Julien Stéphan

Jugez librement nos dirigeants et l'actualité extra-sportive du club
Répondre
Avatar du membre
PoY
Manager général@Directoire
Manager général@Directoire
Messages : 11849
Enregistré le : 9 nov. 2003 21:26
Localisation : Longjumeau

Re: Julien Stéphan

Message par PoY »

Si quelqu'un pouvait nous mettre cet article en entier, merci
Avatar du membre
Keating
Président@Directoire
Président@Directoire
Messages : 15689
Enregistré le : 24 déc. 2004 0:21

Re: Julien Stéphan

Message par Keating »

Lequipe a écrit :Comment les causeries de Julien Stéphan ont porté Strasbourg cette saison en Ligue 1
Intégrées à la préparation des matches, les prises de parole de l'entraîneur strasbourgeois ont joué un grand rôle dans la bonne saison du Racing.

« C'est la cerise sur le gâteau ». Lancé sur le sujet des causeries l'été dernier en préparation, l'entraîneur du Racing Club de Strasbourg Julien Stéphan nous avait distillé des éléments sur cet exercice si particulier, « le dernier moment d'influence d'un entraîneur avant une rencontre », comme l'explique son adjoint Jean-Marc Kuentz dans « Les causeries : Quand la magie des mots fait déplacer des montagnes ».

Strasbourg totalise déjà 10 succès à domicile cette saison en Ligue 1 (5 nuls, 3 défaites). S'il gagne contre Clermont, le club alsacien enregistrerait son plus haut total de victoires sur un exercice sur ses terres depuis 1996/97 (13). Opta

L'auteur du livre, Julien Gourbeyre, développe : « Le coach en a besoin pour lui-même, même s'il n'ose pas l'avouer. Il y a un côté ego qu'il ne faut pas négliger. À ce moment-là, il est le personnage le plus important de la pièce. Les joueurs l'attendent. Ils seraient surpris de ne pas l'avoir car ils en ont besoin. »

Tout au long de la saison, les Strasbourgeois ont d'ailleurs évoqué ses discours très impactants. « J'ai hâte d'être à la causerie, a même lancé Dimitri Liénard jeudi. C'est toujours passionnant, très bien préparé et ça me donne des frissons. Ça nous met dans le match : après, on n'a même pas besoin d'échauffement, tellement il nous prend aux tripes. »

« Pendant cette vidéo, il a parlé avec des changements de ton, c'était extraordinaire » -Clément Grenier, à propos de la causerie de la finale de la Coupe de France gagnée avec Rennes face au PSG

C'est justement l'effet recherché. « Il s'agit de conditionner les joueurs avant des événements majeurs, pour les galvaniser ou au contraire enlever de la pression », détaillait le coach du RCSA qui y « réfléchit dans la semaine », mais les écrit de plus en plus souvent d'un seul jet, à l'ancienne (papier, stylo).

Chaque intervention d'avant-match s'articule autour d'un axe précis pouvant être tactique, quand il évoque notamment les forces et faiblesses de l'adversaire de manière si précise que chaque joueur sait exactement ce qu'il doit faire et ce qu'il va se passer, ou bien plus psychologique.

Parfois accompagnées d'un détail choc (un verre qui se brise pour illustrer la confiance en baisse de l'effectif, des crayons impossibles à casser quand ils sont tordus tous ensemble pour évoquer la solidarité), ces paroles ne font pas tout. Ce coach de 41 ans, qui ne s'appuie pas sur une bibliographie mais plutôt sur ses 17 ans d'expérience sur les bancs pour trouver les bons mots, remet toujours ses hommes au centre : « Ils m'inspirent, alors c'est plus facile de trouver des angles d'attaque différents. C'est un vrai bonheur d'intervenir devant eux. »

« Il y a beaucoup de légendes sur les causeries, a-t-il aussi rappelé récemment. C'est un moment motivationnel important, mais qui fait partie de toute une préparation qui a eu lieu en amont. L'entraîneur doit y exprimer un sentiment, donner une ligne directrice et un plan de jeu à son équipe. » Il avait réussi sur tous les plans, il y a trois ans, lors de la finale de la Coupe de France remportée avec Rennes contre le PSG (2-2, 6-5 aux t.a.b.).

« J'ai laissé parler mon instinct. [...] Je me suis servi d'images vidéo d'actions dans la saison, à différents moments, dans différents contextes et j'ai laissé ma personnalité exprimer ce que je ressentais », avait détaillé par la suite ce coach, qui s'appuie sur l'authenticité pour marquer son audience, lui qui n'a pas un palmarès ou une expérience de joueur pro sur lesquels s'appuyer. « Il est là, ce moment. Et à partir de maintenant, il faut que CE moment devienne VOTRE moment », avait-il aussi lâché aux Bretons.

« Le coach a mis une vidéo avec des images de nous, de nos matches et il parlait, il parlait... C'était incroyable, avait décrit Clément Grenier. Pendant cette vidéo, il a parlé avec des changements de ton, c'était extraordinaire. À un moment il a dit : "Regardez leurs visages, c'est ceux qu'ils auront à la fin", et il y avait des images des joueurs parisiens après leur défaite contre Manchester United (1-3, huitièmes de finale retour de la Ligue des champions 2019). C'était comme dans un film. » Cette causerie est même devenue mythique pour les supporters rennais.
Avatar du membre
PoY
Manager général@Directoire
Manager général@Directoire
Messages : 11849
Enregistré le : 9 nov. 2003 21:26
Localisation : Longjumeau

Re: Julien Stéphan

Message par PoY »

Merci Keating :!: :yes: :yes:
Avatar du membre
Kaniber
Président@Directoire
Président@Directoire
Messages : 23611
Enregistré le : 8 févr. 2012 14:18
Localisation : Dorlisheim

Re: Julien Stéphan

Message par Kaniber »

dna a écrit : Julien Stéphan (Racing) : « Il va nous falloir un groupe dense, homogène et prêt à lutter »
Deux semaines après la reprise et à un mois du premier match de Ligue 1 contre Monaco à la Meinau (le samedi 6 août à 17h), Julien Stéphan a livré ses premières impressions à Divonne-les-Bains. Le coach du Racing s’attend à vivre « une saison qui va être très spéciale ».
Vendredi 8 juillet. À la veille du premier match de préparation du Racing contre les Suisses du FC Sion – une rencontre remportée 2-1 –, Julien Stéphan, qui va vivre sa deuxième saison sur le banc strasbourgeois, s’est confié.

Le technicien a dressé un premier bilan d’un stage où les jeunes ont été appelés en nombre, indiqué ses attentes pour le début de championnat et sur son effectif pour livrer quelques clés après une saison « qui reste exceptionnelle ». Même si elle s’est achevée sans qualification européenne dans un stade Vélodrome en fusion, qui a même impressionné son défenseur marseillais Lucas Perrin
Julien, comment définissez-vous ce stage d’une semaine à Divonne-les-Bains, un an après celui vécu non loin à Évian ?

On s’est retrouvé ici parce que West Ham occupe les installations à Évian. C’était un bon cadre de travail. On a eu une météo très agréable toute la semaine, de bonnes conditions d’entraînement et d’hébergement. Il y avait ce qu’on était venu chercher.

« Hormis sept ou huit clubs, avec les douze autres équipes, on va lutter dans un premier temps pour le maintien »
Après, il y a toujours deux objectifs principaux dans ces stages-là. L’un, c’est de parfaire la condition physique, de reconditionner au mieux les joueurs, parce qu’après cinq semaines d’arrêt, il y a forcément un peu de perte. L’autre, c’est d’essayer de travailler tout de suite sur la cohésion de groupe.

On a eu des conditions un peu particulières cette année avec énormément de jeunes joueurs qui sont venus compléter le groupe. Pour l’instant, on a un effectif qui n’est pas au complet, loin de là, donc pour poser les bases collectives, c’était un peu plus compliqué sur ce stage-là.
Avec un calendrier particulier cette saison, avez-vous conçu un peu différemment cette semaine à Divonne ?

Non, pas vraiment. Mais je n’avais pas forcément prévu qu’on ait autant d’absents, ça c’est clair. Ça fait partie des aléas de la préparation et j’espère qu’on va reconstruire l’effectif au plus vite.

Par rapport au début de saison, on a un peu décalé notre programmation des matches de préparation. Au bout de quinze jours, on a ce match contre Sion, une semaine après celui à Charleroi (samedi 16 à 19h) , et ensuite on va enchaîner tous les trois jours avec les matches contre Brentford (le 19, à huis clos) , Fribourg (le 23 à Colmar, 16h) , Cagliari (le 27 à la Meinau, 19h30) puis à Liverpool (le 31, 20h30).

C’est pensé pour se préparer à ce rythme de compétition qui va arriver et qui sera intense, de par les premiers adversaires (Monaco et Nice) et de par l’enchaînement de trois matches dans la dernière semaine d’août.

Il faut qu’on se prépare à jouer les après-midis sous la chaleur. Le match de Monaco sera à 17 heures. Ça tombe bien qu’on ait des matches de préparation, comme celui de Brentford à 13h30, pour nous permettre de nous habituer.
Quinze jours après la reprise, est-ce que vous avez pu un peu plus cibler des objectifs ?

Il faut qu’on ait bien conscience que c’est une année particulière avec quatre descentes en fin de saison. Hormis peut-être sept ou huit clubs – je dirais Paris, Lyon, Marseille, Monaco, Nice, Rennes, Lille, qui semblent préservés de toutes problématiques en fin de saison, et j’ajouterais Lens avec le mercato et les investissements qu’ils ont pu faire –, avec les douze autres équipes, on va dans un premier temps lutter pour le maintien, je pense.

Il y aura un format de saison qui sera très singulier avec une longue coupure d’un mois et demi entre mi-novembre et le mois de décembre. On va devoir s’accommoder de tout cela. Ça va être une saison très spéciale avec des matches à enjeux qui vont arriver très tôt. Il faudra être préparés à cela. Il va nous falloir un groupe dense, homogène et prêt à lutter.
Après, on ne souhaite pas non plus modifier notre philosophie. L’année dernière, je crois qu’on a produit beaucoup de jeu et partagé beaucoup de plaisir avec notre public. Ça sera encore ça (la philosophie), mais en ayant conscience de la particularité de la saison.

Il n’y a pas eu trop de mouvements dans le groupe. C’est toujours une période que redoute un coach ?


On a perdu “Fred” Guilbert qui a été compensé par Colin (Dagba), lequel vient juste d’arriver. On avait perdu “Titi” Caci, ça a été compensé par Thomas Delaine.

« Il ne faudra pas qu’on perde de temps pour déterminer notre groupe »

On sait qu’il y a peut-être un ou deux dossiers qui peuvent être en attente (Alexander Djiku et Ludovic Ajorque, qui ont des bons de sortie, ndlr), donc il ne faudra pas qu’on perde de temps, nous, pour déterminer notre groupe et pouvoir fonctionner. Remplacer ces joueurs-là, ça sera très, très difficile et il faudra recréer de la cohésion et des automatismes. Et normalement, la préparation sert à cela.
L’idéal, encore plus dans une saison avec autant de risques, c’est de pouvoir démarrer la préparation avec tout le groupe. Lorsqu’il peut y avoir ne serait-ce qu’un ou deux départs, ça peut modifier l’équilibre d’une équipe. S’ils partent, il faudra très vite intégrer de la qualité en plus, ce qui n’est jamais facile.
« Il faut être en capacité de réécrire une nouvelle histoire et on ne le fait pas en faisant un copier-coller de la précédente »
Une grosse ossature du groupe devrait rester, cela peut aider, non ?


Oui, mais cela n’est pas une garantie non plus. Il faudra recréer une histoire, remettre des choses en place sur le plan collectif avec des adversaires qui auront bougé aussi, qui auront changé les lignes et modifié certainement leur approche pour ceux qui ont eu une saison difficile. Donc, il faut être en capacité de réécrire une nouvelle histoire et on ne le fait pas en faisant un copier-coller de la précédente.

La fin de la précédente, justement, avait été un peu abrupte, avec un dernier quart d’heure compliqué à Marseille. Il a fallu digérer cela ?


Je l’avais fait très vite. Dès la conférence d’après-match, j’avais fait la bascule. On n’analyse pas une saison sur le dernier quart d’heure du dernier match, mais dans sa globalité. Et je n’en démords pas, la saison du Racing a été magnifique. Mais elle ne garantit rien et il faut repartir encore plus fort.

Le cas Alexander Djiku étant encore en suspens lors de l’entretien, Julien Stéphan ne l’avait pas développé. Il l’a fait le soir du match contre Sion
solari1
Responsable marketing @Directoire
Responsable marketing @Directoire
Messages : 4577
Enregistré le : 22 sept. 2015 15:54

Re: Julien Stéphan

Message par solari1 »

Julien Stéphan est un très bon entraîneur.
Il fait du très bon travail, individuellement et collectivement.
Très bon formateur aussi.
Son management fédérateur passe très bien.
Ok pour tout ça.

Mais, son discours sur les objectifs lors de cette interview est un brin ridicule.
Je suis sévère, mais c'est ce que je constate.

Qu'après la très belle saison réalisée par le Racing, il estime que le club n'est pas devenu en une saison un épouvantail de ligue 1, voir même un favori pour les places européennes soit, c'est un fait.
Mais parler de lutter pour le maintien, c'est risible.
Partant de là, toutes les équipes jouent le maintien.

Il a raison de citer des clubs comme le PSG, l'OM, Monaco, Lyon, Lille, Nice, Rennes, qui eux sont les vrais candidats pour les places européennes.
Mais, citer Lens et son 16ème budget de ligue 1, c'est juste pas possible.

Visiblement, Stéphan c'est fait une spécialité de se défaire de toute pression.
Il l'a fait durant toute la deuxième partie de saison dernière, en bassinant à chaque conf le statut de non-favori et d'équipe inattendue.
Il l'avait fait avec Rennes également.
Mais, la deuxième saison avec les bretons, avec la pression de devoir confirmer, c'était moins ça.

Il parle du dernier quart d'heure contre l'OM.
Mais déjà l'avant dernier match contre Clermont, c'était timoré.
Et contre l'OM, le Racing était dépassé.
Car, même en voulant s'enlever de la pression, si près du but, elle est présente dans la tête des joueurs, il le sait bien.

Donc, si le Racing ne sera pas favori pour jouer l'Europe, l'objectif maintien n'est pas plus réaliste.
Les supporters, les suiveurs et les médias, attendront une confirmation, histoire que la saison dernière n'était pas une simple parenthèse enchantée.
Quand un club a pour coach un jeune prometteur, déjà bien coté en ligue 1, il y a forcément une attente.
Sinon, fallait prendre Gourvennec ou Remi Garde.

Le coach lensois Franck Haise, lui ne se cache pas.
Il ne parle pas de maintien.

Aucune raison que Stéphan fasse pareil.
La première moitié de tableau doit être un objectif réaliste et réalisable.
Si t'arrive pas à assumer ça, n'entraîne jamais Lyon ou l'OM.
Stan
Président@Directoire
Président@Directoire
Messages : 15250
Enregistré le : 14 août 2002 21:22
Localisation : Madrid

Re: Julien Stéphan

Message par Stan »

En partie d'accord avec toi, mais je serais plus nuancé. D'ailleurs j'avais trouvé ça plutôt sain qu'il nous enlève de la pression en fin de saison dernière, notre présence si haut relevant quand même d'une certaine anomalie, et des défaillances magistrales de Lyon et Lille.

Pour moi on a aussi bénéficié la saison passée d'un faible nombre de blessures. Pour un club comme le nôtre qui se base sur un petit groupe de 15-16 joueurs compétitifs max, c'est un paramètre vachement important. J'ajoute à cela, selon moi, plusieurs matchs contre des adversaires directs, Lens notamment, où les décisions arbitrales vont de notre côté.

Bref, pour moi 6ème, c'est le max de chez max qu'on pouvait atteindre la saison passée.

Je pense que Stephan sait très bien que confirmer est plus difficile, et qu'on sera attendu au tournant. Il a raison aussi sur la difficulté de remplacer des joueurs piliers comme Djiku ou Ajorque tard dans la préparation, c'est un vrai problème. Même si d'autres clubs auront le même, Nantes par exemple.

Par contre je te rejoins sur son passage sur Lens. Pour moi c'est l'équipe dont on est le plus proche en termes de niveau, c'est petit bras de les mettre dans une catégorie différente. A mon avis ce qu'il veut mettre en avant c'est leur excellent recrutement, c'est une manière de dire à Keller, "regarde, Lens sort le chéquier sur des gros joueurs, alors ne viens pas me demander de lutter contre eux sans investissement similaire". Bref, du classique entre un coach et son président, ce n'est pas le 1er ni le dernier à le faire.
solari1
Responsable marketing @Directoire
Responsable marketing @Directoire
Messages : 4577
Enregistré le : 22 sept. 2015 15:54

Re: Julien Stéphan

Message par solari1 »

Disons que Lens a un avantage par rapport au Racing pour faire rentrer de l'argent.
Eux, ils ont des jeunes joueurs bankables.
Ils viennent de vendre Doukouré en Angleterre pour 22 millions.
Fofana qui est plus âgé vaudrait 15 millions, et Médina au moins 10.
Au Racing, on a pas de joueurs valant ces tarifs.
Le fait que le Racing soit le 3ème effectif le plus âgé de ligue 1 n'aidant pas.

Assez d'accord avec ton post STAN dans l'ensemble.

Le Racing n'avait pas à ce mettre la pression de jouer l'Europe la saison dernière.
C'est évident.
C'est pour ça que Stéphan outre son très bon travail, avait su miser sur ce statut d'inattendu.

La saison prochaine, il n'aura apparemment pas de grosse pression pour jouer à nouveau l'Europe.
Sauf qu'après une telle saison, c'est pas si simple.
On va dire que le maintien ne peut pas être un objectif.
C'est là que je comprends pas Stéphan.
Les supporters et les médias voudront revivre une saison passionnante, il le sait.
jere__57
Espoir@Pro
Espoir@Pro
Messages : 245
Enregistré le : 21 mai 2013 14:25

Re: Julien Stéphan

Message par jere__57 »

Moi je pense simplement que ce qu'il voulait laisser entendre c'est que souvent en L1, les premiers matchs de championnat sont révélateurs de la saison à venir. Gagner contre Monaco et Nice nous permettra potentiellement de faire une belle saison et inversement si on venait à les perdre. J'exagère grossièrement mais en gros c'est le fait de dire qu'en L1 le championnat est relativement homogène, on peut vite se retrouver dans la charrette du maintien. Et qu'ensuite les matchs ne sont pas joués avec la même pression, ni avec la même confiance. On devrait le savoir à Strasbourg ! On l'a vu la saison dernière avec Bordeaux et Saint Etienne. Et ne venez pas me dire qu'on a un effectif supérieur, ce ne serait pas objectif. On a un bel effectif par rapport à ce qu'on a eu ces dernières années certes, mais Djiku qui est notre meilleur DC est en partance pour 6,5M. Ce qui révèle quand même qu'on voit souvent nos joueurs plus beaux qu'ils ne le sont. Pourquoi Ajorque n'a t-il encore pas d'offre concrète ? Pourquoi Djiku n'est pas allé à Seville ? Parce qu'on lui proposait un statut de joueur de rotation ! Du coup personnellement je comprends JS, et j'approuve. Un maintien facile et vite acquit serait une saison réussit. Surtout si on venait à perdre Djiku et Ajorque. Autre inconnu, le public. Comment réagira t-il si par malheur le club venait à avoir plus de mal cette année ? Si le club venait à ne plus progresser pour la première fois depuis 10 ans ? Pour moi cette saison sera une saison charnière et révélatrice de ce que le racing peut ou ne peut pas faire ! En tout cas j'ai hâte que la saison commence !
alphons
Responsable marketing @Directoire
Responsable marketing @Directoire
Messages : 4540
Enregistré le : 10 juin 2003 16:41
Localisation : WIEN

Re: Julien Stéphan

Message par alphons »

oui Lens et le racing ont joué l'an dernier dans la meme Catégorie.

Lens vient d'acheter pour 30 millions de joueurs!!! 30 Millions.....

Le racing a investi pour le moment .... + ou - 1.000.000 euro (Prime à la signature des 2 latéraux)

Lille, Lyon, Nice, Lens seront plus forts que l'an dernier

Sur le papier pour le moment le racing glisse vers une 10eme place.

Maintenant la saison des transferts dure encore 6 semaines......le problème du racing est pour le moment plutôt la vente de joueurs.... Djiku, Ajorque et un milieu, parce que sans départ cela devient compliqué de chercher meilleur.

4 titulaires + un jeune Doukouré qui va chercher à jouer en DC... pour 3 places.....pas possible de recruter pour le moment

au milieu

Aholou + Jean Jean en 6

Prcic Sissoko en 8

Le seul sans concurrence c'est Thomasson

En attaque

Gameiro, Mothiba, Ajorque + Diallo... pour 2 places
télésupporteur
Manager général@Directoire
Manager général@Directoire
Messages : 13644
Enregistré le : 3 juin 2004 13:56
Localisation : Mont-de-Marsan - Landes

Re: Julien Stéphan

Message par télésupporteur »

tu oublies au milieu diarra, qui à mon avis sera la révélation de la saison en milieu défensif :idea:
Répondre