Les Brêves du Football

[Tenor]

c'est très louable de vouloir aider un ancien joueur, ...à condition d'expliquer aussi le pourquoi du comment.... parce que la liste des nouveaux pauvres (sans dents) s'allonge de jour en jour, surtout par ceux ou celles qui ont perdu leur travail et pas pour une cause de mauvaise gestion de leur fortune

[Kaniber]

Papin évoque l'affaire Luzenac
Jean-Pierre Papin, qui entraîne le FC Bassin Arcachon, est revenu sur l'affaire Luzenac qui a secoué le football français tout cet été.
"Il ne s'agit pas rêver mais de savoir jusqu'où on peut aller. C'est bien beau de monter en National ou en Ligue 2 mais il faut des budgets pour ça et à Arcachon, nous n'en aurons jamais les moyens. Si nous avons des infrastructures que pourraient nous envier certains clubs pros, financièrement, notre plafond est le CFA, peut-être le National. (...) Je regrette juste dans l'affaire Luzenac que les instances de notre football aient fait croire au club qu'il pouvait monter. Je connais bien Fabien Barthez, et je suis choqué de voir que la logique sportive n'a pas été respectée parce que les bonnes décisions n'ont pas été prises au bon moment. A ce niveau (en National, ndlr) la solidarité n'existe pas, c'est chacun pour sa gueule ! ", a confié l'ancien buteur des Girondins de Bordeaux.
Le club arriégeois, qui avait gagné sur le terrain la montée en Ligue 2, a déposé le bilan après le refus de la Ligue d'accorder la montée en L2.

[Kaniber]

Coups bas sur un terrain de football dans le Haut-Rhin: un joueur transporté d'urgence à l'hôpital
Une bagarre d'une violence rare a éclaté le 31 août dernier pendant un match de football entre Pfaffenheim et Gundolsheim, dans le Haut-Rhin, vient-on d'apprendre.

Un défenseur Pfaffenheimois et un joueur de Gundolsheim se retrouvent à terre après une faute banale. Une altercation s'ensuit. L'un des joueurs saisit les parties génitales de l'autre et tire violemment dessus. L'autre joueur le frappe au nez.

Tout le monde se souvient d'une scène "inimaginable", de hurlements "terribles". Le joueur blessé au bas-ventre qui souffre encore atrocement et a été évacué d'urgence à l'hôpital.

Les deux joueurs ont déposé plainte et la Ligue d'Alsace de football s'apprête à prendre de lourdes sanctions.

[Tenor]

ce sont des sauvages dans le haut-rhin

[Kaniber]

Giroud - Maradona : la photo qui taille...

Olivier Giroud (1m92) pose avec Diego Maradona (1m65) lors d'un événement promo. Bien joué le photographe qui a réussi à cadrer ensemble l'attaquant d'Arsenal et le génial Argentin.

[Tenor]

bravo, c'est l'équivalent à Paul Bismuth

[Kaniber]

Zoom L’équipe III du RC Strasbourg Alsace La “Trois” ne fait qu’un


Au Racing, il y a Jacky Duguépéroux et Ernest Seka, mais aussi Éric Barrois et Jean Fritsch. Tous quatre sont licenciés au Racing Club de Strasbourg Alsace, mais les derniers nommés évoluent dans une autre dimension, celle de la division 3 bas-rhinoise.

Le mercredi, sur les coups de 20h, elles résonnent inévitablement. Elles, ce sont les consignes d’Éric Barrois, l’entraîneur de la “Trois”. Adossé à la main courante, il nous plonge dans le quotidien de l’équipe qu’il dirige toujours avec le même appétit.

Avant d’évoquer sa formation, il convient de cerner le personnage. « C’est ma trente-deuxième saison au club, dont vingt-cinq en tant que coach », amorce-t-il, fier de sa fidélité.
Le secret ? Ambiance
et esprit club

« À vingt-deux ans, lors d’un match contre le Racing avec le Stockfeld, j’étais dans les cages et j’avais fait le match de ma vie contre Joël Tanter (champion de France en 1979). Je n’ai plus jamais quitté le club », assure-t-il encore. Voilà pour l’homme.

Lui et ses joueurs ne sont pas salariés du club, mais boulangers, employés SNCF, exercent des professions libérales ou sont étudiants à l’ENA.

Éric l’avoue sans ambages, « on a des joueurs qui n’ont pas envie de faire deux ou trois séances hebdomadaires. Certains veulent simplement garder la forme ».

Le recrutement se fait d’ailleurs très naturellement, le bouche à oreille fonctionnant à merveille. « On trouve toujours du monde, et ceux qui partent finissent par revenir d’eux-mêmes au bercail », assure Éric.

Le secret ? Ambiance et esprit club sont les maîtres mots de cette bande et ce n’est pas un hasard si le trophée du fair-play a été raflé quatre fois d’affilée.

Jean Fritsch, le capitaine, est le symbole de l’atmosphère qui se dégage du groupe. Éric se charge des présentations. « On a des caractères forts et Jean en est le meilleur exemple. C’est un combattant, mais toujours dans l’esprit. C’est sa dixième saison au Racing et il travaille dans la location de machines agricoles. Le dimanche, il se met au service du collectif », explique-t-il.

Avant de poursuivre que « chaque joueur a droit à une petite taquinerie. Mais il est très rare d’indiquer la sortie à l’un d’entre eux. Et tous les convoqués jouent au moins une demi-heure ».

Puis il raconte avec un brin de nostalgie que « Lætitia, notre dirigeante et grande sœur, a suivi son homme dans un club voisin et depuis, sa seule présence féminine et ses petits gâteaux nous manquent ». Comment envisager un départ quand on sait que les joueurs se retrouvent plusieurs fois dans l’année au restaurant, au spectacle ou au bowling ? Forcément, ça tourne rond sur la pelouse également.
« Nos adversaires jouent
le match de leur vie
contre nous »

L’équipe – qui évoluait en pyramide B et a intégré la D III de la pyramide A après la refonte des divisions – ne manque pas d’ambition, bien au contraire.

« Notre objectif est de faire la meilleure saison possible. On est une équipe de foot et si la montée en D II est jouable, on ne va pas s’en priver », espère Éric.

« Après, on reste le Racing et nos adversaires jouent le match de leur vie contre nous. Mais ils comprennent vite que nous sommes un club comme un autre. »

Jean le complète parfaitement. « On joue pour nos couleurs, et elles sont bleues et blanches. Les clubs villageois ne m’intéressent pas car l’ambiance est la même ici. »

Son coach, lui, insiste sur leur rôle d’ambassadeur. « Nos déplacements s’effectuent en dehors de la couronne strasbourgeoise et on prend plaisir à représenter le Racing », aime-t-il à souligner.

Le Centre de formation ne disposant pas de club-house, c’est à l’extérieur que la troisième mi-temps est la plus animée.

« L’accueil de nos adversaires est d’ailleurs très chaleureux », poursuit le technicien bleu.

Côté moyens, l’équipe jouit d’équipements et du meilleur terrain du Centre pour ses matches à domicile, le reste étant à la charge de l’effectif, dont certains complètent parfois au pied levé celui de la DH.

Éric nous en dévoile plus. « Il y a quelques années, on avait un kiné dans le groupe. Pour pallier aux blessures, il a enchaîné six matches de CFA. Même Jean et notre gardien ont effectué quelques piges plus haut », s’enthousiasme-t-il.

Qui sait, la “Une” aura peut-être besoin de renforts dans les prochains temps. Jean et ses copains répondront présents.

[Kaniber]

Quels clubs sont les plus dépensiers depuis 2008 ?
Le Centre International d'Etude du Sport (CIES) a dévoilé le classement des équipes les plus dépensières lors des différents mercatos d'été, depuis 2008. Avec des achats de 750 millions d'euros, le Real Madrid devance Manchester City et le FC Barcelone. Le PSG est 7e.
Depuis 2008, quels clubs ont lâché le plus d'argent à l'occasion des marchés d'été ? C'est la question posée par le Centre International d'Etude du Sport (CIES), alors que le mercato s'est terminé le 1er septembre dernier. Sans surprise, la première place est occupée par
le Real Madrid. En six ans, le club merengue a déboursé pas moins de 750 millions d'euros. Parmi ses achats les plus marquants, on citera Cristiano Ronaldo (94 millions d'euros), Gareth Bale (91 millions) et James Rodriguez (80 millions d'euros).

La Maison Blanche devance de très peu
Manchester City et ses 733 millions d'euros. Robinho, Sergio Agüero, et tout récemment Eliaquim Mangala, font partie des transactions les plus onéreuses effectuées par les Citizens.
Sur la troisième marche du podium, on retrouve le FC Barcelone (611 millions d'euros). La liste des joueurs achetés par le Barça est longue comme le bras, même si l'on peut mentionner par exemple le Brésilien Neymar (57 millions d'euros) et l'Uruguayen Luis Suarez (81 millions d'euros).
Quatre clubs français dans les 40

En plus de City, les équipes anglaises sont très bien représentées dans ce Top 10
avec Liverpool (4e, 466 millions d'euros),
Chelsea (5e, 431 millions d'euros),
Manchester United (6e, 425 millions d'euros),
Tottenham (8e, 384 millions d'euros)
et Arsenal (10e, 316 millions d'euros).
Seule représentante de la Serie A italienne à figurer dans le haut du panier, la Juventus Turin occupe la neuvième position avec des dépenses chiffrées à 365 millions d'euros.
Alors que le Bayern Munich, première formation allemande du classement, n'occupe que le 11e rang (307 millions d'euros),
le PSG fait partie des clubs les plus dépensiers sur la période 2008-2014. Septième, le double champion de France en titre a lâché 414 millions d'euros avec Thiago Silva, Zlatan Ibrahimovic ou David Luiz. Trois autres équipes tricolores figurent aux 40 premières places :
l'AS Monaco (18e, 204 millions d'euros),
l'Olympique de Marseille (19e, 201 millions d'euros)
et l'Olympique Lyonnais (23e, 186 millions d'euros).

[Kaniber]

Une perte de 200 millions d'euros pour les clubs pros
En attendant le rapport annuel de la DNCG, L'Equipe annonce ce vendredi un déficit record pour les clubs professionnels de Ligue 1 et de Ligue 2 à l'issue de l'exercice 2013-2014. Celui-ci s'élèverait en effet à 200 millions d'euros alors qu'il n'était que de 39 millions d'euros pour la saison précédente. Un résultat qui s'explique, selon le président de la LFP Frédéric Thiriez qui s'exprimait dans les colonnes du quotidien national, par des charges patronales trop élevées (sans équivalence en Europe), des loyers de stades anormaux ou, encore, par la mise en place de la taxe sur les spectacles. Pour rappel et pour comparaison, la saison 2009-2010 était jusque-là celle qui avait engendré le plus de perte nette avec un déficit total de 130 millions d'euros.

[baskath]

Un petit classement des buteurs en Europe, à la fois sur l'ensemble des compétitions disputées, puis uniquement sur le championnat.

Où l'on voit que Cristiano Ronaldo en est à 13 buts en 6 matches de championnat...

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