Pascal Janin

[argueti]

Plessis a dit vouloir garder Janin

[FM17]

oh putain....

[FM17]

C'est FM75 qui va être content !

je découvre à l instant tous ces posts....

[télésupporteur]

Plessis a dit vouloir garder Janin

il ne peut pas actuellement dire autre chose
il le virera quand le racing aura assuré le maintien

[Tenor]

Plessis a dit vouloir garder Janin

il ne peut pas actuellement dire autre chose
il le virera quand le racing aura assuré le maintien

C'est ce que je pense aussi et redeviendra adjoint

[télésupporteur]

cela me rappelle aussi le non-match de damour, où il affirmait avoir totalement suivi les consignes du côche

[argueti]

Pascal Janin à l’instinct

Vendredi à Tours, l’entraîneur du RCS a surpris tout le monde en endossant la responsabilité de l’échec lors de la 30 e journée de L 2 (2-0). Une attitude courageuse dans un contexte délicat. Retour sur un épisode pas si surprenant.

Vendredi. 22 h 15. Stade de la Vallée du Cher à Tours. Pascal Janin assume. Son équipe vient de concéder sa 10 e défaite. Sans combattre ou presque. L’entraîneur strasbourgeois l’admet : son choix tactique d’attendre les Tourangeaux pour mieux les contrer n’a pas fonctionné. Un aveu guère fréquent en temps normal, mais encore plus courageux et — peut-être — un brin « suicidaire » alors que son tout frais président, Jean-Claude Plessis, assistait pour la première fois à un match de sa nouvelle équipe.

Or, on sait bien qu’en football, un changement de présidence constitue souvent un moment charnière pour un entraîneur. Janin serait-il donc un chouïa masochiste ? « Ce n’est pas de l’autoflagellation, mais de la lucidité et de la responsabilité », argumente-t-il. « Sur le moment, je n’ai pas pensé au fait que cet aveu pouvait éventuellement me porter préjudice, ni au contexte. Juste à mes joueurs, mon équipe, au match qui ne m’avait pas plu et à ce scénario que je n’avais pas du tout envisagé lors de ma causerie. J’étais mal à l’aise de ne pas leur avoir apporté plus. Bien sûr, ils auraient pu s’adapter. Mais j’ai regretté de n’avoir pas tenu avant la rencontre un discours qui les aurait mieux préparés. »

« Ça ne le pénalise pas à mes yeux »

Un autre président - voire un actionnaire majoritaire - moins expérimenté que Jean-Claude Plessis aurait pu se formaliser de ce mea culpa. Pas l’ex-président sochalien qui, en plaisantant, espère tout de même « qu’il ne se répétera pas toutes les semaines. » Loin de s’offusquer, Plessis estime au contraire que la sincérité de son technicien plaide en sa faveur : « Pascal Janin m’a tout de suite dit qu’il prenait la responsabilité de l’échec. Il me l’a répété dans le bus, puis l’avion du retour. J’ai trouvé ça plutôt courageux, d’autant que rien n’empêchait ses joueurs, qui n’avaient tout de même pas les pieds liés, de s’adapter. En aucun cas, ça ne le pénalise à mes yeux. Au contraire, ça le conforte. Dans des circonstances similaires, j’ai vu tellement de mecs se défiler que je suis plutôt content de sa r éaction. Je préfère travailler avec un mec honnête qu’avec un cachottier. Je n’ai qu’un petit reproche à lui faire : s’en être ouvert à la presse. Parce qu’aujourd’hui, ça fait débat. »

« Je n’ai pas envie de me cacher »

Disons plutôt que ça alimente la chronique. Celle d’un type chahuté cette saison à Strasbourg comme rarement un technicien l’a été, ici et ailleurs. « Je n’ai pas envie de me cacher derrière quoi que ce soit », explique encore l’intéressé. « Il ne suffit pas de prendre ses responsabilités quand ça marche. Il faut savoir le faire quand les choses ont été moins bien faites. Il y a des jours sans et à Tours, rien n’a fonctionné. Ces dernières semaines, à chacune de nos prestations, nous avions toujours eu l’impression d’assister à un match de foot, même si nous avions été plus ou moins bons. Il y avait eu de la bagarre, du cœur et même du jeu. Là, j’ai le sentiment que nous n’avons même pas tenté notre chance. »

À l’heure où son équipe laissait échapper des points à sa portée, le coach en a peut-être paradoxalement marqué, par sa dignité dans l’échec. « Son aveu renforce, j’en suis sûr, la confiance que les joueurs ont déjà en lui », analyse J.-C. Plessis. « Il renforce sans aucun doute celle que je n’avais pas encore en lui (rires). »

Même si le nouveau patron du RCS est réputé pour son sens de la formule, cette dernière confidence n’emprunte assurément pas qu’à son penchant irrépressible pour les bons mots.

« Il n’aime pas se la raconter »

Même s’ils le connaissent beaucoup mieux que leur nouveau président, les joueurs du Racing ont tout de même été un peu surpris des déclarations de leur entraîneur vendredi à Tours. Ils les ont d’autant plus appréciées qu’ils connaissent la rareté de ce genre de confessions dans le milieu du football. « Il faut souligner son courage », pointe le défenseur Arnaud Maire. « Ce n’est pas souvent qu’un coach se désigne coupable dans un contexte comme celui de Strasbourg en ce moment. C’est d’autant plus courageux que peu d’entraîneurs se seraient comportés ainsi et auraient accepté de porter tout le poids des responsabilités alors que la faute, si faute il y a, est largement partagée par les joueurs. C’est à l’image du personnage : il n’aime pas se la raconter. »

Le gardien Stéphane Cassard voit carrément dans la conduite du technicien un exemple dont les joueurs doivent s’inspirer. « Un tel comportement est rare de la part d’un entraîneur. Il faut que nous, joueurs, nous inspirions de son sens de l’analyse et de sa remise en question. Vis-à-vis du groupe, son attitude est la bienvenue. Elle prouve son degré d’implication, mais nous n’en sommes pas surpris. »

Stéphane Godin

[télésupporteur]

question : à quoi pourrait servir un entraîneur assis sur le banc le long de la touche

[silex57]

L'ouverture à la presse n'était pas nécessaire mais elle a le mérite de soulager l'équipe et de mettre un climat de confiance entre le coach et les joueurs.

[FM17]

une nouvelle fois Janin dit ce que ses patrons, la presse ou les supporters veulent entendre....Certains voient en lui un mec qui assume, moi je ne vois qu un manipulateur qui use de fausse modestie pour se faire passer pour un mec bien et humble dans le seul but de sauver sa peau malgré le jeu catastrophique de son équipe ...Pas besoin de faire la suceuse dans le vestiaire et apres dans le bus (merci Plessis de nous dire ce détail qui démontre bien la facon dont Janin use de leche)....Je suis certain qu il a du encore appeler Plessis ou Fontenla depuis comme il le fait dès qu il peut être remis en cause...
Je suis pragmatique et je vois que Janin est l entraineur avec qui le Racing effectue sa plus mauvaise saison professionnelle...Je regarde aussi le mercato réalisé avec l aval voire plus (De Carvalho) et je lis avec grande inquiétude les analyses de ce grand entraineur...
Alors oui il est gentil avec les joueurs et cela suffit au bonheur de nos breles mais cela est insuffisant pour le Racing....
Plessis a de par le passé pris des décisions importantes à Sochaux, j attends de lui que son âge ne lui fasse pas perdre la raison...