[Départ] Ludovic Ajorque

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Keating
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Re: [Départ] Ludovic Ajorque

Message par Keating »

10 millions... Si Dieng vient avec une envie de tout casser pour remplacer, ça peut le faire...
solari1
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Re: [Départ] Ludovic Ajorque

Message par solari1 »

Dieng était sur le point d'être transféré à Lorient, il va finalement s'engager avec Leeds.
solari1
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Re: [Départ] Ludovic Ajorque

Message par solari1 »

Nice n'aurait pas dit son dernier mot pour Dieng.
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Re: [Départ] Ludovic Ajorque

Message par télésupporteur »

il vaut mieux un dieng que deux tu l'auras :oops: :lol: :lol:
solari1
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Re: [Départ] Ludovic Ajorque

Message par solari1 »

Nice proposerai 12 M pour Dieng.
L'opération serait en bonne voie.
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Re: [Départ] Ludovic Ajorque

Message par télésupporteur »

voie de garage :lol:
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Re: [Départ] Ludovic Ajorque

Message par Stan »

Bon allez Ludo, maintenant on se remet la tête à l'endroit et on marque des buts, merci :D
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Re: [Départ] Ludovic Ajorque

Message par télésupporteur »

et on pétarade avec un tonnerre à brest :lol:
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Kaniber
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Re: [Départ] Ludovic Ajorque

Message par Kaniber »

dna a écrit :Ludovic Ajorque (Racing) : « Je préférerais être sur le terrain qu’en salle »
Blessé au sternum le 11 septembre par le coup de coude du Clermontois Maximiliano Caufriez, Ludovic Ajorque a pris le temps ce mercredi d’évoquer une convalescence plus longue qu’espérée. L’attaquant du Racing est d’autant plus frustré qu’il ne peut évacuer sur le terrain un été perturbé par le mercato.
Une longue absence, Ludovic Ajorque en avait déjà connu une, après une béquille du Montpelliérain Hilton le 15 septembre 2018 à la Mosson lors de la 5e journée. Le temps de soigner une déchirure musculaire, le Réunionnais n’était revenu dans le groupe que le 24 novembre, neuf journées plus tard, et avait attendu le 13 janvier 2019 pour inscrire son deuxième but avec le Racing.

Depuis, Ludovic Ajorque est devenu le meilleur buteur du club au XXIe siècle (46 buts en Ligue 1). Sous contrat jusqu’en juin 2024, il aurait pu partir cet été, le président Marc Keller lui ayant accordé un bon de sortie à condition d’y trouver son compte, ce qui n’est pas arrivé. Alors qu’il voulait tourner la page, l’attaquant s’est blessé le 11 septembre, lors de la 7e journée, une semaine après avoir inscrit à Brest, sur penalty, son premier but de la saison.
Victime d’un enfoncement du sternum avec fissure, le joueur de 28 ans n’a pas encore retrouvé les terrains d’entraînement. Ce mercredi, le grand “Ludo” s’est confié sur ce début d’exercice qui ne correspond en rien à ce qu’il espérait.
Ludovic, comment vous sentez-vous physiquement actuellement ?

Ça va mieux. Je ne suis pas encore au top, sur une échelle de 10, je dois être à 6 à peu près. C’est une blessure compliquée, je ne pensais pas rester autant de côté. Mais, c’est tout moi (sourire) … C’est comme la blessure quand je venais d’arriver au Racing. Ça n’arrive pas souvent, mais ça arrive à moi. La béquille à Montpellier, ça devait se soigner en une semaine, sauf que chez moi elle a provoqué une déchirure et j’ai dû attendre deux ou trois mois.

Sur le moment, contre Clermont, vous vous êtes dit que ça pouvait être grave ?

J’avais senti directement sur le coup de coude que ça allait être compliqué (frappé dans la surface par le Belge Maximiliano Caufriez à la 31e , il avait cédé sa place à la mi-temps, ndlr). Ce qui me rend fou, c’est qu’il n’y a rien eu là-dessus, pas de penalty ou de carton.

« Au quotidien, j’avais mal tout le temps. Encore aujourd’hui, je n’arrive pas à dormir tranquillement »
Vous avez revu les images depuis ?

Plein de fois ! Et je ne comprends toujours pas comment il n’y a pas eu penalty. Mais, c’est comme ça, on ne va pas refaire le match. J’étais déçu de sortir parce que je revenais d’une période où c’était compliqué avec le mercato. J’avais à cœur d’enchaîner après Brest. Je me sentais très bien et ça m’a coupé dans mon élan.
Dans les jours suivants, vous pensiez revenir assez rapidement ?


J’ai fait une imagerie à Haguenau et on a vu que je n’avais pas de fracture, donc on était tous contents. Je pensais que ça allait durer une semaine, quinze jours max’. Finalement, ça ne passait pas et on a décidé de refaire une imagerie qui a révélé la fissure. Les spécialistes nous ont dit que c’était six à huit semaines (d’arrêt).

Entre-temps, j’avais essayé de reprendre, avant Angers (le 9 octobre). Je me sentais mieux dans le quotidien, même si en me levant c’était encore horrible. Mais ce que je faisais avec le préparateur physique, ce sont des choses sous contrôle, anticipées et ça ne ressemble à rien de ce que je peux faire en match. Quand j’ai essayé avec le groupe, j’étais joker mais je voyais dans mes mouvements de base, que c’était compliqué. Ce n’était rien de grandiose, mais rien qu’un saut, je ne pouvais pas. Je n’allais rien apporter à l’équipe, c’était impossible.
Pour qu’on mesure bien, c’est une douleur qui est permanente ?

Oui. Là, c’est un peu moins parce que ça se referme, et heureusement. Mais avant, au quotidien, j’avais mal tout le temps. Encore aujourd’hui, je n’arrive pas à dormir tranquillement. Je suis obligé de rester sur le dos et de ne pas trop bouger. Les premières nuits, je n’arrivais même pas à dormir dans mon lit, j’étais dans mon canapé.

Malheureusement, le sternum, c’est là où les muscles du haut du corps s’accrochent. Et tu ne peux pas l’immobiliser, tu ne peux pas le plâtrer. Il faut attendre que ça passe. On ne peut rien faire, c’est de l’os. Si, je prends des vitamines pour que ça puisse se refermer le plus vite possible.
« Je voulais savoir où étaient mes limites »
Est-ce que vous comprenez que certains s’interrogent sur une aussi longue indisponibilité ?

Le docteur m’a expliqué : deux centimètres à droite ou deux centimètres à gauche, ça n’aurait rien fait. Malheureusement, c’est pile-poil où il y a l’os et pas de protection. Aujourd’hui, je mets au défi quiconque de prendre un coup de coude aussi fort dans le thorax et de ne pas avoir mal. Après, je ne peux pas empêcher les gens de parler. Je sais ce que j’ai, le doc et le staff savent ce que j’ai. C’est le plus important. Ce qu’il faut comprendre, c’est que moi, je préférerais être sur le terrain plutôt qu’en salle avec le kiné. Je voudrais être avec mes coéquipiers surtout dans cette situation qui est compliquée.
Justement, vous êtes impuissant face aux difficultés actuelles de l’équipe. Quel regard portez-vous dessus ?
C’est difficile de juger parce que je ne suis pas sur le terrain. L’année dernière, on a fait une superbe saison et maintenant il faut mettre ça de côté. On sait que c’est particulier avec les quatre descentes et la Coupe du monde qui va arriver en plein championnat. Il va falloir s’accrocher. On a les qualités pour faire beaucoup mieux et je sais qu’on va faire beaucoup mieux.

Vous espérez pouvoir reprendre avant la Coupe du monde…
J’espère, même si je ne veux pas me donner de délai. Là, il reste quatre matches. Pour Toulouse (dimanche) , on sera à six semaines (d’indisponibilité) , ça va être vraiment compliqué. Le coach ( Julien Stéphan ) a dit Marseille (le 29 octobre à la Meinau) la dernière fois dans la presse, donc je ferai tout pour.
Cette blessure, vous l’évoquiez, arrive juste après un mercato qui a été particulier à gérer. Comment avez-vous vécu cet été ?

C’est la première fois où j’étais vraiment sollicité. Avant aussi, mais c’était moins concret. Cet été, il y a eu des offres, refusées par le club (de Stuttgart notamment, ndlr). Je peux comprendre si le Racing n’a pas eu ce qu’il voulait. C’est vrai que je pensais que j’allais partir. Mais je ne voulais pas partir pour partir ou parce que je ne me sentais plus bien ici. Je voulais savoir où étaient mes limites et découvrir l’étranger aussi.

Ça fait partie du football, mais c’est le premier été où c’était comme ça pour moi. Quand j’ai signé au Racing, ça s’était fait très rapidement. Là, c’est particulier et j’apprends de cette situation-là pour l’avenir, peut-être, on verra (rire). En attendant, je vais continuer à tout donner pour le club comme je le fais depuis quatre ans.
Un tel mercato, ça perturbe tous les jours, ça influe jusqu’aux entraînements ?

Quand tu es sur le terrain, tu ne penses pas à tout ça. C’est quand tu es chez toi, tu te dis que c’est peut-être ton dernier jour ici et forcément ça fait cogiter. Mais j’ai fait ma prépa à fond comme chaque année, j’ai marqué contre Brentford, j’ai fait des passes décisives à Liverpool ou ici contre Cagliari. Après, en début de championnat, je n’ai pas beaucoup joué aussi (deux titularisations lors des cinq premières journées, ndlr). Maintenant, c’est derrière moi.

C’est plus facile quand le mercato est terminé, tu te projettes mieux dans ton club. Dès le match à Brest, je me sentais complètement dedans et je voulais enchaîner avec Clermont, lancer une belle saison. Puis, il y a cette blessure… C’est le destin !
Elle vous arrive avec un autre statut que lors de celle subie en 2018 …


J’ai un autre statut parce que j’ai enchaîné les saisons ici, mais sur le début de celle-ci, j’avais un statut ou en tout cas une place à reprendre. En fait, j’ai l’impression de revivre la même situation. Quand je suis arrivé au Racing, on ne me connaissait pas, il fallait que je fasse mes preuves. Être coupé dans mon élan n’avait pas facilité les choses, mais j’avais beaucoup relativisé et j’avais su ensuite gagner ma place.

Et là, avec le mercato, je ne jouais plus beaucoup et c’est comme si je devais prouver que je méritais encore ma place. J’ai eu l’impression, comme à Auxerre (il avait été pris à partie par l’un ou l’autre membres du kop au moment de le saluer en fin de match, ndlr) , que certains supporters avaient oublié ce que j’ai fait ici depuis quatre ans.

Voilà, c’est le foot, il n’y a jamais rien d’acquis. Il faut continuer à travailler pour faire en sorte de répondre présent à chaque fois. Heureusement, ce n’est pas ce que pense tout le monde. Mais quand je vois des joueurs de très, très haut niveau être critiqués chaque week-end, je me dis que c’est normal si ça m’arrive aussi. C’est pour ça que j’essaie de relativiser et d’être bien dans ma tête, c’est le plus important. Après, c’est sur le terrain qu’il faut répondre.
Stan
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Re: [Départ] Ludovic Ajorque

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