[04/05] 33ème J: Auxerre / RCS - 0/0

[Manu]

et contre Lyon on a rien pris ?

[LORES]

et contre Lyon on a rien pris ?

La statistique officielle c'est un seul but en 7 matchs ...

Pour une équipe destinée à  la descente il y a quatre mois c'est plutôt pas mal !!!

Bravo le racing, bravo Karim et pas trop d'accord pour "on a eu de la moule" ...

La première mauvaise appréciation de cassard ... ses bras bien en avant pour montrer que la balle sort en 6 mètres ... sur le poteau ...
heureusement sans gravité, ça aussi c'est propre aux bons gardiens ...

La plus belle occase d'Auxerre ... la tête de Deroff ...
Bonne soirée à  tous.

[télésupporteur]

auxerre attend de jouer le contre, le racing ne se livre pas = 0:0
bon match de boka, niang et haggui - mon top 3
pagis : court physiquement, mais ce n'est pas surprenant
farnerud : renvoyé à  sa place
abdessadki : commence un peu trop à  penser à  son point de chute

[enzy]

Bon point de pris avec un brin de réussite.

Un peu plus de déchèts dans le jeu que d'habitude.

Farnerud en pleine crise de confiance

Pagis un peu court physiquement

[Manu]

Farnerud en pleine crise de confiance

La puberté : on est tous passé par là ...

[lili]

Encore.......... Ca fait un peu tard.


En ce qui concerne le match, j'ai vu les extraits pas fameux. On l'a vraiment échappé belle avec la tête de Deroff.....
Mais bon c'est 1 point de pris, c'est pas mal.

[argueti]

Un point de grignoté

Il n'a pas été brillant, loin de là . Mais le Racing a au moins confirmé une chose : sa solidité défensive d'ensemble. Et il a grignoté un point précieux à  Auxerre et replacé Caen, le premier relégable, à  six points.

« Si tout se passe mal, on pourrait se retrouver avec seulement cinq points d'avance dimanche soir sur le premier relégable. Et tout serait remis en cause », expliquait l'autre jour Jacky Duguépéroux. Samedi soir, certains de ses ongles ont dû souffrir à  force d'avoir été rongés. Le scénario catastrophe - c'est un peu exagéré peut-être -, prenait forme avec les succès de Caen, d'Ajaccio, de Metz, de Nantes et de Bastia.
« Vu les résultats des autres matches, il fallait se rassurer. Même si on a eu pas mal de réussite et souffert par moments, on rapporte un bon point », dira après la rencontre le coach alsacien, plus soulagé que satisfait au bout du compte. Encore que...

Réussite provoquée

L'important, ce matin, c'est que ce Racing sait et peut désormais se contenter du minimum. Même quand il est en panne d'idées, en panne de jambes, presque incapable de remonter un ballon proprement durant 45 premières minutes très difficiles, il arrive à  ses fins et à  se nourrir d'un point finalement très précieux. Sans trop trembler, même si le poteau gauche de Stéphane Cassard continue à  bouger après deux frappes qui ont croisé sa route.
« Je ne dirais pas que nous n'étions pas en réussite, mais il faut savoir provoquer la chance, explique Cédric Kanté. Toute l'équipe est contente de ne pas avoir encaissé de but. Pour un défenseur, c'est une satisfaction supplémentaire. C'est le troisième match à  l'extérieur de suite (après Nice et Bordeaux) où nous ne prenons pas de but. »
Et seuls les Lyonnais et Wiltord leur en ont inscrit un au cours des sept dernières rencontres.
Les esthètes - encore eux - diront que ce Racing a manqué d'ambition hier soir. A multiplié, comme le souligne Pascal Johansen « les erreurs techniques » en première période.
« On peut être content. Chaque petit espace laissé aux Auxerrrois peut devenir un danger de but. reprend le milieu de terrain. On s'attendait à  ce qu'ils soient fatigués. En fait, ce sont des compétiteurs qui ont conservé le rythme et c'est plutôt nous qui manquions de jambes. On a un petit regret. En fin de partie, nous aurions pu transformer une de nos occasions en but de la victoire. » Un peu exagéré, peut-être...

Le discours de « Dugué »

Mais, dans une fin de saison où le Racing court plus après le maintien qu'après les esthètes et quelque satisfecit sur la qualité de ses productions, Jacky Duguépéroux a le droit d'être comptable vis a vis de ses joueurs. Presque le devoir, même.
« Après une première période où mes joueurs ont passé la plupart du temps à  contester, j'ai remis les choses en place à  la mi-temps. Je leur ai fait comprendre qu'il fallait se reprendre, jouer un autre football et surtout ne pas oublier qu'il nous faut encore trois points pour assurer notre place en L1. »

Dites 41...

Hier soir, les comptables du Racing, donc, en ont pris un. Qui les replace juste devant Metz en 13e position. Un point qui les place théoriquement à  deux points du maintien puisque tout le monde s'accorde à  dire que la barre des 41 points est synonyme de L1 la saison prochaine.
« On reste en tête du peloton des huit équipes qui se battent pour leur maintien », reprend Jacky Duguépéroux alors que Yacine Abdessadki conclut. « On a donné ce qu'on pouvait. Compte tenu des circonstances de jeu difficiles, c'est un très bon point. » Et tellement précieux, on vous l'a déjà  dit...

Pas brillants, mais solides

Le Racing a sûrement manqué de percussion, a paru souvent en panne de mouvement. Mais il rapporte un point précieux de son déplacement en Bourgogne. Et la prestation du duo Kanté-Hagui y est pour quelque chose.

CASSARD () : il a bien fait son travail. Il n'a pas eu d'arrêt décisif à  effectuer. Malgré tout, il est resté concentré et attentif. Et son poteau gauche a fini le boulot en repoussant deux fois le ballon. Il a la chance avec lui. Alors...
DEROFF () : Titularisé à  place de Lacour (ménagé car menacé de suspension pour la finale de la Coupe de la Ligue comme Devaux, 17e hier, et Kanté en cas d'avertissement à  Auxerre), il a d'abord été très ennuyé par les montées de Tainio et la percussion de Kalou, Il a, comme l'écrasante majorité de ses coéquipiers, été à  la peine pour ressortir les ballons proprement. Puis il s'est remis dans le sens de la marche pour une production honnête.
HAGUI () : Hormis une boulette devant Kalou (44e') qui aurait pu faire mal, il est à  créditer d'une bonne première période. Une bonne lecture du jeu, un sens de l'anticipation. Pas mal de présence et un souci de la relance juste. Sa deuxième période a encore été solide.
KANTE () : seul parmi les trois joueurs du Racing susceptibles d'être suspendus le 30 avril en cas d'avertissement à  avoir été titularisé, il a tenu son rang. Parfois avec difficulté, parfois avec brio comme sur ces tacles volontaires, voire décisifs, sur Pieroni (1e') et Lachuer (29e'). Il a été précieux, surtout en fin de match, par son placement et son calme, même si Pieroni lui a donné du fil à  retordre dans les airs.
BOKA () : un début de match difficile puis, après l'entrée en jeu d'Arrache, il a dynamisé le couloir gauche. Encore quelques petites approximations dans son place, mais un match correct.
BASSILA () : une grosse activité défensive, on ne le conteste pas, mais une quantité importante de ballons perdus notamment en première période. S'est sacrifié ensuite pour le collectif.
ABDESSADKI () : un gros travail défensif, mais un manque d'initiative. Un match contrasté.
A. FARNERUD () : il manque de spontanéité sur cette ouverture de Johansen (10e') et il a perdu l'essentiel des ballons qu'il a eu à  jouer. Remplacé par Arrache (38e', ). Un gros travail défensif et une envie louable d'aller de l'avant. A distillé de bons ballons mal exploités par certains de ses coéquipiers.
JOHANSEN () : au moins, lui, il a essayé même s'il perd un ballon dangereux sur une passe mal assurée que Pieroni intercepte et aurait pu bonifier. Il a distribué quelques ballons intéressants, s'est battu. Il a pas mal râlé, mais il n'a pas cessé de tenter de réveiller ses partenaires.
PAGIS () : il n'était pas au mieux. D'ailleurs, presque une preuve, on l'a entendu râler depuis le haut des tribunes du stade de l'Abbé-Deschamps. A son actif, une belle frappe enroulée. A son passif, une passivité inhabituelle en première période. Il a ensuite tenté des choses, mais a été brouillon. Il a semblé émoussé. Remplacé par Mphela (79e').
NIANG () : visiblement touché à  la cheville gauche lors de l'échauffement, il n'a pas eu beaucoup de bons ballons à  exploiter et a souvent joué dos au but. Mais il n'a jamais renoncé faisant passer un mauvais début de soirée à  Grichting et à  Recorbet.

Un point sans exclamation

Aux antipodes de leurs brillants succès à  Bordeaux et contre Marseille, les Strasbourgeois ont sauvé l'essentiel hier à  Auxerre : un 39e point qui les rapproche du maintien en Ligue 1.

Samedi après-midi, avant même, évidemment, d'être informé des succès de Bastia, Caen, Metz, Ajaccio et Nantes en soirée, Jacky Duguépéroux ne masquait pas une certaine inquiétude : « On nous dit tranquilles avec nos huit points d'avance sur le premier relégable, mais si cette 33e journée se goupille mal, nous pouvons très bien n'en compter plus que cinq dimanche soir. Et nous serons alors de nouveau sous pression. » L'entraîneur strasbourgeois ne croyait pas si bien dire. Mais son équipe a, au moins, trouvé les ressources hier soir à  Auxerre pour engranger son 39e point de la saison. Le septième lors de ses trois derniers matches. « Avant de nous déplacer à  Bordeaux et Auxerre, avec, entre-temps, la réception de Marseille, nous aurions rêvé de nous retrouver dans cette situation-là  », positive Pascal Johansen, conscient toutefois, comme ses coéquipiers, que le RCS a livré l'une de ses plus laborieuses productions de l'ère Duguépéroux. Toujours cramponnés à  la treizième place, les Alsaciens, sauvés à  deux reprises par leur poteau gauche (voir ci-dessous), ne possèdent plus que six points d'avance sur le premier relégable à  cinq étapes de l'arrivée 2004-2005. « On peut d'ailleurs se demander à  quelle hauteur se situera la barre du maintien », s'interroge Johansen. « Dugué», qui n'a jamais autant calculé que ces dernières semaines, en a une idée précise : « A ce rythme, 40 points ne suffiront sûrement pas. Il nous faut encore au moins une victoire. Sans ce succès supplémentaire, nous ne serons pas sauvés. Et de toute façon, se satisfaire de 41 points serait révélateur d'un manque d'ambition. Ce soir (ndlr: hier), nous sommes mal entrés dans ce match et la réussite nous a accompagnés. Mais dans un passé récent, nous avions parfois été brillants à  l'extérieur sans rien rapporter. Cette fois, nous repartons avec un point alors que nous n'étions pas bien. Parfois, la chance se mérite. J'ignore pourquoi nous n'avions pas les jambes et pourquoi nous avons manqué de fraîcheur, d'autant que j'avais procédé à  quelques remaniements. Je ne comprends pas. Je suis bien conscient que notre prestation n'a pas été des meilleures. Sur le plan de l'état d'esprit, nous n'étions pas dans le coup. Nous n'avons pas cessé de râler, beaucoup trop à  mon goût. Or, nous ne pouvons pas nous permettre de nous déconcentrer. »

Johansen : « Un manque de justesse technique »

Les remaniements évoqués par le coach ? Jean-Christophe Devaux (17e) et Guillaume Lacour (cantonné au banc), tous deux sous la menace d'une suspension pour la finale de la Coupe de la Ligue en cas de nouvel avertissement, ont été préservés. Cédric Kanté, qui avait lui aussi reçu deux cartons, n'en a pas pris. Sauf expulsion contre Lille, tout le monde sera donc blanchi le 30 contre Caen, puisque Bassila, exclu hier soir en fin de partie, purgera samedi face aux Nordistes. Avec un but encaissé lors des sept dernières journées et aucun depuis 301 minutes (et le but vainqueur du Lyonnais Wiltord à  la Meinau le 19 mars), le club alsacien a, au moins, confirmé hier sa imperméabilité actuelle. Conséquence : « Nous restons en tête du peloton des huit équipes qui luttent pour ne pas descendre », observe Duguépéroux. « Le maintien se rapproche », enchaîne Yacine Abdessadki, « Nous voulions prendre un point pour porter à  sept notre bilan sur les trois dernières rencontres. C'est fait. Nous n'avons pas produit un football attractif, mais nous avons donné tout ce que nous avions pour garder le nul. » « Un point à  Auxerre est traditionnellement un bon résultat, surtout si l'on regarde la physionomie du match », reprend Johansen, « Notre manque de justesse technique nous a obligés à  courir après le ballon. Elle a entraîné un excès de fatigue et un manque de lucidité. » Sans conséquence fâcheuse au final. En d'autres termes, sans manque à  gagner, même si le Haut-Rhinois assure encore « qu'offensivement, il y avait des coups à  jouer. » Il y avait surtout un mauvais coup à  prendre qu'un Racing sans ressort a réussi à  esquiver. C'est tout ce qui compte et tout ce qu'on retiendra.

Un nul bien payé

Hors du coup techniquement et physiquement, le Racing n'a eu qu'un mérite : préserver le point du nul et sa cage inviolée pour la troisième fois consécutive.

Duguépéroux rêvait de prendre 7 points lors des 4 matches du mois d'avril. Le Racing a atteint ce total lors des trois premiers et tentera donc de le bonifier, ce samedi, contre Lille à  la Meinau. Il pourrait ainsi préparer en toute tranquillité sa finale de Coupe de la Ligue contre Caen le 30 avril. Mais pour y parvenir, il devra montrer face aux Dogues dauphins de Lyon autre chose que ce qu'il a produit hier soir à  Auxerre. Entre un manque d'engagement, des passes insuffisamment appuyées ou trop imprécises, un festival de déchets techniques et un jeu au ralenti, le public du stade Abbé-Deschamps n'a jamais pu sortir de sa léthargie en ce printanier dimanche après-midi. Pourtant, au beau milieu de ce concert d'approximations, le Racing s'était offert les meilleures occasions en première période. A la tête de Pieroni (8e) et au tir de Tainio (44e) trop mous pour surprendre Cassard, aux tentatives infructueuses et non cadrées du Belge (coup franc tendu, 13e, tête trop croisée, 19e), du Finlandais (tir mal ajusté, 26e), de Benoît Cheyrou (frappe plongeante au-dessus, 24e) et de Kalou (tir une nouvelle fois hors cadre, 36e), le RCS avait répliqué par trois contres. Mais Farnerud, lancé par Johansen, s'était d'abord fait contrer par Grichting (10e). Puis sur une longue ouverture de Deroff, Niang, qui avait profité d'un raté de Recorbet, avait trop croisé son tir du droit (27e). Enfin et surtout, sur une remontée à  5 contre 4 à  la 33e, Pagis, par ailleurs bien discret, avait allumé une fusée juste au-dessus de la transversale de Cool (33e). Mais ces trois actions tranchantes, qui avaient confirmé la capacité des Bleus à  se montrer dangereux, n'avaient pas suffi à  gommer la piètre impression d'ensemble. Des deux côtés d'ailleurs.

Deroff se fait peur

La deuxième mi-temps fut du même tonneau, autrement dit pas plus enivrante. Le jeu offensif du Racing se liquéfia, sitôt sa 4e et dernière occasion du match, à  la… 48e, quand Abdessadki reprit un centre en retrait de Niang sans trouver la cible. En face, les Bourguignons, même dépourvus de génie et, sans doute, de carburant, auraient pu forcer la décision. Mais Tainio écrasa trop sa demi-volée (47e). Lachuer, décalé par une tête de Pieroni, expédia la sienne sur le petit filet (59e). Et le RCS bénéficia d'un sacré coup de pouce de la chance lorsque le capitaine auxerrois plaça un coup franc excentré sur le poteau gauche de Cassard (61e), puis lorsque – comble du comble - Deroff plaça un « magnifique » coup de tête sur le même montant de son gardien, après un coup franc de Cheyrou dans le paquet (87e). « Sur le coup, j'ai eu très peur de gâcher tous nos efforts», en sourit le latéral droit bas-rhinois dans les vestiaires, « mais la réussite était là , tant mieux. » Malgré l'expulsion de Bassila pour un 2e avertissement à  la 86e, le Racing a donc tout de même bouclé son 3e match consécutif sans but encaissé. Le 3e déplacement de rang, aussi, sans que les filets de Stéphane Cassard ne tremblent. Une bonne soirée donc, à  défaut d'un bon match. Mieux vaut ça que l'inverse.

[PoY]

C'est à  jour pour le Top/Flop

[max67_rcs]

Bon match nul !
Maintenant faut encore gagner contre Lille
et on pourra être à  100% concentré pour la finale !

[Blue_Angel]

Ce serat bien en tous cas de garder la série en cours...3 matches sans défaite ça faisait longtemps que ça nous étaient plus arrivés !