[22/23] 15ème J : Strasbourg / Lorient - 1/1

[Kaniber]

Une chose et sur s'il ne gagne pas contre Lorient il aura des changement ,je souhaite pas avec l'entraineur , il y d'autre façon de changer quelques chose dans cette équipe ,la je vais a Dinsheim pour me changer les idée ,et surtout que l'on me parle pas du racing .

[télésupporteur]

je pense que JS va remette la même équipe en jouant sur l'orgueil
le changement de système en renforçant le milieu sera à préparer pendant la trêve

[Matt67]

Après le match de Paris je donne mon pronostique.

Je te donne le mien.
Défaite 1 à 3.

[Kaniber]

Matt si Paris a gagné contre eux le racing le pourra aussi 2-1 .

[PoY]

C'est vrai que Paris et le Racing ont le même niveau
Faut ptet descendre de ton nuage à un moment

[Matt67]

Lorient est beaucoup trop rapide et technique pour nos défenseurs qui ont oublié toutes leur saison dernière durant l'été.
Maintenant messieurs, arrêtez les belles paroles devant les micros, nous voulons des actes, mettez vous à refaire votre métier correctement, vous êtes payés pour cela .
Quand aux dirigeants, il faudra rattraper vos erreurs de gestionS pour que des le début Janvier, arrivent 2 ou 3 joueurs capables de redynamiser cette équipe et de construire derrière Selz et Gameiro un maintien que tout un peuple alsacien attend après les 3 premiers mois d'une saison complètement ratés.
Allez Racing.

[Kaniber]

le spectre d’une Meinau frondeuse

Après les sifflets entendus à la pause le 29 octobre contre Marseille et la colère des 200 fidèles qui s’étaient déplacés samedi à Ajaccio, les supporters du Racing, ulcérés par les résultats et la manière, se préparent à secouer leurs joueurs ce dimanche (17h05) à la Meinau contre Lorient.
« Les gentils supporters qui applaudissent à la fin quel que soit le résultat, c’est terminé. Sur ce qu’ils ont montré ces derniers temps, les joueurs ne respectent pas les valeurs du club. Le sentiment qui prévaut aujourd’hui dans toutes les associations, c’est la trahison. »
Ces propos sont ceux d’un supporter emblématique du Racing qui préfère rester dans l’ombre. Ils prolongent le courroux entendu à la mi-temps contre Marseille le 29 octobre (0-2), atténué par la réaction d’orgueil des Bleus après le repos (2-2) et de nouveau attisé samedi à Ajaccio par un scénario que beaucoup ont vécu comme une humiliation.
Au stade François-Coty, les Racingmen menaient 2-0 à la 17e minute, avant de sombrer corps et surtout âme dans le Golfe en encaissant quatre buts en un quart d’heure en fin de première période (4-2, score final). Le ton est monté dans les vestiaires à la pause, puis le silence s’est fait dans le parcage à vingt minutes de la fin lorsque les 200 inconditionnels strasbourgeois ont cessé leurs encouragements.
Ajorque : « On n’a pas fait le job »
Au coup de sifflet final, certains Racingmen ont eu le courage d’aller échanger avec eux. « Ils étaient en colère. C’est normal, constatait quelques instants plus tard l’attaquant Ludovic Ajorque. Ils ont fait le déplacement, pris l’avion et tout fait pour être avec nous. Alors, quand tu mènes 2-0 et qu’à la fin, tu perds 4-2, bien sûr qu’il faut aller leur parler. Mais bon, pour dire quoi aussi ? C’est ça, le problème. Sur le terrain, on n’a pas fait le job. »
Depuis, les “Ciel et Blanc” se préparent à être chahutés dimanche (17h05) contre Lorient à la Meinau. « Ils peuvent s’attendre à l’être », confirme notre témoin. Des banderoles sont en préparation. On n’en sait pas plus – et le club non plus – sur le mode opératoire que les UB 90, animateurs du kop, ont visiblement choisi de taire.

De quoi raviver quelques vilains souvenirs chez le capitaine Dimitri Liénard, arrivé au Racing à l’été 2013 et qui y boucle sa dixième saison. Depuis la liquidation judiciaire de l’été 2011 et la chute en 5e division, ils ont été rares, mais marquants.

« Contre Amiens, lors de la saison de National où nous devions redescendre et avons été repêchés (0-1 à la Meinau le 28 mars 2014), c’était très chaud, rembobine le Belfortain. Nous enchaînions les rencontres sans victoire (10 au total, ndlr). Après ce nouvel échec, les supporters étaient à bout et nous attendaient, très énervés, sur le parking. Quelques joueurs n’avaient même pas pu reprendre leur voiture. C’est mon plus mauvais souvenir ici. »

« Quelques joueurs n’avaient pas pu reprendre leurs voitures »
L’ire populaire éclatera encore le 23 mai lors du baisser de rideau 2013-2014 contre le Red Star (2-2), alors que la relégation, finalement annulée sur tapis vert, est consommée. Les banderoles fleurissent alors : « En enfer ! Trahison ! »
Jamais plus depuis, le degré d’exaspération n’a atteint cette ampleur. « Même la première année de Ligue 1 où nous n’avons pas gagné pendant onze matches, ils ne nous ont pas lâchés, rappelle “Dim”. Ce qu’ils veulent, c’est une équipe engagée, déterminée, pleine d’allant, de dynamisme et de caractère. Une équipe qui mouille le maillot et ne se laisse pas marcher dessus. »

Le milieu reconverti latéral gauche sait donc ce qui guette le Racing 2022-2023 s’il bafoue les vertus que ses 25 000 spectateurs attendent de lui. C’est aussi pour cette raison que Marc Keller a tapé du poing sur la table devant le groupe mardi dans le vestiaire.

« Je n’avais jamais vu le président autant en colère, n’en revient toujours pas son capitaine. Dans les moments plus difficiles, on se doit au moins, sans même parler football, de s’engager sur le terrain. Ce qu’on a fait contre Marseille pendant soixante minutes, ce n’est pas possible. »
Il admet sans peine que lui-même n’a, après le revers à Ajaccio, « pas eu les mots » pour calmer le ressentiment des supporters, « entre cette heure ratée face à l’OM et ce quart d’heure en Corse où nous avons coulé d’un coup. Je me mets à leur place. »

« À la Meinau, le public doit être emballé. Tu ne peux pas jouer petit bras, harangue-t-il. Quitte à perdre, les fans veulent voir des morts-de-faim qui sortent du terrain avec des crampes, de la boue sur le maillot. Moi-même, je ne peux pas accepter qu’on puisse être battus en reculant. Si je dois “mourir”, que ce soit en avançant. Ça fait dix jours que je ne suis pas bien, en songeant à tous ces gens qui viennent voir le Racing faire du Strasbourg, autrement dit ne pas se laisser marcher dessus, et repartent déçus. »
« Être à la hauteur des supporters »
Son entraîneur Julien Stéphan n’ignore pas non plus que son équipe va devoir faire montre d’un investissement sans faille d’entrée contre Lorient. « Je n’ai pas besoin de dire cinquante phrases pour résumer mon sentiment. Je peux le faire en une : il nous faut être à la hauteur des supporters, engagés, intenses et constants. »

Ces derniers se chargeront de le rappeler à leurs favoris avant le coup d’envoi, en espérant ne pas avoir à le faire après.

[Kaniber]

Le @RCSA n’a jamais perdu contre Lorient à domicile en championnat de toute son histoire (4 victoires, 2 nuls), et marque en moyenne 3 buts par match face aux Merlus.
L'équipe possible

Sels - Pierre-Gabriel, Djiku, Nyamsi, Le Marchand, Liénard (cap) - Bellegarde, Aholou, Thomasson - Ajorque, Gameiro

Remplaçants : Kawashima (g.), Fila, Perrin, Doukouré, Delaine, H. Diarra, Prcic, Mothiba, H. Diallo

Absents :Dagba (cuisse), Sissoko (cheville), Kandil (pied), Risser (g), Jean (choix)

[fan_racing]

J'ai énormément de mal à me mettre dans ce match. L'humiliation à Ajaccio ne passe pas, comme s'il y avait une rupture par rapport aux autres difficultés qu'on avait connues avant. C'est la pire défaite à mon goût depuis le retour du Racing en pro, sachant qu'on était déjà très imprévisibles les matchs précédents (et globalement pas dans le bon sens) J'ai ce sentiment qu'une victoire contre Lorient serait le strict minimum vu notre bilan comptable catastrophique, et que malgré cela ça semble véritable montagne à franchir.

[Matt67]

Assez d'accord avec toi, et je reste sur mon prono de début de semaine, défaite 1 -3.