[04/05] 15ème J: RCS / Rennes - 3/1
- Alex Barotchais
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ben a chaque rencontre a chaque fois il y a quelqu'un qui met farnerud dans le top, qu'il joue bien mal 2minutes ou 90.. mais c'est pas moi un modos a qu'a aller verifier aupres de poy, il doit avoir ce genre d'infos.. farnerud je crois pas que je l'ai mis dans le top depuis au moins 2 mois..
anciennement cicouche...
- Alex Barotchais
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LA PHRASE du week-end a été prononcée par Guy Roux, en marge de la défaite de ses hommes à Strasbourg (3-1). «Par moments j'ai eu l'impression de jouer contre le Brésil, mais en alignant l'équipe du Luxembourg». Jacky Duguépéroux, son homologue, «apprécie d'être comparé au Brésil par un connaisseur». (Photo L'Equipe)
L'histoire est en marche ...
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Par ici la bonne soupe !
Grâce à sa troisième victoire consécutive à la Meinau, samedi contre Auxerre (3-1), le Racing a quitté la zone de relégation pour la première fois depuis 11 journées. Un premier pas.
0,444 contre 1,666 : les chiffres sont sans appel. La manière aussi. Le Racing d'Antoine Kombouaré n'avait récolté que 4 points en 9 matches, soit une moyenne de 0,444 pt par journée. En 6 rencontres, l'équipe dirigée par Jacky Duguépéroux en a raflé 10 sur 18. Avant la réception de Nice le 23 octobre, qui marquait le coup d'envoi d'une effrayante série face à 7 des 9 premiers de L 1 (à l'époque), l'heure était à l'inquiétude pour un RCS qui, certes, pour le baptême de « Dugué » aux commandes, avait frôlé sa première victoire à Ajaccio (2-2). Ses 5 premiers rendez-vous avec les cadors de l'élite se sont soldés par 3 victoires (toutes à domicile contre Nice, Bordeaux et Auxerre), une défaite étriquée, mais logique chez le triple champion de France lyonnais (1-0), et un cruel échec à Marseille (2-0) où Cédric Kanté et les autres ont, 50 minutes durant, donné une leçon à des Olympiens fantomatiques dont la rechute à Ajaccio n'étonne personne du côté de la Meinau. « Sur le plan comptable, ça reste très fragile, puisque nous ne devançons Bastia qu'à la différence de buts », tempère l'entraîneur, « et Ajaccio, qui a également gagné, n'est qu'à une longueur. Avoir pris 3 points contre Auxerre nous permet d'être tout juste au-dessus de la ligne de flottaison. Mon discours n'a pas changé : c'est un travail de longue haleine. La qualité de nos adversaires en ce moment (Ndlr : le Racing se déplacera à Lille dimanche, avant d'accueillir Sochaux le 4 décembre) ? Je n'insiste pas dessus auprès des joueurs. Quand on est 17e, 18e, 19e ou 20e, tout le monde, sur le papier, est plus fort que toi. »
« On sort la tête de l'eau, mais ce n'est que la tête »
Il n'empêche. Sans aller aussi loin qu'un Guy Roux qui avouait samedi « avoir eu l'impression de jouer contre le Brésil », ce Racing-là n'a plus le moindre complexe à nourrir. « J'ai dit aux gars qu'ils devaient continuer à faire les efforts et ça commence par la récupération et l'hygiène de vie », insiste le technicien. « Je leur avais déjà martelé à la mi-temps contre Auxerre que le gros danger était de faire preuve de suffisance. C'est toujours d'actualité, même si je leur ai dit aussi de savourer ce 3e succès consécutif chez nous. » Depuis l'avènement de Duguépéroux, le RCS a effectivement évolué trois fois devant son public et signé autant de succès. Une série qui lui permet aujourd'hui de sortir de la zone rouge pour la 1è r e fois depuis la 4e journée. « Oui, on sort la tête de l'eau, mais ce n'est que la tête », constate Yacine Abdessadki, auteur du 1e r doublé de sa carrière. « Le chemin est long. On ne calcule ni le classement, ni la hiérarchie. Si nous avons inscrit 7 buts en 3 matches à la maison face à des gros et gagné trois fois, c'est aussi parce que nous n'avions plus le choix. Mais attention au retour de cric (sic !). Il faut continuer à gagner à domicile. Nous produisons du beau jeu à l'extérieur aussi, mais avec moins de réussite. Cela dit, tant que nous offrirons un jeu comme celui-là , il ne devrait pas y avoir de problèmes. Nous sommes bien physiquement, bien dans la tête et au même niveau que les autres. Ensuite, c'est le mental et la combativité qui font la différence. » Et question mental et combativité, Jacky Duguépéroux n'a jamais rien eu à envier à personne. En un mois et demi, le nouveau coach a forgé un Racing à son image.
Yves Deroff (ischiojambier gauche) reprendra le footing demain ou mercredi. Les absents de longue date, Abdel Fahmi (mollet), Karim Hagui (fracture du 5e métatarse) et Ulrich Le Pen (rupture partielle d'un tendon), ont, eux, déjà tous recommencé à courir. Keita et Johansen suspendus. Comme déjà indiqué, le RCS sera privé dimanche à Lille de Sidi Keita et Pascal Johansen, tous deux suspendus (le premier jusqu'au 4 janvier, le second pour un seul match). Pascal Camadini, entré avant-hier contre Auxerre à la 76e à la place de Salim Arrache (après un mois et demi d'absence), devrait remplacer le Colmarien dans l'entrejeu. « Si j'ai lancé Camadini, ce n'est pas du tout en pensant à Lille », explique Duguépéroux, « mais parce que dans un moment où nous étions en difficulté, j'avais besoin de quelqu'un d'expérimenté pour tenir le ballon. »
REPRISE. - En-dehors de Mouloungui et Dutruel (dos), absents de longue date, les nouvelles de l'infirmerie strasbourgeoise sont encourageantes. Yves Deroff, forfait pour la venue d'Auxerre en raison d'une élongation à l'ischio-jambier gauche, retrottinera à partir de demain.
Hier matin, Abdel Fahmi (mollet), Ulrich Le Pen (cuisse) et Karim Hagui (pied) ont rechaussé les baskets pour un footing, pendant que les titulaires de la veille étaient au décrassage. Pour les trois revenants, la charge de travail ira crescendo cette semaine.
AH ! L'AMERIQUE. - Un correspondant de Sports Illustrated, revue de référence outre-Atlantique, était à la Meinau samedi soir avant de venir à la rencontre des Racingmen hier matin. Son sujet, qui devait à la base traiter de l'AJ Auxerre, a finalement dévié sur le Racing au vu de la performance alsacienne.
« Bien sûr qu'on s'intéresse au foot chez nous, explique le journaliste. Le big boss de Coca Cola Atlanta a même déjà suivi un match du Racing. Ça l'intéresserait de se lancer dans le foot, mais il voudrait un grand stade, des galeries marchandes, etc... » Ça ne vous rappelle rien, ça ?
A LA SOUPE. - Les marmites fumaient, samedi soir, à l'entrée de la Meinau. A l'initiative du président Egon Gindorf et de l'actionnaire Pierre Schmidt, l'opération « soupe de pois - saucisses » a été reconduite pour les supporters strasbourgeois, après le franc succès rencontré l'an dernier. Une excellente initiative, au vu du froid de canard qui sévissait samedi soir...
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« Bien sûr qu'on s'intéresse au foot chez nous, explique le journaliste. Le big boss de Coca Cola Atlanta a même déjà suivi un match du Racing. Ça l'intéresserait de se lancer dans le foot, mais il voudrait un grand stade, des galeries marchandes, etc... » Ça ne vous rappelle rien, ça ?
Qu'il vienne et qu'il investisse je suis preneur