[19/20] 26ème J : Strasbourg / Amiens - 0/0

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Its_me
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Re: [19/20] 26ème J : Strasbourg / Amiens le 22/02 à 20h

Message par Its_me »

Moi j'ai pronostiqué un petit 3-0 et si ça arrive je sens déjà les réseaux sociaux qui vont commencer à s'exciter "ça y est on va jouer l'Europe", "si on ne finit pas dans les 6 ce sera la faute de Laurey", etc. :lol:
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Kaniber
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Re: [19/20] 26ème J : Strasbourg / Amiens le 22/02 à 20h

Message par Kaniber »

Dropsy a écrit : Cette saison le racing a parfois confirmé son historique habitude à relancer les équipes en difficulté ou présumées largement à sa portée : Metz deux fois, Brest, Dijon,
Ça fait déjà trois équipes, alors pas de "jamais deux sans trois "comme Amiens sera la quatrième équipe, pas de soucis pour le racing 4-0,
Matt67
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Re: [19/20] 26ème J : Strasbourg / Amiens le 22/02 à 20h

Message par Matt67 »

Mais on n'a pas relancé Toulouse ou Lyon récemment, et de mémoire Strasbourg n'a plus perdu depuis 3 matches en championnat contre Amiens, donc…….
Avec le temps les gens changent.....Certains murissent et d'autres pourrissent.
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Re: [19/20] 26ème J : Strasbourg / Amiens le 22/02 à 20h

Message par fan_racing »

Le danger c'est qu'Amiens n'est pas loin de jouer sa dernière carte. Une défaite de leur part conjuguée à une victoire du 18e, et ils ont l'équivalent d'au moins 7 points de retard sur le premier non relégable. Leur quasi-exploit contre le PSG leur permet d'avoir encore cette lueur d'espoir de gagner pour se relancer. Leur coach va se servir de l'humiliation du match aller pour avoir une équipe revancharde sur le terrain.

Au Racing d'être sérieux pour déjouer le piège, comme il l'a fait contre Nîmes et contre Toulouse deux fois.
Matt67
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Re: [19/20] 26ème J : Strasbourg / Amiens le 22/02 à 20h

Message par Matt67 »

Cette saison le racing est supérieur à Amiens, si l 'equipe aligner Samedi soir est serieuse, il n y aura pas de quoi avoir peur de cette équipe.
Avec le temps les gens changent.....Certains murissent et d'autres pourrissent.
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Kaniber
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Re: [19/20] 26ème J : Strasbourg / Amiens le 22/02 à 20h

Message par Kaniber »

Matt sérieux ou pas le Racing n'a pas le droit de perdre contre Amiens, et il ne perdra pas .
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Re: [19/20] 26ème J : Strasbourg / Amiens le 22/02 à 20h

Message par Kaniber »

dna a écrit :Stefan Mitrovic, capitaine du Racing: « Le match contre Amiens va décider de notre direction »
Cette saison, il y a eu un avant et un après Amiens. En novembre, le Racing y avait remporté sa première victoire de la saison à l’extérieur, qui plus est avec la manière (0-4). Le capitaine Stefan Mitrovic mesure le chemin parcouru avant la manche retour, samedi à la Meinau.
« Ce match a changé le cours de notre saison ». Stefan Mitrovic se souvient bien du déplacement de son équipe au stade de la Licorne, le 23 novembre dernier.

Difficile d’imaginer que les deux clubs croisaient dans les mêmes eaux alors que 16 points les séparent aujourd’hui. Mais à l’orée de la 14e journée, le Racing n’en menait pas large (16e , 15 pts) face à une formation picarde un peu mieux lotie (15e , 16 pts) et globalement ambitieuse dans le jeu, sous les ordres de son coach slovène Luka Elsner.

La faute à un été en pente douce, à l’image de son capitaine devenu lent et fébrile, « pas au niveau » comme il le reconnaît lui-même. La faute, aussi, à une incapacité chronique à se faire violence loin de la Meinau.

Hormis le tout premier déplacement à Reims (0-0), les Bleus étaient toujours rentrés à vide – défaites à Paris, Lille, Dijon, Marseille et Angers – qui plus est sans jamais avoir réussi à inscrire le moindre but.

Et puis soudain, en une soirée parfaite, tout a basculé. Sous l’impulsion de “Titi” Caci – le latéral gauche auteur de l’ouverture du score puis de deux passes décisives – Mothiba, Ajorque et Da Costa, chacun y allant de son but, le Racing a “séché” la bande au gardien alsacien Régis Gurtner (0-4) et pris son envol au classement.

« Avant ce match, on manquait de réussite à l’extérieur et on encaissait trop de buts, poursuit Mitrovic. Ce succès a vraiment permis de lancer notre saison. »

L’effet n’a toutefois pas été immédiat, pour qui se souvient des deux matches qui ont suivi : une défaite à domicile contre Lyon (1-2) puis la claque de l’année sur la pelouse de Brest (5-0). Mais au moins les principes d’une saison réussie ont-ils été édictés : sans défense ni concentration, point de salut.

C’est d’ailleurs à l’issue du naufrage finistérien que le capitaine a été “sanctionné” par son entraîneur, étant invité à s’installer sur le banc lors du match suivant, une large victoire contre Toulouse (4-2).

Il faut croire que la remise en question lui a fait le « plus grand bien » puisque “Mitro” n’a dès lors plus quitté le onze de départ, enchaînant huit titularisations, pour un but (son premier en Ligue 1) à Monaco et même une “poitrine décisive” à l’adresse de Djiku aux dépens de Reims, avec deux succès à la clé.

Redevenu le défenseur solide et rassurant que le Racing avait recruté à La Gantoise à l’été 2018, l’international serbe apprécie la courbe ascendante épousée par son équipe. Soit tout l’inverse d’Amiens, qui a piqué du nez pour se retrouver relégable, devant les incurables Toulousains mais quand même à cinq longueurs derrière le barragiste, Dijon.

« Par rapport au match aller, l’histoire est différente mais il ne faut surtout pas croire que le match est facile, indique Mitrovic. Je m’attends à une soirée très compliquée, face à une équipe qui lutte pour sa survie. »

« Si on le gagne, on peut rêver au top 6 »


Comme ses coéquipiers, le défenseur a suivi la dernière rencontre complètement débridée des Amiénois contre le PSG (4-4), les trois buts d’avance après quarante minutes de jeu, les deux passes de Kakuta, le doublé de Guirassy…

« En marquer quatre contre Paris n’est quand même pas donné à tout le monde, constate-t-il. C’est qu’il y a de la qualité devant. D’où l’importance d’être solide derrière. Mais je suis assez confiant. Sur les trois derniers matches (Toulouse, Reims et Lyon) , on n’a encaissé qu’un but. Cela montre que l’on a trouvé un bon équilibre dans l’équipe. Je ne parle pas juste des défenseurs. Tout le monde fait les efforts. »

Il faut croire que la concurrence stimule les Strasbourgeois. En défense centrale, par exemple, Laurey a désormais l’embarras du choix. Ils sont quatre – Mitrovic, Koné, Djiku, Simakan – à briguer deux postes dans l’axe, étant entendu que le système à trois défenseurs n’a pas survécu à la défaite de Metz (1-0), début janvier.

« Pour rester au top niveau, il n’y a rien de mieux que la concurrence, assure celui dont le contrat court jusqu’en juin 2022. Chacun tire l’autre vers le haut. Il n’y a pas de mauvais esprit. »

Pour appuyer ses dires, le numéro 13 du Racing insiste sur « l’ambiance dans le groupe », prenant en exemple les grands éclats de rire qui fusent sur la pelouse synthétique de la Musau, ce jeudi midi, où ses coéquipiers s’adonnent à un exercice ludique de frappes à bout portant devant les gardiens. « J’ai d’ailleurs pris la parole pour féliciter les joueurs et le staff pour le bon travail qui a été accompli ces derniers temps », indique-t-il.

Celui qui a goûté à la Ligue des champions et à la Ligue Europa avec La Gantoise n’a pas envie de s’arrêter en si bon chemin. « Comme à l’aller, le match contre Amiens va décider de notre direction, conclut Stefan Mitrovic. Si on le gagne, on peut rêver au top 6. On verra si on est capable de gérer la pression pour viser plus haut. »

Réponse samedi soir à la Meinau.
Matt67
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Re: [19/20] 26ème J : Strasbourg / Amiens le 22/02 à 20h

Message par Matt67 »

Kaniber a écrit :Matt sérieux ou pas le Racing n'a pas le droit de perdre contre Amiens, et il ne perdra pas .
Nos bleus vont gagnés.
Avec le temps les gens changent.....Certains murissent et d'autres pourrissent.
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Re: [19/20] 26ème J : Strasbourg / Amiens le 22/02 à 20h

Message par Kaniber »

dna a écrit :les quarantièmes rugissants ?
Le Racing atteindra dès ce samedi la barre symbolique des 40 points, souvent synonyme de maintien, s’il garde les têtes amiénoises sous l’eau. Ensuite, mais ensuite seulement, il pourra naître aux grandes et nobles ambitions.

SI le football n’était qu’une simple question de bonne humeur, alors le Racing ne ferait qu’une bouchée de son “vieil ami” amiénois.

Une équipe qui le devançait encore au classement avant le match aller, en novembre dernier – pour un point – mais qui a sombré depuis la correction administrée par Ajorque et les siens (0-4) au stade de la Licorne, accusant désormais 16 longueurs de retard.

« Laisser libre cours à toutes les interprétations et rêveries des gens qui nous entourent »


Les nombreux enfants qui ont assisté aux entraînements des Bleus en cette première semaine de vacances d’hiver, un peu à la Meinau, mais aussi à Ostwald et à la Musau pour des séances délocalisées, ont vu un « groupe qui vit bien », selon la formule consacrée. Entre ces grands garçons, les sourires ont fleuri sur les lèvres, les éclats de rire ont fusé durant les exercices. Même l’entraîneur a paru plus détendu qu’à l’accoutumée.

« Ces derniers temps, il y a un peu plus de légèreté au niveau du cerveau, reconnaît Thierry Laurey. Quand tu es plus serein, tu joues mieux et ça se traduit sur le terrain. A contrario, quand tu te retrouves dans les dernières places du classement, tu as parfois mal à la tête et l’impression que tout le monde t’en veut… »

À Amiens, on est donc sujet aux migraines, au sortir d’une funeste série de treize matches sans succès. Mais de là à penser que le Racing imposera facilement son jeu et ses idées, il est un pas que personne ne franchit.

« La tâche sera ardue, prévient le technicien strasbourgeois. Ils ont beau être 19es , ils se donnent les moyens de lutter. Je ne connais pas beaucoup d’équipes qui ont inscrit quatre buts au PSG (4-4 samedi dernier). Ils en ont marqué trois, se sont fait remonter puis ont été menés (de 3-0 à 3-4). Pourtant, ils ne se sont pas désintégrés et ont arraché l’égalisation. C’est le signe d’une équipe qui ne lâche rien. À nous d’être vigilants, comme on l’a été à Toulouse. »

Le succès ramené de la Ville Rose, où luit fort la lanterne rouge de ce championnat (0-1, 23e ), a marqué le point de départ de la dynamique actuelle – entretenue contre Reims (3-0) et à Lyon (1-1) – qui a propulsé le Racing au septième rang.

« Depuis notre défaite contre Lille (1-2, 22e journée) , qui nous a frustrés parce que l’on menait quand même 1-0, on a fait ce qu’il fallait », synthétise l’entraîneur.

Le Racing l’a tellement bien fait que la perspective alléchante de se mêler à la course pour l’Europe a vu le jour… Une ambition que Thierry Laurey se refuse encore à développer.

« Si on bat Amiens, on sera peut-être cinquième, mais si on perd deux matches de rang, on retombera au-delà de la dixième place, tempère-t-il. Nous ne sommes pas dans le calcul immédiat. Tâchons déjà d’atteindre cette barre symbolique des 40 points qui signifie quelque chose parce que tu te rapproches du maintien. Quand on y sera, ce samedi ou un autre soir, on laissera libre cours à toutes les interprétations et rêveries des gens qui nous entourent. Mais nous, on garde les pieds sur terre. »

Franchir le cap de Bonne Espérance


Et de rappeler que l’équipe picarde « pose toujours des soucis au Racing », l’exemple de la dernière opposition à la Meinau – victoire 3-1, mais 0-1 à la pause – suffisant à souligner le caractère revêche des coéquipiers de Régis Gurtner.

Mais avec la confiance qui habite actuellement les Bleus – renforcés par le retour de deux des trois suspendus, Carole et Sissoko –, la troupe du jeune coach Luka Elsner peut s’attendre à souffrir dans une Meinau encore blindée et qui se met doucement à rêver.

Ce samedi soir, les Bleus sont invités à faire souffler la tempête des quarantièmes rugissants pour emporter les Amiénois vers de sombres rivages. S’ils y parviennent, ils pourront franchir le cap de Bonne-Espérance et s’ouvrir des horizons plus atteints par ici depuis deux décennies.
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Re: [19/20] 26ème J : Strasbourg / Amiens le 22/02 à 20h

Message par Kaniber »

dna a écrit :les mêmes qu'à Lyon ?
Après un match réussi par son équipe au Parc OL, Thierry Laurey pourrait être tenté de ne pas modifier ses plans dans la perspective de l'échéance d'après, face à Amiens à la Meinau.
Changera ? Changera pas ? S'il récupère du monde - Sissoko et Carole qui ont purgé leur match de suspension, Prcic qui en a fini avec ses pépins physiques -, Thierry Laurey pourrait être tenté de reconduire l'équipe qui a brillamment tenu tête à Lyon, dimanche dernier. L'entraîneur a d'ailleurs souligné que ceux qui avaient été alignés au Parc-OL ont marqué des points.

Ainsi, une défense déployée de droite à gauche avec Simakan, Koné, Mitrovic et Lala aurait sa préférence, trois milieux offensifs, Zohi, Thomasson et Waris ayant la charge de soutenir Ajorque de l'autre côté du terrain. Toutefois, dans cette configuration qui donne satisfaction avec les sept points glanés sur les trois derniers matches, l'idée d'un changement au sein du duo de récupérateurs pourrait germer, Sissoko, Bellegarde et Lienard faisant le match pour deux places. Il reste le cas Djiku, remplaçant pour avoir refusé d'évoluer au poste de milieu récupérateur dans le Rhône et sans doute cantonné encore au banc où ne s'assoiront ni Grimm, ni Ounahi, partis renforcer la réserve.

L'équipe possible : Sels - Simakan, Koné, Mitrovic, Lala - Sissoko ou Bellegarde, Lienard - Waris, Thomasson, Zohi - Ajorque.
Rempl. : Kamara (g), Djiku, Bellegarde ou Sissoko, Lebeau, Aaneba, Mothia, Carole.
Verrouillé