Alors que plusieurs candidats dont Carlos Queiroz l'actuel entraîneur madrilène étaient préssentis, Waldemar De Oliveira dit "PITA" sera nommé sélectionneur de l'équipe nationale du Brésil en remplacement de Luis Felipe Scolari qui arrivera en fin de contrat au mois de Juin. PITA, milieu offensif brésilien dans les années 80, a passé l'essentiel de sa carrière aux Corinthians de Sao Paulo hormis un interlude européen d'une année sous les couleurs du Racing Strasbourg. Il prendra ses fonctions à la tête des auriverde au sortir d'une saison qui devrait lui permettre de remporter pour la deuxième année consécutive le championnat national Uruguayen avec le Penarol de Montevideo.
Hebdosport du 31/03/04
Alors là !!!! A quand Haas sélectionneur Autrichien et Belloso sélectionneur Argentin?
Seleção / Brésil
- Tchoule
- Vétéran@Pro
- Messages : 668
- Enregistré le : 3 déc. 2003 10:31
- Localisation : Molsheim
- Frantz
- Entraineur adjoint@Staff
- Messages : 1615
- Enregistré le : 7 mars 2003 11:31
C'est le 1er Avril aujourd'hui, tu connait pas ça
Si l'Amazonie est le poumon de la terre, Metz en est le trou du cul.
http://rernes.free.fr/
http://rernes.free.fr/
- Tchoule
- Vétéran@Pro
- Messages : 668
- Enregistré le : 3 déc. 2003 10:31
- Localisation : Molsheim
- argueti
- Sélectionneur@InfosRacing
- Messages : 37460
- Enregistré le : 16 mai 2003 23:27
- Localisation : Strasbourg
- Contact :
Zubi la bouletteL'Alsace a écrit :Le Brésil a de la réserve
Même s'il a souffert dans les vingt dernières minutes, le Brésil a logiquement disposé de la Suisse hier soir à Bâle (2-1), montrant qu'il possédait de nombreuses ressources.
La reconstruction, dirigée depuis cet été par Dunga, le capitaine de la Seleçao championne du monde aux Etats-Unis en 1994, s'amorce plutôt bien pour le Brésil, invaincu depuis son élimination en quart de finale du Mondial allemand face à la France au soir du 1e r juillet à Francfort. Les Brésiliens n'ont en tout cas pas à eu à forcer hier soir leur talent au Parc Saint-Jacques de Bâle, où ils restaient sur un revers face à la Suisse en 1990. Très souvent, le match d'hier soir a donné lieu à une aimable leçon administrée par des virtuoses du ballon rond face à de gentils adversaires à qui on avait demandé de courir après la balle. On connaît évidemment la qualité technique des coéquipiers de Kaka, promu capitaine et qui se présente de plus en plus comme le patron de son équipe. Les noms alignés par Dunga hier n'ont certainement pas le lustre de certains présents à la dernière Coupe du monde, mais les Luisao, Dudu, Elano ou Rafael Sobis ne revêtissent pas le maillot auriverde sans être pétris de qualités. Ils ont la plupart du temps rendu le ballon insaisissable pour les Helvètes, qui ne s'attendaient certainement pas à être relégués à des rôles de faire-valoir, devant près de 40000 spectateurs médusés, inquiets de voir leur « Nati » terminer une année plutôt brillant en eau de boudin.
La grosse boulette de « Zubi »
Pascal Zuberbà¼hler, le portier suisse, se souviendra sans doute aussi de son retour à Bâle, là où il passé quelques années avant de migrer vers West Bromwich Albion en seconde division anglaise. Sur le premier adverse, il n'a pu esquisser le moindre geste sur la tête de Luisao, qui a sauté plus haut que tout le monde pour venir couper le ballon de la tête (22e). Mais à la 35e, « Zubi » a touché le fond en dégageant un centre en retrait de l'un de ses coéquipiers dans les jambes de Djourou, venu le protéger. Kaka, qui traînait par là , n'avait plus qu'à cueillir pareille offrande, sous la bronca du stade. Celui-ci n'a même pas eu l'heur de revoir, comme d'habitude, le ralenti sur l'écran géant. Les responsables de la vidéo ont voulu épargner « Zubi » un tel camouflet. Et dire que durant une heure, Dunga s'est passé de Ronaldinho. A peine entré en jeu à la 61e, il distillait une petite passe à Kaka, qui signalé toutefois hors jeu, expédiait une frappe sur le poteau. Mais comme les auriverde devaient penser que la soirée était fort ennuyeuse, devant un public totalement léthargique, Luisao avait la bonté de réveiller tout le monde en devançant son gardien pour convertir un centre de Cabanas en but contre son camp (70e). Voilà qui mettait enfin un peu de piment dans cette tristounette rencontre. Et sur un centre en retrait de Margairaz, on se demande sans doute encore ce matin de l'autre côté de la frontière comment Helton, le gardien de Porto, a pu détourner du poing la terrible reprise de Barnetta (74e). L'heure était bien suisse, comme le montre ce coup franc de Yakin repris à cinq mètres par Senderos, mais à côté (80e). Les Helvètes poussaient jusqu'à la fin, sans succès. Pour devenir un favori de « leur » Euro en 2008, il leur reste bien du travail. Surtout offensivement.
- silex57
- Manager général@Directoire
- Messages : 12131
- Enregistré le : 23 août 2005 16:52
- Localisation : expatrié à Los Angeles ...