je le vois moins capable de jouer dans la profondeur avec son manque de vitesse et seul en pointe. ou alors, il faut réellement mettre Mouloungui dans l'axe, en second attaquant.
Bref, il correspond plus à une composition "domicile", où on campe les 3/4 du temps dans le camp adverse, à mettre au fond la balle qui traine.
Pour jouer les contres, c'est pas trop son style de jeu.
C'est en tout cas mon avis et il n'engage que moi.
C'est clair, mais perso je laisserais aussi DJ Paulo sur la touche sur ce match, d'une part parcequ'il est passé à coté de ses 2 derniers matchs et que Gameiro mérite de commencer à nouveau un match, histoire qu'il puisse emmagasiner de la confiance après sa bonne rentrée contre Gueugnon.
télésupporteur a écrit :une équipe qui joue la montée contre une équipe qui veut éviter la descente, ne doit pas jouer en contre, elle doit imposer son jeu
En contre ou pas, on s'en fout. L'équipe qui joue la montée doit gagner.
Point barre.
Tout le reste, c'est de la littérature (et encore, je suis gentil...).
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
A la dérive sur le plan sportif, Istres a déniché de nouveaux investisseurs. Et l'avant-dernier de Ligue 2 a de nouveau la cote...
Autour de l'étang de Berre, les mauvaises langues ont déjà assuré un enterrement de première classe au FC Istres en le rebaptisant FC Désastre... Il est vrai que les Provençaux se sont mis dans une situation quasi-irréversible : avant-derniers de Ligue 2 à six points de Niort, le premier non relégable. Sept longueurs de retard même, si l'on tient compte d'un goal-average calamiteux (-26), puisque les Istréens cumulent les bonnets d'âne : 20e attaque et 20e défense.
« Personne ne fait bloc »
La faute à quatre défaites au cours des cinq derniers matches et surtout aux 7 buts encaissés en 180 minutes, dont une déroute 1-4 à Parsemain face à Ajaccio. « Ce soir là , nous avons reçu une leçon de football, se désole René Le Lamer, qui a succédé à Bernard Rodriguez, lui même successeur de Jean-Louis Gasset remercié peu de temps avant le match aller à la Meinau. J'avais demandé aux joueurs d'emballer le match, d'y mettre de la vie. Personne n'a été à la hauteur. Sur le plan de l'envie, j'avais l'impression que c'était Ajaccio qui avait besoin de points pour s'en sortir. Nos chances sont désormais compromises. J'ai fait un constat d'absence dans le domaine du mental, de la communication, de la solidarité. Personne ne fait bloc. On ne sent pas un groupe uni, ni déterminé. »
« On a payé et on est là pour un moment »
Mais si sur le plan sportif la venue du Racing vendredi soir sonne comme le rendez-vous de la dernière chance, le club istréen pourrait être coté... en Bourse. En effet, le président Bertrand Benoît a cédé 40% du capital à des investisseurs luxembourgeois et espagnols qui devraient bientôt devenir majoritaires à 79%. « Même si le club descend en National, notre projet porte sur 5 ans. A l'inverse de Kachkar, on a payé et on est là pour un moment, soulignent avec malice Bernard Calvignac, président d'un fonds d'investissement du Grand-Duché, et Henry Crémades, dirigeants et actionnaire de sociétés informatique côtés en bourse. Le FC Istres nous intéresse, parce ce que le club est bien géré autour d'un président charismatique et que le vecteur du football constitue un excellent marché de communication. » L'idée de ces repreneurs étant retrouver, puis de pérenniser le club en L1, tout en consolidant le secteur sportif autour d'investissements comme la construction d'un complexe hôtelier associé à un centre de rééducation pour sportifs de haut niveau... « Autour du bassin de Fos, de Martigues, d'Istres, de Miramas, il existe un creuset de plus de 200.000 habitants pour bâtir un alter-ego à l'OM », ajoute encore Bernard Calvignac. C'est ce qui s'appelle assurer ses arrières...
Des changements en vue au Racing
« La victoire à l'arraché face à Gueugnon a prouvé une nouvelle fois que l'équipe avait du tempérament et qu'elle ne lâchait rien. Mais dans le contenu, certaines choses ne m'ont pas plu. Nous en avons parlé entre nous ». Ainsi parlait hier Jean-Pierre Papin à l'issue de l'entraînement. Une petite phrase qui pourrait être annonciatrice de l'un ou l'autre changement vendredi à Istres. Par la force des choses, la blessure d'Abou, dont la saison est quasiment terminée (5 semaines d'absence), laisse vacant le poste de défenseur gauche pour lequel Ahmed Kantari tient la corde. Quant à l'expérience Abdessadki dans le couloir droit, elle ne sera pas renouvelée. « Si Yacine est titulaire contre Istres, il le sera à son poste de milieu droit », a décidé JPP. Yves Deroff devrait donc retrouver sa place en défense et Abdessadki prendre le relais de Cohade dans l'entrejeu. Enfin, il y a également du changement dans l'air en attaque. La paire Joao Paulo-Mouloungui pourrait en effet s'effacer au détriment du tandem Tum-Gameiro.
échanger Joao Paulo - Mouloungui contre Tum - Gameiro ... Après l'époque où JPP avait ses favoris et ne changeait rien, maintenant si un duo fait un match sans but il le vire ... La logique à la JPP, j'adore, terrible pour motiver les gars