[Ex] Jonas Martin

Vos impressions sur les anciens et actuels joueurs de l'effectif
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Its_me
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Re: Jonas Martin

Message par Its_me »

C'est ça. Et même niveau expérience on perd notre élément majeur (je ne vois que Corgnet qui aurait plus de matchs en L1 que lui), surtout à ce poste qui est quand même primordial.
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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PoY
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Re: Jonas Martin

Message par PoY »

dna.fr a écrit :Jonas Martin à la fête
Opéré de la cheville mecredi dernier, Jonas Martin, indisponible les deux prochains mois, n’a pas manqué de célébrer la qualification des siens sur la pelouse de la Meinau. On l’a même vu en meneur de revue face au kop, béquilles à la main.
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PoY
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Re: Jonas Martin

Message par PoY »

ButFootballClub a écrit :Jonas Martin de retour !
Éloigné des terrains depuis la victoire face à l’AS Monaco de Thierry Henry (5-1) en janvier à cause d’une blessure à la cheville gauche, Jonas Martin a fait son retour au RC Strasbourg.

La déculottée enregistrée par l’AS Monaco à Louis II en janvier dernier face au RC Strasbourg (1-5) n’avait pas été seulement marquée par les insultes de Thierry Henry à Kenny Lala. Jonas Martin s’était également blessé à la cheville gauche et il semble clair que le club alsacien a plus de mal à enchaîner les bons résultats depuis l’absence de son maître à jouer.

Ce mardi, lors de l’entraînement, les supporters du RC Strasbourg ont reçu une bonne nouvelle puisque, comme le fait savoir le site Direct Racing, ils ont pu apercevoir le milieu de terrain courir sur le terrain annexe du Stade de la Meinau !

Si l’ancien joueur du Betis Séville ne sera pas opérationnel pour la finale de la Coupe de la Ligue le 30 mars prochain à Lille, il devrait signer son retour dans le groupe strasbourgeois dans le courant du mois d’avril.
Bonne nouvelle :!:
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Kaniber
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Re: Jonas Martin

Message par Kaniber »

dna a écrit : Martin libéré
S’il rêvait, pour son retour après trois mois de blessure, d’un autre résultat samedi à la Meinau face à son club formateur Montpellier (1-3), Jonas Martin a été heureux de rejouer avant d’aller dimanche à Amiens où il a été prêté en 2011/2012.
Le dernier trimestre lui a semblé interminable. Blessé, Jonas Martin a dû regarder des tribunes les Bleus s’offrir la coupe de la Ligue et assurer leur maintien. Samedi à la Meinau, le vice-capitaine du Racing, rétabli de sa fissure osseuse à la cheville gauche contractée le 19 janvier à Monaco, a rejoué en Ligue 1. Un bonheur personnel terni par l’échec face à son club formateur, Montpellier.

– Jonas, heureux d’avoir enfin foulé une pelouse de Ligue 1 ?

– Oui. Ça fait du bien de retrouver des sensations et rejouer dans un stade plein. Mais la défaite a un peu tout gâché. Je rêvais d’un meilleur résultat pour ma rentrée, mais encore une fois, ça fait du bien à la tête. Tu peux enfin te dire : « La blessure est derrière toi ! ».

« Je ne suis pas maudit »

– Le temps vous a-t-il semblé long ?


– J’ai rongé mon frein. Dans une telle période, il faut travailler, ne pas s’énerver, rester fort. Ma blessure était la même qu’en fin de saison passée, mais un poil moins grave. À l’époque, il m’avait fallu huit semaines pour rejouer en amical. Là, neuf semaines et demie séparaient ma sortie à Monaco de la finale de coupe de la Ligue contre Guingamp. Je me suis calqué sur ce délai et j’ai espéré. Mais quand la radio de contrôle a montré que la fissure n’était pas bien cicatrisée, j’ai compris que ce serait trop juste. C’était dur, mais je n’ai pas de regrets. J’ai tout fait, en matière de soins, pour être prêt.

– En 2011, Montpellier est finaliste de la coupe de la Ligue sans vous. En 2012, il est champion de France durant votre prêt à Amiens. En 2019, le Racing enlève la coupe de la Ligue, toujours sans vous. Êtes-vous maudit ?


– En 2011, j’étais international espoirs et j’aurais été dans le groupe. Mais un mois avant la finale, je me suis rompu le tendon fibulaire de la cheville droite. J’ai raté des rendez-vous importants dans une carrière de joueur et je me dis parfois : « C’est pas croyable ! ». D’un autre côté, je savoure ma chance d’exercer ce métier, de vivre ma passion au quotidien. Je ne suis pas maudit, non, mais j’éprouve un peu d’amertume.

– Comme l’autre jour en quittant la Meinau après Guingamp…


– (il coupe) J’avais déjà joué 70 minutes en réserve (à Epernay le 6 avril) et je m’attendais à entrer. Le coach ne m’estimait pas prêt et a voulu me protéger. Nous avons eu une discussion très constructive ensuite à ce sujet. Il n’est pas là pour me faire des cadeaux et a un groupe à gérer. Je le comprends parfaitement.

– On vous a d’ailleurs vu très concerné dès le lendemain avec la réserve contre Amnéville (5-1) où jusqu’au bout, vous avez tout donné…

– Je me suis plus battu contre moi-même que face à l’adversaire. Je me suis fait mal. Il me faut en passer par là pour retrouver mon niveau d’avant. C’est indispensable.
« Je me suis aguerri à Amiens »

– Avez-vous cependant été dans la retenue contre Montpellier ?


– Dans le contrôle, oui, parce que je n’avais pas les jambes pour courir partout et tout le temps. Mais la retenue, non. J’y vais à fond. Si c’est pour ne pas aller au duel, autant ne pas jouer, car tu dessers l’équipe. Cette fin de saison est importante pour moi. Je dois retrouver la confiance. Ça passe par de bonnes performances. Je jouerai les derniers matches comme des finales.

– L’équipe a atteint tous ses objectifs. Ne risque-t-elle pas une démobilisation inconsciente ?


– Je ne crois pas. C’est même un avantage de n’avoir rien à perdre. Nous devons bien finir cette saison pour bien aborder la suivante qui arrivera vite. On va se battre pour le maillot comme toujours.

– Dimanche, vous vous rendez à Amiens, l’un de vos anciens clubs qui lutte pour le maintien…


– On garde à l’esprit le mauvais souvenir de notre revers là-bas (3-1 le 21 avril 2018, NDLR). Après leur échec à Nantes (3-2) , les Amiénois sont sous pression. Mais je suis sûr qu’ils vont se maintenir, car c’est une équipe difficile à jouer qui va grappiller des points.

– Votre prêt là-bas en 2011-2012 et les 22 matches de Ligue 2 que vous y avez disputés ont-ils été une étape importante ?


– J’avais débuté en Ligue 1 à Montpellier en 2010-2011. Mais après ma blessure au printemps 2011, j’ai loupé un bout de la préparation. Le coach (René Girard) me disait que j’aurais du temps de jeu plus tard. Mais je ne voulais plus perdre de temps. Je voulais jouer régulièrement. Amiens s’est présenté. J’ai accepté. J’y suis parti seul à 21 ans et j’en garde un bon souvenir. C’est un club bien structuré, avec des gens compétents. Je me suis aguerri là-bas. J’y suis arrivé enfant. J’en suis reparti homme.
dna
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PoY
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Re: Jonas Martin

Message par PoY »

DNA.fr a écrit :Jonas Martin, un milieu avec les crocs
Le milieu de terrain est plongé dans une préparation de la saison assidue. Jonas Martin ne masque pas une certaine impatience à l’idée de renouer avec la compétition. Avec le Racing et malgré des sollicitations, il nourrit des ambitions à la hausse.

Affûté comme une lame, Jonas Martin affiche le visage d’un affamé en cette avant-saison. Il faut dire que le milieu de terrain, métronome du jeu strasbourgeois jusqu’en janvier, a quelques frustrations à évacuer. Et cela ne pourra prendre que le terrain pour cadre.

Sa saison 2018-2019, assez étincelante jusqu’alors, a pris sur un duel assez anodin avec Glik, à Monaco, en janvier. Une grave blessure à la cheville l’éloigne des terrains plus de deux mois. Les trois matches disputés en fin de saison ne sont pas à la hauteur de son potentiel. Rideau entre lumière et ombre pour le joueur de 29 ans, dans la lumière quand il a pu jouer, dans l’ombre quand il s’est longtemps agi de se soigner.

Aujourd’hui, au regard de son physique, le tatoué n’a pas passé l’été qu’à rigoler. À l’entraînement, il n’est pas le dernier à l’heure d’enchaîner les courses, de coordonner un pressing ou de déclencher une action. Et les quasiment trois semaines de préparation accumulées l’incitent à une forme de satisfaction. « On a enchaîné des journées à deux ou trois entraînements par jour, tout le groupe a répondu physiquement, apprécie-t-il. Il faut croire que le programme que l’on avait pour les vacances a été respecté. »

«Le coach va élever le degré d’exigence»
Le compte-à-rebours jusqu’au 25 juillet – date du premier match officiel du Racing en éliminatoire de Ligue Europa – est enclenché depuis un bon petit moment. Jonas Martin et ses coéquipiers veulent croire qu’ils sont dans les temps. « Cela fait un petit moment qu’on y pense à ce match, admet-il. Depuis la reprise et peut-être même avant. Ce n’est pas donné à tout le monde de pouvoir jouer ce type de match. Sans se mettre trop de pression, on ne veut pas laisser passer cette opportunité. Et il n’est pas question de se manquer parce qu’on ne serait pas prêt. »

Il n’y aura guère l’occasion de se racheter en cas de raté. Il y aura une part d’inconnu en raison de l’identité de l’adversaire, israélien ou slovène – le Racing affrontera ou le Maccabi Haïfa ou le NS Mura sachant que le premier l’a emporté 2-0 à l’aller avec un retour prévu aujourd’hui. Le parfum de l’inédit a son charme. « Cela permet de croiser des adversaires avec une autre philosophie, qui ne parlent pas la même langue, souligne celui qui a dû se contenter d’une vingtaine de minutes, à l’échelle continentale, sur la pelouse d’Arsenal, il y a près de sept ans. Par rapport à cet objectif, on a montré que tout le groupe était concerné, qu’il y avait de la concurrence lors des matches amicaux. Et les joueurs du FC Zürich ( battus 2-1 pour le premier match amical de l’été ) ne parlaient pas français non plus entre eux. »

Le garçon aux 63 matches officiels sous la tunique bleue (7 buts) veut croire que la carte de la continuité pourra rimer avec efficacité. « Il n’y a pas beaucoup de recrues ( deux véritablement, Djiku et Bellegarde ), c’est vrai, mais Tottenham a été en finale de Ligue des champions sans avoir recruté, souligne-t-il. Connaissant le coach, il va élever le degré d’exigence. Il n’y a pas de raison de ne pas espérer mieux. »

«J’ai des choses à montrer ici»
Et les possibilités de départ, qui ont pu apparaître en début de mercato, ne risquent plus de le perturber. Il a fait le choix de respecter son contrat, qui court jusqu’en 2020, il a indiqué à sa direction les sollicitations dont il a pu être l’objet. « J’ai effectivement informé le club que Saint-Étienne, Rennes, deux clubs espagnols ou un club allemand m’avaient contacté, conclut-il. Je préfère ne pas faire les choses à l’envers. On a parlé ensemble. Je suis resté concentré et je suis convaincu que j’ai des choses à montrer ici. » Et pour preuve de son engagement. « Il y a quelque chose dans les tuyaux ». Une prolongation de contrat est en discussion histoire de voir à plus long terme encore.
Bonne nouvelle :!:
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Kaniber
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Re: Jonas Martin

Message par Kaniber »

Une prolongation de contrat est en discussion histoire de voir à plus long terme encore.(Jonas Martin)
C'est prolongation de contrat, c'est surtout une assurance pour le club que le joueur ne parte sans touche un certain pactole.
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PoY
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Re: Jonas Martin

Message par PoY »

DNA.fr a écrit :Jonas Martin partant pour rester
Revenu en forme après six mois de galère, Jonas Martin est l’un des artisans majeurs du succès à la Meinau face à Haïfa (3-1). Alors que se profile la manche retour, le milieu de terrain espère enfoncer le clou.

« J’ai retrouvé ma condition. Depuis un mois, je me sens vraiment bien ». Jonas Martin, 29 ans, a enfin renoué avec le sourire. Après une dernière saison gâchée par une blessure, et ponctuée par deux opérations, l’ancien joueur de Montpellier est revenu au top. Cela s’est vu jeudi dernier sur le pré : celui qui arborait le brassard de capitaine a réalisé une prestation de grande qualité. Avec, à la clé, un joli but, mérité au vu des efforts accomplis.

« Je me sens bien ici »
« L’équipe était bien en jambes, on a déjà quelques automatismes, analyse le milieu de terrain. C’est dommage de ne pas avoir mis ce quatrième but, mais on a montré qu’on était prêt, en forme. On a mis de l’intensité et quand même marqué trois buts ». Jonas Martin se satisfait de cette première sortie officielle. Mais il se veut prudent pour la manche retour en Israël. « On a fait du bon boulot, un pas dans le bon sens, mais il ne faut pas croire qu’on est qualifié », assène celui que Lebo Mothiba appelle affectueusement “big boss”. Lui se dit en tout cas prêt à affronter la tempête attendue au stade Sammy Ofer, réputé pour son ambiance bouillante et qui devrait accueillir plus de 25 000 spectateurs tout acquis à la cause de leur adversaire. « On sait qu’il y aura une sacrée ambiance, on est préparé », lâche le vice-capitaine, impatient d’y être.

« Placer la barre un peu plus haut »
On l’a compris, Jonas Martin est impliqué comme jamais dans le projet strasbourgeois. Et comme il l’a indiqué lui-même hier, des discussions sont en cours avec les dirigeants strasbourgeois pour prolonger le bail entre le Montpelliérain, en fin de contrat en juin prochain, et le club alsacien. « J’ai eu des propositions très intéressantes (Saint-Étienne et Rennes, notamment ), mais je me sens bien ici, souligne Jonas Martin. Là, on a entamé des discussions pour une prolongation de contrat et j’espère en savoir plus d’ici deux à trois semaines. On est sur la même longueur d’onde avec le club ». L’affaire est a priori en bonne voie, même si des ajustements sont encore à trouver sur la durée du nouveau bail.

En attendant, Jonas Martin se montre ambitieux pour les échéances à venir. « On va essayer de s’installer dans la première partie de tableau de Ligue 1, avance le joueur. Les recrues ont apporté de la valeur ajoutée. Et même si on a perdu quelques joueurs d’expérience (Martinez, Gonçalves…) on a gardé l’ossature de l’équipe. L’idée du coach et du club est de placer chaque année la barre un peu plus haut ».

Cela tombe plutôt bien, c’est aussi l’idée de Jonas Martin...

Une blessure encore à vif
La saison passée a ressemblé à un « verre à moitié plein », comme le souffle Jonas Martin. Après une première partie époustouflante, le milieu de terrain s’est blessé à Monaco en janvier et a manqué toute la fin de saison, hormis quelques apparitions anecdotiques en toute fin d’exercice. « Cette blessure m’a freiné dans ma dynamique, c’était dur à vivre ». Et ce d’autant plus que Jonas Martin a dû suivre depuis les tribunes le succès en coupe de la Ligue, lui qui avait déjà raté la demi-finale face à Bordeaux à la Meinau.
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Re: Jonas Martin

Message par Matt67 »

Il doit porter le brassard, c'est lui à qui doit tenir ce rôle impérativement .
Avec le temps les gens changent.....Certains murissent et d'autres pourrissent.
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Re: [Ex] Jonas Martin

Message par PoY »

Ouest-France.fr a écrit :Jonas Martin : « Depuis deux ans, le Stade Rennais a pris une autre dimension »
Présenté à la presse ce mardi midi, Jonas Martin, 29 ans, a signé pour trois ans en faveur du Stade Rennais. Il est revenu sur son envie de rejoindre la Bretagne.

Vous êtes enfin Rennais…
C’était très long mais depuis les premiers contacts, j’avais fait part à mon ancienne direction que je voulais venir. Parce que c’est un club ambitieux avec de vraies valeurs, qui me correspondent. Et je pense que pour ma carrière c’était un beau challenge à relever. Et j’avais hâte de signer.

Y’avait-il un deal avec Strasbourg pour que vous fassiez les matches européens avec eux ?
Non, ça a été clair dès le début. J’avais annoncé que j’avais l’ambition de relever un challenge qui était sportivement plus intéressant pour moi. J’arrivais sur la fin d’un cycle avec Strasbourg et je voulais en démarrer un nouveau. J’ai tout donné pour le Racing, du premier au dernier match, les gens qui me connaissent peuvent le dire. Je n’ai jamais triché, je donne toujours tout sur le terrain, vous allez le voir avec le Stade Rennais.

En 2016, vous aviez failli signer. Trois ans après, le Stade Rennais possède une autre attractivité ?
Oui. Il y a trois ans c’était différent, je sortais de mon club formateur je voulais connaître l’étranger aussi. Ce que j’ai fait (au Betis Séville). Depuis deux années, je pense que le Stade Rennais a pris une autre dimension avec la victoire en Coupe, les qualifications européennes. J’arrive à 29 ans, j’ai envie de connaître régulièrement la Coupe d’Europe, je peux le faire ici. Le président a apporté quelque chose, le coach aussi. Depuis qu’il est là, les résultats sont là pour le démontrer. J’étais impatient de pouvoir signer et j’ai hâte de débuter, de montrer de quoi je suis capable. J’arrive dans un effectif de qualité, qui est assez jeune, je vais essayer d’apporter ma pierre à l’édifice.

Connaissiez-vous déjà des joueurs dans le vestiaire ?
Oui, j’ai joué avec M’Baye Niang à Montpellier. J’ai eu l’occasion de lui parler, il m’a conseillé de venir, m’a dit que c’était un groupe qui vivait très bien, un club ambitieux. Le fait de discuter avec des joueurs ça aide et m’a conforté dans mon choix de départ.

Quel est votre poste privilégié ?
Ce serait en milieu défensif, seul ou à deux. J’aime bien prendre le jeu à mon compte, jouer et courir pour les autres aussi. Donner le ballon, le faire circuler. C’est la position qui me correspond le mieux.

Vous aviez marqué deux penaltys lors du même match ici au Roazhon Park. Est-ce un souvenir particulier ?
Oui, en plus c’était l’an passé. C’est mon seul doublé en L1, je m’en souviens très bien. J’essaierai maintenant si j’ai l’occasion d’en tirer de les mettre pour Rennes !

Qu’avez-vous appris à l’étranger ? Et à Strasbourg ?
Un départ à l’étranger te sort de ta zone de confort. À Montpellier, quand on est bien entouré, avec tous les amis et la famille, c’est plus facile. Je suis parti et je me suis découvert en tant que joueur et homme. C’est important. Je n’en garde que des bons souvenirs. J’avais émis le souhait de revenir pour me relancer. Strasbourg était une étape dans ma carrière, avec mes représentants on voulait revenir en France pour chercher des clubs comme Rennes. Je ne joue que pour la gagne, je pense que mon plan de carrière pour le moment est très bien. J’ai hâte de rencontrer mes nouveaux coéquipiers et montrer de quoi je suis capable.

Cela a été un cycle marquant Strasbourg ?
Strasbourg c’est un grand club, qui a grandi beaucoup plus vite que prévu. C’est une bonne chose pour la ville, les supporters parce qu’ils sont très attachés au club. J’ai rencontré des bonnes personnes, c’est très important aussi. Les valeurs humaines, ça n’a pas de prix. C’est sûr, je m’étais attaché, forcément. Mais quand on finit une carrière, il ne faut pas avoir de regrets. Le train ne passe qu’une fois et mon désir était vraiment de venir ici. Les amis, j’aurai l’occasion de les revoir, ce n’est pas un problème. Pour le moment, c’est un nouveau cycle.
Ca sent quand même le double discours entre ce qu'il dit maintenant et ce qu'il disait encore il y a quelques semaines :roll:
Tenor
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Re: [Ex] Jonas Martin

Message par Tenor »

ils sont tous formatés de la même manière, faut jamais s'attendre à autre chose ;)

ca fait trop longtemps que je connais ces discours et ces doubles langages exprimés dans la presse, exceptionnellement j'ai lu celui-ci qui me fait bien sourire, d'habitude je les

passe en diagonale :lol:
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