[13/14] 24ème J: Strasbourg / Boulogne - 1/1

[Tenor]

C'est peut-être une erreur à court terme de les faire jouer je suis bien d'accord, un pari hasardeux du moment, mais qui à moyen terme pourrait faire ses effets.
Mais a t'il le choix si on veux faire bouger ceux qui sont en place dans leur fauteuil ???
Les dirigeants du racing ont entendu la demande de faire venir des recrues...mais qui s'avèrent pour le moment improductif. Les évincés du moment ont les boules parce qu'ils ne font guère mieux, mais à qui la faute ??? Faut bien provoquer à un moment donné une émulation, laisser le copinage de coté, de trouver une assise et enfin de gagner des points, ...le reste s'autorégulera et on verra mieux en fin de saison le souhait de voir collaborer ensemble les uns et les autres. Je pense que la lessive sera faite de toute manière, mais ça chacun le savait y compris les joueurs en place.
Il y en a marre de les caresser dans le sens du poil, le message adressé par le président à leur intention va dans ce sens de la responsabilisation, et c'est tout l'avenir du club qui est en jeu.

[RACING1906]

Le groupe de 18

Le groupe resserré à 18 joueurs ne comprenait hier que 17 éléments. Mamadou Bah a en effet été ménagé en raison d’un hématome au genou, contracté à Luçon. À noter aussi la présence de Jérémy Grimm, pourtant suspendu pour la réception des Nordistes après avoir vu rouge à Luçon. « On espère qu’il ne prendra qu’un match de suspension et comme on travaille sur 15 jours, il bosse en prévision de Luzenac », a indiqué Sébastien Roi.

Ledy, Donzelot et Amofa, en phase de reprise, s’entraînent avec la DH, tout comme Noro et Modeste. Quant à Benedick, blessé au genou il y a 15 jours avec la réserve, il devrait pour sa part être absent jusqu’en fin de saison.

u Le groupe : Gauclin, Kéhi – Sikimic, Sabo, Gisselbrecht, Grimm, Pinaud, Bamba, Golliard – Belahmeur, Oliveira, Genghini, Lienard – Ribas, Binder, Mendy, Perrin.

DNA

[Its_me]

Ah tiens maintenant ils travaillent sur 15 jours et plus d'un lundi au suivant ? Faudrait savoir.

[Kaniber]

Bin oui avant ils travaillaient une semaine sur l'autre , voila pourquoi les résultats ne suivaient pas

[télésupporteur]

et si au lieu de travailler ils s'entraînaient à faire une équipe de foot

[Tenor]

Wolfgang j'attends encore ton prono pour ce match avant de me livrer

2;3;4 ou 5 à 0

[Kaniber]

En parlant de prono il faut que je fasse celui du site Temor pas de zéro mais un p'tit 3-1 , ça te va ?

[RACING1906]

LES VERTUS DU TRAVAIL

Arrivé en Alsace il y a un mois, Sebastian Ribas prend lentement ses marques au sein du groupe alsacien. Et l’attaquant n’a qu’un souhait : que son équipe « inverse la tendance » pour la réception de Boulogne.

Alors que bon nombre de ses coéquipiers ont déjà rejoint les vestiaires Sebastian Ribas est toujours sur le pré. Seul face au but du terrain d’entraînement du Krimeri, le natif de Montevideo enchaîne les frappes sous le soleil.

Faire du “rab” ne fait pas peur à l’avant-centre, qui a fêté ses 26 ans la veille. Bien au contraire. Car le mot qui revient le plus souvent dans la bouche de Sebastian Ribas c’est “travail”.

« Il nous reste onze finales à disputer »

« On travaille, on travaille… Et le seul moyen de s’en sortir est de travailler encore plus », lance d’emblée l’attaquant, dans un français parfait, quand on évoque les résultats récents du Racing.

Pour Ribas, même si « l’équipe n’obtient pas pour l’instant ce qu’elle veut », il est hors de question de baisser les bras. « Sincèrement, lors des trois derniers matches, il y a eu des bonnes choses, souligne même le compatriote d’Edison Cavani et Diego Forlan. Mais il nous manque la victoire ».

Pour en décrocher une, de victoire, et espérer sortir de la zone rouge, il n’y a pas de solution miracle, si l’on en croit celui qui avait été élu meilleur joueur de L2 (en 2010-2011), après avoir inscrit 23 buts sous le maillot dijonnais. « Il faut penser à corriger certaines choses qui n’ont pas fonctionné », avance simplement l’attaquant.

Et notamment offensivement, secteur où le Racing n’a pas vraiment été à la fête ces dernières semaines.

« Là aussi, la seule solution est le travail », évoque celui qui a inscrit deux buts sous le maillot bleu en quatre rencontres disputées. « Les automatismes ne se créent pas en un mois. Surtout qu’Alexandre (Mendy, qui a joué à côté de Ribas les trois dernières rencontres) est aussi arrivé en janvier », ajoute encore l’Uruguayen.

Si l’on évoque son cas personnel, Sebastian Ribas tire un bilan mitigé. « Mon but, en venant ici, était d’enchaîner les matches et, de ce côté-là, ça va plutôt bien, souligne-t-il. Mais au niveau des résultats, forcément j’aimerais qu’ils soient meilleurs ».

Malgré un manque évident de rythme après deux ans et demi de galère à travers l’Europe (*) , Sebastian Ribas n’a pas perdu son sens du but, comme il l’a prouvé à Vannes (en égalisant à 2-2) , ni son sens des responsabilités, comme il l’a prouvé en marquant un penalty plein de sang-froid face à Ajaccio, dans les arrêts de jeu.

« Je tirais les penalties à Dijon. Et j’ai notamment tiré celui qui nous a permis d’être assuré de monter en L 1… C’était aussi en fin de match et il y avait aussi beaucoup de pression », raconte l’attaquant. Ironie de l’histoire, ce penalty avait permis à Dijon d’arracher le match nul face à… Boulogne-sur-Mer, le prochain adversaire du Racing à la Meinau.

« Il nous reste onze finales à disputer et la première, c’est face à Boulogne. Cela va être très difficile, mais il faut inverser la tendance », ajoute encore Sebastian Ribas. Avant de conclure, dans un sourire : « Et la seule chose à faire pour que la roue tourne, c’est de travailler ». Au Racing de se mettre au boulot...

Parti à Gênes (Serie A) après la montée de Dijon en L1, en 2011, le joueur ne s’y est pas imposé. Il a ensuite été prêté au Sporting Portugal, à Monaco, puis en Espagne, sans grand succès.

DNA

[Tenor]

En parlant de prono il faut que je fasse celui du site Temor pas de zéro mais un p'tit 3-1 , ça te va ?

si tu le dis

[Kaniber]

Racing : l’obsession Boulogne
le 13/03/2014 à 12:16
François Keller, de retour à l’entraînement ce jeudi matin après trois jours passés à Clairefontaine, a confirmé que les 16 joueurs présents sur la pelouse du terrain annexe figureront bien sur la feuille de match demain (20h) à la Meinau contre Boulogne pour la 24e journée de National. Un seul changement dans le groupe : Milovan Sikimic remplace Jérémy Grimm, suspendu après son expulsion à Luçon.

Ali Bamba a quitté le terrain d’entraînement ce matin un peu avant la fin de la séance. Mais le latéral gauche ivoirien, qui souffre d’un ongle incarné au pied droit (Ndlr : il est gaucher), sera bien présent sur la feuille de match demain (20h) à la Meinau contre Boulogne lors de la 24e journée de National. Un match capital pour un Racing battu lors des trois dernières journées et retombé dans la zone de relégation deux mois après en être sorti (le soir de sa victoire à domicile contre Colomiers le 2 janvier).

Après sa piteuse défaite à Luçon vendredi (1-0), le RCSA a vécu sa semaine la plus agitée depuis longtemps, entre l’évocation vendredi d’une possible éviction de son entraîneur, finalement confirmé trois jours plus tard, et le resserrement du groupe d’entraînement à 18 joueurs depuis le début de semaine. Un groupe naturellement réduit à seize ce matin, en raison de la suspension automatique de Jérémy Grimm, expulsé en Vendée, et de la blessure au genou droit mardi de Robin Binder, écarté des terrains pour huit à dix jours.

Sur les 16 battus sans rémission à Luçon – de façon « honteuse », avait même tancé le président Marc Keller à chaud au stade Jean de Mouzon -, 15 ont été maintenus. Seul Grimm est donc mécaniquement sorti du groupe, remplacé par un Milovan Sikimic de retour après quatre mois et demi d’absence pour une opération du genou droit.
Ce midi, François Keller, rentré hier soir de Clairefontaine où il passait une partie des examens de son DEPF (1), n’avait qu’un mot en bouche : « Boulogne ! » Il a balayé en deux coups de cuiller à pot son maintien à la tête de l’équipe ou la réduction du groupe à 18 joueurs (contre 26) lors de la semaine d’entraînement. « Mon maintien ? C’était il y a près d’une semaine. J’ai l’impression que ça fait quinze jours. Je ne suis concentré que sur Boulogne. Et peu importe que nous nous entraînions à 10, 18 ou 26, tout ce qui compte, c’est de gagner des matches. Le prochain, c’est Boulogne. Ce doit être une obsession pour tout le monde. On a beaucoup parlé. Place aux actes. Le reste n’est que littérature. »

Rendez-vous demain à 22h pour savoir si la mini-tempête essuyée par le club bas-rhinois depuis son échec à Luçon et les mesures prises dans la foulée ont porté leurs fruits.
Alsace[/b]