 4
H.BELLAID (69e)
C.KANTE 7
A.BOKA 3

U.LE PEN
P.FARNERUD (28e) 5
P.JOHANSEN 5.5
G.LACOUR 4
R.HOSNI 4
M.PAGIS (c.) 5.5
A.DIANE 3.5
R.CARLIER (59e)
Kanté était si bon ? :shock:
Bon, en tout cas, on voit que c'est très faible sinon ...


edit :
football365 a écrit :Cassard : 3,5
Boka : 5,5
Kanté : 5
Devaux : 4,5
(Bellaïd, 69eme)
Deroff : 4,5
Lacour : 5
Hosni : 4
Johansen : 4,5
Pagis (cap) : 6
Le Pen : Non noté
(P.Farnerud, 27ème : 5,5)
Diané : 4
C'est marrant, c'est pas si différent de lequipe, sauf pour Kanté et Boka
Avatar du membre
NéRiK
Secrétaire général@Directoire
Secrétaire général@Directoire
Messages : 8212
Enregistré le : 6 avr. 2005 17:47
Localisation : Strasbourg-Neudorf

Message par NéRiK »

Toujours aussi content de ne pas avoir pris d'abonnement. :D
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
Avatar du membre
argueti
Sélectionneur@InfosRacing
Sélectionneur@InfosRacing
Messages : 37460
Enregistré le : 16 mai 2003 23:27
Localisation : Strasbourg
Contact :

Message par argueti »

DNA a écrit :A désespérer !

Sixième défaite pour le Racing hier au Mans. Huitième match aussi sans marquer le moindre but. Pas la peine de chercher plus loin les raisons du naufrage actuel.

Dans le jeu d'ombre et de lumière auquel se livrent les Strasbourgeois depuis le début de saison, l'épisode du Mans n'apportera rien de nouveau. On y a vu ce qu'on voit depuis le début de saison, hors coupe de l'UEFA. Rien de plus et pas grand chose de moins.
Un fiasco bancroche de plus finalement. Une victoire offerte à  l'adversaire avec un but pris à  la 2e' sur une errance de Lacour conjuguée à  une bourde de Cassard. Un autre à  la 43e' après quatre occasions nettes, quatre occasions de but et qui sonne comme une condamnation. Fermez le ban !

On voit mal où...

En fait, peu importent circonstances, anicroches et coups du sort. Ce qui reste ce matin, c'est qu'après douze journées, le Racing est avant-dernier avec cinq points de retard sur le premier non relégable et qu'il se dirige vers la L2.
Ce qui reste, c'est qu'il n'a toujours pas remporté le moindre match. Et qu'à  gâcher comme il gâche, on voit mal où et quand il pourrait prendre trois points.
Partout il rate le coche avec la même application dans l'inachèvement. Il laisse le même sentiment de frustration avec une obstination désespérante. Ressort invariablement groggy et donne des envies de jouer au Loto à  des adversaires qui n'avaient jusqu'alors rien de commun, mais qui, après son passage, se pensent touchés par la providence ou pire par le talent.

« Comme un boxeur sonné »

En début de saison, il y avait encore l'excuse d'un calendrier pas facile (Auxerre, Lyon, Monaco, Bordeaux, Lens). Plus aujourd'hui. A Metz, à  Ajaccio, à  Troyes, face à  Rennes, Toulouse ou au Mans, le Racing a laissé filer les points qui lui semblaient promis ou en tout cas largement à  sa portée.
« C'est alarmant, dira Duguépéroux après la rencontre. Là , je suis comme un boxeur sonné. J'avais dit aux joueurs de faire gaffe aux vingt premières minutes et on est crucifié dès la deuxième. Et quand on sort la tête de l'eau et qu'on se créé des occasions, on se fait punir en contre, juste avant la mi-temps. Qu'après douze journées nous n'ayons toujours pas gagné un match est irréel ».

Manque de punch

Ce qui ne l'est pas, irréel, c'est le classement. Et cette incapacité à  enchaîner deux bons résultats d'affilée. Après la démonstration de Bâle, il y avait l'espoir de voir enfin cette équipe rebondir et recoller au gros du peloton. Il s'est tout de suite éteint.
Face au Mans, comme face à  Troyes, Toulouse ou Rennes, les occasions étaient là  sans forcément être amenées par un jeu épatant. Comme toujours elles ont permis au gardien adverse de briller.
Pourtant le Mans n'avait rien d'effrayant. Mais on le sait, ce ne sont pas les autres qui effraient les joueurs du Racing. C'est l'ombre portée de ce début de saison qui ralentit leurs gestes à  l'approche de la surface.
Jacky Duguépéroux a raison, le Racing est comme un boxeur. Comme un styliste qui n'a pas de punch et qui prend des coups. Qui sert de faire-valoir aux autres et leur permet de briller à  peu de frais. Ces carrières-là , ça ne dure jamais longtemps.

L'«Arconada» de Cassard

Une nouvelle fois, une erreur, ou plutôt une double erreur, individuelle a fait plonger des Strasbourgeois qui n'en finissent pas de replonger.

CASSARD () : Comme contre Rennes, il a commis une grossière erreur sur le premier but manceau en laissant filer la balle sous son ventre sur une tête de Hautcoeur, une « Arconada » d'école. Il traverse une passe difficile en ce moment qui n'arrange rien.
DEROFF () : Une première mi-temps extrêmement compliquée. Une seconde beaucoup plus pugnace, avec des duels enfin gagnés et des ballons remontés avec autorité.
DEVAUX () : A beaucoup souffert face à  la vivacité de Matsui et à  la puissance de De Melo. Pas très à  son avantage dans ce match, il a pourtant eu l'occasion de marquer sur un corner mais a laissé filer la balle entre ses jambes sur la ligne. Victime d'une contracture à  la cuisse et forfait mercredi, il a été remplacé par BELLAàD (70e') averti quelques minutes après son entrée en jeu.
KANTE () : Si sa relance laisse parfois à  désirer, sa lecture du jeu et sa présence physique ont évité d'encore plus grands désagréments à  son équipe. A la lutte avec l'immense De Melo à  qui il a mené la vie dure jusque dans les airs, il s'en est très bien sorti en coupant les trajectoires et en anticipant parfaitement.
BOKA () : A la peine défensivement, il n'a absolument rien apporté offensivement en balançant quasi systématiquement des ballons voués aux Manceaux. Un superbe coup-franc toutefois qui a tutoyé le poteau de Pelé (82e') pour le coup largement battu.
LACOUR () : Une absence coupable sur le premier but du Mans qui fait mal. Ensuite, il a ramé.
JOHANSEN () : Il a peut-être perdu des ballons, mais il s'est battu sur chacun d'entre eux. Surtout, il a tenté de jouer, d'entraîner les siens vers l'avant avec le souci de percuter.
HOSNI () : Le soutien qui a manqué à  Johansen. Trop peu d'impact sur le jeu et beaucoup trop de ballons latéraux qui ont obligé les siens à  reculer et permis aux joueurs du Mans de se replacer.
LE PEN (non noté) : Très rapidement touché au ménisque et forfait lui aussi pour le match à  Caen, il a été remplacé avant la demi-heure de jeu par P. FARNERUD (). Positionné derrière les deux attaquants, le Suédois a globalement été très peu en vue.
DIANE () : Quasiment systématiquement et parfois très bêtement pris au piège du hors-jeu, il a été très loin de sa prestation de jeudi et n'a jamais réussi à  déstabiliser la défense adverse. Remplacé par CARLIER (59e').
PAGIS () : D'abord positionné derrière le duo Le Pen/Diané, il a avancé d'un cran après la sortie du Breton. Une occasion mangée par manque de vivacité en première période c'est vrai, mais c'est lui qui a été le plus dangereux et de loin. Notamment en deuxième période quand il a obligé Pelé à  sortir le grand jeu sur une volée à  bout portant et une frappe qui filait dans le coin.
L'Alsace a écrit :Au fond du gouffre

Le Racing a tout perdu hier au Mans : son match de la 12e journée (2-0), Le Pen et Devaux, blessés, et une longueur sur le premier non-relégable, Ajaccio désormais, nanti de cinq points de plus et d'un match en retard.

Et de huit ! Huit matches sur douze en Ligue 1 (soit les deux-tiers) que le Racing termine sans avoir inscrit le moindre but. Et de six ! Six défaites et toujours pas la moindre victoire. Et de cinq ! Cinq points de retard désormais, contre quatre hier matin, sur le premier non-relégable, Ajaccio en l'occurrence qui jouera bientôt son match en retard à  domicile contre Lens. Voilà , tout est dit ! Enfin presque. Trois jours après avoir réussi une éclatante démonstration à  Bâle en Coupe UEFA (2-0), le Racing a tout mis par terre hier soir en championnat au Mans. Au point qu'aujourd'hui, au lendemain d'un match en tous points ou presque comparable à  ses devanciers, on en est à  se demander ce qui pourra bien sortir les hommes de Jacky Duguépéroux et, avec eux, un entraîneur forcément fragilisé de cette spirale négative qui les attire vers le bas. Vers cette Ligue 2 qui commence à  dire son nom. Appelons un chat un chat. Ragaillardi par les performances européennes des siens, Jacky Duguépéroux a mal encaissé ce nouvel uppercut en pleine face. « Je suis comme un boxeur sonné, les joueurs aussi. Je ne sais plus quoi faire. Je dresse le constat de notre impuissance à  réaliser un résultat positif. C'est aberrant de n'avoir pas gagné une seule fois en 12 journées. Pour ne rien arranger, j'ai perdu deux nouveaux joueurs sur blessure, qui seront absents dès mercredi à  Caen en Coupe de la Ligue : Ulrich Le Pen, touché au ménisque gauche, et Jean-Christophe Devaux, victime d'une élongation à  l'ischiojambier droit. Ces blessures successives (Ndlr : avec celles de Keita, Hagui et Alexander Farnerud) deviennent problématiques. Je vais appeler un ou deux jeunes du centre en renfort pour Caen où je laisserai souffler un maximum de joueurs. » Dès hier soir, les Strasbourgeois ont pris la direction de Bagnoles de l'Orne, où ils séjourneront jusqu'à  mercredi matin. « Ce lundi sera sans doute une journée de discussions. Nous aurons des choses à  nous dire », prévoit le coach, « Personnellement, je ne suis pas abattu. Si je l'étais, je transmettrais cet abattement aux joueurs. Je ne suis pas résigné non plus. Dans ma vie privée et professionnelle, j'ai déjà  supporté plus que ça. J'ai foi en mes joueurs. »

« Nous allons en ch… »
Mais ces derniers ont-ils encore foi en eux ? A en juger par leurs mines déconfites à  la sortie du stade Léon-Bollée, il est permis d'en douter. « Nous étions prévenus qu'il faudrait faire attention le premier quart d'heure. Et bing, nous nous faisons allumer au bout de deux minutes, puis juste avant la mi-temps », enrage Jean-Christophe Devaux, « Les Manceaux ont marqué à  des moments stratégiques. Il reste une chance d'inverser la tendance, à  condition de jouer tous ensemble. Ce soir (hier), nous n'étions pas tous compétiteurs. Je ne m'explique pas cette dualité de comportement entre la Coupe d'Europe et le championnat. Franchement, on ne sait plus quoi dire. On sait que l 'écart se creuse avec les autres et que nous allons en ch…» « On ne sait plus quoi penser », acquiesce un Mickaël Pagis désorienté, « On se demande ce qu'il faut faire pour marquer. Nous communiquons beaucoup pour essayer de trouver les solutions. Et nous ne les trouvons pas. Nous sommes dans une passe très difficile, mais nous n'allons pas lâcher, car le club le mérite. Nous avons assez parlé. Il va falloir agir et être meilleurs sur le terrain. » « Je ne sais plus quoi dire », lui fait écho Pontus Farnerud. « Nous ne sommes pas bien. Nous sommes en bas. C'est frustrant et difficile à  vivre. Dans le vestiaire, nous avons pris un coup sur la tête. Mais nous devons rester costauds mentalement. » Chacun sait cependant que la méthode Coué a des limites et que l'autopersuasion ne remplacera jamais les succès. Hier soir, pour la première fois depuis le début de la seconde ère Duguépéroux a point un diffus sentiment d'impuissance. Celui qui, d'ordinaire, n'augure rien de très bon. Mercredi à  Caen, la Coupe de la Ligue offrira une nouvelle respiration aux Bleus en 16e s, dans une pathétique revanche de la dernière finale. Mais si Jacky Duguépéroux a déjà  décidé de faire tourner son effectif en Normandie, c'est qu'il n'ignore pas que le plus important rendez-vous de la semaine est programmé samedi (20 h) à  la Meinau contre Saint-Etienne pour la 13e journée de L 1. C'était vrai avant le déplacement au Mans. Ça l'est encore plus après. Car chaque jour qui passe réduit sa marge de manoeuvre.

Indéfendables !

Cette équipe du Racing, que revigorait régulièrement le parfum européen, suscitait jusqu'ici de la compassion. Mais c'est bien connu : entre compassion et pitié, la ligne est souvent ténue. Et les Strasbourgeois l'ont franchie hier au Mans où ils sont tombés pour la 6e fois de la saison face à  une équipe mancelle certes courageuse, mais qui, malgré ses 19 points ce matin, n'a quand même rien d'une terreur. Aux mêmes maux, ils ont opposé la même absence de remèdes. Quand, avec quatre occasions nettes en fin de première période, dont deux qu'on qualifie généralement d'immanquables, on ne parvient pas à  marquer, que peut-on bien espérer ? Surtout lorsque l'on a donné en tout début de partie le bâton pour se faire battre sur une double erreur. Le chrono affichait en effet 1'38" de jeu quand Lacour « oublia » Yoann Hautcoeur dans son dos. Seul à  10 m, le milieu défensif sarthois smasha une vicieuse tête à  rebond qui fila sous le ventre d'un Cassard pas plus inspiré sur le coup qu'il ne l'avait été sur le but victorieux de Rennes voici huit jours. « Quand on prend un but comme ça, pas chanceux, on sent que tout va mal se goupiller », plaide le gardien bas-rhinois, « Il faut faire le ménage dans les têtes et assumer les moments difficiles que nous traversons. » Tactiquement, Jacky Duguépéroux avait étonnamment choisi de dissocier son efficace duo Pagis – Diané expérimenté pour la première fois à  Bâle jeudi. Le capitaine avait ainsi reculé d'un cran, en soutien de l'Ivoirien associé à  Ulrich Le Pen dans un bien improbable tandem. Les circonstances – une blessure au genou du Breton – contraignirent l'entraîneur bas-rhinois à  revoir sa copie à  la demi-heure de jeu. Pontus Farnerud reprit le rôle de plaque tournante et Pagis retrouva son poste en pointe. Comme par enchantement, ce remaniement forcé éclaira le jeu alsacien, plutôt pathétique jusque-là . En dix minutes, les Bleus auraient, une nouvelle fois pu rétablir la situation. Pagis, seul aux 6 m après un coup de billard sur un corner de Johansen, manqua de promptitude et échoua sur Pelé (31e). Plus fort encore – si l'on ose dire — Devaux, quasiment sur la ligne de but, laissa filer entre ses jambes un nouveau corner de Johansen (34e). A s'arracher les cheveux, d'autant que lorsque Diané, en coupant une volée écrasée de Pagis, fit enfin trembler les filets manceaux, il fut signalé hors-jeu (39e).

Le chef d'oeuvre de Matsui

Au lieu de revenir dans la partie, les Bleus revinrent aux vestiaires avec un handicap doublé. Car à  la 43e, le virevoltant Japonais Matsui, mis sur orbite par un contre amorcé par Chiumiento et relayé par Fanchone, avait ajusté une formidable frappe plongeante du droit, sans rémission pour un Cassard légèrement avancé. Un vilain coup d'assommoir qui se révéla être le coup de grâce pour les Bleus. Ils ne s'en remirent jamais, malgré une impuissante insistance après le repos. Les Manceaux avaient fermé leur rideau de fer à  double tour et Pagis s'en aperçut à  ses dépens quand l'infranchissable Pelé sortit, d'une remarquable manchette et d'une belle parade horizontale, sa volée de la 73e et son tir enveloppé de la 83e. Jusqu'au bout, le Racing tenta en vain réduire le score et une certaine forme d'humiliation avec ce qu'on a coutume d'appeler l'énergie du désespoir. Une expression qui n'a sans doute jamais paru aussi adaptée.
L'histoire est en marche ...
EDES
Recruteur@Staff
Recruteur@Staff
Messages : 825
Enregistré le : 5 févr. 2004 22:59
Localisation : L'antre du loup
Contact :

Message par EDES »

I N C O M P R E H E N S I B L E

Docteur Jekyll et Mister Hyde
Racing, jetzt geht's los !!!
Avatar du membre
argueti
Sélectionneur@InfosRacing
Sélectionneur@InfosRacing
Messages : 37460
Enregistré le : 16 mai 2003 23:27
Localisation : Strasbourg
Contact :

Message par argueti »

L'histoire est en marche ...
Merwan
Responsable marketing @Directoire
Responsable marketing @Directoire
Messages : 3751
Enregistré le : 1 juin 2003 18:18

Message par Merwan »

Pffff.. Merci Cassard, Merci au joueur qui a peur de mettre son pied sur le deuxième bref..
Avatar du membre
Bou
Responsable marketing @Directoire
Responsable marketing @Directoire
Messages : 3267
Enregistré le : 7 mai 2005 20:49
Localisation : La Wantzenau

Message par Bou »

ouinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn
Je vais te manger !!! (pompompom....)
Avatar du membre
Seb T.
Responsable marketing @Directoire
Responsable marketing @Directoire
Messages : 4957
Enregistré le : 21 avr. 2003 16:44
Localisation : Bangkok - Luxembourg

Message par Seb T. »

Un jeu trop approximatif, manque d'anvie sur la première période, manque de concentration et de réalisme...

Les joueurs sont au fond du trou, des cadres comme Pagis ou Cassard ont (déjà ) déposé les armes, le coach a ses têtes et ne changera pas de position quoi qu'il arrive (Arrache & Mouloungui), les blessures n'arrangent rien etc... etc... etc...

Et comme en coulisses, c'est le bordel également, voici tous les ingrédients réunis pour que l'équipe descende en L2 !!!
Mieux vaut une bière qui fait pisser qu'une femme qui fait chier (P. Heineken)
Verrouillé