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[Ex] Jean-Christophe Devaux
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seb
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Je suis super surpris de ta réponse FM75
D'habitude j'adhère à tes raisonnements. Mais là , préférer Devaux à Fahmi, c très très surprenant.
Rappelle toi du début de saison catastrophique de Devaux. Et puis Fahmi, sérieux, au racing il a peut être fait 2 bourdes. (ce qui est certes trop pour un défenseur central). Mais sinon moi je le trouve tout simplement énorme.
Un placement impressionant, du calme dans la relance (parfois trop, je préfererais qu'il balance), présent sur l'homme, fort de la tête. Et il apporte sur les coups de pied arrêtés ou son jeu de tête peut etre dangereux pour l'adversaire.
Devaux au contraire c le buldozer. Bon sur le bonhomme... mais c vraiment tout : souvent mal placé, se demandant où aller sur le terrain, pas de jeu de tête, pas de vitesse de déplacement, pas d'apport offensif, les pieds carrés.
Comme je le disais, en L2 il faisait illusion. Mais depuis... plus rien !
On aurait juste pas du faire de charité et pas le faire resigner.
D'habitude j'adhère à tes raisonnements. Mais là , préférer Devaux à Fahmi, c très très surprenant.
Rappelle toi du début de saison catastrophique de Devaux. Et puis Fahmi, sérieux, au racing il a peut être fait 2 bourdes. (ce qui est certes trop pour un défenseur central). Mais sinon moi je le trouve tout simplement énorme.
Un placement impressionant, du calme dans la relance (parfois trop, je préfererais qu'il balance), présent sur l'homme, fort de la tête. Et il apporte sur les coups de pied arrêtés ou son jeu de tête peut etre dangereux pour l'adversaire.
Devaux au contraire c le buldozer. Bon sur le bonhomme... mais c vraiment tout : souvent mal placé, se demandant où aller sur le terrain, pas de jeu de tête, pas de vitesse de déplacement, pas d'apport offensif, les pieds carrés.
Comme je le disais, en L2 il faisait illusion. Mais depuis... plus rien !
On aurait juste pas du faire de charité et pas le faire resigner.
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FM17
- Président@Directoire
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- Enregistré le : 23 mai 2003 8:21
- Localisation : Saujon (17)
Merci, preuve que tu connais bien le foot...lolseb a écrit :Je suis super surpris de ta réponse FM75
D'habitude j'adhère à tes raisonnements.
Devaux est un vrai 4 comme on l entend, marquage à la culotte, bon de la tête etc etc...IL se trouve que l an dernier il avait été pratiquemment le meilleur joueur du Racing, pour preuve beaucoup d entre nous voulaient qu il reste (et le Staff aussi visiblement...)
Kanté a explosé (pourtant j en doutais...), Devaux a été blessé, Drobny aussi et Fahmi est arrivé...On a 4 défenseurs centraux pour 2 places et on est en pénurie à droite (dès le début de saison j avais peur pour ce côté d ailleurs...)
Devaux peut dépanner encore et je me dis que faire resigner Fahmi alors qu il n a plus que 6 mois de contrat peut être débile (cf Camadini) alors que le défense centrale type devrait être Kanté-Drobny...
Devaux est plus jeune, peut être revendu plus facilement (Bordeaux était dessus en début de saison). Fahmi n a pas démérité pour autant je te l accorde...
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
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Merwan
- Responsable marketing @Directoire
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- Enregistré le : 1 juin 2003 18:18
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seb
- Entraineur adjoint@Staff
- Messages : 1724
- Enregistré le : 18 juil. 2003 17:38
- Localisation : Strasbourg
Ok ok... je comprend mieux ton raisonnement.
Cela dit, dans ton post précédant, tu disais préférer Devaux à Fahmi. Ct ça qui était très étrange.
Par contre dire qu'il vaut mieux pas signer un joueur de 30 ans, je peux que te rejoindre sur le principe.
Si on a la possibilité de faire maturer la charnière Drobny - Kanté, ce serait idéal. Mais j'y crois pas vraiment personnellement. Kanté va partir.
Donc je réitère, Fahmi me semble nettement plus sécurisant que Devaux.
Cela dit, dans ton post précédant, tu disais préférer Devaux à Fahmi. Ct ça qui était très étrange.
Par contre dire qu'il vaut mieux pas signer un joueur de 30 ans, je peux que te rejoindre sur le principe.
Si on a la possibilité de faire maturer la charnière Drobny - Kanté, ce serait idéal. Mais j'y crois pas vraiment personnellement. Kanté va partir.
Donc je réitère, Fahmi me semble nettement plus sécurisant que Devaux.
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argueti
- Sélectionneur@InfosRacing
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- Enregistré le : 16 mai 2003 23:27
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Jean-Christophe Devaux
Devaux ne fait plus la tête
Revenu à reculons au Racing fin juillet alors qu'il avait tiré un trait sur Strasbourg, le défenseur Jean-Christophe Devaux refait surface après une longue période de doute.
On l'a redécouvert ou presque l'autre samedi contre Auxerre. Pour ceux qui l'avaient oublié, lui le premier peut-être d'ailleurs, Jean-Christophe Devaux est toujours strasbourgeois. Et en cette période où la défense prend l'eau et est surtout perturbée par les blessures (Kanté out jusque fin février au moins, Drobny tout juste rétabli), « Jeannot » a retrouvé une chance qu'il n'avait plus eue depuis belle lurette. Depuis, en fait, qu'après des prestations mi-figue mi-raisin, reflets de ses difficultés d'adaptation à la zone préconisée par Antoine Kombouaré, une blessure à la voûte plantaire l'avait mis sur le flanc fin octobre. Strasbourgeois, le Lyonnais de naissance (28 ans, 109 matches en Ligue 1) a bien cru ne plus l'être l'été passé. Libre en juin, il avait rompu les négociations pour une prolongation, estimant insuffisante la proposition du Racing. Lui, homme de base du schéma à deux stoppeurs dessiné par Ivan Hasek (56 matches de championnat sur 76 entre 2001 et 2003), aspirait à davantage.
“ Je fais de la sophrologie”
Mais, dans un marché morose où la liberté recouvrée devient plus souvent, hormis pour les stars, facteur de précarité que de certitude, il s'est retrouvé le bec dans l'eau et a fini, juste avant la reprise, par revenir à reculons à Strasbourg, pour un nouveau bail de 2 ans. « J'avais fait une croix sur le Racing. Ça m'emm… de partir comme ça après une remontée et un bon maintien en L 1. Mais j'avais tourné la page. Rater la préparation d'avant-saison m'a fait du tort. J'ai mis du temps à retrouver l'esprit d'équipe. Je fonctionne beaucoup au mental et quand je suis déçu par quelque chose ou quelqu'un, ça influe sur mon physique, j'en suis convaincu. » Réputé — à juste titre — intransigeant sur l'homme, Devaux appartient à cette race de joueurs qui a besoin d'être au top de sa condition pour exprimer son potentiel. « Ma blessure à la voûte plantaire, je la traînais depuis le début de saison. Je suis persuadé que mes pépins physiques découlent directement de mes difficultés morales. Alors, je me suis remis en question. Il y a trois mois, j'ai repris une technique que j'avais expérimentée l'an passé, mais que j'avais abandonnée : je me suis adressé à un sophrologue. Ça me fait beaucoup de bien. Je regarde désormais les cassettes vidéo de mes matches pour analyser ce que je dois encore améliorer. » Depuis sa dernière apparition d'une mi-temps contre Bordeaux le 28 octobre en Coupe de la Ligue (0-1), « Jeannot » a ainsi pris son mal en patience, guettant l'ouverture. « Sincèrement, j'espérais déjà être titularisé le 10 janvier à Guingamp. Je suis entré 20 minutes là -bas, c'était bien. Contre Auxerre, malgré les circonstances (le décès de l'espoir Fabrice Viau a été annoncé aux pros le matin du match), j'ai tout donné. En début de saison, le coach m'a offert ma chance. Je ne l'ai pas saisie. Aujourd'hui, je bosse à l'entraînement pour m'adapter à son système. J'espère avoir marqué des points face à Auxerre. Je veux le convaincre de me refaire confiance. En revenant à Strasbourg fin juillet, je me suis renfermé sur moi-même. Dans la tête, je ne me sentais plus strasbourgeois. J'ai mal vécu de ne pas jouer. J'avais mal au coeur de voir qu'on ne comptait pas trop sur moi. Clairement, je faisais la gueule. » Une explication d'homme à homme plus tard, « Jeannot », qu'une prochaine première paternité rendait par ailleurs très heureux, a accepté de balayer devant sa porte. « Je suis un compétiteur. J'aime les duels. Même si un bobo perturbe ma semaine d'entraînement, je suis toujours à fond quand j'entre sur le terrain. »
Revenu à reculons au Racing fin juillet alors qu'il avait tiré un trait sur Strasbourg, le défenseur Jean-Christophe Devaux refait surface après une longue période de doute.
On l'a redécouvert ou presque l'autre samedi contre Auxerre. Pour ceux qui l'avaient oublié, lui le premier peut-être d'ailleurs, Jean-Christophe Devaux est toujours strasbourgeois. Et en cette période où la défense prend l'eau et est surtout perturbée par les blessures (Kanté out jusque fin février au moins, Drobny tout juste rétabli), « Jeannot » a retrouvé une chance qu'il n'avait plus eue depuis belle lurette. Depuis, en fait, qu'après des prestations mi-figue mi-raisin, reflets de ses difficultés d'adaptation à la zone préconisée par Antoine Kombouaré, une blessure à la voûte plantaire l'avait mis sur le flanc fin octobre. Strasbourgeois, le Lyonnais de naissance (28 ans, 109 matches en Ligue 1) a bien cru ne plus l'être l'été passé. Libre en juin, il avait rompu les négociations pour une prolongation, estimant insuffisante la proposition du Racing. Lui, homme de base du schéma à deux stoppeurs dessiné par Ivan Hasek (56 matches de championnat sur 76 entre 2001 et 2003), aspirait à davantage.
“ Je fais de la sophrologie”
Mais, dans un marché morose où la liberté recouvrée devient plus souvent, hormis pour les stars, facteur de précarité que de certitude, il s'est retrouvé le bec dans l'eau et a fini, juste avant la reprise, par revenir à reculons à Strasbourg, pour un nouveau bail de 2 ans. « J'avais fait une croix sur le Racing. Ça m'emm… de partir comme ça après une remontée et un bon maintien en L 1. Mais j'avais tourné la page. Rater la préparation d'avant-saison m'a fait du tort. J'ai mis du temps à retrouver l'esprit d'équipe. Je fonctionne beaucoup au mental et quand je suis déçu par quelque chose ou quelqu'un, ça influe sur mon physique, j'en suis convaincu. » Réputé — à juste titre — intransigeant sur l'homme, Devaux appartient à cette race de joueurs qui a besoin d'être au top de sa condition pour exprimer son potentiel. « Ma blessure à la voûte plantaire, je la traînais depuis le début de saison. Je suis persuadé que mes pépins physiques découlent directement de mes difficultés morales. Alors, je me suis remis en question. Il y a trois mois, j'ai repris une technique que j'avais expérimentée l'an passé, mais que j'avais abandonnée : je me suis adressé à un sophrologue. Ça me fait beaucoup de bien. Je regarde désormais les cassettes vidéo de mes matches pour analyser ce que je dois encore améliorer. » Depuis sa dernière apparition d'une mi-temps contre Bordeaux le 28 octobre en Coupe de la Ligue (0-1), « Jeannot » a ainsi pris son mal en patience, guettant l'ouverture. « Sincèrement, j'espérais déjà être titularisé le 10 janvier à Guingamp. Je suis entré 20 minutes là -bas, c'était bien. Contre Auxerre, malgré les circonstances (le décès de l'espoir Fabrice Viau a été annoncé aux pros le matin du match), j'ai tout donné. En début de saison, le coach m'a offert ma chance. Je ne l'ai pas saisie. Aujourd'hui, je bosse à l'entraînement pour m'adapter à son système. J'espère avoir marqué des points face à Auxerre. Je veux le convaincre de me refaire confiance. En revenant à Strasbourg fin juillet, je me suis renfermé sur moi-même. Dans la tête, je ne me sentais plus strasbourgeois. J'ai mal vécu de ne pas jouer. J'avais mal au coeur de voir qu'on ne comptait pas trop sur moi. Clairement, je faisais la gueule. » Une explication d'homme à homme plus tard, « Jeannot », qu'une prochaine première paternité rendait par ailleurs très heureux, a accepté de balayer devant sa porte. « Je suis un compétiteur. J'aime les duels. Même si un bobo perturbe ma semaine d'entraînement, je suis toujours à fond quand j'entre sur le terrain. »
L'histoire est en marche ...
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Invité
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Maneo
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FUPERMAN
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- Enregistré le : 27 déc. 2003 10:00
C'est bizarre. J'ai jubilé en début de saison lorqsue j'ai appris que Devaux avait finalement prolongé chez nous. Mais franchement, cette histoire de "Je faisais la gueule" me fais mal quelque part. Comment un footballeur professionnel, qui gagne bien sa vie (il doit pas être loin des 30.000 limite), qui évolue dans un club qui lui a donné sa chance et lui a permis de se refaire un nom sur la scène nationale, peut-il se permettre de faire la gueule? Je suis désolé, mais je trouve cette attitude totalement irrespectueuse à l'égard des supporters qui gagnent parfois 30 fois moins et se déplacent au stade 3 fois par mois.
Si j'avais la chance d'être footballeur professionnel, je me défoncerais tous les jours à l'entraînement, et je me remettrais en cause tous les matins, quelles que soient les circonstances, remplacant ou titulaire. C'est ça, être professionnel. Alors Jean-Christophe, je suis heureux de te voir revenir à ton meilleur niveau, mais cette fois-ci restes-y! Car nous autres, les supporters, n'aimons pas être pris pour des veaux de six semaines!
Si j'avais la chance d'être footballeur professionnel, je me défoncerais tous les jours à l'entraînement, et je me remettrais en cause tous les matins, quelles que soient les circonstances, remplacant ou titulaire. C'est ça, être professionnel. Alors Jean-Christophe, je suis heureux de te voir revenir à ton meilleur niveau, mais cette fois-ci restes-y! Car nous autres, les supporters, n'aimons pas être pris pour des veaux de six semaines!
