koné, djiku, caci, aaneba voire n'dourIts_me a écrit :A condition qu'on trouve un autre défenseur, même juste prometteur, à sa place car au moindre blessé on n'aurait plus d'autre défenseur central de dispo.



koné, djiku, caci, aaneba voire n'dourIts_me a écrit :A condition qu'on trouve un autre défenseur, même juste prometteur, à sa place car au moindre blessé on n'aurait plus d'autre défenseur central de dispo.
(DNA)Offre de prolongation à venir pour Laurey
Les dirigeants du Racing ont rencontré l’agent de Thierry Laurey, en poste depuis l’été 2016 et en fin de contrat en juin. La direction du Racing devrait transmettre incessamment à son agent une offre de prolongation dont la durée n’a pas filtré.
Dans l’édition de vendredi du quotidien régional méridional, le “Midi libre”, Thierry Laurey a lui-même laissé entendre que les négociations suivaient leur cours : « Strasbourg est une possibilité pour moi, voire presque une probabilité ».
Midi Libre a écrit :Renouveau de Strasbourg, évolution du football, retour à La Mosson : Thierry Laurey, âgé de 56 ans, s’exprime avant la rencontre ce samedi à Montpellier, où il a passé seize ans.
Un match à Montpellier est-il pour vous un match à part ?
Ça l’était, ça l’est de moins en moins. J’y suis revenu plusieurs fois. Comme Montpellier et Strasbourg sont plutôt bien classés en Ligue 1, cela rentre dans les mœurs, cela devient une très bonne habitude. Ce match garde toutefois un parfum particulier car c’est l’endroit où je connais le plus de monde.
Strasbourg a-t-il restauré son statut de club de Ligue 1 après un passage à vide ?
Je ne sais pas, mais on veut s’installer durablement en Ligue 1. Cela nécessite d’autres moyens par le biais de la rénovation du stade de La Meinau d’ici deux ans, celle du centre de formation et la création d’un centre d’entraînement.
Quel est votre objectif à moyen terme ?
On occupe la 6e place au milieu de clubs qui ont plus de 100 millions de budget. Que peut-on faire ? Tant que l’on n’aura pas de nouvelles structures, tant que l’on ne pourra pas augmenter notre budget, on ne pourra pas espérer beaucoup plus.
Classé à la 6e place, visez-vous une qualification en Coupe d’Europe ?
Si on doit être européens, on sera très heureux. On l’a vécu en début de saison. C’est un parfum particulier et une expérience qui nous a fait grandir. On a fait les préliminaires, on a envie d’y revenir. Mais on ne s’endort pas tous les soirs en pensant à l’Europe.
Montpellier s’est renforcé à l’intersaison, mais tarde à donner sa pleine mesure. Quel regard portez-vous sur cette équipe ?
Montpellier a renouvelé le milieu de terrain. Avec le duo Savanier-Ferri à la place de Le Tallec-Skhiri, il n’a pas le même profil et doit trouver des affinités.
Sinon, elle est bien organisée, possède un très bon gardien et un milieu Ferri-Savanier-Mollet que beaucoup d’équipes envient. J’adore la paire d’attaquants Delort-Laborde. Elle ne te laisse pas respirer et saisit la moindre occasion. Cette équipe est complète même si je suis surpris par son delta entre les matches à domicile et à l’extérieur.
Vous bouclez votre contrat et une 4e saison à Strasbourg. Avez-vous entamé des discussions ?
On a entamé les discussions avec les dirigeants en toute sérénité et sans précipitation. Je me concentre sur mon équipe.
Je suis venu à Strasbourg car je savais qu’il reprendrait sa place dans le football français. Je ne pensais pas que cela serait aussi rapide, avec la remontée en Ligue 1 et la victoire en Coupe de la Ligue. Si je dois continuer, ce sera un grand plaisir.
Entraîner Montpellier peut-il être une option à moyen terme ?
Je suis respectueux de ma corporation. J’apprécie beaucoup l’actuel entraîneur, qui fait du très bon boulot et qui est sous contrat. Et il y a Strasbourg qui est une possibilité pour moi, voire presque une probabilité.
Le regard sur vous a-t-il changé à la suite de votre expérience à Strasbourg ?
La reconnaissance au sein du foot français n’est pas ma priorité. Je me sens redevable à l’égard de mes employeurs et de l’extraordinaire public de La Meinau, pour lequel j’ai le devoir de tout donner.
J’ai la chance inouïe d’avoir des dirigeants qui me font confiance. Il n’y a pas que l’argent dans le foot, il faut cette confiance mutuelle. Elle s’entretient par une relation sans faille et les résultats.
C’est quoi un bon entraîneur ?
C’est s’adapter à son effectif, à son environnement et avoir des résultats. Pour cela, il faut avoir des leviers pour surprendre ses joueurs, les amener là tu où veux. Le jour où tu n’as plus de leviers, tu es en danger. Si les joueurs ne veulent pas te suivre, tu es mort. Quelle que soit la compétence.
Est-ce que vous vous reconnaissez dans le football moderne ?
De moins en moins. Une fois, j’avais lu un article intéressant de Mathieu Bodmer. Il disait qu’il se reconnaissait dans le football, mais pas dans le barnum qui l’entoure. Je suis animé par une passion pour ce métier. Il y a des gens qui sont dans le monde du foot uniquement par intérêt, d’autres qui ne sont pas recommandables. On se demande parfois ce que font certains joueurs à part prendre de l’argent. Et écouter leur agent.
On veut transformer les choses, les rendre plus télévisuelles, mais il y a toujours l’argent derrière tout ça. Le foot a beaucoup changé et ne va pas dans le sens que je voudrais.
equipe a écrit :Thierry Laurey demande du temps
En pleine négociation pour une éventuelle prolongation au Racing, Thierry Laurey aimerait voir plus loin qu'une saison supplémentaire.
Comme nous vous l'annoncions, Thierry Laurey et ses agents ont entamé des discussions au sujet d'une éventuelle prolongation de contrat, alors que l'actuel bail du technicien alsacien s'achève en juin. Dans une interview au quotidien régional L'Alsace à paraître mercredi, l'entraîneur laisse entendre qu'il souhaite une prolongation plus longue que la précédente (une saison supplémentaire, signée en décembre 2018).
« Mon représentant sait ce que je veux. Il en parle avec les dirigeants. Si nos positions sont convergentes, il n'y aura pas de souci. Si elles ne le sont pas, on ira voir ailleurs, a-t-il déclaré. Mais après quatre ans, je pense qu'on peut avoir des demandes un peu différentes de celles qu'on formulait auparavant. »
dna a écrit : Thierry Laurey veut s’inscrire dans la durée
En fin de contrat le 30 juin, Thierry Laurey a, par l’entremise de son agent, commencé à discuter avec ses dirigeants. L’entraîneur du Racing laisse entendre qu’il espère une prolongation plus longue que la précédente – d’un an – signée à la trêve hivernale 2018-2019.
Une accession directe en Ligue 1 en 2017, un maintien arraché avec les dents en 2018, une 11e place et un sacre en Coupe de la Ligue en 2019, et 38 points après 27 journées en 2019-2020 (6e avant le revers 3-0 samedi à Montpellier et 10e après) : depuis l’arrivée de Thierry Laurey à l’été 2016, le Racing a franchi les paliers un à un.
Logiquement, comme le président Marc Keller l’avait envisagé dans nos colonnes à la trêve de Noël et comme dévoilé dans notre édition du 1er mars, les discussions en vue d’une prolongation de contrat entre les dirigeants strasbourgeois et leur coach, libre le 30 juin, ont débuté.
Ce mardi midi, à quelques jours de la venue du PSG à la Meinau (samedi 17h30), le technicien a accepté de balayer l’actualité, pas seulement la sienne.
« On va essayer de réduire le delta avec le PSG »
Thierry Laurey, l’épidémie de Coronavirus fait planer un doute, à court ou moyen terme, sur le bon déroulement du championnat. Avez-vous une opinion sur la marche à suivre ?
J’ai estimé l’autre jour à Montpellier que ne pas se serrer la main dans le protocole d’avant-match était tellement futile par rapport au problème qui se pose que si des mesures plus importantes sont prises, nous nous y soumettrons sans problème. Il est plus important d’éviter la mort de certaines personnes que de penser à soi, jouer et permettre au virus de se propager. On attend simplement avec impatience quelle va être la ligne de conduite. Je veux bien qu’il y ait un symbole derrière la proscription de la poignée de main, mais pour moi, c’est un peu “light”.
Chambly – Le Mans (Ligue 2) se jouera à huis clos vendredi à Beauvais. Préféreriez-vous un report intégral des championnats ?
À choisir, il vaudrait mieux que tous les matches soient remis. On ne va pas obliger des clubs à jouer à huis clos et d’autres devant leur public selon la région dans laquelle ils se trouvent. Ça va poser un problème. Les pouvoirs publics et les dirigeants de notre pays doivent prendre des décisions claires auxquelles la Ligue et la Fédération s’adapteront. Faut-il reporter tous les matches comme en Suisse (les championnats y sont en sommeil jusqu’au 23 mars, NDLR) , jouer comme l’ont fait d’autres pays ou protéger certaines régions comme en Italie ? Sincèrement, je n’ai pas la réponse. Mais il est évident qu’il y aura plus de risques si le stade est plein que s’il ne l’est pas.
Le match contre le PSG, s’il est maintenu, tombe pour les Parisiens entre leur demi-finale de Coupe de France ce mercredi à Lyon et leur huitième de finale retour de Ligue des Champions face au Borussia Dortmund le mercredi suivant. Est-ce un avantage pour vous ?
Non. C’est vrai qu’avant le match aller à Dortmund (perdu 2-1, NDLR) , ils avaient peut-être la tête ailleurs à Amiens en début de partie (l’ASC menait 3-0, NDLR). Mais ils ont montré qu’ils étaient capables de se réveiller (4-4, score final). Quand ils sont à 100 %, il n’y a pas grand-chose à faire. Paris a inscrit au moins deux buts lors de ses quinze derniers matches de championnat et quatre sur les quatre derniers. On sait le delta entre le PSG et nous. On va essayer de le réduire au maximum.
Les négociations à propos de votre prolongation de contrat ont débuté. Dans quel état d’esprit êtes-vous ?
Si j’ai pris des agents, c’est pour ne pas me prendre la tête. Je les laisse travailler.
« Le Racing n’a pas fini de grandir »
Après quatre années à Strasbourg, vous y sentez-vous toujours l’âme d’un bâtisseur ?
Oui, parce que le Racing n’a pas fini de grandir, encore heureux ! Il reste beaucoup d’étapes à franchir. Avec ou sans moi ? L’avenir le dira. Mais le club a, à l’image de ses infrastructures, besoin de progresser encore pour pouvoir s’installer durablement en Ligue 1. Aujourd’hui, même si les résultats sont à la hauteur de nos espérances ou même les dépassent, on sait que d’une année sur l’autre, on peut se retrouver dans les profondeurs du classement et être en difficulté, car on n’a pas de marge par rapport au budget et aux moyens qu’on peut mettre dans le recrutement.
Le 23 décembre 2018, vous n’aviez prolongé que d’un an. Souhaitez-vous cette fois vous inscrire davantage dans la durée ?
Mon représentant sait ce que je veux. Il en parle avec les dirigeants. Si nos positions sont convergentes, il n’y aura pas de souci. Si elles ne le sont pas, on ira voir ailleurs. Mais après quatre ans, je pense qu’on peut avoir des demandes un peu différentes de celles qu’on formulait auparavant. C’est aussi simple que ça.