Julien Stéphan

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fan_racing
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Re: Julien Stéphan

Message par fan_racing »

Il a raison de dire "quelques uns", deux ça fait déjà plusieurs, et quoi de mieux que de recruter à la fois un latéral et un milieu ? :D
Matt67
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Re: Julien Stéphan

Message par Matt67 »

Si en plus du défenseur Rennais, il y a encore 2 recrues jusqu'à Mardi soir, MK aura tenu sa parole.
Avec le temps les gens changent.....Certains murissent et d'autres pourrissent.
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Kaniber
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Re: Julien Stéphan

Message par Kaniber »

dna a écrit : l’effet Stéphan
Sorti renforcé du derby remporté contre Metz, Julien Stéphan ne dévie pas de sa ligne de conduite. Imperturbable dans la défaite, calme dans le succès, le technicien du Racing fait preuve d’une grande humilité au moment d’aborder le déplacement à Lens, ce mercredi (21h). Sa méthode commence à payer.
Il ne faut jamais trop envier les nantis. C’est ce que Julien Stéphan a dû se dire en regardant paisiblement devant sa télé, au lendemain de son 41e anniversaire, le choc dominical PSG-Lyon (2-1).

Mauricio Pochettino, son collègue de banc parisien, a ainsi eu beau réaliser un coup de coaching gagnant dans un match mal emmanché. Qu’importe, la moitié de l’Argentine et une partie de l’Espagne lui sont tombées dessus à bras raccourcis pour son crime de lèse-majesté : avoir osé sortir Lionel Messi à un quart d’heure de la fin…

Les réactions de la “Pulga” ont été décortiquées à la loupe et son compatriote “Poche” a été sommé de s’expliquer, étant assuré, quoi qu’il puisse dire, de rester inaudible et incompris de tous.

Discours enveloppant et attitude positive

Le Racing, heureusement, est préservé de ce genre de psychodrame de vestiaire et de tempête médiatique. Déjà parce que Messi ne doit même pas savoir situer Strasbourg sur une carte et que si un journaliste argentin a été vu un jour à la Meinau, c’est qu’il a dû s’y égarer.

Vendredi soir, à l’issue de la victoire nette et sans bavure contre le voisin messin (3-0), personne n’a entrepris Julien Stéphan pour savoir pourquoi il avait laissé le Messi d’ici, en l’occurrence Kévin Gameiro, sur le banc au coup d’envoi. Une idée au demeurant lumineuse puisque son remplaçant du soir, Habib Diallo, s’est fendu d’un superbe doublé.

Mais on peut affirmer sans grand risque de se tromper que le remplaçant n’a pas pris ombrage de la situation. Tout simplement parce que le jeune technicien breton l’a clarifiée dès le début. « On aura besoin de tout le monde tout au long de la saison », a-t-il encore rappelé vendredi au sujet de ses trois attaquants – Ajorque, Diallo et Gameiro – en concurrence pour deux places de titulaire.

De manière générale, Stéphan et son staff s’évertuent à concerner tout le monde et à maintenir un niveau de confiance élevé. On ne l’a ainsi jamais entendu prononcer une phrase négative, même dans la difficulté.

La défaite inaugurale contre Angers (0-2) ? « Les gars sont pleins d’envie et d’énergie, il faut surtout retenir ça ». La première demi-heure cauchemardesque à Paris (4-2) ? « On a montré beaucoup de ressources, de valeurs, de la qualité aussi dans le jeu ». Le nul contrariant contre Troyes (1-1) ? « J’ai envie de positiver avec eux, ils ont été hyper généreux, il faut les féliciter ».

Même les erreurs défensives qui ont plombé le début de saison ne sont pas un sujet de discussion. Plutôt que d’enfoncer Lucas Perrin, fautif sur l’ouverture du score lyonnaise (3-1), il a préféré mettre en exergue le « geste exceptionnel » de l’attaquant Moussa Dembélé.

« Pas là pour imposer une méthode mais pour proposer des choses »

L’entraîneur affiche exactement la même retenue les soirs de victoire. Après la grisante démonstration contre Metz, il a vite retrouvé sa sagacité et s’est même montré un poil tatillon.

« Un peu plus de justesse nous aurait permis de nous créer plus de possibilités en seconde mi-temps, il faut être lucide et juste dans l’analyse, disait-il. On ne va pas faire la fine bouche, mais ce sont des axes de progrès à travailler. »

Sur le terrain, ceux qui commencent les matches et ceux qui les finissent, puisqu’il réfute la notion de titulaire et de remplaçant, s’y retrouvent parfaitement.

Le discours enveloppant favorise l’épanouissement de chacun. « C’est un groupe vraiment très intéressant dans la qualité de travail, d’écoute et dans l’investissement qui est total et complet, je suis heureux qu’il soit récompensé par cette belle victoire », appréciait-il encore vendredi.

Après un mercato qui l’a satisfait – « Le club a fait le maximum avec ses moyens et a bien travaillé », affirmait-il en début de mois – Stéphan va pouvoir affiner sa méthode avec un groupe réceptif.

« Je ne suis pas là pour imposer une méthode mais pour proposer des choses, nuançait-il avant la venue des Grenats. On a beaucoup d’échanges avec les joueurs pour avoir leur ressenti, on adapte ou on réajuste en fonction des réussites ou des non-réussites. Il est important qu’ils s’approprient le projet. »

Idéalement, Julien Stéphan préférerait s’effacer en coulisses pour laisser toute la lumière aux acteurs, à la manière d’un metteur en scène de théâtre.

« On prépare le match pour donner une ligne directrice et un plan de jeu mais au final, ce sont les joueurs qui font les efforts et prennent les décisions », précise-t-il.

Ce doit être cela, le coaching moderne version 3.0. Dans un contexte serein et apaisé, loin de la tension permanente des nantis du Paris SG, les premiers effets sont en tout cas visibles dans le jeu et au classement (12e , 7 points).

Que demander de plus ? Dans l’immédiat, on ne voit pas. Ah, si, pourquoi pas un succès dans un Bollaert à huis clos ce mercredi…
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fan_racing
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Re: Julien Stéphan

Message par fan_racing »

C'est intéressant de lire Julien Stéphan, par contre l'article est (une nouvelle fois) d'une grande pauvreté.
Aucune analyse sur les choix tactiques du coach, sur le style de jeu et de repli (pourtant visible contre Metz) qu'il parvient à transmettre à l'équipe, sur l'influence du mercato dans ses compositions ... A la place, on consacre 1/4 de l'article à nous parler de Messi et de ce qui ne va pas avec lui au PSG, pour faire un comparatif avec tout ce qui va bien au Racing (rappelons qu'après Troyes encore, c'est tout juste si on était pas en crise de confiance) :roll:
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Re: Julien Stéphan

Message par télésupporteur »

pour faire une "nalise", il faut des compétences :lol:
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Re: Julien Stéphan

Message par alphons »

bon ce n'est pas toujours facile d'être journaliste.... :mrgreen:

Le mot d'ordre du club c'est quand meme "Silence Radio" ou "passez il n'y a rien à dire"

On se rend bien compte que les journalistes locaux écrivent 4 jours de suite des articles "racing"de la conference de presse ou l'interview qui a duré 5 minutes.
Matt67
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Re: Julien Stéphan

Message par Matt67 »

Ce "jeune" coach propose, ose, des choses. Maintenant qu'il a son groupe, il varie ses compos, brouille les pistes la où par le passer le système, le jeu était stéréotypes et ne surprenez personne.
Il montre aujourd'hui de belles promesses et s'appuie sur un groupe soudé ou je suis impatient de voir Sahi s'y épanouir.
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Re: Julien Stéphan

Message par langsam »

alphons a écrit :bon ce n'est pas toujours facile d'être journaliste.... :mrgreen:

Le mot d'ordre du club c'est quand meme "Silence Radio" ou "passez il n'y a rien à dire"

On se rend bien compte que les journalistes locaux écrivent 4 jours de suite des articles "racing"de la conference de presse ou l'interview qui a duré 5 minutes.
Je trouve les derniers articles mieux écrits. Il était temps.
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Kaniber
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Re: Julien Stéphan

Message par Kaniber »

dna a écrit : Julien Stéphan, Rennais pur beurre
Le nouvel entraîneur strasbourgeois Julien Stéphan a passé neuf années (2012-2021) dans le club de sa ville natale, Rennes, auquel le Racing rendra visite ce dimanche (15 h) pour la 11e journée de Ligue 1. L’occasion pour lui de se retourner sur une aventure qui a changé sa vie.
Son baptême chez les pros
« J’ai été envoyé dans le grand bain de manière un peu subite, sans m’y attendre. Ç’a été très vite. Le président de l’époque m’a demandé de prendre le poste à la suite d’une défaite contre… Strasbourg (1-4 le 2 décembre 2018, ndlr), dans un premier temps pour quelques matches. Je crois beaucoup au destin et c’était peut-être déjà une forme de destin. Ces matches se sont bien passés et l’intérim s’est transformé en quelque chose de durable. »
Une occasion inespérée ?
« Un mois et demi avant, j’avais eu l’opportunité de devenir adjoint de Thierry Henry à Monaco. Ça ne s’est pas fait pour des raisons sur lesquelles je ne reviendrai pas. Quand la possibilité de prendre l’équipe est arrivée, je me suis dit que ce devait être mon destin. Mais même si on a passé des diplômes et dix ans dans des centres de formation, il faut, pour bien comprendre le métier d’entraîneur, le vivre : le management, la pression, la prise de décisions, les matches européens, les finales de Coupe, les enjeux, les difficultés, mais aussi son côté merveilleux parce que c’est notre passion. »
Des débuts dans la soie ?
« Gagner un titre (la Coupe de France 2019, ndlr), jouer en Coupe d’Europe et faire un bon parcours en Ligue 1 – tout ça en six mois – n’est pas dans l’ordre des choses. J’en avais bien conscience. Très vite, on se rend compte que dans ce milieu, une réussite précoce peut générer pas mal de jalousie. Il m’a fallu m’en accommoder.
Ça participe à sa propre construction, son évolution. Les bons résultats se sont poursuivis. Mais la dernière année a été plus contrastée, même si on était encore quatrièmes à Noël avec le meilleur total de points jamais acquis par le club (31 en 17 journées, ndlr). On a ensuite traversé deux mois plus difficiles. »
Sa longévité rennaise
« J’ai beaucoup appris durant cette expérience qui restera gravée à vie parce que c’était ma première, parce que j’ai vécu des émotions incroyables, parce que je suis breton et parce que neuf ans dans un club, ce n’est pas neutre. Au-delà des résultats, il y a eu l’aventure humaine, avec les joueurs bien sûr, mais aussi beaucoup de salariés avec qui je suis resté et resterai sans doute encore très longtemps en contact. »
Quelles leçons à tirer ?
« De très grands entraîneurs n’ont, en 20 ou 25 ans de carrière, pas connu ce que j’ai vécu en deux. J’ai bien mesuré la chance et le privilège qui ont été les miens. Ça sert de repères, à prendre plus de hauteur pour être plus lucide. »
Une fin en queue de poisson...

« Dire que j’ai bien vécu mon départ n’est pas vrai. Évidemment que non ! Ça laisse forcément des traces. Quels que soient les résultats qu’on a eus et l’aventure qu’on a vécue avant, la fin se passe souvent mal. Cette issue est inhérente au métier
Mais je n’ai pas été viré : j’ai pris le parti d’arrêter. J’avais encore la confiance de tout le monde : actionnaire, président, supporters. Mais je sentais qu’il fallait que je prenne cette décision. Je ne sais donc pas ce que c’est que d’être viré. Ça doit être très violent, mais ça doit endurcir aussi. Ma démission avait beau être assumée, elle a été douloureuse. »

Une sensation de vide ?

« Quand on vit un arrêt brutal, je ne dis pas qu’on tombe en déprime, mais on traverse une passe difficile. Après, on accepte, on se reconstruit, on se projette à nouveau et alors seulement, on a fait une bonne partie du chemin. En vivant les bonnes et moins bonnes expériences, on s’aguerrit. J’estime être aujourd’hui beaucoup plus costaud qu’à mes débuts il y a trois ans. »

Un interlude régénérateur ?

« Il m’a fallu trois mois pour évacuer mon départ. J’ai fait le point à la fois sur mes 9 ans au Stade rennais, mes 15 premières années d’entraînement et mes 27 mois d’un nouveau métier : coach d’une équipe pro. J’ai cherché des réponses à mes questions. Tout n’est pas rose dans une carrière. À Rennes, j’ai vécu plus de bons moments que de mauvais, mais il fallait que je réfléchisse à mon fonctionnement, avec les joueurs et le staff, pour m’améliorer, avancer et continuer à donner le meilleur de moi-même. »
Une page définitivement tournée ?
« J’ai digéré cette démission. Sinon, je n’aurais pas accepté le challenge de Strasbourg. Ce métier exige un investissement total et on ne peut pas y aller ne serait-ce qu’à 90 %. J’ai récupéré et je suis à 100 % lucide dans ce que je fais ici. »
Son retour au Roazhon Park

« Je n’aborderai pas ce match avec de la pression, mais avec beaucoup de joie. Les Rennais ont un effectif européen et disputent les compétitions européennes depuis plusieurs saisons. On sait que ce sera très difficile. »
La phrase

J’ai eu la chance de débuter à Rennes dans un club aux possibilités financières sinon illimitées, du moins très étendues. Mais entraîner ensuite dans un club au budget plus restreint fait partie de la construction d’un coach. Pour moi, finir 10e avec le Racing qui a le 15e budget de Ligue 1 est tout aussi valorisant et excitant que de terminer 3e ou 4e avec le Stade rennais.
Julien Stéphan, entraîneur du Racing
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Kaniber
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Re: Julien Stéphan

Message par Kaniber »

dna a écrit : Julien Stéphan, apprenti chez les Merlus
Une semaine après ses retrouvailles avec le Stade rennais au Roazhon Park, Julien Stéphan va affronter ce dimanche le FC Lorient où il a certes passé beaucoup moins de temps mais où il confie avoir « beaucoup appris ».
Quand le Racing se rendra au Moustoir, fin mars pour le compte de la 29e journée, Julien Stéphan n’aura certainement pas le droit de la part du public lorientais à la même salve d’applaudissements que lors de son retour au Roazhon Park dimanche dernier.

Le technicien n’est pas un parfait inconnu dans le Morbihan, mais on doute quand même qu’un ancien entraîneur des U19 soit ainsi honoré.

« C’était il y a quelques années déjà, chez les jeunes », rappelle-t-il quand on évoque son passage chez les Merlus. Arrivé durant l’été 2010, le jeune coach – qui allait souffler ses 30 bougies en septembre – revenait en Bretagne après s’être lancé dans le métier de formateur au FC Drouais (de juillet 2005 à juin 2008) puis à Châteauroux (juillet 2008 à juin 2010).

« C’était une belle expérience »

En charge des U19 lorientais, Julien Stéphan ne sera pas au plus près du groupe pro pour assister à l’émergence de Kévin Gameiro. Le joueur formé au Racing, vendu en 2008 au club morbihannais, y finissait en effet sa mue de “grand attaquant” en affolant les compteurs (22 buts lors de la saison 2010/11) avant de filer au Paris SG.

Dans l’ombre des “stars” de la Ligue 1, Julien Stéphan est encore en phase d’apprentissage dans le métier. « C’était une belle expérience, garde-t-il en mémoire. C’était la période Christian Gourcuff (* ), avec tout ce que ça a généré en termes de méthode de travail et d’application d’un système de jeu. »

« C’est un très bon souvenir dans mon parcours et dans tout ce que j’ai pu apprendre là-bas. J’ai beaucoup apprécié. J’ai travaillé avec des gens d’une grande compétence au centre de formation, poursuit-il. J’y ai connu quelques très bons joueurs, notamment Seko Fofana qui est maintenant à Lens et que j’avais eu la chance d’accompagner pendant deux ans. »

Le milieu franco-ivoirien ne percera finalement pas chez les pros avec Lorient, “s’exilant” chez les U21 de Manchester City en janvier 2013. Julien Stéphan dirige alors les U19 rennais depuis une année et demie. Et il suit donc de loin les changements chez les Merlus depuis son départ.

« Le club a évolué dans ses infrastructures. Kerlir (**) n’existait pas encore à cette époque-là. Les pros s’entraînaient au Moustoir. Nous, on était sur deux terrains de moyenne qualité dans des préfabriqués », se remémore-t-il.

Il a aussi vu le club se relever après être descendu en Ligue 2 en 2017 après onze saisons consécutives au sein de l’élite. « Ils se sont reconstruits après la relégation, ils ont réussi à remonter rapidement (en juin 2020, ndlr). Ils ont fait beaucoup d’investissements la première année sur des attaquants, (Terem) Moffi et (Adrian) Grbic notamment. Ils ont construit un effectif très homogène et très dense. »

Un effectif dans lequel le milieu offensif Enzo Le Fée, né à Lorient en 2000, est trop jeune pour être passé sous ses ordres en U19. Armand Laurienté, au Stade rennais avec la réserve puis en Ligue 1 entre juillet 2017 et septembre 2019, a eu Julien Stéphan comme coach. Ce n’était déjà plus l’apprenti passé chez les Merlus.

(* ) Christian Gourcuff a dirigé les Merlus de 1991 à 2001 puis de juin 2003 à juin 2014. (** ) Le centre d’entraînement du FC Lorient (nommé également Espace FCL) inauguré en 2013 dans le quartier éponyme de la commune de Ploemeur.
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