[08/09] 32ème J: Tours / RCS : 2-0

[julo]

Match vraiment nul de la part du Racing.

Flop
Pelé/Shérini pour l'ensemble de leur oeuvre : fautes à  la con, placement de merde, qualité de relance à  chier
Fanchone inexistant, mal placé, passes approximatives et pas foutu de faire l'effort défensif. Où est passé notre meilleur buteur ?
Cohade nul à  chier sur coups de pied arrétés, trop peu d'influence dans le jeu, perd trop de duels défensifs, ne provoque pas assez offensivement. Décevant, surtout quand on connait son potentiel

Top

Personne
Lacour : belle activité et surtout l'un des rares a toujours faire l'effort.
Zenke : trop brouillon mais c'est le seul qui a semblé capable de déstabiliser un tant soit peu la défense adverse.

Je rajoute un flop d'honneur à  Fufu. C'est la première fois de la saison que j'ai autant l'impression de voir les joueurs perdus sur le terrain, surtout face à  un adversaire aussi limité que Tours. Y a zéro fond de jeu. A part balancer devant et espérer que Traoré et Zenke sautent plus haut que leurs défenseurs il n'y avait rien. Passes hasardeuses, construction niveau pupilles. Lui qui parlait de "mourir par le jeu" j'ai envie de répondre que le jeu c'est fait la malle depuis longtemps et que le Racing est entrain de mourir par manque d'inspiration.

Si c'est pour jouer comme ça le Racing a trouvé sa place en L2, plus la peine de se prendre la tête pour la course à  la montée. Au moins la moitié de l'équipe ainsi que Fufu n'ont pas le niveau L1. Et on ne parlera pas de nos superbes recrues offensives qui vont nous faire encore longtemps marrer. Le racing, un éternel recommencement !

[enzy]

Je n'ai pas vu le match, je m'abstiendrai donc de tout commentaire.

Je vais juste juger la situation globale du racing aujourd'hui.

Le club est toujours dans la course à  la montée grâce à  ses 2 séries improbables de 5 victoires consécutives, dont certaines, il faut bien le reconnaitre, obtenues avec une "chatte" incroyable.

On s'en tape au final et tant mieux, mais le racing ne gagnera face à  Metz et ira pedre son dernier match à  Montpellier.

A partir de là , la montée s'annonce très difficille, à  moins de faire le plein sur les autres matchs.

Je suis très sceptique personellement sur l'issue, surtout que j'ai l'impression que les autres prétendants la veulent plus cette montée.

[pouic]

Et ça continue...
Metz qui se profile avec la pression des mauvais résultats et de la fin de la saison qui se profile, ça fait peur. Mais je ne sais toujours de quoi je dois avoir le plus peur , de monter ou pas?
Beaucoup de joueurs n'ont plus leur place et ont abusé de la confiance de leur entraineur et de la patience des supporters. Je ne citerais pas lesquels, mais je crois que vous voyez desquels je veux parler, l'ensemble manque de gnac, de volonté il clairement incapable de se relever quand ca va mal. Quand on a du bol, ca repart pour quelques journées mais ca s'arrète vite, la faute à  la dure réalité du football qui veut qu'une équipe mauvaise finisse toujours par montrer son vrai visage.
Alors ?
Va-t-on réussir ce tour de force incroyable de se faire coiffer au poteau à  quelques journées de la fin? Ginette osera-t-il dire à  son frère qu'il est un mauvais recruteur? Grotesque- Furlesque réussira-t-il à  couler durablement le racing, avec le sourire en prime? La petite taupe de la Meinau va-t-elle déménager pour les vertes pelouses du stade de l'Aar? Vous le saurez peut être au prochain épisode de "Désamour, déboires et déculottées".

[télésupporteur]

et quand le racing sera en L1 dès le 36e journée, vous direz quoi

[Tenor]

Papi, arrête de rêver.

Au passage, le match est retransmis sur Alsatic TV, nous en sommes à  la mi-temps...bof, bof, quelle faiblesse de nos attaquants, contrôles approximatifs, longues balles en avant non exploitables, dégagements de Cassard...j'arrête de regarder.

[FM17]

et quand le racing sera en L1 dès le 36e journée, vous direz quoi

que c est la moindre des choses que le Racing finisse devant Boulogne ou Tours !!
Je pense que le Racing battra Metz et remontera. Je rejoins Enzy dans son analyse, le racing a eu enormément de chance cette année et je pense que cette chance le sauvera....Jouer aussi mal et être toujours dans le trio de tête est remarquable...Le problème est nettement le manque de clairvoyance de Furlan qui ose mettre en avant certaines blessures de joueurs cadres (Marcos ? ) pour justifier les manquements incroyables de son équipe.. J espère que ce n est que de la naiveté....
Je prends le TGV, bonne semaine à  tous

[argueti]

Trop de monde au portillon

Dans le sillage de leurs deux échecs en une semaine, les hommes de Furlan se retrouvent impliqués dans une lutte incertaine pour la montée. Elle concerne un nombre accru d'équipes au moment où le Racing tire la langue.

Il faut toujours se garder de conclusions trop hâtives dans le subtil art de l'anticipation sportive. A l'orée de l'automne, le sort du sélectionneur national, Raymond Domenech, était scellé, au coeur de l'hiver, Lyon devait tranquillement s'assurer un 8e titre de champion de France et, à  l'amorce du printemps, le trio de relégués en Ligue 2 n'était pas susceptible de trembler dans sa marche pour retrouver l'élite. Si Lens bénéficiera encore d'un joker, quel que soit son résultat à  Montpellier demain, les retrouvailles entre Strasbourgeois et Messins se dérouleront sans filet, lundi prochain. Et le vaincu ne sera pas loin de tomber dans le malheur. Ce matin, Alsaciens et Lorrains ont le souffle de nombreux poursuivants dans la nuque.

Un statut de favori écorné au terme d'une semaine cauchemardesque

C'est le principal enseignement du week-end de L 2. Débarqués en Touraine « pour ne surtout pas être battus », Furlan et ses hommes ont échoué dans leur entreprise. Par la même occasion, Boulogne, qui a enchaîné sa 5e victoire de rang, et Tours, leur sémillant vainqueur lors de la 32e journée, fort d'une série de six victoires et deux nuls au compteur, reviennent dans la course à  la montée. Daniel Sanchez a fini par l'admettre. Sur le banc d'un promu désargenté qui fait la nique aux gros budgets, l'entraîneur tourangeau la jouait plutôt discret jusqu'alors. Vendredi, il a fini par craquer. « La victoire confirme notre potentiel, a-t-il commenté, du bout des lèvres. Strasbourg est resté dangereux pendant toute la partie, mais on a fait des gros matches jusqu'ici et on peut jouer un rôle en cette fin de saison. » L'expression « candidat au podium » ne fait visiblement pas partie du vocable sur les rives de la Loire. Mais le statut de favori pour la montée, en vigueur sur les bords du Krimmeri depuis le début de la saison, a été écorné au terme d'une semaine cauchemardesque.

«Dès que le banc est plus léger, on est dans la difficulté»

En deux matches, le Racing a perdu (presque toute) son avance. En deux matches, il a aussi perdu de sa superbe. L'équipe, en pleine réussite il y a encore une quinzaine, est dans le dur. Elle risque de le rester un moment. « On est fragilisé par les absences, souligne Furlan, qui ne bénéficiera, au mieux, que du retour de Gargorov pour le choc à  venir face à  Metz. Dès que le banc est plus léger, on est dans la difficulté. » Il y a le constat d'une situation défavorable. Il y a une urgence à  s'en affranchir. Dans les rangs du Racing, on n'envisage pas une place dans l'ascenseur sans du stress, de la fureur et de la douleur. « On n'est plus dans l'analyse, poursuit l'entraîneur strasbourgeois, qui a décrété le mode combat. On est complètement rivé sur le sprint final. On est prêt pour décrocher la montée dans les arrêts de jeu de la 38e journée. Ça va se durcir jusqu'au bout. » Seules quelques victoires, comme un rayon de soleil lors du prochain derby du Grand Est, sont susceptibles d'éclairer l'horizon. Et l'oeil noir du président, pas content du tout dans les couloirs du stade de la Vallée-du-Cher.
« Ce n'était pas digne d'un candidat à  la montée », a lâché Philippe Ginestet. Mais franchement, ces temps-ci, du côté du Racing, il n'est plus vraiment question de dignité mais d'impératif de résultats.

François Namur

[argueti]

De bric et de broc

Comme au cÅ“ur de la tourmente hivernale, le RCS, battu sans discussion en quatre jours à  Lens (4-1) et Tours (2-0), paie cash l'absence de joueurs majeurs. Contre Metz à  la Meinau le lundi 27, Cohade et Shereni seront, en plus, suspendus.

Stade de la Vallée du Cher à  Tours. Vendredi. 20 h. Une demi-heure avant le coup d'envoi. Jean-Marc Furlan. « Je suis inquiet, parce qu'à  chaque fois que l'équipe a été privée de pièces maîtresses (Bezzaz, Marcos et Gargorov blessés), nous sommes passés à  côté. » Même lieu. 22 h 45. Vingt minutes après la 2e défaite du Racing en quatre jours. Furlan encore : « L'enseignement que je tire de nos dix derniers mois de compétition, c'est qu'à  chaque fois que nous devons tarabiscoter l'équipe (sic) à  cause des absences, nous devenons très moyens et rentrons dans le rang. Quand l'effectif affiche complet, nous signons des résultats. Mais quand il est diminué, nous sommes beaucoup plus fragiles et nous nous retrouvons vite dans le creux. Même si je n'ai rien à  redire sur l'implication des jeunes comme Simon Zenke ou Magaye Gueye qui luttent avec leurs armes, leur influence n'est pas celle des Gargorov, Marcos ou Bezzaz. L'équipe est capable de se hisser dans les trois quand elle est au complet. »

La colère du président

Avant-hier à  Tours, Jean-Marc Furlan aurait sans doute préféré que ses prédictions ne se vérifiassent pas. Car l'entraîneur strasbourgeois doit sûrement se dire ces temps-ci que la situation lui rappelle quelque chose. C'était entre novembre et février lorsque Steven Pelé, Harlington Shereni, Marcos et Gargorov - déjà  ! - manquaient à  l'appel ou n'avaient pas encore recouvré la plénitude de leurs moyens. Depuis une semaine, le Racing traverse un grain d'une amplitude comparable à  celui qui l'a secoué au cÅ“ur d'un rude hiver. À ceci près qu'à  six journées de la fin, sa marge de manÅ“uvre est restreinte. En quatre jours et deux nettes défaites à  Lens (4-1) et Tours (2-0), son avance sur le 4e - Boulogne suppléant Montpellier - a été divisée par cinq, de 5 à  1 point. En attendant le Montpellier - Lens de demain (20 h 30), Tours, plus que jamais meilleure équipe à  domicile (38 points sur 48), invaincu depuis 9 journées (7 victoires, 2 nuls, 23 points sur 27), s'est même replacé à  la 5e place, à  trois longueurs du RCS et, donc, du podium. Seul réconfort : l'échec à  domicile d'un FC Metz (1-3 contre Clermont) lui aussi sous la menace avant le derby du lundi 27 (20 h 30) à  la Meinau. « Ça prouve que toutes les équipes ont des difficultés », ne s'en console pas un président Philippe Ginestet irrité. « C'est une grande déception, une colère même sur la manière. Une telle prestation n'est pas digne d'un prétendant à  la montée. À Lens, il y avait une classe d'écart. Ce n'était pas le cas à  Tours où il y avait la place. Nous avons fait une première mi-temps inexistante, au cours de laquelle l'équipe ne s'est pas hissée mentalement au niveau requis. Nous faisons du surplace et nos poursuivants recollent. Il est indispensable de battre Metz. »

Pelé : « On ne rigole plus, il faut que ça s'arrête »

Alors que Jean-Marc Furlan estime que « compte tenu de notre effectif, nous redevenons outsiders », mais ne s'en dit pas moins convaincu de la capacité de son groupe à  tenir l'objectif, Steven Pelé appelle à  une prise de conscience. « C'est le 2e match consécutif où la manière n'est pas là . Après la claque de Lens, il n'y a pas eu de réaction. Il faut que ça s'arrête. On ne rigole plus. Nous sommes dans les trois et avons encore notre destin entre nos mains. Mais si nous jouons avec le feu, nous ne l'aurons bientôt plus. » De quoi donner quelques insomnies à  son entraîneur avant Metz. D'autant que Shereni et Cohade, suspendus, viendront s'ajouter aux absences lors du derby. Même avec le retour probable de Gargorov, l'équipe sera encore bâtie de bric et de broc. Guère rassurant.

Stéphane Godin

[enzy]

et quand le racing sera en L1 dès le 36e journée, vous direz quoi

On a vu où nous ont mené tes certitudes l'année dernière quant au maintien du racing.

Que les Dieux du foot t'entendes Télésup, mais tu ne pas pas avoir de telles certitudes.

Et toi, que dira tu si le racing n'a pas assuré la montée au soir de la 37 ème journée ?

Ah oui, je sais, tu va me répondre qu'ils iront la chercher à  Montpellier. Quelle bonne blague.

[télésupporteur]

mes certitudes sont celles d'un supporteur
l'année prochaine, en L1, le racing jouera le titre ..............et aussi le maintien