et bomber va pas me chauffer ca va mal se passer ... j'ai encore le droit de dire ce que je veux sans que tu viennes faire ton numero de redresseur de torts ....
a ce demander pourquoi je suis revenu rien a changer ...
[04/05] 9ème J: RCS / Nantes - 0/2
- Stressless
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Je te chauffe?
tu débarques avec ton ton supérieur et tu voudrais passer inaperçu?
belle mentalité.
Tu peux effectivement dire ce que tu veux, mais sans être obligé de descendre les autres. Les veuves eppleurées, les réunions tupperwares,... je n'invente rien. C déjà tendu quand ça va mal au club, alors pas la peine d'en rajouter comme ça.
Tu peux dire ce que tu veux et tu le fais très bien d'ailleurs, mais je n'ai pas du tout apprécié le ton employé vis-à -vis des autres forumistes.
Voilà c tout. Si ça ne te plait pas, c'est pareil.
tu débarques avec ton ton supérieur et tu voudrais passer inaperçu?
belle mentalité.
Tu peux effectivement dire ce que tu veux, mais sans être obligé de descendre les autres. Les veuves eppleurées, les réunions tupperwares,... je n'invente rien. C déjà tendu quand ça va mal au club, alors pas la peine d'en rajouter comme ça.
Tu peux dire ce que tu veux et tu le fais très bien d'ailleurs, mais je n'ai pas du tout apprécié le ton employé vis-à -vis des autres forumistes.
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- argueti
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Le Racing y va tout droit
Ridicules 90' durant, grotesques mêmes par instant face à des Nantais qui se sont amusés, les Strasbourgeois filent tout droit vers la L2. Antoine Kombouaré devrait apprendre son licenciement dans les heures ou au plus tard les jours qui viennent. Il ne peut y avoir d'autre issue.
Ce matin, Antoine Kombouaré n'est plus que l'entraîneur virtuel d'une équipe qui n'existe pas. La défaite d'hier a été celle de trop. Aujourd'hui, demain au plus tard, sa mise à l'écart sera officialisée et le nom de son remplaçant sera annoncé.
Dénouement logique et attendu. Par lui comme par tout le monde. Parce qu'il ne peut en être autrement, parce que le mal est profond et qu'à ce rythme le Racing va devenir la risée de la France du foot, si ce n'est pas déjà le cas.
Parce que depuis le mois de janvier, cette équipe n'est plus que l'ombre d'elle-même. Parce que, enfin, c'est la seule solution possible pour tenter de sauver ce qui peut encore l'être. Autrement dit, les apparences.
« On ne peut pas continuer comme ça »
Ebranlé comme tout le monde par le pitoyable spectacle - ce qui est un très grand mot dans le cas présent, pantomime serait plus juste - proposé hier, Egon Gindorf ne laissait d'ailleurs guère planer de doutes sur l'issue de l'entrevue qu'il aura aujourd'hui avec son futur ex-entraîneur. Même s'il se refusait à affirmer un choix définitif.
« C'est une déception énorme, assénait-il. C'est presque scandaleux de voir comme l'équipe s'est comportée aujourd'hui. On va réagir. Il n'y a pas que les joueurs que l'on peut changer, il y a aussi l'entraîneur. Laissez-moi le week-end, mais c'est sûr qu'on ne peut pas continuer comme ça. C'est lamentable ce qui se passe. Lamentable de voir des joueurs qui ne se battent pas. Et puis, il n'y a plus de jeu, c'est ça la catastrophe. Les joueurs ont couru comme un renard dans le poulailler. N'importe comment. Il n'y a pas de système. Ma déception est énorme, énorme ».
Médiocrité partagée
Pas de système, pas d'âme, pas d'allant, pas d'envie et si peu de talent. Le résumé exact d'une heure et demi d'ennui profond, de médiocrité partagée.
Hier, le Racing a accepté de se soumettre à son infériorité. A accepté ce jeu que de successives solitudes n'ont jamais su emplir et qui se liquéfie encore, comme si c'était possible, journée après journée. Car pire que l'enfer de Dante, sa chute ne connaît décidément pas de fin à son abîme, alors qu'on avait naïvement imaginé que le seuil de l'acceptable avait été atteint au Parc la semaine dernière.
« Je resterai debout »
Comme en 2001, c'est donc un chemin de croix qui est proposé aux spectateurs qui se sont, hier, livré à une bronca que les circonstances exigeaient. Noyant leur colère sous un déluge de sifflets. Comme pour ériger un monument à leur déception.
« Après le but encaissé, on a été incapables de relever la tête, concédait Antoine Kombouaré longtemps après que M. Moulin, au niveau de l'ensemble, a sifflé la fin du match. Peur de jouer, d'être disponible. Nous avons été incapables de demander un ballon dans les pieds. C'est une très grosse déception. Moi, je n'ai pas vu des garçons fatigués physiquement après le match ». Ce qui est assez grave, on en conviendra.
Quant à son avenir, il refusait de voir si loin puisqu'il est dit que c'est désormais une perspective lointaine. Incertaine en tout cas. « Je n'en sais rien. Je travaille. Je vais essayer de redonner une âme à cette équipe, de la confiance. Il faut trouver les remèdes. Si je vais présenter ma démission ? Je me suis toujours bagarré. Je me bagarre avec ceux qui veulent me suivre. Je fais face. J'ai toujours été débout, je resterai debout ».
Antoine Kombouaré est donc un homme qui partira debout.
Le Racing y file tout droit
Le Racing a touché le fond, hier, face à Nantes (0-2). En passant complètement à côté de leur match, les Strasbourgeois obligent désormais leurs dirigeants à prendre des mesures d'urgence.
Cela ne peut certainement pas être pire. Hier soir, le Racing a touché le fond du gouffre face au FC Nantes (0-2), perdant certainement le peu de crédit qu'il lui restait. Face à son ancien club, Antoine Kombouaré a-t-il été l'entraîneur du Racing pour la dernière fois? C'est possible, car après une partie d'une telle médiocrité, les dirigeants se retrouvent désormais au pied du mur. Alors que les supporters entamaient au coup de sifflet final le refrain «zéro, zéro, zéro», l'heure est venue de prendre des mesures d'urgence. Elles sont à présent inévitables. Il faut un électrochoc et la mini-trêve internationale de quinze jours tombe à point. Que d'ennui au cours des 45 premières minutes! Mais quel spectacle affligeant. Le Racing, sensé déjà jouer son va-tout pour son avenir en L1, se retrouve à la mi-temps comme un étudiant devant une copie blanche lors d'un examen. On pouvait attendre d'une formation dos au mur une farouche volonté, un entrain de tous les instants, une pression harassante sur le porteur du ballon adverse. On n'a rien vu de tout ça. Rien, juste une équipe tétanisée, au doute exacerbé, gravement malade. Il ne sert à rien de le cacher.
Le bonjour de Bagayoko
Les Alsaciens se sont tout juste offert deux occasions. D'abord sur un corner de Camadini sur lequel Landreau se troue, Fahmi enlève trop sa tête (21e). Puis un centre de la gauche de Johansen est manqué par le Pen, puis par Pagis, avant d'arriver dans les pieds de Farnerud, seul au second poteau, à 8m. Sa reprise? D'une grande faiblesse, indigne de ce niveau, et repoussée par Landreau (28e). A part cela, le néant, mis à part les passes mal ajustées, les hésitations, les hors-jeu. Le fond du puits... Dans ce désert, Nantes ne brille pas de mille feux. Le ballon vit certes mieux dans ses rangs, mais lorsqu'il s'agit d'approcher la surface adverse, pas grand-monde ne répond à l'appel. Alors, les minutes s'égrènent doucement. Jusqu'à la 35e, où Nzigou récupère une touche de Da Rocha en ligne de fond. Fahmi et Mohma sont au marquage, mais Nzigou parvient d'une talonnade à servir en pleine course Mamadou Bagayoko. Déjà buteur dans son ancien jardin de la Meinau l'an passé avec Ajaccio, le Malien se fait un plaisir de battre Cassard. Jusqu'à la pause, le Racing vit un véritable chemin de croix.
Minés par le doute
La reprise est - malheureusement - du même acabit. Alors que les spectateurs, qui ont bien du mérite, attendent une révolte des Alsaciens, rien ne vient. Minés par le doute, les Strasbourgeois déjouent totalement, incapables d'aligner trois passes consécutives, multipliant les mauvais choix. Antoine Kombouaré a beau siffler le long de son banc pour replacer ses joueurs, rien n'y fait. Les sifflets se font de plus en plus stridents dans les gradins. Nantes n'est pas transcendant, mais le ballon est beaucoup plus vivant dans ses rangs. Normal, la sérénité est y largement plus grande, même si les Canaris ne comptent «que» 9 points. Si Toulalan frappe dans les nuages (50e), avant d'être contré par Camadini (69e), Cassard doit s'interposer avec les poings sur une lourde frappe de Bagayoko (59e). Le Racing, lui, patiente jusqu'à la 64e pour voir Le Pen adresser un centre-tir puissant que capte Landreau. Puis le centre en retrait de Pagis est repris largement au-dessus par Niang (66e), avant que Le Pen n'adresse un centre parfait sur la tête de Fahmi, qui passe une fois de plus au-dessus (74e). Les Strasbourgeois boivent le calice jusqu'à la lie puisque Camadini est très sévèrement expulsé pour une faute tout à fait involontaire sur Toulalan (79e). Yapi rejoint, lui aussi, le vestiaire prématurément, pour un tirage de maillot comme il y en a des dizaines par match. Les Nantais gèrent tranquillement leur affaire, comme lors d'un match amical et remportent leur 3e victoire en 4 matches, Toulalan ajoutant un second but dans les arrêts de jeu. Le Racing, lui, est plus que jamais englué à la dernière place de L1.
C'est vraiment désolant ...
L'histoire est en marche ...
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jetais au match (en quart de virage)
pour moi il faut changer 2 chose et le reste suivra:
-AK n'a plus rien a faire au racing
- il manque une grande geule ou un leader dans cette ekipe qui sache montrer l'exemple ok vous me direz le pen mais quand je lentend dire que c pa un buteur dsl il a peu de quoi???
pour moi il faut changer 2 chose et le reste suivra:
-AK n'a plus rien a faire au racing
- il manque une grande geule ou un leader dans cette ekipe qui sache montrer l'exemple ok vous me direz le pen mais quand je lentend dire que c pa un buteur dsl il a peu de quoi???
...Retrouver une cohésion d'équipe...
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