Pascal Camadini

[kranjcar]

Non retenons surtout son transfert surfacturé et le pognon partagé leroy/agent/camadini!

[fan_racing]

Fallait-il maintenir Jacky Duguépéroux qui, même en pratiquant un bon football, est descendu en 2005-2006 avec une équipe dernière ou presque du début à  la fin ? Fallait-il garder Jean-Pierre Papin alors que toute la saison – et je m'en souviens très bien parce que je jouais – on nous a répété qu'en jouant ainsi comme des pieds, nous ne monterions jamais ? Fallait-il conserver Jean-Marc Furlan qui a fait descendre l'équipe et n'a pas pu la faire remonter ? Quant à  Gilbert Gress, ce n'est pas Philippe qui l'a choisi. Les gens oublient tout ça. Après coup, il est toujours facile de porter un jugement.

Mais lol quoi. Ah ce Dugué, quel incapable de n'avoir pas sur maintenir cette équipe, qui la saison passée avait réalisé un parcours de haut de classement Ligue 1 sous ses ordres. Par contre, quand on descent avec Furlan avec quelques épisodes de beau jeu, c'est normal qu'on le maintienne ; très anormal par contre quand on rate la montée d'un point. Je ne parle plus de Gress, qui évidemment s'est mis en rogne tout seul pour se décrédibiliser, sans que Ginestet n'ait quoique ce soit à  voir là -dedans.

Les gens se plaignent depuis des années, mais no problème le Présidieu a fait des supers choix.
Encore un brillant coordinateur en devenir !!!

[argueti]

Janin et Camadini bossent déjà  ensemble

Comme il le déclarait déjà  dans le dernier « Alsace Lundi », l'entraîneur strasbourgeois ne perçoit pas la nomination de Pascal Camadini comme un coup de canif dans ses prérogatives. « Un coordinateur sportif permet d'avoir un Å“il extérieur. Moi, j'ai la tête dans le seau tous les jours, concentré sur la vie de mon équipe. Je n'ai peut-être pas toujours le recul que lui peut avoir. J'accepterai d'autant mieux ses observations que c'est un ancien joueur. Sa mission est complémentaire de la mienne. Dans tous les clubs existe un rôle comme celui-là , qu'on le nomme directeur sportif, coordinateur ou conseiller du président. Pascal ne me dit pas :'' Ce matin, on fait ceci à  l'entraînement, l'équipe sera celle-ci.'' Je ne l'aurais d'ailleurs pas accepté en ces termes. Mais tel que c'est présenté et fait, ça me paraît davantage être un plus qu'un moins. »

[FM17]

il est payé combien pour faire ce taff qui ne sert à  rien ???????????? Mais filez moi 10.000€ et je serai là  à  3 entrainements par semaine et je dirai à  Janin qui semble à  la rue "Sors Marcos, Mets Lacour latéral, donne le brassard à  Bellaid etc etc..." c est beau comme taff d avoir du recul... En tout cas, Camadini se sera fait du pognon avec (ou sur le dos..) le Racing ! "les copains d abord...lalalala lala lala"

[NéRiK]

Clair c'est pathétique. Il a vraiment trouvé la planque le Camadini. Et Janin complement dépassé qui a encore besoin d'aide.

[Keating]

J'aurais dû faire "pote à  Ginestet" comme boulot ... j'ai raté mon orientation ...

[silex57]

C'est clair que ça a l'air rentable ! Reste que à  la base une fonction de ce type n'est pas inutile dans un club de foot, à  savoir si Camadini est le mieux placé pour l'occuper ....

[Stan]

C'est juste risible.

[Pinon]

Le pacificateur corse

Pascal Camadini, l'ancien milieu de terrain strasbourgeois, fait désormais partie de l'encadrement de l'équipe pro du Racing. Officiellement coordinateur depuis une quinzaine de jours, il s'efforce de redonner de la vitalité au dernier de la L 2.

Il s'est agi de la principale décision intervenue dans le sillage de crise du mois de septembre, déclenchée par une nouvelle défaite du Racing, sur le terrain du dernier, Clermont, dans de larges proportions (3-0). Alors qu'il s'était intégré dans le décor à  la faveur d'un stage pour faire valider une formation universitaire dans le cadre de la faculté de Lyon, Pascal Camadini a été nommé coordinateur sportif par Philippe Ginestet, le président du Racing.
Voilà  l'ancien milieu strasbourgeois (159 matches, une coupe de France, en 2001, et de la Ligue, en 2005, sous le maillot du Racing) au chevet d'un mourant un peu moins inquiétant depuis, dans le sillage de deux matches qui, a défaut de faire avancer, rassurent un peu. On pourrait croire que tout a changé pour lui. Mais dans le fond, rien n'a changé.

« Employé du Racing, non pas de son président »

Il a juste déplacé son air riant et son accent chantant un peu plus près du groupe pro, qu'il suit en déplacement et au quotidien à  l'entraînement. Avec son contrat de deux ans, il est d'ailleurs un étudiant-salarié en quelque sorte et en est quitte pour parfaire ses connaissances au retour de sa journée de travail.
« Je suis employé du Racing et non pas de son président, précise-t-il d'ailleurs, pour couper court au débat qui le décrit avant tout comme un proche du numéro un du club. Je suis en contact au quotidien avec Jean-Luc Herzog (ndrl : le président-délégué) et Pascal Janin, pas avec Philippe Ginestet. J'ai été surpris par le débat lié à  ma relation au président. Il ne semble pas anormal qu'il s'appuie sur des hommes de confiance. Il n'y a pas qu'au Racing que cela fonctionne ainsi. »
Concrètement, Pascal Camadini n'entend pas jouer l'oeil de Moscou, comme son prédécesseur, Fehrat Khirat, en avait la réputation. Se refusant à  s'immiscer dans le pré-carré de Pascal Janin, l'entraîneur, il s'efforce de « décharger un staff technique réduit de tout ce qui ne tient pas au sportif. »

« Je suis de l'autre côté pour considérer que la bouteille est à  moitié pleine »

« Je m'interdis totalement d'intervenir au niveau technique ou tactique, mais l'activité ne manque pas pour autant, explique-t-il. Je gère en fait tous les à -côtés, comme les mercredis du foot par exemple. » Il y a un lien aux différents services du club à  entretenir, il y a surtout un moral en charpie à  reconstruire.
Le Corse de naissance tient un discours résolument optimiste aux joueurs sans victoire depuis le début de saison. Et il veut croire que « le pire est derrière nous ». « Je positive, je me dois de réagir comme ça, même si je sais qu'il faut confirmer le mieux de ces dernières semaines sans tarder, conclut-il. On doit positiver, sinon, on va dans le mur. Il y a suffisamment de gens payés pour voir la bouteille à  moitié vide. Je suis de l'autre côté, pour considérer qu'elle est à  moitié pleine. » Une victoire au plus vite aiderait à  le rendre un peu plus convaincant en la matière.

[silex57]

Maintenant qu'il est là  on ne peut qu'espérer que sa présence fasse du bien au groupe !