Le Fil Rouge

[jere__57]

Je ne savais pas trop ou poster ça, alors je le mets la. Je me baladais sur le site, référence en la matière, de transfermarkt qui évalue le prix des joueurs par rapport au marché.
Très étonnement malgré ce début de saison, la plupart des Strasbourgeois ont pris de la valeur.
Abakar Sylla passant de 8 à 15M malgré son début de saison très compliqué.
Ismael Doukoure est passé de 6 à 9M.
Junior Mwanga est passé de 4 à 6M
Habib Diarra est passé de 10 à 18M, tout aussi étonnant que Sylla vu son début de saison
Dilane Bakwa est passé de 4 à 7M
Emmanuel Emegha est passé de 8 à 11M
Il n'y a que Sow qui a perdu 1M passant de 4 à 3M

Tout ça malgré le début de saison vraiment mauvais.
Pour s'amuser un peu niveau calcul, la valeur global sur les joueurs a augmentée de 26M
Par contre la différence cumulée par rapport au prix d'achat est positive de 11,5M grâce à Doukoure recruté 1,5M et Diarra formé au club.
Si on ne compte que les recrues de cette saison, le déficit s'élève à 14M.

Je n'ai pas inclu Angelo n'étant que prêté qui est lui passé de 13 à 15M

[Kaniber]

Racing : ces chiffres qui inquiètent
Avant de défier Rennes, dimanche (17h05) en Bretagne, le Racing a fait un grand bond en arrière en raison de ses trois défaites de rang. La situation n’est pas catastrophique, mais quelques données statistiques incitent à tirer la sonnette d’alarme. Explications chiffrées.
Ce n’est pas parce que la météo de cette fin octobre est triste à pleurer qu’il faut noircir le tableau outre mesure. Après tout, le Racing (13e , 10 pts) voit encore cinq équipes dans son rétroviseur à l’attaque de la dixième journée.

La saison passée, au même stade de la compétition, et après un cinglant revers à la maison contre Rennes (1-3), la troupe de Julien Stéphan était avant-dernière d’une Ligue 1 à vingt clubs, n’affichait que cinq points au compteur et n’avait pas encore remporté le moindre match.

Mieux que l’an dernier au même stade de la saison, mais…
Paradoxalement, l’inquiétude dans les rangs des supporters est aujourd’hui bien plus grande. Les plus pessimistes d’entre eux voient déjà leur équipe monter dans la charrette des relégués en mai prochain, sacrifiée sur l’autel de la « multipropriété ».
Et les derniers optimistes ne s’attendent à rien d’autre qu’à une nouvelle lutte acharnée pour le maintien, alors que la promesse de jours meilleurs avait pu naître avec l’apport d’argent frais des nouveaux propriétaires américains de BlueCo.

Il est vrai que le dernier mois de compétition a vu les Bleus plonger au classement – moins sept places – après une trilogie de revers logiques contre Lens (0-1), Nantes (1-2) et au PSG (0-3).

La série n’augure rien de bon. D’autant qu’aucun progrès dans le jeu n’a été constaté, même si Patrick Vieira pense le contraire, étant toujours « convaincu par ce [qu’on] essaie de mettre en place ».

Puisque le foot contemporain fait la part belle aux statistiques, quelques chiffres viennent corroborer les craintes : à l’approche du premier tiers de la saison, le nouveau Racing est loin du compte. Voici pourquoi.
La lanterne rouge des tirs cadrés
Après neuf journées, le Racing est l’équipe la plus inoffensive du championnat, et de loin.

C’est à la fois celle qui prend le moins souvent sa chance (moins de huit tirs par match) et celle qui accroche le moins souvent le cadre : seulement vingt fois, soit même pas deux tirs et demi par match, là où Monaco pilonne le gardien adverse avec une moyenne de sept tirs cadrés.

Forcément, quand on pèse si peu sur les défenses, il ne faut pas s’attendre à marquer beaucoup. Avec un total de huit réalisations, dont deux à mettre au crédit de “Jeanjean” Bellegarde, parti le 1er septembre en Angleterre, le Racing se traîne là aussi en queue de peloton, seul les impayables Lyonnais faisant moins bien (7).

C’est dans ces moments de solitude devant le but adverse que l’absence d’un Habib Diallo, 20 buts la saison passée et parti chercher fortune chez les Saoudiens, pèse énormément…
Possession : le ballon les fuit
Avec 40,2 % de possession, le Racing fait figure de mauvaise élève. Seuls les Messins ont moins souvent le ballon entre les pieds (33,6 %).

On pourra toujours rétorquer que ça n’est pas un gage de réussite, Lyon (52 %) ne sachant visiblement pas quoi en faire…

Toujours est-il qu’en neuf matches, jamais les Strasbourgeois n’ont eu la maîtrise du jeu, le déséquilibre étant poussé à son paroxysme samedi dernier au Parc des Princes (23 %). Cela dénote surtout une fébrilité au milieu, là où le jeu est censé se construire.

Un pressing défaillant
Autre élément statistique qui interpelle : le faible nombre de ballons récupérés. Les Bleus pointent dans le quatuor de queue en ce qui concerne les balles reprises au milieu (20,5 par match), mais aussi en attaque (3,4 par match), soit moitié moins que les Rennais sur le front offensif…

Il faut y voir un manque de coordination, voire d’engagement dans le pressing et le contre-pressing, soit ce qui faisait la force du Racing lors de la première saison de Julien Stéphan sur le banc.

Le profil des joueurs, plus portés sur l’attaque que le repli (Ângelo, Bakwa, Sahi), explique certainement ce déficit.

Criant manque de justesse
Avec 308 passes réussies en moyenne par match, et plus que 53 dans les 30 derniers mètres, là où ça compte vraiment, le Racing est aussi dans le wagon de queue, très loin des équipes comme Paris, Lille ou Rennes qui jouent juste avec la précision d’un horloger suisse.

Mais on en revient au point de départ : pour devenir un bon joueur de Ligue 1, il faut des habitudes, des automatismes et beaucoup de temps devant soi.

La jeunesse strasbourgeoise n’en est qu’au début du processus. Voilà pourquoi elle affiche autant de failles et d’insuffisances dans les tableaux statistiques et, à plus forte raison, sur le terrain.

Frédéric Antonetti, ex-entraîneur du Racing, au micro de Canal +
Si le Racing est devenu une pépinière de Chelsea ? Il y a un peu de ça... C’est le pourcentage de jeunes joueurs par rapport à ceux d’expérience qui m’a gêné. J’étais pour une politique sportive avec des jeunes à intégrer. Mais pour la Ligue 1, il faut quand même des joueurs d’expérience. Ils sont allés trop loin. Là, ils sont en grosse difficulté, mais le club va y arriver au bout de deux ou trois ans. À mon âge, je n’avais plus le temps de faire tout ça…

[Kaniber]

Un nouveau préparateur physique portugais
Il a débarqué voici quelques jours : l’imposant staff du Racing s’est encore étoffé avec le recrutement du Portugais Joao Francisco Almeida, plus spécialement chargé de la réathlétisation des blessés. Avant de rallier l’Alsace, il a travaillé dans le milieu du football : au Sporting Portugal, à Belenenses et, plus récemment, à Al-Riyadh, club de première division d’Arabie saoudite.

[Its_me]

Le staff qui entoure l'équipe n'est certainement pas encore assez étoffé ...

[Celticmen4]

Une dizaine sur le terrain lors de l'échauffement !

[Kaniber]

Ils ont plus de préparateurs que de joueurs

[PoY]

Keller l'avait mentionné pendant son interview chez France Bleu Alsace...
Cela permet, en plus du reste, de permettre à Viera de se faire comprendre plus clairement par Angelo pour passer les consignes en portugais

[D520]

et puis comme ca , le préparateur physique pourra échauffer l'encadrement du racing, faudrait-pas qu'on ai aussi des blessés de ce coté là...

[Gotcha]

c'est moins gênant quand même si ceux là se blessent

[Its_me]

Et voici la photo officielle sur laquelle on voit clairement un staff presque aussi grand que l'équipe.
A noter la présence de Céline Distel que je découvre en tant que diététicienne du club