Le Fil Rouge

[Kaniber]

Le plus raisonnable et de ne rien jeté sur la pelouse

[RACING1906]

Ça, il faut que tu l'expliques aux imbéciles pour leur faire changer d'avis.

[Kaniber]

Sur chaque stade tu trouve des spectateurs qui se crois plus malin que les autres

[Tenor]

Le plus raisonnable et de ne rien jeté sur la pelouse

va dire ça aux Corses

[RACING1906]

BENEDICK : RUPTURE DES CROISES ?

La défaite de la réserve du Racing hier à Dinsheim en DH (2-4) a fait des dégâts dans les rangs strasbourgeois. Yann Bénédick, qui collectionne les pépins physiques cette saison (cheville, cuisse) et semblait enfin entrevoir le bout du tunnel, a dû quitter le terrain peu après l’heure de jeu. Le pronostic, qui devra être confirmé lundi par des examens plus poussés, n’est pas très engageant. Le staff médical du RCSA suspecte une rupture des ligaments croisés du genou droit que l’attaquant s’était déjà déchirés à son arrivée à Reims en juillet 2011.

L’inquiétude est moindre pour le jeune gardien Harold Ball, victime en début de 2e période d’un traumatisme crânien après un choc avec l’ancien Racingman Mohamed Boughardayan, expulsé sur le champ par l’arbitre, alors que le score était déjà de 4-1. Le portier bas-rhinois, qui a perdu connaissance une dizaine de minutes, a été évacué par les pompiers vers l’hôpital le plus proche où il a passé des examens rassurants. Il a pu regagner son domicile dans la soirée.

lalsace.fr

[RACING1906]

ZÉRO POINTé

Le Racing espérait prendre ses distances sur la zone rouge. Avec deux défaites, à Vannes (3-2) puis à domicile face au Paris FC (0-2), les Strasbourgeois ont complètement raté leur semaine.


La semaine passée, le Racing avait l’occasion de se donner de l’air. Avec un déplacement à Vannes, équipe relégable, puis la réception du Paris FC, les Strasbourgeois avaient même une petite idée en tête : récolter six points. Ou quatre pour les moins optimistes. Voire deux, au grand minimum.

Mais ce matin, le compte n’y est pas. Pas du tout même. Avec le zéro pointé subi lors des deux matches en question, le Racing reste à portée du fusil de Luçon, 15e et premier relégable. Soit une situation tout sauf confortable alors que le prochain déplacement mènera les Bleus… à Luçon, justement.

« Un jeu trop stéréotypé »

Mais si le Racing pouvait nourrir des regrets en Bretagne, ceux d’avoir laissé filer un point (voire trois), il n’en est pas de même pour la rencontre de samedi, à la Meinau, face au Paris FC. « Le scénario de Vannes était cruel. Celui de ce soir (samedi, ndlr) l’est moins, car on n’a joué qu’une mi-temps », reconnaissait François Keller. Avant d’ajouter : « En deuxième période, on a été emprunté, on a vraiment manqué de peps, surtout après le deuxième but, qui nous a mis un coup au moral ».

Plutôt dominateur lors des trente premières minutes, le Racing a eu beaucoup plus de mal après l’ouverture du score, signée Toko-Ekambi (40e ).

« Quand on ne met pas les occasions au fond face à ce genre d’équipe, il suffit d’une petite faute d’inattention pour se retrouver mené », soulignait aussi Jean-Philippe Sabo, dépité par ce revers.

Face à une équipe taillée pour jouer en contre – « Paris ne fait que défendre, mais dans ce registre ils sont excellents », estimait d’ailleurs Keller –, les Strasbourgeois n’ont jamais semblé être en mesure de trouver la faille.

Le deuxième but parisien, peu après l’heure de jeu, est du coup presque anecdotique, tant on a eu l’impression que le Racing aurait pu tourner trois jours autour du but de Demarconnay sans trouver l’ouverture.

La faute, selon Sabo, « à un jeu trop stéréotypé ». « On a eu la possession, mais on n’a pas été bon dans le dernier geste », précisait le latéral.

Face à une équipe parisienne solide et efficace dans les deux zones de vérité, le Racing s’est montré brouillon et trop naïf. Deux défauts rédhibitoires dans un championnat National où la solidité défensive détermine avant tout l’issue d’une rencontre. « Il va falloir travailler sur ces lacunes », soulignait d’ailleurs François Keller.

Et vite les corriger, surtout. Car en cas de nouveau revers, vendredi en Vendée, la situation comptable du Racing pourrait sévèrement se compliquer. « Ça fait longtemps que nos jokers sont grillés, exposait à ce sujet Jean-Philippe Sabo. On perd à Vannes, on perd à domicile… Maintenant, il faut aller à Luçon avec humilité, en mettant le bleu de chauffe ».

Stopper l’hémorragie

Avec, comme première priorité, de stopper l’hémorragie pour éviter d’encaisser une troisième défaite consécutive. « J’aurais préféré aller à Luçon avec dix points d’avance sur la zone de relégation, mais la réalité de notre championnat, c’est qu’on n’en a que deux. Il faudra être costaud pour y chercher des points », avançait François Keller.

Les mots sont posés. Reste à les transformer en actes. Car le temps, désormais, est compté…

DNA

[Kaniber]

Stopper l’hémorragie

Avec, comme première priorité, de stopper l’hémorragie pour éviter d’encaisser une troisième défaite consécutive. « J’aurais préféré aller à Luçon avec dix points d’avance sur la zone de relégation, mais la réalité de notre championnat, c’est qu’on n’en a que deux. Il faudra être costaud pour y chercher des points », avançait François Keller.

Les mots sont posés. Reste à les transformer en actes. Car le temps, désormais, est compté…

Comme dit le proverbe , jamais deux sans trois , souhaitons que le proverbe ne se réalise pas , sinon

[Kaniber]

L’inquiétude est moindre pour le jeune gardien Harold Ball, victime en début de 2e période d’un traumatisme crânien après un choc avec l’ancien Racingman Mohamed Boughardayan, expulsé sur le champ par l’arbitre

pas sur le champ ,il lui a d'abord sorti le jaune , puis le juge de touche et allez vers l'arbitre lui a souffler dans l'oreille , c'est a ce moment qu'il a sorti le rouge ' mérité ' car le joueur de Dinsheim aurait pu et du évité le gardien

[RACING1906]

OLIVEIRA NE BAISSE PAS LES BRAS

Alors que le Racing aborde une semaine décisive, avec un déplacement ô combien important à Luçon, Stanislas Oliveira refuse de céder à la sinistrose…

Des saisons difficiles , Stanislas Oliveira en a connu. Avec Sedan (en L2) ou avec Boulogne (L2, puis National), le milieu de terrain du Racing, âgé de 25 ans, a plus souvent joué le maintien que le haut de tableau.

Alors pas question pour lui de paniquer ou de déprimer après les deux défaites encaissées par son équipe la semaine passée, à Vannes (3-2), puis à domicile face au Paris FC (0-2).

Au contraire, Stanislas Oliveira se montre d’un optimisme à toute épreuve. « Le maintien, j’y crois et tout le groupe y croit, bien entendu », lâche-t-il d’emblée, alors qu’on évoque la situation critique des Strasbourgeois au classement général de National.

« On connaît notre situation au classement et on sort d’une semaine difficile où on a pris zéro point sur six possibles, ajoute le joueur. Mais il reste douze matches à disputer, tout est jouable ».

Oliveira en est persuadé : son équipe est « dans une bonne dynamique » depuis le début de l’année 2014, malgré ses récents résultats, catastrophiques au plan comptable. « Au niveau du contenu, on est dans une phase positive », martèle même le natif de Mont-Saint-Aignan.

« Plus patient, plus attentif, plus rigoureux »

Pour Oliveira, qui s’impose de plus en plus au sein du milieu de terrain strasbourgeois, la semaine cauchemardesque vécue par le Racing ne doit pas tout bouleverser. Ni dans l’approche des matches, ni dans la configuration tactique de l’équipe. « Il faut se montrer plus patient, plus attentif et plus rigoureux, mais à Vannes comme face au Paris FC, sur le contenu, on a fait ce qu’il fallait », souligne-t-il.

Si le Racing parvient à corriger ses erreurs d’inattention, les résultats positifs suivront, assure aussi le milieu relayeur.

« Il faut être plus concentré. Par exemple contre Paris, sur le deuxième but, c’est de ma faute. J’ai fait une erreur de placement », souligne Oliveira. Or en National, ce genre d’erreurs se paie cash, comme le Racing en a cruellement fait le constat la semaine passée. Reste à corriger rapidement le tir alors qu’un délicat déplacement à Luçon attend les Strasbourgeois en fin de semaine.

« La clé du match sera le combat, avance Stanislas Oliveira. Il faudra être présent dans les duels et retrouver notre solidité défensive. Là, on a pris cinq buts en deux matches : c’est trop. J’en ai marre qu’on nous dise toutes les semaines qu’on joue bien alors qu’on galère au niveau des résultats ».

Pourtant, Stanislas Oliveira refuse de parler de ce déplacement à Luçon comme d’un « tournant » dans la saison 2013/2014 des Strasbourgeois.

« Comme je l’ai déjà dit, il reste douze rencontres, donc ce n’est pas forcément un tournant. Mais ce qui est sûr, c’est qu’il faut qu’on gagne à l’extérieur. C’est très important pour nous permettre de remonter au classement », avance le milieu de terrain.

« Au jour d’aujourd’hui, on a un groupe très fort, avec des grands joueurs capables de jouer la montée, mais si on en est là au classement, c’est qu’il y a une raison, ajoute-t-il. Il faut prendre des points au plus vite ».

Histoire de valider le maintien et de s’offrir une fin de saison sereine. « Ça ne sera pas facile, mais le National, c’est comme ça… On sait ce qui nous attend ». À savoir, un sacré combat, vendredi à Luçon, dont le Racing ne doit, cette fois, pas sortir perdant…

DNA

[Kaniber]

« Mais il reste douze matches à disputer, tout est jouable ».

Celle là je l'attendais , naturellement il reste une douzaine de matchs a joué , mais il faut se focaliser sur les matchs encore a disputer , il faut les trois points , et c'est tout