[04/05] 24ème J: Lens / RCS - 2/1

L'actualité du Racing en championnat
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urotsukidogi
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Message par urotsukidogi »

si il y a un = au milieu c'est que ça s'équilibre, nous c'est plutôt

RCS n'ayant pas joué + Rcs qui relance les équipes > RCL qui a perdu + RCL qui a le moral dans les chaussettes. :lol:
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Gotcha
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Message par Gotcha »

pareil que urot ;)

mais ca m'empechera pas de faire le déplacement et de bien rigoler ! :P
Stan
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Message par Stan »

RCS relanceuse d'équipe en peril
Malheureusement je crois que celle là  tu peux la noter en gras souligné italique taille 16.. :(

On commence à  avoir l'habitude hein.. :(

Et je vois pas pourquoi ça changerait.. Bref, très pessimiste pour ce match..
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fan_racing
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Message par fan_racing »

Lens n'est pas au mieux de sa forme et le Racing non plus. Mais, les deux équipes ont un point commun : malgré leur manque de réalisme et d'efficacité devant les buts, les lensois et les strasbourgeois savent se créer des occasions. Ils sont dans la même situation que nous en octobre : quelques occaz, mais pas d'efficacité, pas de bons résultats, nouvel entraîneur ... peut-être la première victoire à  l'extérieur ?

Mon équation est la suivante :

RCS dos au mur + RCL qui a perdu contre Caen > :rcs: qui peut s'en tirer
ZITELLI
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Message par ZITELLI »

Avec les résultats d'Ajaccio, Caen et Istres, il va falloir se faire violence à  Lens ce week end. En tout cas, vu que Lens devient un concurrent direct, la défaite est interdite. Ceci dit, j'ai peur car les lensois sont mals en ce moment, ils restent sur deux défaites d'affilée à  domicile ( 1 en coupe de la ligue contre Saint Etienne, et une en championnat contre Caen), alors ils vont vouloir se révolter. Ceci dit, on aura l'avantage de ne pas avoir joué ce week end. Alors je suis partagé..
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Hans
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Message par Hans »

3 défaites à  domicile ... il y avait aussi Istres ;)
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argueti
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Message par argueti »

Johansen et Niang suspendus

N'ayant pu purgé leur match de suspension face à  Monaco, mercredi soir, en raison du report du match, Mamadou Niang et Pascal Johansen devront donc purger leur peine ce samedi lors du déplacement du Racing à  Lens. Ils seront à  la disposition de Jacky Duguépéroux pour la réception de Saint-Etienne, mardi prochain en demi-finale de la coupe de la Ligue.
;)
L'histoire est en marche ...
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Its_me
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Message par Its_me »

A moins que le match soit annulé lui aussi :?
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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Its_me
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Message par Its_me »

D'ailleurs imaginons le pire scénario possible :

- Le match démarre
- Farnerud se blesse
- Pagis reçoit un jaune
- Hagui est expulsé pour un tacle en tant que dernier défenseur
- Match arrêté à  la mi-temps car le terrain se détériore et remis à  plus tard.

Résultat :

Au final on a plusieurs absences contre Sainté telles que Farnerud, Pagis, Hagui, Niang, Mouloungui et Johansen.
En espérant en plus que Le Pen ne fasse pas de rechute ...
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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argueti
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Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Entre froid et chaud

Après le report de son match contre l'AS Monaco mercredi, le Racing Strasbourg se prépare à  une bouillante réception demain soir (20 heures) à  Bollaert dans l'antre d'un RC Lens en pleine déconfiture.
« C'est l'hiver, il va neiger ». Toujours à  la pointe de l'information, « L'Alsace », qui titrait ainsi dans son édition de lundi un article consacré à  la dégradation prochaine des conditions météorologiques, avait anticipé la vague de froid qui sévit depuis le début de semaine sur le Nord et l'Est de la France. Mais hiver après hiver, rigoureux comme chacun sait dans un grand quart Nord-Est, les instances nationales, la Ligue de Football Professionnel en tête, oublient, elles, de se montrer aussi prévoyantes. Quand les Allemands observent une trêve d'un gros mois (dans un championnat certes réduit à  18 clubs) et quand les Italiens ou les Anglais programment leurs matches l'après-midi lorsque le temps se gâte, le foot français continue sans angoisse existentielle à  surcharger son calendrier de janvier (Ndlr : 9 matches pour Strasbourg et Monaco entre le 7 janvier et le 5 février) en défiant les éléments naturels. Avec les inévitables impondérables que ce défi perdu d'avance induit, comme le report, mercredi, d'un Racing — Monaco à  10 minutes du coup d'envoi et l'obligation de renvoyer chez eux les 17000 spectateurs de la Meinau. Jamais, peut-être, autant que cette année, le calendrier du foot hexagonal n'a paru aussi déséquilibré. Alors que le championnat se déroule tranquillement au rythme d'un match par semaine à  des périodes plus clémentes, il est pris d'une soudaine frénésie en plein coeur de l'hiver. D'autant que les Coupes de France et de la Ligue viennent se greffer dessus. Pour la première fois, 8e s, quarts et demi-finales de ladite Coupe de la Ligue ont été regroupées sur un mois et demi (du 21 décembre au 2 février). Les deux heureux élus du Stade de France devront ensuite patienter jusqu'au 30 avril, soit près de trois mois, pour disputer leur finale. Le 30 avril ? M. de la Palice n'aurait pas dit mieux : pile la veille d'un premier mai qui, à  l'évidence, ne dit pas grand-chose non plus à  la LFP. Ce jour-là , aucun journal de France et de Navarre n'est autorisé à  paraître, législation oblige. Pour promouvoir une épreuve, difficile de faire mieux. Parenthèse refermée. Voilà , en tout cas, comment, aujourd'hui, le Racing se retrouve de nouveau relégable avant d'aller défier Lens ce samedi (20h) à  Bollaert. « Le fait de ne pas jouer nous a fait passer sous la barrière fatidique », regrette le milieu corse du RCS Pascal Camadini, « Sur le fond, je comprends l'arbitre. À sa place, après ce qui s'est passé lors de Lorient — Montpellier (1), j'aurais fait exactement pareil. Si je sais qu'un risque pèse sur ma tête, j'annule le match. Mais j'estime que ce sujet dépasse les compétences des arbitres. Le problème, c'est qu'on ne demande jamais leur avis aux principaux intéressés, en l'occurrence, nous les joueurs qui estimions que c'était jouable. Et les solutions existent : les instances pourraient ainsi aider les quelques clubs pénalisés par ces grands froids à  installer des outils de travail adaptés, comme des pelouses chauffées. Je ne crois pas que cet investissement soit exorbitant. Quant à  jouer de mars à  novembre, j'y suis opposé. J'ai des enfants et j'aime avoir des vacances avec eux aux beaux jours. Et puis, j'ai connu les matches de championnat l'après-midi fin juillet à  Bastia. Sous la canicule, ce n'était pas plus jouable. »

Le beurre et l'argent du beurre

Avant-hier, Didier Deschamps et Jacky Duguépéroux ont ainsi tenté jusqu'au bout de convaincre M. Derrien de faire débuter la rencontre. « Nous lui avons même donné notre accord pour qu'il l'arrête en cas de besoin », précise l'entraîneur strasbourgeois, « Pour moi, la principale raison de cette annulation, c'est le précédent créé par Lorient — Montpellier. Je peux le comprendre, mais il aurait pu prendre sa décision avant. Surtout, il faudra qu'on m'explique pourquoi on joue à  20h l'été et pourquoi on programme des matches à  21h en plein hiver, comme contre Lille le 21 décembre par moins 10°. » Les impératifs télé, sans doute. Le foot français, qui s'apprête l'an prochain à  percevoir la manne de 550 millions d'euros investie par Canal + sur la Ligue 1 (moins les 5 % reversés au foot amateur, c'est vrai), est en train de se rendre compte qu'il ne peut avoir le beurre, l'argent du beurre et la crémière. Mais il n'empêche que ce dossier du grand froid hivernal est en passe de devenir l'un des sujets brûlants de ces prochaines semaines.

« Une fébrilité impressionnante »

Après le remplacement de Joël Muller par Francis Gillot, le club artésien, en pleine crise, s'est de nouveau incliné mercredi à  Bollaert contre Caen (0-1).

Bijotat, Kombouaré, Anigo, Amisse, Bazdarevic et Muller : en six mois, six entraîneurs de L 1 sont déjà  passés à  la trappe. Le dernier en date : celui du prochain adversaire du RC Strasbourg, Joël Muller, démis de ses fonctions — et non pas licencié — lundi à  Lens après un nul (0-0 à  Saint-Etienne) et trois défaites consécutives (0-1 contre Istres et 0-3 en quarts de Coupe de la Ligue face aux Verts à  Bollaert, puis 0-2 à  Monaco samedi dernier). Le président artésien Gervais Martel a donc tranché en début de semaine et appelé le trio Francis Gillot (défenseur du RC Strasbourg lors d'une saison 1988-89 sanctionnée par une relégation en L 2), Didier Sénac et Eric Sikora, tous anciens de la maison « Sang et Or » à  la rescousse, sans effet immédiat, puisque le RCL a encore chuté chez lui mercredi contre Caen (0-1). Exit Muller, à  quatre mois de la fin de son contrat de quatre ans. Exit aussi Michel Ettorre, entraîneur des gardiens strasbourgeois de janvier 1997 à  juin 2001 et qui, à  l'intersaison 2001, avait justement rejoint dans le Pas-de-Calais Joël Muller (dont il avait déjà  été l'adjoint à  Metz). « Je suis venu avec un ami », rappelle le double vainqueur de la Coupe de France (1984 et 1988 avec Metz), « il aurait été anormal que lui seul paie les pots cassés. Je n'ai ni le profil, ni la conception d'un mec qui saute dans le survêtement d'un entraîneur viré. On ne me changera pas. Connaissant ma réponse d'avance, Gervais Martel n'a pas eu l'irrespect de me poser la question. J'ai démissionné de mon poste d'entraîneur des gardiens, mais je n'ai pas quitté Lens, parce que je suis sous contrat jusqu'en juin et que j'ai une famille à  nourrir. Si j'avais eu dix ans de plus (Ndlr : il a 47 ans), j'aurais raccroché. J'ai juste demandé une semaine pour m'éloigner et réfléchir. Je dois déjeuner avec Gervais la semaine prochaine et faire le point. Il m'avait déjà  proposé de prolonger, mais je suis fidèle à  Joël. S'il retrouvait rapidement un club, je privilégierais son choix. Mais je n'ai aucune animosité envers les trois hommes qui ont été nommés. Et je remercie Gervais d'avoir défendu Joël jusqu'au bout avec respect. Il a tenu tant qu'il le pouvait et a été sincèrement emmerdé de le remplacer. C'est un mec bien. Il m'a impressionné dans les moments difficiles. »

« Obligés d'arrêter l'entraînement »

L'éviction de Muller et la solidarité d'Ettorre dans la disgrâce sont le point final de l'une des périodes les plus agitées de l'histoire récente du RCL. « Le pire, c'est que cette dégradation est survenue au moment où tout allait mieux. De fin novembre à  Noël, nous avions remporté 4 de nos 5 matches. Et nous avions attaqué 2005 en évitant le piège à  Saint-Dizier (DH) en Coupe de France (4-0). Nous pensions avoir fait le plus dur. L'ambiance était bonne. Mais tout s'est détraqué parce que le groupe est faible mentalement et d'une fébrilité impressionnante. Le lendemain de Saint-Etienne, une trentaine d'excités nous ont contraints à  stopper l'entraînement. Depuis des années, le même groupuscule sème le trouble. Contre Saint-Etienne, tout le public de Bollaert, pourtant merveilleux, s'en est pris à  Joël par dépit amoureux. Le stade lui est tombé dessus. » Comme à  Marseille avec le président Christophe Bouchet, les supporters lensois ont ainsi fini par avoir la peau de Muller. « En venant à  Lens, je ne pensais pas revivre les mauvais moments relationnels que j'avais connus à  Strasbourg entre le public et le Racing. Ce qui vient d'arriver prouve encore une fois que le foot est en danger si les instances ne font rien. àŠtre forcé d'interrompre un entraînement, c'est grave. »
DNA a écrit :Félix se tait

Joël Muller démis de ses fonctions d'entraîneur, c'est Francis Gillot, l'ex-joueur du Racing (1988-1989), qui a repris le flambeau en début de semaine au RC Lens. Et sa première rencontre à  Félix-Bollaert, face à  Caen, un autre mal classé, a tourné au vinaigre (0-1).

« Quinze minutes de silence pour trois ans de gâchis ». Peinte en lettres noires, on n'a vu qu'elle. Et les joueurs lensois ont découvert cette banderole explicite, déployée par leurs supporters mercredi soir. Le peuple « sang et or » broie du noir. C'est rare, mais c'est comme ça et ça devient presque une habitude.
Le meilleur public de France a « chômé ». Pas de chants durant les quinze premières minutes de la rencontre face à  Caen. Et les supporters normands, 30 au mieux, ont réussi à  se faire entendre.

Un coup à  jouer

Les raisons de la colère sont simples, même pas simplistes. Classé parmi les candidats à  l'Europe avec un budget prévisionnel énormissime (45 millions d'€), un effectif de qualité (une quinzaine d'internationaux A ou Espoirs), un centre technique haut de gamme, un fidèle public (36 303 spectateurs de moyenne) et une boutique qui ne désemplit pas, le RC Lens piétine. S'enfonce même.
Et le début de l'année 2005 est même catastrophique avec un seul point pris en quatre journées de L1 : nul à  Saint-Etienne (0-0), défaite face à  Istres (0-1), défaite à  Monaco (0-2) et nouvel échec contre Caen à  domicile (0-1).
Désormais, Lens est 15e avec 25 points, soit quatre de plus que le Racing. « Il faudra être conquérant à  Lens, éviter d'être attentiste, note Pascal Camadini. Les Lensois sont dans le doute, leur public avec. Si nous faisons une bonne entame de match, nous aurons un coup à  jouer. »

Saint-Dizier, l'exception

A ce triste bilan 2005, on peut ajouter une élimination de la Coupe de la Ligue, toujours au stade Félix Bollaert, face aux Stéphanois (0-3). Ces cinq dernières rencontres (trois à  domicile), dont deux à  la maison face à  deux mal classés de la L1 (Istres et Caen), les Lensois n'ont jamais marqué, et encaissé sept buts. Ils restent même sur quatres défaites d'affilée.
Heureusement, le RC Lens est toujours en course en Coupe de France grâce à  un succès sur Saint-Dizier, club de division d'honneur (4-0) en tout début d'année. Ouf !

Panne totale de réussite

Ce mercredi, Francis Gillot a changé de système avec deux milieux récupérateurs (Diarra et Keita) et deux milieux excentrés (Leroy et Thomert), mis Eric Carrière au repos, mais sans succès. « On ne marquait déjà  pas beaucoup en début de saison, mais ça devient de pire en pire », regrettait hier Francis Gillot.
Les Lensois, avec les pieds carrés de Bakari, la maladresse de Cousin (il a raté un penalty contre Caen) et le manque de clairvoyance d'Utaka devant un but adverse, sont passés maîtres ès ratage d'occasions estampillées immanquables.
« Il manque un grain de folie. On ne mérite pas de perdre ce match, mais on n'est pas capable de gagner, disait l'ex-Strasbourgeois (il a participé à  la descente du Racing en L2 lors de la saison 1988-1989, NDLR) mercredi soir. S'il nous faut vingt occasions pour marquer un but... alors qu'il est impossible de s'en créer autant durant une rencontre. »

Une occasion, un but

Le RC Lens est malade. Les Caennais ont su en profiter. Un seul but, presque une seule occasion, leur a permis d'engranger trois points. Ils leur permettent de devancer un Racing à  nouveau relégable.
« On ne va pas se lamenter plus aujourd'hui qu'hier, répond Jacky Duguépéroux. En octobre, le championnat des relégables se résumait à  quatre clubs. Désormais, neuf équipes sont concernées par le maintien. Nous sommes préparés, comme les autres, à  nous battre jusqu'au bout. »
Ce samedi, Félix-Bollaert fera à  nouveau le plein de spectateurs. Quant au plein de points pour les joueurs lensois, c'est une autre histoire...
L'histoire est en marche ...
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