Sportinvest
- Kriskool
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Malheureusement cette solution ne sera pas facile à mettre en oeuvre : pour augmenter le capital, il faut l'indispensable accord des Graeff, qui ne le donneront pas de sit^^ot car ils roulent pour Kientz !alphons a écrit :ne reste plus qu une solution.....un des 6 autres doit prendre le poste de president...c est 6 doivent investirs plus afin d augmenter le capital..........
Je suppose qu'il en est de meme si Gindorf souhaite céder ses actions.
Il me semble que l'on peut logiquement prévoir la cession du club en faveur de Kientz
Et, avec un peu de mélancolie, peut-etre, le petit prince ajouta : "Droit devant soi on ne peut pas aller bien loin... " Saint-Exupéry.
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Conseil d'administration
Graeff a vendu ses parts
En désaccord avec la politique générale du club, Sébastien Graeff quitte le Racing où il était actionnaire depuis un peu plus d'un an. Il a décidé vendredi soir de vendre ses parts (31,5 %) à Egon Gindorf qui possédera ainsi dans quelques jours 76 % des actions.
Ces temps-ci, les coulisses bruissaient d'une mésentente entre actionnaires. L'histoire aurait pu être une affaire. Elle n'aura pas eu le temps de devenir plus qu'une simple anecdote. Pas même un remous.
« Disons que depuis quelques semaines Sébastien Graeff ne partageait plus nos idées, devance Egon Gindorf. Il nous l'a fait savoir et il n'y a pas de problème avec ça. Entre actionnaires, il arrive que nous ne soyons pas d'accord. C'est même logique. »
A priori, c'est la politique de gestion générale du club et le recrutement qui posaient problème au fils de Bernard Graeff, dont l'ombre a pas mal plané ces derniers mois. Lui, aurait voulu faire plus d'économie. Plus vite. Repenser plus radicalement la politique de formation. Celle de recrutement aussi. Au point d'en faire une question de principe.
« Une décision prévisible »
« Nous avions des divergences, mais il n'y a pas lieu de s'étendre dessus parce que ça reste du domaine de la discussion privée, explique le président du Racing. Comme nous n'étions pas d'accord sur la façon de gérer le club, il était prévisible que Sébastien quitte le tour de table. Nous avons donc entamé des discussions et tout s'est réglé tranquillement, dans un parfait état d'esprit ».
Et c'est vendredi soir que l'accord est tombé. De Nice, Pascal Klein, l'avocat de Sébastien Graeff a envoyé un fax à Egon Gindorf pour l'avertir très officiellement que son client acceptait de lui céder ses 31,5 % des parts à hauteur d'1,1 M€, valeur nominale de l'ensemble. La cession sera officielle cette semaine une fois la transaction légalement effectuée.
Réunion mardi
Voilà donc Egon Gindorf à la tête d'un gros paquet d'actions et d'un groupe réduit à six actionnaires, en attendant l'ouverture du capital annoncée il y a peu (DNA du 4 août). 76 % des actions du club précisément, soit une majorité de blocage (fixée à 75 % par les statuts) à lui seul.
« Mais je ne veux pas garder le tout, continue le fondateur d'Eurodirect. Un actionnaire voulait quitter le tour de table, donc j'ai racheté ses actions pour assurer, mais maintenant, on va réfléchir tous ensemble. Savoir si un des membres de Sportinvest* veut en reprendre toute ou partie ou si un autre actionnaire va nous rejoindre. Enfin, bon, ça n'a rien de très passionnant ni de très spectaculaire ».
« La porte est ouverte »
Mardi après-midi est en tout cas programmée une réunion informelle entre les six hommes qui détiennent les parts du club strasbourgeois pour régler cette question. Et s'il sera beaucoup question de la "redistribution" de ces actions, l'augmentation de capital envisagée cet été sera un autre grand sujet de discussion du jour.
L'idée est en effet d'assurer plus d'assise financière au club strasbourgeois en faisant passer son budget de 24 M€ à 26 ou 27. Donc de faire rentrer un actionnaire supplémentaire dans le tour de table. « La porte est ouverte », dit encore Gindorf. Graeff a, lui, refermé la sienne.
Pascal Coquis
*La société constituée pour racheter le Racing et constituée à l'origine d'Egon Gindorf, Sébastien Graeff, Marc Keller, Patrick Adler, Philippe Ginestet, Pierre Schmitt et Thierry Wendling.
- LORES
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Une bonne nouvelle pour le club ...
ce gars là (GRAEFF) n'a qu'à retourner dans son milieu très "classe" du sud est de la france ...
Ceci permettra à moyen terme d'avoir un groupe d'actionnaire plus homogène et plus soudé peut-être ...
Merci à lui pour la non signature de Iliev (il est seul responsable de ça )
ce gars là (GRAEFF) n'a qu'à retourner dans son milieu très "classe" du sud est de la france ...
Ceci permettra à moyen terme d'avoir un groupe d'actionnaire plus homogène et plus soudé peut-être ...
Merci à lui pour la non signature de Iliev (il est seul responsable de ça )
- argueti
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Pas de guerre de succession
Les actionnaires de « Sportinvest », propriétaire du Racing, se réunissent ce soir à 17 h pour évoquer dans la sérénité le départ du président Egon Gindorf en juin 2005 et une éventuelle augmentation de capital.
« Nous allons connaître une semaine agitée avant la venue de Nantes samedi. » En confirmant dimanche ce qu'il avait annoncé dès sa prise de fonction en mai 2003, à savoir qu'il quitterait la présidence en juin 2005, le président Egon Gindorf a lui-même planté le décor. Tout à l'heure, à 17 h, les six actionnaires « historiques » se réuniront pour envisager un avenir plus serein en coulisses depuis que Sébastien et Bernard Graeff ont revendu leurs parts (31 %) à l'industriel allemand, mais toujours aussi tendu sur le terrain où le Racing ne se distingue que par la lanterne rouge accrochée à ses crampons. Gindorf l'a annoncé : il souhaite revendre une partie des 76 % de « Sportinvest » qu'il détient désormais et demander aux cinq autres actionnaires s'ils sont prêts à aller au-delà de leur investissement initial. Thierry Wendling, patron de TW formation qui intervient au centre de… formation, est clair : « Je n'irai pas plus loin. » Le directeur général Marc Keller tient sensiblement le même discours : « Si je fais un effort, il sera symbolique, mais je n'ai pas la surface financière pour assurer la pérennité du club. À vrai dire, je n'ai pas réfléchi plus que ça à la question, le sportif me préoccupe bien davantage et nous n'allons pas décider des prochaines orientations financières ce soir à minuit. » Impliqué dans le RCS depuis une bonne demi-douzaine d'années, Patrick Adler, patron des radiateurs Adler, avait réduit son investissement en sponsoring maillot dès la saison passée. Et sauf à se laisser convaincre en dernière minute, il n'ira pas plus loin. Restent donc Pierre Schmidt, « l'inischmidtable charcutier traiteur d'Alsace » installé à Weyersheim, et Philippe Ginestet, à la tête de la société immobilière « Eurinvest ». Les seuls, a priori, suffisamment solides pour apporter de nouvelles subsides au Racing. Mais pour l'un comme pour l'autre, l'heure n'est pas à la précipitation. « Je vais attendre de connaître les intentions d'Egon », indique le premier, « Même si nous savions qu'il ne resterait pas après juin 2005, ce qui arrive est un peu brutal. Le différend Graeff s'est réglé plus vite que prévu. Le voeu des 6 actionnaires est de trouver une solution en interne. Pour le moment, je n'ai pas pris de décision. J'attends la réunion de ce mardi. Nous ne sommes pas financièrement à la rue, donc pas à huit jours près. Jusqu'ici, nous avons toujours fonctionné de façon collégiale. Il n'y a pas de raison que cela change. »
« Eviter une nouvelle rupture »
À l'évidence, le club des cinq (plus Gindorf) avance en équipe soudée, conscient que l'ouverture du capital pourrait changer la donne. Il y a 15 jours, les actionnaires minoritaires (24 %) ont convaincu Egon Gindorf de refuser l'entrée de Jacky Kientz (l'ex-président de 1990 à 1992) dans le capital, alors que ce dernier et ses associés souhaitaient acheter 25 % des actions pour 1,2 million d'euros. « Ouvrir le capital pour un million et boucher un trou ponctuel avec est sans intérêt », tranche Philippe Ginestet. « Et je n'émets pas là un jugement sur les hommes. En revanche, l'ouvrir à un grand groupe industriel ou commercial susceptible de fournir de nouvelles et substantielles ressources, sur le modèle lyonnais par exemple, c'est autre chose. À titre personnel, je n'ai pas pris de décision non plus. Ce qui nous gouverne les six, c'est la motivation de voir un jour un grand club à Strasbourg. Notre objectif est de trouver des solutions en interne pour éviter que le Racing, qui en a déjà vécu tellement, ne connaisse une nouvelle rupture, une nouvelle période de vicissitudes. Même dans l'adversité, il doit y avoir une continuité. Les six s'inscrivent dans une démarche collective. Nous sommes tous engagés dans une aventure humaine que nous vivons pour l'instant dans la douleur. Et même si nous ne sommes pas toujours d'accord sur tout, l'unité entre nous est réelle. Que tout le monde le sache : il n'y a pas de course à la succession. » En mai 2003, Egon Gindorf avait accepté la présidence par défaut, les autres candidats potentiels (Patrick Adler notamment) s'étant tour à tour désistés. Cette fois, quelqu'un d'autre va bien devoir aller au feu.
L'histoire est en marche ...
- Alex Barotchais
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moi le seul truc qui me gene c'est le :"quelqu'un d'autre va bien devoir aller au feu", je trouve ça domage, j'aimeraisq bien un gars qui soit heureux d'aller a la presidence du club, pas un gars qui va DEVOIR y aller..
mais sinon c'est bien de voir qu'il reste coherent envers leur politique, mais il faut que les resultats suivent a partir de samedi.
mais sinon c'est bien de voir qu'il reste coherent envers leur politique, mais il faut que les resultats suivent a partir de samedi.
anciennement cicouche...
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graeff
larque a annoncé ce matin sur RMC le désaccord de graeff concernant le recrutement effectué par keller
quelqu'un en sait-il plus
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