[Ex] Anthony Weber

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Its_me
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Re: [Ex] Anthony Weber

Message par Its_me »

L'Equipe a écrit :Lié jusqu'en 2015 avec Reims, Anthony Weber vient de prolonger de deux ans. Agé de 26 ans, le défenseur central est arrivé en Champagne il y a trois saisons.
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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Re: [Ex] Anthony Weber

Message par RACING1906 »

Quel gâchis d'avoir si facilement laissé partir ce joueur à l'époque. Pareil pour KANTARI qui vient de signer à LENS.
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Re: [Ex] Anthony Weber

Message par Kaniber »

equipe a écrit : Anthony Weber (Reims) s'engage avec Brest jusqu'en 2019
Titulaire indiscutable à Reims où il était capitaine, le défenseur central Anthony Weber, 30 ans, s'est engagé pour deux saisons (et une en option) avec Brest. Il était libre de tout contrat.
Anthony Weber (Reims) s'engage avec Brest jusqu'en 2019
Publié le lundi 12 juin 2017 à 15:05 | Mis à jour le 12/06/2017 à 15:08
Titulaire indiscutable à Reims où il était capitaine, le défenseur central Anthony Weber, 30 ans, s'est engagé pour deux saisons (et une en option) avec Brest. Il était libre de tout contrat.
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Re: [Ex] Anthony Weber

Message par Kaniber »

equipe a écrit : Anthony Weber (Brest) signe à Caen (officiel)
Le défenseur central Anthony Weber quitte officiellement Brest, promu en Ligue 1 pour s'engager avec Caen, relégué en Ligue 2.
Promu en Ligue 1 avec le Stade Brestois, Anthony Weber ne poursuivra pas l'aventure en Bretagne. En effet, comme nous vous l'annoncions, le défenseur central de 32 ans s'est engagé pour deux saisons, plus une en option, avec Caen, relégué en Ligue 2. À 32 ans, il va connaître son quatrième club après Strasbourg, Reims et Brest.
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Re: [Ex] Anthony Weber

Message par Kaniber »

Alsa'sports a écrit : Anthony Weber s’engage en Régional 1 !
Formé au Racing Club de Strasbourg, puis professionnel au sein du club alsacien entre 2007 et 2009, Anthony Weber s’est engagé en Régional 1 avec le club de Reims-Sainte-Anne. Passé par le Stade de Reims, le Stade brestois et plus récemment le Stade Malherbe de Caen en Ligue 2 BKT, l’ancien Strasbourgeois s’était entraîné avec l’AJ Auxerre durant l’été. Il rejoint un autre ancien de la Ligue 1, Mickaël Tacalfred, joueur du Stade de Reims de 2008 à 2016.
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Re: [Ex] Anthony Weber

Message par fan_racing »

Sachant que son parcours professionnel a vraiment commencé il y a une dizaine d'années avec Reims (2010-2011), on peut dire qu'il quitte le monde pro relativement tôt.
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Re: [Ex] Anthony Weber

Message par Kaniber »

dna a écrit : Anthony Weber, ancien défenseur du Racing : « Je n’ai pas osé appeler Strasbourg »
Formé et lancé en Ligue 2 dans sa ville natale, Strasbourg, Anthony Weber a refermé sa carrière pro cet été. Depuis, le défenseur prépare sa reconversion au Stade de Reims où il s’est révélé. Il suivra de près, sur place peut-être, le duel des deux clubs dimanche (15 h) à la Meinau.
Après avoir mis cet été un terme à une carrière professionnelle de 14 années (2007-janvier 2009 à Strasbourg, janvier 2009-2010 au Paris FC, 2010-2017 à Reims, 2017-2019 à Brest et 2019-2021 à Caen), Anthony Weber, qui évolue en Régional 1 à Reims Sainte-Anne, a commencé à jeter les bases de sa reconversion au Stade rémois.

Pour le défenseur de 34 ans aux plus de 300 matches en pros (100 de Ligue 1 et 185 de L2, dont 4 en Bleu), le Strasbourg - Reims de dimanche (15 h), entre son club formateur et celui où il a franchi un cap, aura un parfum particulier.

Le Strasbourgeois de naissance avait du reste débuté en L2 avec le Racing le 23 avril 2007 contre… Reims en remplaçant un certain Kévin Gameiro dès la 18e minute à la Meinau, sitôt l’expulsion d’Habib Bellaïd. Il n’est pas exclu, d’ailleurs, qu’il prenne place dimanche dans les gradins meinoviens.
Son état de santé ?
« Je ne peux pratiquement plus jouer à cause de soucis de genou et de dos. Sur les six-huit derniers mois, on a tout essayé - infiltrations, anti-inflammatoires, séances de kiné - pour faire partir la douleur, mais en vain. Je me suis fait enlever les trois-quarts du ménisque il y a dix ans et je le paie aujourd’hui. »

Sa fin de carrière ?

« J’ai failli signer à Lausanne-Sport cet été. J’avais donné mon accord pour un joli contrat. J’étais prêt à rempiler deux ans. Je suis allé quatre jours là-bas. J’ai découvert des installations au top, mais aussi que l’équipe jouait sur un terrain synthétique, un élément que je n’avais pas avant de donner un accord verbal. Après un entraînement, mon genou a recommencé à me faire mal. J’avais un peu le cul entre deux chaises, mais l’honnêteté envers le club m’a conduit à ne pas aller plus loin. »

Une décision difficile ?

« Lorsque j’ai décidé d’arrêter ma carrière pro, ç’a été dur deux ou trois semaines. Mais le corps avait dit stop et la tête un peu aussi. Mes deux saisons à Caen avaient été en dents de scie. Mes performances étaient plutôt bonnes quand mon genou allait bien, moins quand il me faisait souffrir. Le moment était venu. »
Son retour à Reims ?

« J’ai vécu à Reims la moitié de ma carrière et mes plus belles années footballistiques. Ma femme Frédérique est de là-bas. Nous nous y sommes mariés, nos filles Romy et Olivia y sont nées. Et j’avais gardé de bonnes relations avec les dirigeants. Il était naturel d’y revenir. J’ai bien songé à appeler le Racing pour voir s’il pouvait m’ouvrir les portes du centre de formation, mais je n’ai pas osé. J’avais plus de visibilité au Stade de Reims. »

Sa signature à Reims Sainte-Anne ?

« J’y ai rejoint mon ex-coéquipier en défense au Stade (de 2010 à 2016), Mickaël Tacalfred. Mais lui aussi est blessé. Le club est en tête de son groupe de Régional 1 et a beaucoup d’ambitions, dont celle de monter en National 3. Il vient de se qualifier pour le 8e tour de la Coupe de France et affrontera Magny, un club de R2. Il n’a pas perdu cette saison. Avec Micka, nous sommes là pour filer un coup de main, mais il faut bien admettre que les joueurs en place sont meilleurs et s’en sortent vraiment mieux sans nous (rire). Nous apportons notre expérience dans le vestiaire et sommes un peu devenus des ambassadeurs du club. Je n’ai joué que deux matches et ne m’entretiens pas. Avec mon genou, un simple footing est devenu une corvée. »

Son début de reconversion ?

« Je n’ai pas de contrat au Stade. Disons que j’y suis en période d’essai pour voir si le métier d’entraîneur me plaît. J’assiste le coach des U13, Pierre Lecheverel. Je suis sur le terrain tous les jours, sauf le jeudi où les gamins ont un jour off et le dimanche, les lendemains de match. Ça se passe bien. J’espère pouvoir préparer mon BEF (Brevet d’entraîneur de football) la saison prochaine. Mais pour cela, il faut entraîner une équipe de foot à 11. On verra plus tard si Reims accepte de m’en confier une. En attendant, je prends tout ce qu’il y a à prendre. »

« Kévin était plus précoce que moi et a débuté chez les pros à une époque plus propice. Il m’a fallu plus de temps pour y arriver, mais quand j’y suis parvenu, le club ne vivait pas la meilleure de ses périodes. Ce n’était pas simple. »

Anthony Weber, de la même génération (1987) que Kévin Gameiro, à propos de ses premiers pas en pros à Strasbourg.


Strasbourg, une histoire inachevée ?

« Forcément ! Strasbourg, c’est ma ville, mon club. Je suis arrivé au Racing à dix ans. J’y ai été pro de 2007 à 2009. Mais on m’a alors fait comprendre qu’on ne comptait pas sur moi. Évidemment, j’ai été un peu déçu que ça ne se passe pas mieux au Racing. J’aurais aimé porter la tunique bleue et blanche bien plus longtemps. »

Des regrets ?

« Non. Car je n’aurais peut-être pas eu ce parcours si j’étais resté à Strasbourg. J’ai écrit une belle histoire à Reims (2010-2017), puis une autre à Brest sur une durée plus courte (2017-2019). Faire partie des grands artisans qui ont permis à ce club mythique qu’est le Stade de Reims de retrouver la Ligue 1 33 ans après (en 2012) a été extraordinaire. Là-bas, j’ai toujours fait partie des cadres, j’ai été vice-capitaine, puis capitaine. C’est une fierté d’y avoir laissé une belle image. Je reste très attaché à mes racines alsaciennes, mais je suis désormais un Alsaco-Champenois. »
« Strasbourg ? Une super belle équipe »

Anthony Weber a beau avoir pris quelques distances géographiques avec Strasbourg, il n’en est jamais bien loin. Très récemment, il est passé chez ses parents y déposer ses filles pour quelques jours de vacances. Et il suit bien entendu de près les résultats d’un Racing dont il connaît bien deux joueurs pour les avoir fréquentés à Brest en 2017-2018.

« Je constate avec plaisir qu’après une première saison un peu délicate au Racing (Ndlr : 9 buts et 3 passes décisives tout de même), Habib Diallo est redevenu le renard des surfaces qu’il était à Brest où, comme à Strasbourg l’an passé, il s’est tout de même parfois retrouvé sur un côté quand Gaëtan Charbonnier jouait en pointe », détaille l’Alsacien. « C’est un mec solide, capable de faire mal dans les duels aériens, de garder les ballons aussi. Quant à Ibou (Ibrahima) Sissoko, il reprend sa progression après avoir un peu marqué le pas la saison dernière. Je suis content pour lui. »

Au-delà de ces deux individualités, l’ancien défenseur axial considère que le Racing « a une super belle équipe » et loue son recrutement. « Reims est un peu à la peine (Ndlr : 2 nuls et 3 défaites lors des cinq dernières journées) et la Meinau n’est pas l’endroit idéal pour se relancer : en ce moment, le Racing y met pilule sur pilule à ses adversaires. En plus, les UB 90 vont fêter leurs 30 ans dimanche et le stade va être en feu. L’an dernier, Strasbourg était avant tout en difficulté défensivement, mais je le trouvais déjà cohérent au milieu et devant. Là, les dirigeants ont recruté intelligemment en enrôlant derrière des mecs ayant l’expérience de la Ligue 1. Ça marche plutôt bien. Surtout, bravo au président Marc Keller d’avoir su engager un entraîneur de poids, Julien Stéphan, pour faire avancer le club. »
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Re: [Ex] Anthony Weber

Message par fan_racing »

Un joueur qui était devenu trop bon et trop ancré dans son club lorsque le Racing recommençait à pointer le bout de son nez en pro. Puis à l'inverse, lorsque le Racing a consolidé une première fois sa défense en L1, Weber commençait à être limite. Il aura eu une belle carrière, dommage que son corps ait dit stop, sinon à 34 ans en défense centrale il aurait encore pu faire cette petite pige à Lausanne.
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