[Ex] Pablo Martinez

Vos impressions sur les anciens et actuels joueurs de l'effectif
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Gotcha
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Re: Pablo Martinez

Message par Gotcha »

il est clairement 1er dans le classement de nos défenseurs centraux....

tant mieux pour nous, j'espère qu'il va continuer comme ça !!
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FM17
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Re: Pablo Martinez

Message par FM17 »

FM17 a écrit :pas un gros gabarit pour un défenseur central...Va t il commencer au poste de latéral gauche ? J'ai envie de faire confiance à Laurey...
effectivement, bonne surprise depuis début 2018. Faut reconnaître le mérite à Laurey de l'avoir fait venir. Sera je pense titulaire jusqu'en fin de saison.
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Stan
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Re: Pablo Martinez

Message par Stan »

Il m'a fait peur sur ses premiers matchs où je l'avais souvent trouvé très limite dans ses interventions dans la surface, il semble bien mieux dans l'axe et c'est le seul qui fait pas de boulette, donc logiquement il finira titulaire oui.
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Phapha
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Re: Pablo Martinez

Message par Phapha »

Ah bon, le dégagement foiré sur le 2e but lillois, c'était quelqu'un d'autre ?
Tenor
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Re: Pablo Martinez

Message par Tenor »

oui B. Koné et l'autre je ne me rappelle pas ;)
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Kaniber
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Re: Pablo Martinez

Message par Kaniber »

dna a écrit :Martinez enjoué en Anjou
Blessé au match aller à la Meinau, le défenseur central du Racing Pablo Martinez est ravi d’être du déplacement de demain au stade Raymond-Kopa pour affronter un SCO d’Angers dont il a – très peu – porté les couleurs en 2016-2017. Il espère que les Bleus s’y rapprocheront du maintien.
Pablo Martinez n’a pas joué à l’aller contre Angers le 28 octobre à la Meinau (2-2). Mais la fissure du tendon d’Achille gauche qui l’a éloigné des terrains durant trois mois, de mi-septembre à mi-décembre, n’est plus qu’un mauvais et lointain souvenir.

Demain au stade Raymond-Kopa, le défenseur axial gauche enchaînera une 12e titularisation en Ligue 1 face à un SCO au sein duquel il évoluait en 2016-2017. Avec la volonté d’aider le Racing à se rapprocher de son objectif : le maintien.
« Angers suit son petit bonhomme de chemin »

– Pablo, pourquoi avez-vous aussi peu joué à Angers (9 matches, dont 6 comme titulaire) ?


– C’était un choix du coach. L’équipe avait réalisé une très bonne saison 2015-2016 (9e ). Elle était bien en place, sa défense aussi. Je n’ai pas réellement eu ma chance et quand j’ai joué, je n’ai pas fait non plus les matches qu’il fallait. Mais c’était une expérience comme une autre. Elle a été enrichissante humainement, parce que j’ai pas mal de potes là-bas. Mais c’est vrai que sportivement, ç’a été une année quasiment blanche.

– Frustrante alors ?

– Oui. C’était ma deuxième en Ligue 1. À Ajaccio en 2015-2016, j’avais fait une saison pleine. J’étais un peu sur mon petit nuage. Ma situation à Angers m’a mis un petit coup, mais jamais au moral, car j’ai travaillé dans de super-conditions et de très belles installations, notamment le centre d’entraînement. Cette année n’a pas été perdue. Elle m’a fait prendre conscience que j’avais encore du travail devant moi.

– Petit à petit, Angers s’installe dans le paysage…


– (Il coupe) Le SCO ne fait pas beaucoup de bruit, mais suit son petit bonhomme de chemin. C’est sa troisième saison en L1. Jusqu’ici, il s’est maintenu sans souci (9e , 12e ). Cette année, il a traversé une phase un peu plus compliquée, mais a rattrapé le bon wagon.

– Sa surface financière lui a permis d’acheter l’été dernier des joueurs que le Racing souhaitait garder (Baptiste Guillaume, très peu utilisé en Anjou) ou enrôler (Enzo Crivelli, prêté cet hiver à Caen). Est-il en avance sur Strasbourg ?


– Ce qui est sûr, c’est que ce club et ses joueurs, qui connaissent le haut niveau, commencent à avoir de l’expérience. Quand l’équipe était dans la nasse (19e après 26 journées), elle n’a pas paniqué. Doucement, elle remonte.

– Elle dépend tout de même beaucoup de Karl-Toko Ekambi ?


– C’est un sacré joueur. En déplacement, j’étais en chambre avec lui. Les dirigeants ont réussi à le garder (*) et Karl abat un travail énorme. Il est intelligent, sait prendre les espaces.

– Vous qui connaissez donc jusqu’à ses caleçons allez lui appliquer un marquage à la culotte ?


– (Rires) Je ne suis pas seul en défense. Nous devrons tous être attentifs, concentrés, mais pas que sur lui, car Angers a d’autres joueurs performants.

– Votre petite marge sur la zone rouge vous permet-elle d’aborder ce 32e match avec une certaine sérénité ?


– On joue le maintien. Ça veut dire que quand, à sept journées de la fin, tu te comptes cinq points d’avance sur le 19e et quatre sur le 18e , tu es dans les clous. Malgré nos récentes contre-performances, nous sommes toujours dans le bon wagon, là où nous devons être. Je préfère être à notre place que derrière.
« Nous sommes là
où nous devons être »


– Êtes-vous obnubilés par la victoire qui vous sortirait presque définitivement la tête de l’eau ?


– C’est clair. Plus nous la choperons rapidement, plus nous aurons l’esprit tranquille, même si rien ne sera fait pour autant. J’ai connu des saisons où certains clubs n’ont pas réussi à prendre le ou les deux points qui leur manquaient (ndlr, le Racing en 2007-2008 par exemple). Il n’y a pas de pression particulière, mais je sais que le maintien se joue souvent à la dernière journée.

Ceci étant, si nous gagnons samedi, nous passerons devant les Angevins et nous donnerons une bouffée d’oxygène. Même un nul serait intéressant. Il faut essayer de grappiller des points à l’extérieur, mais nous devrons faire le travail à domicile face aux grosses équipes qui nous rendrons visite (Saint-Etienne, Nice et Lyon).

(*) Le SCO a reçu cet hiver, pour son buteur international camerounais, des offres chinoises supérieures à 20 millions. Impliqué, avec 16 buts et 4 passes, dans 20 des 36 réalisations de son équipe, l’ex-Sochalien n’a pas souhaité partir, mais sera vendu cet été pour un montant record pour le club angevin.
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Kaniber
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Re: Pablo Martinez

Message par Kaniber »

dna a écrit :Pablo Martinez ne tait pas la frustration née de l’échec marseillais
« Nos schémas auraient du fonctionner »

Pablo Martinez n’a pas démérité dans la défense strasbourgeoise avant-hier. Au final, les trois buts encaissés lui laissent un goût amer car ils correspondent à une défaite frustrante.

« – Que retenez-vous de votre défaite sur la pelouse de l’OM ?


– On a été auteur d’une grosse débauche d’énergie. On a laissé nos tripes sur le terrain et on a, une nouvelle fois, fait preuve d’un criant manque d’expérience en encaissant ce but dans les arrêts de jeu. On ne peut pas se permettre de prendre ces buts largement évitables tout à la fin d’un match. On est frustré. On a fait ce que le coach nous a demandé de faire et on repart avec la défaite.
« On en prend trois alors que l’on n’a pas subi plus que ça »

– Considérez-vous que vos lacunes défensives ont encore plombé votre production ?


– Il y a un penalty litigieux, derrière lequel on ne va pas se cacher. On rentre mené 2-1 à la pause, avec un score comme trop souvent en notre défaveur ce qui est difficile à comprendre par rapport à ce qu’on a produit. Après le penalty, Marseille inscrit un but un peu chanceux et il y a celui de la dernière minute. On en prend trois alors que l’on n’a pas subi plus que ça. J’ai l’impression que l’on ne concède pas grand-chose et, au final, on prend trois buts. C’est beaucoup trop. C’est clair, il y a de la frustration qui domine, surtout qu’on avait respecté ce que le coach nous avait demandé.

– Vous perdez alors que tactiquement vous avez varié vos organisations. Quel regard portez-vous sur cette faculté à changer de plan ?

– C’est un peu notre force cette saison. On travaille sur différents systèmes. On a essayé d’en utiliser plusieurs à Marseille et on est parvenu à changer de configuration. Nos schémas auraient dû fonctionner mais on a pris trois buts casquette et on rentre de Marseille avec la défaite.»
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Kaniber
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Re: Pablo Martinez

Message par Kaniber »

dna a écrit : Zoom - Pablo Martinez
« Marseille, c’est oublié »

Après l’épilogue frustrant du match à Marseille (3-2), le défenseur central Pablo Martinez espère décrocher trois points face à Dijon.
Hormis à Lyon, lors de la 3e journée de Ligue 1 (défaite 2-0 à la clé), le défenseur central Pablo Martinez a toujours été titulaire depuis le début de saison. Il sait donc mieux que personne que le Racing va devoir se montrer plus étanche défensivement. En sept journées de Ligue 1, les Strasbourgeois ont en effet encaissé onze buts. Cela fait beaucoup...
« Dijon, une bonne équipe »

« Ces problèmes défensifs, ça nous suit depuis longtemps, ça ne date pas de cette saison, souligne le natif de Martigues, avant la réception de Dijon. On concède moins d’occasions que l’an passé, mais on prend toujours autant de buts. Ça veut bien dire qu’on les “donne”. Et à ce niveau-là, il va falloir passer un palier ».

Si possible, dès ce soir face à Dijon, contre une équipe réputée pour être prolifique offensivement. Histoire de rajouter trois points dans la besace alsacienne et de s’éloigner un peu de la zone rouge. « On est chez nous et on se doit d’essayer de prendre les trois points, avance ainsi Pablo Martinez. Mais Dijon est une bonne équipe. Même en amical (à Saverne, en juillet, victoire 3-2 du Racing, NDLR) , c’était serré. Dijon a en plus fait un très bon début de championnat, avec trois victoires d’affilée. Là, ils sont sur trois défaites et un nul, mais bon, ça ne veut rien dire, surtout qu’on a parfois tendance à relancer les équipes en difficultés.»

L’autre raison essentielle de battre Dijon est que le Racing doit rester maître à la maison face à des concurrents directs.

« L’an passé, on a su battre des gros (Paris ou Lyon, par exemple), mais souvent, on perdait contre les concurrents directs. On veut vraiment corriger cela.»

Cela a été le cas la semaine passée, lorsque le Racing a réussi à venir à bout d’une équipe d’Amiens qui, la saison dernière, s’était imposée à la Meinau. Pablo Martinez signerait tout de suite pour le même résultat face aux hommes d’Olivier Dall’Oglio.

Mais pour y parvenir, le Racing va devoir retrouver un peu de fraîcheur physique. Et aussi mentale après la désillusion marseillaise.

« On a perdu à Marseille, c’est fait, on ne peut rien y changer puisqu’on ne peut pas refaire le match, tranche le défenseur. La seule chose à faire, c’est d’oublier et de se concentrer sur Dijon.»
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Kaniber
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Re: Pablo Martinez

Message par Kaniber »

dna a écrit : Interview express de Pablo Martinez « Tout le monde a fait son “taf” »
Le défenseur central, auteur de son premier but en Ligue 1, a été l’un des héros de la victoire à Rennes. Pablo Martinez ne boude pas son plaisir au moment d’analyser une réussite individuelle et collective et d’envisager la suite avec gourmandise.
– Que retenez-vous d’un succès en Bretagne qui permet de remettre la marche avant ?

– J’ai apprécié. C’était un bon match parce qu’on a assuré aussi bien offensivement que défensivement. On a su bien mener notre match. Tous les voyants sont au vert après ce genre de rencontre. Franchement, on a tous super bien défendu, on a tous apporté notre contribution, les titulaires comme les joueurs venus du banc.
« Un joli but, mais il est anecdotique »

– D’un point de vue personnel, vous en avez profité pour ouvrir votre compteur…


– Je ne devais pas monter sur le corner et puis mes coéquipiers m’ont incité à y aller quand même. C’est un joli but, mais il est anecdotique. Tant qu’il y a les trois points au bout, c’est tout ce qui compte pour moi. Et moi, j’aurais préféré qu’on garde notre cage inviolée. Je préfère retenir que tout le monde a fait son “taf” et que c’est notre collectif qui a brillé.

– Le Racing ne s’est pas construit une victoire à l’extérieur aussi large depuis longtemps. Sentiez-vous que la réussite était au rendez-vous ?


– En seconde période, effectivement, je pensais que rien ne pouvait nous arriver. Il y a eu des bons mots à la pause pour qu’on réussisse un match plein.

– La victoire vient-elle à point nommé après quelques résultats plus décevants ?


– On a fait quelques bons matches ces dernières semaines, mais il y avait souvent des matches nuls au bout. Il fallait repartir de l’avant et, au risque de me répéter, je retiens que c’est par notre collectif qu’on y est parvenu et que l’on a la possibilité de repartir sur une bonne série.

Il n’y avait pas de doute parce qu’on savait qu’il nous manquait des joueurs. Le retour d’un garçon comme Kenny (Lala) nous a beaucoup apporté. On n’a jamais perdu confiance.
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Re: Pablo Martinez

Message par Kaniber »

dna a écrit : le parcours improbable du Strasbourgeois Martinez
Ce mercredi, il sera l’un des atouts du Racing, qui va défier Marseille au Stade Vélodrome en 8e de finale de la Coupe de la Ligue. A 29 ans, Pablo Martinez réalise son meilleur début de saison : 17 titularisations sur 18 matches de L1, ponctuées par ses deux premiers buts en élite ces dernières semaines.

Chauffeur livreur à 20 ans, employé d’une plateforme de stockage à 23 ans et enfin, la découverte de la Ligue 1 trois ans plus tard avec le Gazelec Ajaccio: en quelques années, le défenseur de Strasbourg Pablo Martinez a changé de dimension.

Une talonnade au Roazhon Park de Rennes (1-4) le 2 décembre suivi d’un astucieux pointu contre Caen (2-2) à la Meinau une semaine plus tard, et entre-temps un match héroïque face au PSG (1-1) : Pablo Martinez savoure, à 29 ans, la plus belle semaine de sa jeune carrière en L1 (78 matches).

"Je n’ai pas mis de buts en quatre ans et là j’en marque deux en une semaine, c’était un peu l’euphorie dans la famille. Mais ma réussite je la prends avec beaucoup de recul, je garde les pieds sur terre. Je vais avoir 30 ans et tout cela peut se terminer très vite alors je profite", raconte le défenseur franco-espagnol.

Son état d’esprit actuel résulte d’un début de carrière chaotique. Formé à Nîmes jusqu’à 18 ans, Pablo Martinez s’est égaré ensuite deux saisons à Majorque (Espagne) avec qui il n’a jamais joué en Liga. A 20 ans : "Retour à la maison chez papa-maman", et au club amateur d’Uzès, dans le Gard, en CFA2 (5e échelon).

"J’ai réussi à reprendre une licence après six mois sans club mais j’avais pris six kilos. C’était vraiment du foot loisir. Il fallait aussi que je gagne ma croûte alors ma mère m’a engagé comme chauffeur-livreur dans l’entreprise familiale", se rappelle-t-il.

"C'est pas Beckenbauer, mais c'est un soldat"


Sur le terrain il obtient la montée en CFA (4e échelon) et le défenseur axial rejoint Martigues (CFA) avec un contrat aspirant qui lui permet de se consacrer entièrement au football. Mais il n’est pas conservé malgré la montée en National et retourne à Uzès en CFA. A 22 ans, il doit à nouveau travailler.

A la plateforme logistique d’une enseigne de supermarché de Nîmes, l’ancien responsable qui l’a alors embauché se souvient de lui: "Ce garçon, c’est un puits d’amour. Il s’est adapté en une semaine. Les collègues le poussaient à continuer le foot et nous lui avons aménagé des horaires", a confié Christian Dubrulle, 62 ans, aujourd’hui à la retraite et "fier" de la réussite de son ancien employé.

Le déclic ? Il arrive à Uzès de manière improbable. Monté en National avec le club gardois, et après une bonne saison à ce niveau, Martinez est proposé au Gazelec, entraîné à l’époque par... Thierry Laurey. Après deux montées successives avec le club corse, Martinez découvre à 26 ans la Ligue 1 avec le "Gaz" avant de rejoindre Angers, sans succès, puis de répondre à l’appel de Laurey à Strasbourg en 2017. Un pari réussi pour l’entraîneur alsacien.

"Quelque part il a un parcours à la (Dimitri) Lienard. Aujourd’hui ces garçons ont faim parce qu’ils ont connu des moments difficiles. Pablo, c’est pas Beckenbauer, mais c’est un soldat et pour le passer...", décrit Laurey. "C’est un joueur de devoir, corrobore le directeur sportif Kader Mangane. C’est un guerrier qui ne lâchera jamais."
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