[Ex] Jean-Christophe Devaux
- Maneo
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Tu trouve ca bien dit? c'est du grand n'importe quoi oui... Un joueur qui sous pretexte gagne pas mal d'argent n'a pas le droit comme les autres d'avoir des souçis d'ordre psychologique, du stress de la fatigue mentale, une dépression etc...Bouh le vilain a écrit :Ca c est bien dit ..
Regardez le joueur du bayern dont je sais plus le nom, le joueur brésilien de Porto.
En tout cas si Kambou l'a fait rejouer, c'est sûr qu'il n'a jamais insulté le club! Il avait besoin de se reposer mentalement et physiquement, c'est un humain non?
- Kriskool
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L'an dernier en début de saison, Jeannot n'avait plus de club et avait quitté le Racing.
Un mois plus tard, Jeannot est de retour. 13 mois plus tard Jeannot en est à quelques centaines de boullettes digne de la CFA en match. On peut m'expliquer quelle mouche a piqué Keller lorsqu'il l'a fait resigner
Un mois plus tard, Jeannot est de retour. 13 mois plus tard Jeannot en est à quelques centaines de boullettes digne de la CFA en match. On peut m'expliquer quelle mouche a piqué Keller lorsqu'il l'a fait resigner
- clod the king
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parce que c'était lui ou deroff ou camadini et on a choisi ... les 3!
"on a tous besoin de croire en quelque chose ... et moi je crois que vais me prendre une autre bière..."
http://www.ht-arena.com/schilik
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- argueti
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Devaux prend le bon wagon
Réduit à la portion congrue avec Kombouaré, le défenseur du Racing a retrouvé une place de titulaire au meilleur moment.
Quand Jean-Christophe Devaux ne va pas bien, il ne cherche même pas à le dissimuler. Plutôt bon camarade d'ordinaire, le défenseur strasbourgeois passe alors, à la sortie de l'entraînement, sans piper mot, la tête enfoncée dans les épaules, la démarche voûtée. Moins il joue et moins il parle. L'ancien Lyonnais préfère parfois ne rien dire plutôt que de risquer d'en dire trop. Son débit de paroles est proportionnel à son temps de jeu, intimement lié à une carrière sinusoïdale depuis son arrivée au Racing en 2000. Ce silence volontaire, « Jeannot » l'assume. « J'ai joué les deux premiers matches à Bastia, puis contre Toulouse (1-4). Ce lourd échec a provoqué ma mise à l'écart. Antoine Kombouaré ne m'a plus trop redonné ma chance. Avec lui, je n'étais plus sur un pied d'égalité avec les autres défenseurs centraux. J'ai fini par rester seul dans mon coin. On ne me voyait plus trop. Vraiment, j'étais dans une période noire. Il fallait que je sois patient. » L'arrivée de Jacky Duguépéroux un peu, les circonstances beaucoup, lui ont redonné à la fois l'espoir et une place. Le 30 octobre à Lyon, Abdel Fahmi, lui-même successeur du Tunisien Karim Hagui (victime d'une fracture du métatarse), se blesse au mollet en 1ère période. Le Marocain tiendra jusqu'à la pause, mais devra renoncer. Le Lyonnais de naissance peut enfin goûter aux joies d'une entrée à Gerland, malgré la défaite 1-0. « Depuis que je suis parti de l'OL où j'ai été formé, c'est la 1ère fois que je jouais une mi-temps complète chez moi, dans ma ville. J'en ai été parcouru de frissons. » Hagui et Fahmi sur le flanc, Devaux, jusque-là considéré comme le 4e défenseur axial, fait, depuis, équipe avec Cédric Kanté. « À son arrivée, le coach (Jacky Duguépéroux) a remis les compteurs à zéro. Du coup, tu sais que si tu te bouges à l'entraînement, tu as une chance de jouer. À Ajaccio déjà (le 16 octobre), j'aurais dû être titularisé sans une blessure au tendon d'Achille. »
« Je fais un peu partie des meubles »
Depuis Lyon, avec ses qualités (le mordant d'un chien de garde) et ses défauts (une vitesse qui n'est pas sans rappeler une pub pour l'internet haut débit narrée par un célèbre journaliste sportif), « Jeannot » Devaux a même enfilé le costume du sauveur en dégageant trois ballons sur sa ligne contre Bordeaux (devant Stéphane Cassard), à Troyes (en suppléant Rémy Vercoutre) et face à Auxerre (en volant encore au secours de Cassard). « Tous ces sauvetages me font un bien fou. Mais ils montrent surtout que nous ne lâchons rien. Nous suivons tous les ballons. C'est ce qui nous manquait en début de saison. Personnellement, je ne doute pas. Je sais ce dont je suis capable. Depuis cinq ans que je suis là , je fais un peu partie des meubles, c'est vrai. Les gens me connaissent, savent comment je suis et qu'ils peuvent compter sur moi. Quand je suis en confiance, j'arrive à me surpasser, à être régulier. » En quatre matches et demi, celui qui semblait condamné à jouer les utilités a pris en marche un train en passe d'atteindre sa vitesse de croisière. Et alors qu'il sera en fin de contrat en juin, il est peut-être, à l'instar d'un Cassard, en train d'inverser une hiérarchie défavorable. Surtout si l'on se réfère aux propos récurrents de « Dugué » qui fait de « la dynamique et l'homogénéité de l'équipe » ses priorités. « Le terme de mon bail ? Je ne gamberge pas dessus. Je sais que si je réalise une bonne 2e partie de saison, ça peut tout changer. Avec tous les matches à venir, Coupes comprises, nous ne serons pas trop de quatre, entre blessures et suspensions, pour deux places. Je sais que je dois être à 100 % et que j'ai moins droit à l'erreur que certains. Mais je suis revanchard et mon objectif est de jouer au maximum. Comme souvent ces dernières années, on s'apercevra, au bilan de fin de saison, que j'ai rendu des services et que je suis toujours là . »
L'histoire est en marche ...
- seb
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On va refaire le vieux débat de Vercoutre / Cassard...
Mais de mon côté, bien que j'ai beaucoup d'affection pour notre Jeannot, quand Haggui sera de retour à son niveau d'avant blessure, faudra le faire jouer.
Mais de mon côté, bien que j'ai beaucoup d'affection pour notre Jeannot, quand Haggui sera de retour à son niveau d'avant blessure, faudra le faire jouer.
Ni la contradiction n'est marque de fausseté, ni l'incontradiction n'est marque de vérité.
Blaise Pascal
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