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Les réactionsDNA a écrit : Après le jour, l'ennui
Les Strasbourgeois ne se sont hier soir jamais donné les moyens de faire fructifier leur succès face à Troyes. Logiquement battus au terme d'un match sans vie, ils se retrouvent un peu plus poussés par l'urgence.
Dimanche dernier, le Racing avait fait revivre l'espoir. Produit du jeu comme souvent, marqué des buts et surtout remporté une victoire importantissime face à Troyes. Hier, il a mis son mouchoir par-dessus tout ça et reniflé très fort.
De l'allant offensif d'il y a huit jours, il n'est ainsi resté qu'une dizaine de minutes en Bretagne. Les dix premières. Celles durant lesquelles les Strasbourgeois ont joué au foot et se sont installés dans le camp rennais, ce qui fait peu.
Dix minutes avant de reculer insensiblement et surtout de se livrer à un énorme gaspillage au moment de ressortir le ballon. Sans se créer la moindre occasion jusqu'au but de Kanté qui ranimera un peu, mais un peu seulement, la flamme. Trop tard de toute façon.
« Je suis déçu par le résultat et la manière, dira Jacky Duguépéroux après la rencontre. Nous avons été beaucoup moins bien que ces derniers temps, notamment dans l'utilisation de la balle. En première mi-temps, nous n'avons posé que très peu de problèmes à Rennes, pas du tout même, et ça s'est résumé par une attaque-défense. Ensuite, deux grosses erreurs défensives nous ont condamnés alors que j'avais l'impression que nous connaissions un bon passage. C'est un coup d'arrêt ».
Psychologiquement au moins. Car si Auxerre vient à s'imposer à Troyes ce soir, l'opération aura été blanche sur le plan comptable. Comme le match finalement, comme quoi il y a une logique quand même. Avec à nouveau un gros rendez-vous à préparer dimanche face au Mans à domicile pour rattraper ces points lâchés ici et là si l'on veut bien considérer que ces points-là se rattrapent.
« Sauf que le nombre de journées se réduit et que le temps presse, confie Jean-Christophe Devaux. Oui, il y a le Mans qui est capital, mais toutes les rencontres sont capitales, on le sait. On doit tout gagner à domicile, on n'a plus le choix ».
En attendant, il va falloir évacuer ce triste sentiment laissé sur la pelouse pelée du stade de la route de Lorient. Parce qu'hier, on n'a absolument rien vu, rien de potable en tout cas. Rien en tout cas qui puisse laisser deviner une équipe en lutte pour sa survie.
Une succession de passes ratées ça oui, un collectif apathique aussi, mais rien de potable, non. Rien en tout cas qui puisse entretenir l'espoir né après les deux victoires consécutives à Toulouse puis face à Troyes.
Hier, le Racing n'a jamais joué sa chance. Il s'est contenté de subir et de colmater les brèches comme il le pouvait. Sans jamais se procurer d'occasion, on l'a dit. Avec un Nemeth esseulé et un peu perdu, jamais servi non plus. Avec un milieu perforé et une défense qui a fait ce qu'elle a pu pour s'en sortir sans trop de dommages.
« Certains ont peut-être pensé qu'il n'y avait plus besoin de jouer collectivement, assénera encore, cinglant, Duguépéroux. On voit ce que ça donne ».
Puydebois a retardé l'échéance
Face à des Rennais astucieux dans le jeu et posés sur les ailes du duo Monterrubio/Gourcuff, les Strasbourgeois ont failli sur le plan collectif. Ne trouvant jamais l'alchimie et renonçant à jouer ensemble.
PUYDEBOIS : A lui seul, il a tenu la baraque en première mi-temps. Inspiré et rapide dans ses sorties dans les pieds, sûr dans ses prises de balles, il a fait échec à toutes les tentatives rennaises en se couchant dans les pieds d'Hadji ou de Gourcuff. Exempt de reproche sur le 1er but rennais, il a en revanche raté son intervention sur le corner qui précipitera le second. Sa seule approximation de la rencontre.
LACOUR : Une soirée difficile et c'est un euphémisme. Jamais vraiment en mesure de se situer sur le terrain, pas aidé non plus par l'erratique repli défensif de Diané, il a laissé des boulevards dans son dos. Monterrubio s'en est forcément donné à coeur joie et l'a mis au supplice tout le match avec ses crochets courts.
KANTE : Pas verni sur le corner qui amène le deuxième but rennais puisqu'il a vu le ballon raté par Puydebois rebondir sur son tibia et échouer dans les pieds de Briand, il a globalement souffert pour contenir les vagues adverses. Il a eu l'immense mérite d'entretenir l'espoir en trompant de la tête Isaksson. Son 2e but de la saison après celui inscrit à Monaco.
DEVAUX : A la peine lui aussi, mais il n'a pas craqué. Sa puissance lui a permis d'éviter le pire à une ou deux reprises. Forcément très gêné par la finesse technique d'Hadji.
ABOU : Du bon et du moins bon. Avec de l'énergie et une indéniable force de percussion sur son couloir droit. Avec, aussi, pas mal de ballons rendus en jachère ou à l'adversaire, ce qui revient au même.
LOUE : Il a commis énormément de fautes et s'est révélé lent et lourd. Après dix minutes, il a reculé et fini par subir le jeu sans plus être en mesure de jouer son rôle de sentinelle. Et quand la première digue craque...
ABDESSADKI : Beaucoup de ballons perdus, parfois hâtivement balancés, dans l'entrejeu qu'il arpenta pourtant sans relâche. Mais sans apporter quoi que ce soit de notable. Remplacé par Hosni (60e', ) qui précipitera la chute des siens en perdant, trois minutes après son entrée en jeu, un ballon que Kallstrà¶m convertira en but. Il ne s'en remettra pas.
P. FARNERUD : Il a tenté de mettre de l'ordre au milieu de terrain. Mais les solutions, offensives notamment, étaient bien minces pour le Suédois qui n'a perdu qu'un minimum de ballons.
LE PEN : Très inspiré par l'air du pays, il a débuté ce match sur les chapeaux de roues. Avec un excellent centre pour démarrer, beaucoup d'activité devant, au milieu et derrière pour finir. Auteur de quelques gestes de classes comme cette superbe transversale de l'extérieur (21e'). Le meilleur hier avec Puydebois.
DIANE : Invisible absolument en 1ere mi-temps, il a paru très vite découragé et même agacé ne participant au jeu que parcimonieusement. En deuxième période, il a à l'inverse trop voulu en faire et a pêché par égoïsme.
NEMETH : Il a tenté de se rendre disponible comme il a pu, en décrochant pour jouer en pivot puisqu'il n'y avait pas d'autre solution. Il n'aura au final pas du tout pesé sur une défense rennaise qui aura passé une soirée vraiment tranquille. Remplacé par A. Farnerud (70e') qui provoquera le corner amenant le but de Kanté.
SO a écrit :Les réactions
Jacky Duguépéroux (Entraîneur RC Strasbourg): « Je suis déçu du résultat et de la manière. D'habitude, nous nous créons des occasions à chaque match. Là , non. En première période, nous avons rendu trop vite le ballon aux rennais pour leur poser des problèmes. Ensuite, en seconde mi-temps, nous commettons une grosse erreur individuelle sur le premier but. Il a fallu que l'on soit menés 2-0 pour voir les garçons se réveiller. Mais je n'ai pas senti la même moelle dans l'équipe que lors des dernières rencontres. Cette défaite est un coup d'arrêt. Ca complique les choses, mais le maintien reste toujours jouable. Je vais attendre de voir le résultat de Troyes, dimanche, pour dire si cette défaite est inquiétante. »
Grégory Bourillon (Défenseur Stade Rennais): « Ce soir, nous avons été tranquilles derrière. Nous avons été mis en difficulté sur les dix dernières minutes, après le but de Strasbourg. L'essentiel est d'avoir pris les trois points. Nous sommes sur le droit chemin et il faut continuer comme ça. Nous produisons du jeu et nous sommes récompensés. Il faut essayer d'enchaîner samedi prochaine face à Ajaccio. »
Jean-Christophe Devaux: « En première période, nous avons bien défendu mais, en seconde, nous payons de petites erreurs et ça ne pardonne pas. Rennes a poussé et nous a empêchés de développer notre jeu. Nous n'avons pas su garder le ballon et, forcément, nous avons souffert. Nous avons la coupe UEFA, jeudi, pour nous remettre dedans. Ensuite, nous savons que face au Mans, nous n'aurons pas le droit à l'erreur. »
Pontus Farnerud: « On replonge. Nous n'avons pas pu continuer sur notre bonne dynamique. Nous n'étions pas au top et, par conséquent, nous ne pouvions pas espérer grand-chose. Il est difficile d'expliquer pourquoi, d'ailleurs. Il y a des soirs comme ça. Nous sommes passés à côté de notre match. Pourtant, même si nous n'étions pas bien, nous avons réussi à garder le 0-0 pendant un long moment. Si nous avions pu tenir encore un peu, il y aurait eu plus d'espaces vers la fin. Dans l'ensemble, la victoire de Rennes est méritée. C'est un coup d'arrêt. Ca fait mal mais il ne faut pas baisser la tête. Il ne faudra pas reproduire le même genre de match d'ici la fin de la saison. »
Cédric Kanté: « C'est une défaite logique, il me semble, et ça faisait longtemps que nous n'avions pas ressenti cela. Il n'y avait pas grand-chose à faire. Le regret est d'encaisser des buts casquettes. Nous étions un ton en-dessous, ce soir. Nous n'avons pas à rougir par rapport à la qualité de cette équipe de Rennes. Je ne suis pas plus inquiet que cela car notre adversaire était plus fort que nous. Nous savons qu'il faudra prendre des points à domicile pour se sauver. »
Pas capable de se faire mal pour gagner ce match grrrr ... Au moins l'emissaire de Bale dira que des bonnes choses a son staff ...L'Alsace a écrit :Le bâton pour se faire battre
De grossières erreurs ont condamné le Racing à une défaite logique hier à Rennes (2-1). Le derby Troyes – Auxerre de ce soir peut de nouveau le rejeter à 7 points du premier non-relégable.
Rennes a enchaîné hier soir sa troisème victoire consécutive. Le Racing, lui, s'est arrêté à deux. En s'inclinant en ce frais samedi au Stade de la Route de Lorient, la troupe de Jacky Duguépéroux a aussi mis fin à une autre série : une invincibilité de six rencontres (toutes compétitions confondues) que très honnêtement, elle ne méritait pas de prolonger en Bretagne. L'entrée en matière des Bleus a pourtant été convaincante. Mais à l'image de Guillaume Lacour, les Alsaciens vont ensuite reculer assez inexplicablement. Le capitaine strasbourgeois passe un mauvais moment devant un Monterrubio dur à tenir avec ses incessantes plongées dans le dos. Rennes va d'ailleurs s'offrir sa première occasion sur une ouverture d'Edman, mais Puydebois a anticipé et se jette avec à -propos dans les pieds du capitaine breton (13e). Le portier bas-rhinois est déjà dans son match. En attestent encore une prise de balle très sûre sur un coup franc surpuissant de Kallstrà¶m (18e), une parade sur une volée de Hadji, mis sur orbite par une transversale de Monterrubio au-dessus de Kanté (24e) et, surtout, un duel gagné devant Hadji, alerté par le même Gourcuff et qui a décoché une frappe instantanée du droit (28e). En fait, toute l'arrière-garde du RCS est à la peine. La paire Devaux – Kanté est désarçonnée par les contrô les orientés et la vitesse d'exécution d'un Hadji très remuant. Plus inquiétant encore, le bilan offensif des Bleus en ces 45 premières minutes se limite à une tête trop enlevée de Diané, après un une-deux parfait entre Le Pen et Nemeth et un centre non moins parfait du Breton (38e).
De bévue en bévue
Mais à ce rythme-là , on voit mal comment le Racing va pouvoir traverser ce match sans encombre. La punition paraît inéluctable. Comble de l'ironie, les Strasbourgeois vont eux-mêmes donner le ballon pour se faire battre sur de grossières erreurs. La première est « l'oeuvre » de Hosni, à peine entré à la place d'Abdessadki, qui hasarde un dégagement audacieux à l'entrée des 16 m et se heurte à Kallstrà¶m, plus prompt sur le coup. Le Suédois ne se pose pas de question et expédie un missile du gauche dont le poteau se fait l'involontaire complice pour l'ouverture du score (63e). En moins de cinq minutes, le RCS, égaré dans ses propres errements, va tout perdre. Car il n'a pas encore digéré ce vilain coup dur qu'il va en recevoir un second derrière les oreilles. Sur un corner de Monterrubio à la 67e , Puydebois, impeccable jusque-là , déchire sa sortie et Kanté, surpris à la retombée du ballon, se trompe de sens et, du genou, remet le ballon dans les pieds de Briand, tout seul à quatre mètres du but. D'une talonnade, l'international espoirs, déjà auteur du but victorieux à l'aller à la Meinau (1-0), assomme des Bleus pas vraiment dans leur assiette. La fin de match s'annonce d'autant plus pénible que depuis un long moment déjà , Nemeth, guère en vue et remplacé par Alexander Farnerud à la 70e, et les autres n'ont plus rien montré offensivement. Mais au moment où l'on ne s'y attend plus, les hommes de Duguépéroux vont revenir dans la partie sur un coup de pied arrêté. Comme à Monaco où il avait égalisé sur un corner de Johansen, Cédric Kanté va venir couper celui de Le Pen au premier poteau et réduire la marque d'un joli coup de tête décroisé (80e). Une réaction louable, mais trop tardive pour éviter une défaite logique. La série d'invincibilité des Bleus, vieille de six matches, est à ranger au rayon des souvenirs. Hier, Lacour et les autres n'ont, pour la première fois depuis longtemps, pas donné l'impression de lutter pour leur survie. Ce soir, après le derby Troyes – Auxerre, ils en paieront peut-être le prix.
« Déçu du résultat et de la manière »
Jacky Duguépéroux : « C'est une déception, autant sur le résultat que sur la manière. Nous avons été beaucoup moins bien que lors de nos dernières prestations, notamment en première mi-temps où nous ne nous sommes pas montr és très dangereux. Pour la première fois depuis longtemps, nous ne nous sommes pas créé d'occasions. Nous sommes revenus sur le terrain en deuxième mi-temps avec de meilleures intentions, mais le premier but encaissé sur une erreur nous a fait mal. Le second aussi. Forcément, ce résultat complique les choses. Nous allons devoir attendre le résultat des Troyens et espérer qu'un coup de pouce du destin nous permette de rester à quatre longueurs d'eux. En fait, nous nous sommes montrés très maladroits dans l'utilisation du ballon. Nous avons peut-être cru que nous n'avions plus besoin de nous appuyer sur un collectif qui constitue notre force essentielle. Nous avons réagi, mais trop tardivement. Si j'ai des regrets ? Quand on perd, on en a toujours. Mais avait-on les moyens de renverser la vapeur et de mettre un coup d'accélérateur en fin de partie ? Je ne le pense pas. Nous nous sommes trompés de scénario. » Jean-Christophe Devaux : « Nous avons globalement bien défendu en première période et bien attaqué la seconde. Mais deux grosses erreurs sur les deux buts rennais nous ont plombés. Dans notre situation, ce genre de bévue ne pardonne pas. Ceci étant, dès la première mi-temps, nous avons senti que ce serait difficile. Nous ne parvenions pas à garder le ballon. Nous ne faisions que le redonner aux Rennais. Cette défaite va nous amener à regarder de façon plus attentive encore ce que va faire Troyes contre Auxerre ce dimanche. Mais une chose est sûre : pour avoir une chance de nous en sortir, il faut faire le plein à domicile. Dès dimanche contre Le Mans. » Laszlo Bà¶là¶ni (entraîneur de Rennes) : « Nous avons réussi à confirmer notre victoire à Lyon. Pendant les dix premières minutes, nous nous sommes cherchés. Mais après u n quart d'heure, nous avons pris les choses en main. Et si nous n'avons pas fait la différence plus tôt, c'est parce que les Strasbourgeois défendaient bien et que nous étions un peu inoffensifs devant. Nous avons ensuite réussi à hisser notre niveau d'agressivité devant. Et nous avons marqué deux buts. Mais alors que nous nous dirigions vers un 2-0 classique, nous avons fait une connerie de marquage. Ceci dit, on retient l'essentiel : notre 3evictoire consécutive. »
L'émissaire du FC Bâle
Le FC Bâle avait dépêché un émissaire pour assister au Rennes – Racing d'hier soir. Le club suisse était bien entouré dans les gradins du stade de la Route de Lorient, puisque l'Ajax d'Amsterdam, le Milan AC, Charlton, Reading, Nantes, Saint-Etienne, Le Mans, Bordeaux et Lorient s'étaient également annoncés.
Le Racing a dormi sur place
Pour éviter un retour tardif après atterrissage à Colmar, les Strasbourgeois ont passé la nuit à Rennes et s'envoleront ce matin pour Strasbourg. Au repos ce dimanche, ils s'entraîneront lundi et mardi matin, puis rallieront Bâle en bus mercredi en début d'après-midi. La séance de veille de match aura lieu au Parc Saint-Jacques vers 17 h.
La réserve battue
Alors que leurs matches respectifs de CFA avaient été reportés, la réserve du Racing et le Sporting Schiltigheim se sont affrontés hier après-midi sur le terrain synthétique du stade de l'Aar à Schilik. Les Verts de José Guerra se sont imposés 2-0, avec un but inscrit lors de chaque mi-temps. Le milieu de terrain strasbourgeois Pascal Johansen, de retour sur les terrains après un mois et demi d'absence pour une tendinite d'Achille, a disputé toute la rencontre. « Il a été très bien, tout à fait dans le rythme », relève le coach de la réserve strasbourgeoise, François Keller, « C'est un match qui aurait pu se terminer sur un score de 5-3. Mais avec la neige en 2epériode, ce n'était plus vraiment jouable. Le seul point noir, c'est la blessure de Rudy Carlier à dix minutes de la fin. Nous avons dû le porter pour le sortir du terrain alors qu'il venait de recevoir un gros coup sur la cheville. Mais bon, ce n'est, a priori, rien d'autre qu'un coup. Après deux ou trois jours de repos, ça devrait aller. »
Arrache a vu Boixel
Absent des terrains depuis le 3 décembre et un claquage – à répétition - à la cuisse gauche contre Sochaux, l'ailier algérien Salim Arrache s'est fait manipuler jeudi à Paris par l'ancien ostéopathe de l'équipe de France, Philippe Boixel. « Il le reverra dans quinze jours », indique le kiné du RCS Nagib Remita, « si tout va bien, Salim devrait reprendre fin mars. » Son indisponibilité atteindra alors quatre mois.
Bienvenue à Anatole
Nagib Remita, qui officie depuis 2000 comme kiné au RCS, est devenu papa pour la première fois mardi. Sa femme Stéphanie a donné naissance à un petit (46 cm, 2,7 kg) Anatole qui fait la fierté de ses pare nts. La maman et le bébé se portent comme un charme et le papa, resté ce week-end avec sa petite famille, est aux anges. Bienvenue à Anatole donc et nos félicitations aux heureux parents.
Saint-Etienne – Racing le 19 mars à 18 h
Après Strasbourg – Le Mans, repoussé au dimanche 12 mars à 18 h pour cause de 8e aller de Coupe de l'UEFA à Bâle le jeudi 9, le Racing jouera un autre match décalé le 19 mars. Son déplacement à Saint-Etienne, initialement prévu le samedi 18 mars à 20 h, a en effet été repoussé à ce dimanche 19 (18 h également) en raison du 8e retour d'UEFA le jeudi 16 à la Meinau face aux Suisses.
En gros c'est bien résumé.Quand on deplore l absence d un Gameiro...c est qu il y a quelquechose qui cloche cette annee non ?
J ai vu le match...on s est fait bouffer...Rien à dire (à part les 10 premieres minutes)...
Lacour naze, Loue...me rappelle Bassila..faut qu il arrete de tirer au but...Bon match de Devaux/Kanté...le reste...rien !
. 9a reflète à peu près ce que j'ai dis plus haut.
C'est pas sur le match d'hier qu'on va vouloir nous acheter nos joueurs