Les Brêves du Football

[télésupporteur]

et ensuite une cure d'amaigrissement avec comme j'aime

[Matt67]

Les américains sont de plus en plus installés en L1.

[fan_racing]

Et non content de nous proposer de la m**** en nourriture, ils nous en servent aussi sur le terrain

et ensuite une cure d'amaigrissement avec comme j'aime

[Matt67]

Source Direct Racing

Dans un communiqué, le Stade de Reims a annoncé que Will Still ne sera plus sur le banc champenois la saison prochaine. Il a également été décidé que Will Still et son assistant, Nicolas Still, se retirent de leurs fonctions respectives, dès aujourd’hui, avec effet immédiat.

[Gotcha]

c'est une surprise pour moi, même si on sentait après le match à la meinau qu'il était complètement désabusé et un peu perdu.

[Its_me]

Je ne sais pas si vous avez suivi la Ligue 2 hier soir mais Troyes est quasi relégué en National juste un an après être descendu en L2.
La fin de match a été marquée par des jets de torches sur la pelouse une première fois. Après une interruption, le jeu a repris et une nouvelle salve de jets a atterri sur la pelouse touchant le gardien adverse (qui s'est ensuite simplement éloigné et pas roulé par terre). L'arbitre a donc signifié la fin de la rencontre et les joueurs troyens, énervés par ces agissements ont renvoyé les torches dans le kop. C'était assez ahurissant comme scène.

Quelles suites à ça ? Il y aura certainement des matchs à huis-clos, les joueurs qui ont renvoyé les projectiles prendront des matchs de suspensions, le club va certainement prendre une belle amende et, qui sait, peut-être des points de pénalités pour la saison prochaine si aucune décision n'est prise avant la fin de saison.

Quoiqu'il en soit, on peut dire que l'intégration de l'ESTAC à CityGroup ne se passe vraiment pas bien et j'ai du mal à imaginer la suite pour ce club.
Les budgets présentés en début de saison ne prévoyaient certainement pas de relégation donc on peut-être quasi sûrs qu'ils auront de sacrées restrictions pour la saison prochaine en National.
C'est terrible pour un club comme Troyes mais juste un détail pour City Group qui possède maintenant 13 clubs (Manchester City, New York City, Melbourne, Yokohama, Gérone, Montevideo, Sichuan Jiuniu, Bombay, Lommel, Troyes, Palerme, Bahia et Basaksehir acquis il y a 3 mois).

[fan_racing]

Triste pour l'ESTAC, qui est un club pro inlassablement mêlé à la lutte pour la montée en L1, et souvent en peine pour y rester lorsqu'ils y parviennent.
Or dans le cas présent, ils risquent purement et simplement de disparaître des championnats pro.

Par ailleurs, Troyes est un très bon souvenir de déplacement la saison dernière.
Je me souviens en train de manger une andouillette au centre-ville rempli de supporters de foot, puis les milliers de strasbourgeois venus faire le déplacement entrer dans le stade par les mêmes accès que le public troyen. Une ambiance détendue, assez rare en L1 même s'il en reste quelques autres.

Je n'excuserai jamais les gens qui perturbent des matchs de foot en lançant des projectiles sur le terrain, voire pire.
Je ne peux néanmoins m'empêcher de penser que ce public a dû en voir de toutes les couleurs pour que certains parmi eux finissent par se comporter de la sorte, alors que c'est aux antipodes de leur attitude habituelle.

[Its_me]

Intéressant de voir que le modèle qui avait été mis en place à Salzburg a changé et ne semble plus aussi bien fonctionner lorsqu'on décide d'enlever les quelques cadres un peu plus expérimentés. Ça parait pourtant tellement logique.
Si vous vous amusez à regarder quels étaient les joueurs de leur effectif lorsqu'ils ont sorti les Haaland, Mané ou Szoboszlai, vous verrez que l'équipe n'était pas composée de mecs aussi jeunes.

Effectif avec 80 % de jeunes joueurs, fin de son hégémonie en Autriche : Salzbourg a réduit son tempo

Longtemps considéré comme une référence en matière de découverte de talents, le club autrichien de Salzbourg rencontre des difficultés sportives qui interrogent sur son modèle.

Il y a dix jours, le Red Bull Salzbourg concédait un triste nul (0-0) sur la pelouse du WSG Tirol, en Championnat, dans un stade quasiment vide alors que, ces dernières années, chacune de ses rencontres à l'extérieur se déroulait à guichets fermés. Plus le temps passe, moins le club phare suscite l'enthousiasme, même sur ses terres. Vendredi, seuls 18 000 des 30 000 tickets avaient trouvé preneur en vue de la réception de Brest, ce mardi soir, alors que toutes ses rencontres à la Red Bull Arena en C1 se disputaient depuis plusieurs saisons devant des tribunes pleines. Comme si la fin de son hégémonie en Bundesliga autrichienne (dix sacres de rang), stoppée par Sturm Graz en mai, avait débouché sur un désintérêt.

Même l'arrivée cet été sur le banc du technicien néerlandais Pepijn Lijnders n'a pas changé grand-chose. L'ancien adjoint de Jürgen Klopp à Liverpool avait suscité beaucoup d'espoirs pour ses débuts, avec notamment deux prestations prometteuses en barrages de la C1 face au Dynamo Kiev (2-0, 1-1). Mais en Championnat, il a déjà laissé cinq points en route et, hormis sa large victoire face à Blau-Weiss Linz (5-1), il ne parvient plus à réaliser des gros scores. En C1, il a été médiocre à Prague face au Sparta (0-3) il y a deux semaines.

Cette régression souligne les limites d'un modèle : longtemps considéré comme l'une des meilleures pépinières de talents en Europe, le club peine de plus en plus à sortir des pépites comme Erling Haaland, Sadio Mané ou Dominik Szoboszlai par le passé. Ses dirigeants insistent un peu trop dans leur idée de constituer leur effectif avec plus de 80 % de jeunes joueurs. À Prague, la moyenne d'âge du onze de départ était de 22 ans, soit largement la plus basse des 36 équipes qualifiées, devançant Sturm Graz (22,9 ans), le VfB Stuttgart et le ChakhtiorDonetsk (23,5 ans).

Trop de jeunes, pas assez d'expérience

« À chaque intersaison, le club doit vendre ses meilleurs joueurs, c'est sa philosophie, a résumé Toni Polster, consultant sur Sky Sports Österreich et ancien attaquant international autrichien (95 sélections, 44 buts). Cet été, après sa première saison décevante depuis dix ans, il a dû remodeler son effectif. Il manque de caractère et de personnalité. En misant presque uniquement sur des jeunes talents, c'est évident que les responsables prennent trop de risques. »

Lijnders prône la patience. « Nous le savions et je l'ai dit avant le début de la saison : nous traverserons des phases compliquées comme c'est actuellement le cas, car l'effectif a été modifié en profondeur. C'est une jeune équipe pleine d'ambitions, mais elle manque cruellement d'expérience. » Les bonnes performances en Coupe d'Europe ces dernières années ont profité à l'ensemble du football autrichien et, en termes d'image, le RBS a gagné, sinon l'affection, du moins le respect. Mais laisser partir année après année ses joyaux frustre particulièrement ses supporters. Pour tenter de relancer cette philosophie en perte de vitesse, elle espère notamment beaucoup du jeune défenseur français Joane Gadou (17 ans) acheté 10 M€ au PSG il y a quelques semaines et qui a fait ses premiers pas en Championnat samedi contre l'Austria Vienne (2-0).

[Keating]

Leader de L2, le Paris FC est sur le point de changer d'actionnaire majoritaire et de basculer dans une autre dimension avec l'arrivée des propriétaires de LVMH et de Red Bull, la célèbre marque de boisson énergisante.

Waow, bah ça risque de faire un nouveau gros calibre dans le championnat... Curieux de voir quels supporters vont se tourner vers ce club.

[Matt67]

DNA a écrit :

Marc Keller travaillera sur la création d'une Ligue 3 professionnelle en 2026

La Fédération française de football (FFF), réunie en comité exécutif jeudi à Paris pour la première fois depuis la réélection de Philippe Diallo à sa tête en décembre, souhaite créer une Ligue 3 professionnelle en 2026. Marc Keller, le président du Racing, travaillera sur le dossier.


« Marc Keller, accompagné d'un groupe d'élus, va mener des travaux, des consultations pour transformer le National en Ligue 3 professionnelle au sein de la Fédération française de football, une novation très importante demandée depuis longtemps par les clubs participant au National avec un objectif de lancement en 2026-2027 », a détaillé Philippe Diallo à l'issue du « comex ».

Le président de la « 3F » laisse donc un peu plus d'une saison à son groupe de pilotage pour plancher sur des solutions économiques qui permettraient à la future Ligue 3 de s'installer dans le paysage du foot français.

« Je rappelle que le National n'est diffusé que par les moyens de production de la Fédération », a-t-il ajouté, sous-entendant que la vente des droits TV de la compétition, actuellement disponible gratuitement sur la plateforme FFFTV, pourrait constituer un levier de financement de cette future Ligue 3.


Une compétition innonvante
Une compétition « attractive et pérenne » que Philippe Diallo souhaite se voir disputer avec des « joueurs formés localement », avec des équipes « aux effectifs limités » et respectant un « salary cap » pour éviter une gabegie financière.

« Je souhaite aussi que cette compétition soit celle de l'innovation, a-t-il encore précisé. Je donnerai à ce groupe de travail et à la direction de l'arbitrage la +presque+ carte blanche pour faire preuve d'innovation. »