Les inscriptions au forum sont rouvertes 
En clair beaucoup de personnes assoiffées de POUVOIR !!!
et l'arrivée d'un nouveau partenaire leur ôterait ce pouvoir, donc le racing restera nul car sans moyens financiers et malgré tout encore avec une image de club "riche" ... qui les empêche d'acheter "pas cher"
Sportinvest
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seb
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Le "vous" n'était pas destiné à l'ensemble des forumistes, mais à Lores et Frantz qui sous-entendait celà ... maintenant j'ai peut être mal interprété les propos de Frantz, mais ceux de Lores en tout cas sont pour le moins clairs.Alsacien2 a écrit : Je ne pense que beaucoup de monde pense cela ici seb ! Nous étions (et sommes je crois encore) tous content de son arrivée, Gindorf est un peu discret bien qu'il se réveille et Kambouaré a encore le soutien du public...
Ni la contradiction n'est marque de fausseté, ni l'incontradiction n'est marque de vérité.
Blaise Pascal
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seb
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Je peux me tromper, mais je pense que c'est un faux procès à Marc Keller... il n'est pas assoiffé de pouvoir ... il a envie de réussir et c'est bien légitime... or le seul moyen de mener une politique à terme est d'être au pouvoir... mais je ne pense pas que ce soit le "pouvoir" pour le "pouvoir... c'est plutot le pouvoir comme moyen...LORES a écrit :En clair beaucoup de personnes assoiffées de POUVOIR !!!
Ni la contradiction n'est marque de fausseté, ni l'incontradiction n'est marque de vérité.
Blaise Pascal
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Frantz
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Quand j'ai dit que je verrais d'un bon oeil le retour de Kintz c'était par rapport à sa gestion et au niveau de l'équipe pendant qu'il était président début des années 90, je pense qu'un peu de sang neuf ne peux pas faire de mal. Après pour ce qui est des histoires de politique politicienne pour savoir qui dirigeseb a écrit :Le "vous" n'était pas destiné à l'ensemble des forumistes, mais à Lores et Frantz qui sous-entendait celà ... maintenant j'ai peut être mal interprété les propos de Frantz, mais ceux de Lores en tout cas sont pour le moins clairs.Alsacien2 a écrit : Je ne pense que beaucoup de monde pense cela ici seb ! Nous étions (et sommes je crois encore) tous content de son arrivée, Gindorf est un peu discret bien qu'il se réveille et Kambouaré a encore le soutien du public...
Si l'Amazonie est le poumon de la terre, Metz en est le trou du cul.
http://rernes.free.fr/
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kranjcar
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- en quoi 1,2 ME vont changer quelque chose?
- l'équipe qui a dû s'incliner face au tandem gindorf/keller, ne recherchent-ils pas le puvoir aussi?
- parce que c'est quand même drôle ces "soutiens inconditionnels" (une habitude au rcs, se pointent toujours au premier grain de sable
- pour moi l'avenir c'est WENGER président et marco reste à son poste
- l'équipe qui a dû s'incliner face au tandem gindorf/keller, ne recherchent-ils pas le puvoir aussi?
- parce que c'est quand même drôle ces "soutiens inconditionnels" (une habitude au rcs, se pointent toujours au premier grain de sable
- pour moi l'avenir c'est WENGER président et marco reste à son poste
Objectif europe
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Alex Barotchais
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johnromyh
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Franchement, en ce moment, la capitalisation du Racing est secondaire. Que Keller et consorts refusent l'arrivée de Kientz et d'autres indésirables est tout à fait logique compte tenu de leurs relations dans un passé proche. Contrairement à ce que Frantz affirme, il y a bien eu jugement et condamnation dans la procédure ouverte contre Kientz. Il a perdu sa culotte et depuis s'est manifestement remis à flot (tant mieux pour lui). De toute façon, l'arrivée d'argent frais n'apporte rien en terme de fonds disponibles, elle assoit les finances du club et le crédibilise auprès des banques. C'est tout.
Kombouaré et Keller devraient plutôt passer leurs loisirs à lire L'Equipe de temps en temps. L'interview d'Anigo d'aujourd'hui a le mérite de la clarté et de la concision ; je cite : "Quand ça ne va pas, il y a un responsable, c'est l'entraîneur, point barre. Il faut arrêter de parler des joueurs, du système. Le système, on l'a changé et il faut du temps d'adaptation à tout le monde. Nous en sommes au sixième match joué et on a déjà fait la révolution, il faut laisser le temps à l'équipe de s'adapter et à ses joueurs de jouer ensemble". Alors, les gars, vous arrêtez quand de taper sur vos salariés et de regarder un peu plus midi à votre porte?
Kombouaré et Keller devraient plutôt passer leurs loisirs à lire L'Equipe de temps en temps. L'interview d'Anigo d'aujourd'hui a le mérite de la clarté et de la concision ; je cite : "Quand ça ne va pas, il y a un responsable, c'est l'entraîneur, point barre. Il faut arrêter de parler des joueurs, du système. Le système, on l'a changé et il faut du temps d'adaptation à tout le monde. Nous en sommes au sixième match joué et on a déjà fait la révolution, il faut laisser le temps à l'équipe de s'adapter et à ses joueurs de jouer ensemble". Alors, les gars, vous arrêtez quand de taper sur vos salariés et de regarder un peu plus midi à votre porte?
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LORES
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A ce jour, WENGER est près d'une poursuite de son aventure anglaise jusqu'en 2008 que d'une arrivée au racing ... 4 ans d'attente au minimum.
Concernant Keller, je ne critique pas plus que cela son travail, mais l'homme, derrière sa facade très "cool", est quelqu'un assez imbu de sa personne ...
Cette attitude sera "normale" lorsqu'il aura réussi ... et ce n''est pas encore le cas, à moins de me prouver le contraire.
cela dit, j'espère qu'il réussisse et dès ce soir avec le début d'un racing battant, voire flamboyant dans quelques semaines...
J'ai toujours pensé qu'il fallait essayer de débuter le championnat à dimicile (avec l'espoir d'une victoire à la clé) pour lancer positivement son championnat ...
Débuter avec une défaite à l'extérieur, met une pression telle sur l'équipe dès son premier match à domicile ...
Je crois encore, malgré tout, que seul la confiance manque aux joueurs... et ça malheureusement il est pas évident de la retrouver dans ce contexte !
Vive le racing et quel que soit les dirigeants !!!
Concernant Keller, je ne critique pas plus que cela son travail, mais l'homme, derrière sa facade très "cool", est quelqu'un assez imbu de sa personne ...
Cette attitude sera "normale" lorsqu'il aura réussi ... et ce n''est pas encore le cas, à moins de me prouver le contraire.
cela dit, j'espère qu'il réussisse et dès ce soir avec le début d'un racing battant, voire flamboyant dans quelques semaines...
J'ai toujours pensé qu'il fallait essayer de débuter le championnat à dimicile (avec l'espoir d'une victoire à la clé) pour lancer positivement son championnat ...
Débuter avec une défaite à l'extérieur, met une pression telle sur l'équipe dès son premier match à domicile ...
Je crois encore, malgré tout, que seul la confiance manque aux joueurs... et ça malheureusement il est pas évident de la retrouver dans ce contexte !
Vive le racing et quel que soit les dirigeants !!!
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Manu
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Kientz voyage léger
L'ancien président du Racing (au début des années 1990), Jacky Kientz, est sorti hier de sa réserve. Lui qui s'était abstenu de commenter nos informations selon lesquelles il avait proposé d'entrer dans le capital du RCS à hauteur de 25 % (et de 1,2 million d'euros) et essuyé un refus des actionnaires actuels l'autre mercredi, a tenu à tordre le cou à une rumeur dont « L'Alsace » s'était fait l'écho dans son édition d'hier. Oui, il a bien, en tant qu'initiateur d'un projet réunissant des investisseurs régionaux, fait cette offre au président Egon Gindorf. Non, il n'a aucune intention d'amener dans ses bagages l'ex-directeur du marketing du RCS Jean-Gilles Lombardo (licencié début 2003 par le précédent président Patrick Proisy) et l'ex-gérant de « Sport Alsace Foot » Paul Giegel. « C'est archi faux. J'ai moi aussi eu vent de cette rumeur, mais je la démens formellement. Jean-Gilles Lombardo (Ndlr : avec qui il travaille cependant) n'est demandeur de rien et n'a aucune intention de changer sa ligne de vie professionnelle. Quant à Paul Giegel, je n'ai plus aucun contact avec lui depuis longtemps. Ces bagages-là vont prendre une autre direction que la mienne. » Cette mise au point change-t-elle fondamentalement la donne ? Peut-être lorsque l'on sait que la cote de popularité de Giegel et Lombardo au RCS frôle le néant. Probablement pas si l'on songe que le fond de l'affaire est ailleurs. Alors que Egon Gindorf (détenteur de 45 % des parts) et Sébastien Graeff (qui, au nom de son père Bernard, en possède 31 %) avaient donné leur feu vert à l'arrivée de J. Kientz et ses associés, le président a fini par reculer — provisoirement ? — devant la levée de bouclier des 5 autres actionnaires (minoritaires à 24 %) : Marc Keller, Patrick Adler, Philippe Ginestet, Pierre Schmidt et Thierry Wendling. Il avait pourtant le pouvoir de faire adopter cette résolution à la majorité des trois-quarts, comme l'exigent les statuts de la société créée par les sept en mai 2003 pour racheter le club à IMG/Mc Cormack. "Sportinvest" avait alors injecté 3,3 millions d'euros.
Vers un nouveau rachat ?
Qu'on ne s'y trompe pas : l'intronisation de Jacky Kientz, à qui Gindorf n'a pas définitivement fermé la porte (« L'Alsace » d'hier), constituerait une première étape décisive dans le rachat du Racing à terme. Un terme que seul le président, encore maître du jeu, semble à même de fixer. A moins, comme c'est probable, que le retour dans le jeu du 1e r président post-Hechter, s'il devenait effectif avant Noël comme l'envisage l'industriel allemand, ne pousse la bande des cinq à quitter le navire et à accélérer le processus. Jacky Kientz et ses partenaires auraient-ils alors la surface financière pour acquérir plus de 25 % des actions ? « La réponse est oui », tranche celui dont Patrick Proisy avait repoussé la candidature de repreneur en mai 2003. « Mais ce n'est pas du tout l'objectif du jour. » À l'époque, Proisy avait avoué avoir reçu une proposition financière plus intéressante que celle de Keller, Adler, Gindorf et consorts. Mais il avait préféré confier les clefs du Racing à son directeur général, son vice-président, son successeur et leurs colistiers. Kientz et ses amis étaient les promoteurs de cette offre de 4,5 millions d'euros. Dix-huit mois plus tard, alors que le club rame sportivement et que son président s'interroge, leur offre, sous une autre forme certes, tient toujours. « Pour l'instant, oui, mais elle ne durera pas éternellement. »
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L'ancien président du Racing (au début des années 1990), Jacky Kientz, est sorti hier de sa réserve. Lui qui s'était abstenu de commenter nos informations selon lesquelles il avait proposé d'entrer dans le capital du RCS à hauteur de 25 % (et de 1,2 million d'euros) et essuyé un refus des actionnaires actuels l'autre mercredi, a tenu à tordre le cou à une rumeur dont « L'Alsace » s'était fait l'écho dans son édition d'hier. Oui, il a bien, en tant qu'initiateur d'un projet réunissant des investisseurs régionaux, fait cette offre au président Egon Gindorf. Non, il n'a aucune intention d'amener dans ses bagages l'ex-directeur du marketing du RCS Jean-Gilles Lombardo (licencié début 2003 par le précédent président Patrick Proisy) et l'ex-gérant de « Sport Alsace Foot » Paul Giegel. « C'est archi faux. J'ai moi aussi eu vent de cette rumeur, mais je la démens formellement. Jean-Gilles Lombardo (Ndlr : avec qui il travaille cependant) n'est demandeur de rien et n'a aucune intention de changer sa ligne de vie professionnelle. Quant à Paul Giegel, je n'ai plus aucun contact avec lui depuis longtemps. Ces bagages-là vont prendre une autre direction que la mienne. » Cette mise au point change-t-elle fondamentalement la donne ? Peut-être lorsque l'on sait que la cote de popularité de Giegel et Lombardo au RCS frôle le néant. Probablement pas si l'on songe que le fond de l'affaire est ailleurs. Alors que Egon Gindorf (détenteur de 45 % des parts) et Sébastien Graeff (qui, au nom de son père Bernard, en possède 31 %) avaient donné leur feu vert à l'arrivée de J. Kientz et ses associés, le président a fini par reculer — provisoirement ? — devant la levée de bouclier des 5 autres actionnaires (minoritaires à 24 %) : Marc Keller, Patrick Adler, Philippe Ginestet, Pierre Schmidt et Thierry Wendling. Il avait pourtant le pouvoir de faire adopter cette résolution à la majorité des trois-quarts, comme l'exigent les statuts de la société créée par les sept en mai 2003 pour racheter le club à IMG/Mc Cormack. "Sportinvest" avait alors injecté 3,3 millions d'euros.
Vers un nouveau rachat ?
Qu'on ne s'y trompe pas : l'intronisation de Jacky Kientz, à qui Gindorf n'a pas définitivement fermé la porte (« L'Alsace » d'hier), constituerait une première étape décisive dans le rachat du Racing à terme. Un terme que seul le président, encore maître du jeu, semble à même de fixer. A moins, comme c'est probable, que le retour dans le jeu du 1e r président post-Hechter, s'il devenait effectif avant Noël comme l'envisage l'industriel allemand, ne pousse la bande des cinq à quitter le navire et à accélérer le processus. Jacky Kientz et ses partenaires auraient-ils alors la surface financière pour acquérir plus de 25 % des actions ? « La réponse est oui », tranche celui dont Patrick Proisy avait repoussé la candidature de repreneur en mai 2003. « Mais ce n'est pas du tout l'objectif du jour. » À l'époque, Proisy avait avoué avoir reçu une proposition financière plus intéressante que celle de Keller, Adler, Gindorf et consorts. Mais il avait préféré confier les clefs du Racing à son directeur général, son vice-président, son successeur et leurs colistiers. Kientz et ses amis étaient les promoteurs de cette offre de 4,5 millions d'euros. Dix-huit mois plus tard, alors que le club rame sportivement et que son président s'interroge, leur offre, sous une autre forme certes, tient toujours. « Pour l'instant, oui, mais elle ne durera pas éternellement. »
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