[20/21] 23ème J : Strasbourg / Brest - 2/2
- PoY
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[20/21] 23ème J : Strasbourg / Brest - 2/2
Brest reste sur 4 défaites d'affilée, il faut donc enfoncer le clou et ne pas les relancer
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Re: [20/21] 23ème J : Strasbourg / Brest le 03/02 à 19h
Ca serait une bonne chose effectivement.
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Re: [20/21] 23ème J : Strasbourg / Brest le 03/02 à 19h
ben tout le monde n'attend que çà, mais...si c'est comme comme la dernière journée avec presque que des victoires à l'extérieur, ben ce n'est pas gagné d'avance, il faudra cravacher pour gagner les 3 points
- Kaniber
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Re: [20/21] 23ème J : Strasbourg / Brest le 03/02 à 19h
Je souhaite que le racing n'aille pas les relancer, 2-1 pour moi .
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Re: [20/21] 23ème J : Strasbourg / Brest le 03/02 à 19h
On avait des occasions contre Reims : cette fois-ci il faudra être plus efficace
J'espère aussi un 2-1
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Re: [20/21] 23ème J : Strasbourg / Brest le 03/02 à 19h
Un match beaucoup plus important qu'il n'y paraît.
Victoire 2-1
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Avec le temps les gens changent.....Certains murissent et d'autres pourrissent.
- Kaniber
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Re: [20/21] 23ème J : Strasbourg / Brest le 03/02 à 19h
dna a écrit :un petit coup de frais
Les Strasbourgeois ont moins bien achevé janvier qu’ils ne l’avaient débuté. Avec un point sur six en deux matches (1-1 à Dijon et 0-1 contre Reims), ils ont raté l’occasion de se rapprocher du milieu de tableau, mais peuvent encore le faire en battant Brest mercredi (19h) à la Meinau.
Le Racing avait beaucoup pesté en début de saison contre les points qu’il avait, selon lui, injustement perdus, alors que ses prestations ne méritaient objectivement pas mieux que les piètres résultats obtenus.
« Il faut qu’on pèse plus sur le jeu »
La propagation du Covid dans son vestiaire était bien davantage le fléau à l’origine de ses maux qu’une supposée cabale arbitrale ou qu’un vilain pied de nez de la réussite, ces excuses faciles auxquelles se raccrochent les clubs à court d’idées quand ils sont happés par une spirale négative.
Mais en ce début 2021, alors que tout roulait pour lui avec ses trois succès enchaînés contre Nîmes (5-0), à Lens (0-1) et face à Saint-Etienne (1-0) – même s’il aurait pu laisser des plumes face aux Verts –, voilà que l’infidèle dame chance repousse soudain ses avances.
À Dijon l’autre dimanche, le Racing a dû concéder le nul au terme d’une rencontre qu’il avait maîtrisée (1-1). Une semaine plus tard, il s’est incliné 1-0 à la Meinau face à Reims, l’une des équipes en forme du moment, après avoir, entre autres, touché deux fois la barre, et peut légitimement penser que le partage des points n’aurait pas été volé.
Pourtant, dimanche, son entraîneur Thierry Laurey, qui a souvent trouvé la presse sévère avec son équipe quand elle patinait dans la choucroute, l’a presque jugée trop indulgente après le premier revers de ses ouailles en 2021. Lui-même s’est montré peu amène.
« Tout n’est pas à jeter, mais je retiens la défaite en premier lieu. Si on veut gagner ce type de match, il faut qu’on pèse beaucoup plus sur le jeu, comme on a su le faire à Dijon. Notre contenu n’est pas mauvais, mais quand c’est comme ça, il est judicieux de prendre des points. » Le Racing, qui n’en a glané qu’un sur six, a raté l’occasion de s’accrocher aux confortables poignées d’amour du ventre mou.
Avec trois de plus, il occuperait le 12e rang, à la place de son tombeur rémois. Seulement voilà, avec des si, on mettrait Dijon dans une bouteille de Gevrey-Chambertin et Reims dans un magnum de champagne.
On l’a dit : la qualité de ses deux dernières productions n’est, en théorie, pas de nature à engendrer des aigreurs d’estomac. Mais elle génère tout de même chez son entraîneur une certaine réserve, surtout après la cuvée rémoise.
« On peut estimer que la défaite est sévère, mais dans le meilleur des cas, ç’aurait pu faire match nul. Ç’aurait été un moindre mal. Autant la rencontre de Dijon nous satisfaisait par son contenu très intéressant, autant face aux Rémois, nous avons éprouvé beaucoup plus de difficultés. »
« Presque dans l’obligation de gagner contre Brest »
La valeur de l’opposition n’y est pas étrangère. Comme le soulignait son coach David Guion après la cinquième victoire de ses troupes en huit journées, le Stade de Reims progresse, avec un collectif homogène et cohérent dans toutes ses lignes.
Et c’est lui qui a fait le bond en avant auquel aspiraient aussi les Bleus. « On savait que s’il y avait un vainqueur, une équipe basculerait dans la bonne partie du tableau et l’autre resterait dans une situation qui n’a rien de délicat, mais aurait pu être meilleure, regrette Thierry Laurey. Il faudra jouer le match de mercredi pour retrouver le goût de la victoire. On est presque dans l’obligation de le gagner, car notre programme va ensuite être plus compliqué. »
La réception de Brest mercredi (19h) semble tout indiquée pour permettre aux Strasbourgeois de rebondir. Les joueurs d’Olivier Dall’Oglio restent en effet sur quatre revers. Mais ils possèdent toujours deux points de plus et comme ils sont cette année passés maîtres dans l’art du rebond, leur venue à la Meinau n’aura sûrement rien d’une formalité pour des Racingmen victorieux 3-0 le 25 octobre à l’aller au stade Francis-le-Blé et soucieux d’attaquer février du bon pied.
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Re: [20/21] 23ème J : Strasbourg / Brest le 03/02 à 19h
plus l'heure de ce match avance, moins j'ai confiance de l'issue de la rencontre, çà va encore être très difficile
un petit nul je présume. En prono je met le racing toutefois gagnant
putain je ne croyais pas si bien dire !!!
Dropsy : tu penseras ce que tu voudras
un petit nul je présume. En prono je met le racing toutefois gagnant
putain je ne croyais pas si bien dire !!!
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Modifié en dernier par Tenor le 4 févr. 2021 10:59, modifié 1 fois.
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Re: [20/21] 23ème J : Strasbourg / Brest le 03/02 à 19h
Alsa'sports a écrit : Strasbourg – Brest : Le groupe du Racing
Trois jours après le revers concédé face à Reims au Stade de la Meinau, le Racing Club de Strasbourg remet ça en accueillant le Stade Brestois ce mercredi (19 heures). Un second match de rang dans son antre et trois points en jeu dont le RCS aurait la bonne idée de s’en emparer. Thierry Laurey vient par ailleurs de dévoiler le groupe qui affrontera Brest lors de cette 23ème journée de Ligue 1.
Le groupe :
Eiji Kawashima, Bingourou Kamara – Lamine Koné,q Stefan Mitrovic, Anthony Caci, Lionel Carole, Alexander Djiku, Abdoulaye Ousmane – Jean-Eudes Aholou, Dimitri Lienard, Sanjin Prcić, Jeanricner Bellegarde, Mehdi Chahiri, Adrien Thomasson, Ibrahima Sissoko, Adrien Lebeau – Majeed Waris, Kévin Zohi, Ludovic Ajorque, Habib Diallo.
En quarantaine : Frédéric Guilbert
En reprise : Matz Sels, Lebo Mothiba.
Blessé : Mohamed Simakan.
Choix du coach : Mahamé Siby, Idriss Saadi, Ismaël Aaneba
- Kaniber
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Re: [20/21] 23ème J : Strasbourg / Brest le 03/02 à 19h
dna a écrit :Le Racing veut reprendre de la vitesse
La soudaine accélération du Racing en Ligue 1 a connu un sérieux ralentissement, avec un seul point pris sur les six derniers mis en jeu. Avec la réception d’un Stade brestois à l’arrêt, lui, depuis quatre journées, les Bleus ont une occasion unique de se relancer, ce mercredi soir (19h) à la Meinau.
À regarder ce qu’il se passe ailleurs dans le monde du ballon rond, on se rend compte que la situation strasbourgeoise est plutôt enviable.
Prenez la Ligue professionnelle (LFP) qui n’en finit plus de se ridiculiser dans l’affaire des droits TV. Risible, même si avec un déficit record estimé à 1,3 milliard d’euros en temps de Covid pour l’ensemble du foot pro, les clubs, dont le Racing, rient jaune…
Ou alors regardez du côté de la Canebière, réceptacle de tous les excès. Là, l’OM s’enfonce dans un psychodrame pagnolesque, entre la mise à pied du démissionnaire André “Fernandel” Villas Boas et les cris d’orfraie de Bernard “Raimu” Tapie. Les amateurs de séries noires y verront plus le style de Jean-Claude Izzo…
« On a tellement connu le pire que ce que l’on fait actuellement est bien »
En comparaison, la vie du Racing est devenue un long fleuve tranquille. L’argent va finir par manquer dans les caisses, évidemment, mais le mercato qui s’est achevé lundi n’a pas déplumé l’effectif.
Lala s’en est allé – et Thierry Laurey n’a pas eu un mot pour lui, parce qu’il ne parle que des joueurs à sa disposition –, son remplaçant Guilbert est arrivé, même s’il ne peut pas jouer. Et Simakan constitue à la fois une belle promesse de rentrée d’argent et de solidité défensive au printemps, si l’on se réfère au pré-accord qui doit l’envoyer cet été à Leipzig. En attendant, il soigne son genou…
Pour le reste, tout est en ordre, à écouter Laurey. « On a tellement connu le pire que ce que l’on fait actuellement est bien, dit le coach alsacien. Ça peut toujours être mieux, mais je trouve que l’équipe est prête physiquement. On récupère Jean-Eudes (Aholou, suspendu dimanche dernier) , on n’a pas de soucis particuliers… »
Malgré les récents accrocs sportifs – nul à Dijon (1-1), défaite contre Reims (0-1) – qui ont un peu assombri le tableau de 2021, le Racing (15e , 24 pts) n’est donc pas à plaindre.
À condition de ne pas s’embourber contre Brest, équipe qui le devance d’une place et de deux petits points mais qui n’avance plus du tout, avec un seul succès lors des huit derniers matches, dont quatre défaites de rang, série en cours.
« Il serait de bon aloi de profiter de cette rencontre pour l’emporter après avoir perdu contre Reims », avance Laurey, pour qui le match aller, remporté fin octobre à Francis-Le-Blé (0-3), le premier sur la route, n’est plus qu’un lointain souvenir.
Le technicien ne s’attend donc pas à une promenade de santé face à « une équipe joueuse » que son homologue Olivier Dall’Oglio peine à discipliner. « On manque de caractère, de rigueur, j’attends une prise de conscience », martèle l’ex-joueur du Racing, lassé de voir les siens s’effondrer au premier coup de vent, comme ce fut le cas dimanche à domicile contre Metz (2-4).
« Après quatre défaites consécutives, tu fermes les vannes sans pour autant renier tes principes, prévoit Laurey. Je sais qu’Olivier (Dall’Oglio) ne restera pas les deux pieds dans le même sabot trop longtemps. »
Des occasions à concrétiser
Face à une formation finistérienne aux préceptes peut-être plus défensifs qu’à l’accoutumée, les Bleus seront confrontés à la même problématique qu’en ce début d’année, à l’exception notoire du match contre Nîmes (5-0) : concrétiser leurs occasions.
À l’image d’Habib Diallo, le buteur sénégalais (7 réalisations) en panne depuis trois rencontres, le Racing est moins précis et en réussite, comme en attestent les deux barres touchées contre Reims.
« On aurait dû être plus pointu techniquement, sur des ballons simples à exploiter dans le cœur du jeu, avance Laurey. Concernant Habib, parfois ça ne roule pas comme on le voudrait, mais il ne faut pas s’en inquiéter. Il a des situations, ce qui est quand même primordial. »
Avant de se coltiner un calendrier plus costaud – avec deux déplacements de suite à Lyon et à Metz –, Ludovic Ajorque et les siens seraient bien inspirés de ne pas se louper.
« Notre qualité technique doit nous permettre d’aller rapidement vers l’avant, conclut Laurey. Si on garde notre état d’esprit et si on améliore ça, on aura des résultats beaucoup plus avantageux. »
Dans le marasme ambiant, c’est tout ce que l’on souhaite : un beau match de foot, des buts et le Racing qui gagne à la fin.