Les inscriptions au forum sont rouvertes 
Vu les prestations de samedi, je ne me fais pas trop de soucis.
Une équipe de Bastia complètement à côté de ses pompes, ailleurs, en pleine déconfiture : Gili, en plein délire ou alors très lucide (Je penche pour cette hypothèse) qui désavoue son président, un fort souffle de mafia; Pas de quoi mettre en confiance.
De l'autre côté un Racing qui retrouve des couleurs, prend confiance. Je sens le bon coup.
De toute façon, le Racing de samedi soir n'a rien à voir en L2.
[03/04] 35ème J: Bastia / RCS - 0/0
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EDES
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argueti
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Ca risque de se transformer en match glauque!!!!
Les differents clubs de supporters bastiais ont envoyé un communiqué au club en indiquant qu'ils se mettaient en grève, et serraient donc absents du stade ce samedi soir.
Ils revendiquent des dirigeants se préoccupant de l'avenir du club et réclament des ambitions sportives légitimes.
A mon avis, le match va se dérouler sur un baril de poudre, car les futurs adversaires de Bastia sont Lyon (à Gerland), Lille (à Furiani) et le PSG (au Parc)............. bref, rien de très encourageant en cas de contre performance face au Racing.
Les differents clubs de supporters bastiais ont envoyé un communiqué au club en indiquant qu'ils se mettaient en grève, et serraient donc absents du stade ce samedi soir.
Ils revendiquent des dirigeants se préoccupant de l'avenir du club et réclament des ambitions sportives légitimes.
A mon avis, le match va se dérouler sur un baril de poudre, car les futurs adversaires de Bastia sont Lyon (à Gerland), Lille (à Furiani) et le PSG (au Parc)............. bref, rien de très encourageant en cas de contre performance face au Racing.
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argueti
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Deroff et Dorsin reviennent
Confronté aux suspensions de Christian Bassila, Pascal Camadini et Yacine Abdessadki pour le déplacement à Bastia, Antoine Kombouaré a décidé de réintégrer Mickaël Dorsin, écarté depuis le 20 mars et le match de Metz, et Yves Deroff, relégué en CFA depuis la rencontre à Bordeaux le 3 avril. Dix-septième, et donc dans les tribunes contre le PSG, Vaclav Drobny retrouve lui aussi le groupe.
Bastia en souffrance
Florian Maurice a depuis longtemps remisé aux vestiaires le bonnet de Noël qu'il gardait caché dans son short et avec lequel il célébrait ses buts avant la trêve. Désormais, le Sporting fait le dos rond.(Photo AFP)
Entre un entraîneur remercié puis réintégré, un président démissionnaire, des supporters en grève, les visites de policiers intervenant dans les affaires d'extorsion de fonds, d'entreprises terroristes ou d'abus de biens sociaux, le Sporting vit une saison douloureuse. D'autant que le maintien n'est pas encore acquis.
Il paraît qu'à l'entraînement, les joueurs s'amusent encore et que rien dans ce qui est arrivé au club ces dernières semaines ne les a vraiment touchés. Si c'est le cas, ils sont bien les seuls. Parce que depuis quelques mois, le Sporting Club de Bastia et avec lui toute la ville est en pleine bouillabaisse.
Même les supporters se sont lassés de toutes ces histoires à répétition. De ces résultats en dents de scie, de ces querelles intra-utérines et des affaires judiciaires qui viennent plomber l'ambiance. Demain soir, ils vont d'ailleurs montrer leur mécontentement en ne venant pas au stade.
Les supporters absents
Hier, un communiqué émanant du club des supporters et diffusé à la presse locale a en effet annoncé une grève temporaire des fans du Sporting, d'ailleurs de moins en moins nombreux à chaque journée. Pour protester contre « toutes les affaires qui entourent le club » et demander que « naissent de vrais dirigeants capables d'offrir un véritable avenir » au club, ils s'abstiendront de faire le déplacement au stade.
Bastia va mal, donc. Mentalement d'abord puisque le club est confronté aux accusations de Jacques Maillot, le PDG de Nouvelles Frontières, qui affirme avoir été fortement « influencé » par les mouvements terroristes nationalistes pour qu'il assure le sponsoring maillot. Aux doutes de la brigades financières aussi, qui voit derrière le transfert de Mickaël Essien à Lyon un énorme abus de bien social. Sale(s) affaire(s), vraiment.
Une pilule à Rennes
Sportivement ensuite. Avec une dizaine de joueurs en fin de contrat et un entraîneur qui semble avoir décroché depuis un moment, sur le terrain ce n'est plus ça. Les coéquipiers de Florian Maurice (15e défense et 14e attaque du championnat), qui viennent de prendre une pilule à Rennes (4-0), font du surplace et n'ont plus qu'un point d'avance sur le Racing. Sur la corde raide, donc.
« Surtout qu'après Strasbourg nous irons à Lyon avant de jouer Lille et le PSG, confie l'ancien Lyonnais, Parisien et Marseillais. Il nous manque un ou deux points pour assurer le maintien et il faut le faire face au Racing, parce que sinon... »
« Nous nous sommes préservés »
Sinon, l'histoire va partir en croustille et Bastia se retrouver salement menacé par ses poursuivants. « Ce qui est rageant, c'est qu'on aurait dû être sauvés plus tôt. Après notre belle victoire face à l'OM (4-1), on avait fait le plus dur et puis, les choses se sont détériorées. Les problèmes autour du club n'ont rien à voir là -dedans, même si on aurait aimé avoir l'appui du président et que voir débarquer les policiers au stade, ce n'est pas agréable. Nous, nous nous sommes préservés de tout ça. Mais bon, on a encore de la marge. Nous ne sommes pas dans la situation de Toulouse ou d'Ajaccio ».
Pas encore, pas encore, mais comme les Strasbourgeois, et encore moins que les Strasbourgeois sans doute, il va falloir vite se ressaisir. D'où la perspective d'une entame musclée sans doute, dans un stade atone. Soit sans l'un de ses principaux atouts avec le défenseur Brésilien Hilton qui ne sera pas là non plus. Suspendu après son expulsion à Rennes. C'est que quand ça va mal...
Confronté aux suspensions de Christian Bassila, Pascal Camadini et Yacine Abdessadki pour le déplacement à Bastia, Antoine Kombouaré a décidé de réintégrer Mickaël Dorsin, écarté depuis le 20 mars et le match de Metz, et Yves Deroff, relégué en CFA depuis la rencontre à Bordeaux le 3 avril. Dix-septième, et donc dans les tribunes contre le PSG, Vaclav Drobny retrouve lui aussi le groupe.
Bastia en souffrance
Florian Maurice a depuis longtemps remisé aux vestiaires le bonnet de Noël qu'il gardait caché dans son short et avec lequel il célébrait ses buts avant la trêve. Désormais, le Sporting fait le dos rond.(Photo AFP)
Entre un entraîneur remercié puis réintégré, un président démissionnaire, des supporters en grève, les visites de policiers intervenant dans les affaires d'extorsion de fonds, d'entreprises terroristes ou d'abus de biens sociaux, le Sporting vit une saison douloureuse. D'autant que le maintien n'est pas encore acquis.
Il paraît qu'à l'entraînement, les joueurs s'amusent encore et que rien dans ce qui est arrivé au club ces dernières semaines ne les a vraiment touchés. Si c'est le cas, ils sont bien les seuls. Parce que depuis quelques mois, le Sporting Club de Bastia et avec lui toute la ville est en pleine bouillabaisse.
Même les supporters se sont lassés de toutes ces histoires à répétition. De ces résultats en dents de scie, de ces querelles intra-utérines et des affaires judiciaires qui viennent plomber l'ambiance. Demain soir, ils vont d'ailleurs montrer leur mécontentement en ne venant pas au stade.
Les supporters absents
Hier, un communiqué émanant du club des supporters et diffusé à la presse locale a en effet annoncé une grève temporaire des fans du Sporting, d'ailleurs de moins en moins nombreux à chaque journée. Pour protester contre « toutes les affaires qui entourent le club » et demander que « naissent de vrais dirigeants capables d'offrir un véritable avenir » au club, ils s'abstiendront de faire le déplacement au stade.
Bastia va mal, donc. Mentalement d'abord puisque le club est confronté aux accusations de Jacques Maillot, le PDG de Nouvelles Frontières, qui affirme avoir été fortement « influencé » par les mouvements terroristes nationalistes pour qu'il assure le sponsoring maillot. Aux doutes de la brigades financières aussi, qui voit derrière le transfert de Mickaël Essien à Lyon un énorme abus de bien social. Sale(s) affaire(s), vraiment.
Une pilule à Rennes
Sportivement ensuite. Avec une dizaine de joueurs en fin de contrat et un entraîneur qui semble avoir décroché depuis un moment, sur le terrain ce n'est plus ça. Les coéquipiers de Florian Maurice (15e défense et 14e attaque du championnat), qui viennent de prendre une pilule à Rennes (4-0), font du surplace et n'ont plus qu'un point d'avance sur le Racing. Sur la corde raide, donc.
« Surtout qu'après Strasbourg nous irons à Lyon avant de jouer Lille et le PSG, confie l'ancien Lyonnais, Parisien et Marseillais. Il nous manque un ou deux points pour assurer le maintien et il faut le faire face au Racing, parce que sinon... »
« Nous nous sommes préservés »
Sinon, l'histoire va partir en croustille et Bastia se retrouver salement menacé par ses poursuivants. « Ce qui est rageant, c'est qu'on aurait dû être sauvés plus tôt. Après notre belle victoire face à l'OM (4-1), on avait fait le plus dur et puis, les choses se sont détériorées. Les problèmes autour du club n'ont rien à voir là -dedans, même si on aurait aimé avoir l'appui du président et que voir débarquer les policiers au stade, ce n'est pas agréable. Nous, nous nous sommes préservés de tout ça. Mais bon, on a encore de la marge. Nous ne sommes pas dans la situation de Toulouse ou d'Ajaccio ».
Pas encore, pas encore, mais comme les Strasbourgeois, et encore moins que les Strasbourgeois sans doute, il va falloir vite se ressaisir. D'où la perspective d'une entame musclée sans doute, dans un stade atone. Soit sans l'un de ses principaux atouts avec le défenseur Brésilien Hilton qui ne sera pas là non plus. Suspendu après son expulsion à Rennes. C'est que quand ça va mal...
L'histoire est en marche ...
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argueti a écrit :Pour protester contre « toutes les affaires qui entourent le club » et demander que « naissent de vrais dirigeants capables d'offrir un véritable avenir » au club, ils s'abstiendront de faire le déplacement au stade.
C'est aisément compréhensible, à un moment nous avios également pas mal de procès en cours et les supporters en avaient aussi plus que marre de ça.
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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Maneo
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weiki
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argueti
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MOTIVATION. - « Les Bastiais sont comme nous... avant le match de Bordeaux. Ils se rendent compte très tardivement qu'ils sont en danger », disait Guillaume Lacour. A la seule mais grosse différence des Strasbourgeois, les Corses semblent démobilisés par le départ déjà annoncé de Gérard Gili, par l'instabilité aussi légendaire que chronique du club corse. En gros, hormis le jardinier de Furiani, tout le monde (ou presque) partira à la fin de la saison. Président compris...
L'histoire est en marche ...