Saad ne sera pas prolongé en Juin, (cela explique pourquoi Salmier est titulaire)( je préconise une défense salmier-saad )
Sauf que Salmier n'a pas vraiment le niveau.
Nos 2 defenseurs centraux sont trop lents.
Et Mangane c'est la catastrophe....
Saad ne sera pas prolongé en Juin, (cela explique pourquoi Salmier est titulaire)( je préconise une défense salmier-saad )
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La L1 j y crois encore
Chacun voit midi à sa porte ... on peut dire qu'on n'a pas bien joué quand il était sur le terrain, mais on peut aussi dire qu'on n'a pas mieux joué quand il est sorti.télésupporteur a écrit :désolé de dire que ce l'était déjà avant sa sortie
tu as raison et pas seulement, la liste pourrait s'allonger tellement on constate de fautes techniques, soit de placement, d'anticipation, des passes hasardeuses, surtout la non maitrise du ballon, buts encaissés horribles . Bref notre fin de saison sera calamiteuse si on ne maitrise pas Brest chez nousalphons a écrit :Saad ne sera pas prolongé en Juin, (cela explique pourquoi Salmier est titulaire)( je préconise une défense salmier-saad )
Sauf que Salmier n'a pas vraiment le niveau.
Nos 2 defenseurs centraux sont trop lents.
Et Mangane c'est la catastrophe....
.Its_me a écrit :Chacun voit midi à sa porte ... on peut dire qu'on n'a pas bien joué quand il était sur le terrain, mais on peut aussi dire qu'on n'a pas mieux joué quand il est sorti.télésupporteur a écrit :désolé de dire que ce l'était déjà avant sa sortie
Je crois que c'est Blayac qui a tiré, mais c'est Liénard qui a réclamé (à juste titre) le corner.pekser a écrit : Juste avant le second but il y avait corner évident pour Strasbourg sur un tir de Liénart. Cela aurait pu changer le cours du jeu.
dna a écrit :La source des maux
Son faible niveau défensif a encore conduit le Racing à une impasse au stade du Hainaut. Dans le dur en cette fin d’hiver, il est en quête de solutions pour s’éviter une fin de saison en roue libre.
Le Racing a des allures d’imprudent petit cochon ces temps-ci. Il n’est pourtant pas confronté à des loups aux dents particulièrement acérées. Mais cela ne manque pas. À la moindre initiative adverse, c’est la panique à bord, c’est la fébrilité à tous les étages, cela fait souvent but et la maison de paille s’envole aux quatre vents.
Sur le cycle retour débuté avec l’année 2017, la bande à Laurey présente un visage trop faible défensivement pour espérer capitaliser sur sa belle première moitié de saison.
En neuf matches, le ballon a pénétré à 19 reprises au fond des filets alsaciens. Il faut que l’attaque crache un feu volcanique pour espérer ne serait-ce que s’en sortir. Avec la 18e défense du championnat, il semble passablement délicat d’incarner un candidat crédible au podium. Néanmoins, Ernest Seka et ses copains ne sont pas largués dans la course au podium, à dix journées de la fin.
Il est encore temps de profiter du rythme modéré des gros de Ligue 2, mais il s’agit de ne pas tarder à corriger les manques criants d’une équipe plus douée à mettre l’adversaire au supplice qu’à se protéger.
« On n’agit pas, on ne réagit pas toujours bien »
Un peu groggy, les acteurs du match de mardi ont eu un peu de mal à digérer le neuvième échec de la saison dans les entrailles du stade du Hainaut. La forme, notamment le scénario et le niveau général pas emballant, et le fond de la défaite ont fait mal.
« Prendre un but comme ça, dans les arrêts de jeu, c’est interdit, a considéré Baptiste Guillaume. Les mêmes erreurs se répètent, on doit parfois se contenter d’un point. Dire qu’il y a de l’inquiétude, c’est un bien grand mot. Mais il faut peut-être mettre le doigt où ça fait mal, en discuter dans le vestiaire pour faire bloc. »
La révolution du onze de départ n’a pas eu les effets escomptés. Les titularisations de Landry Bonnefoi dans le but, de Yoann Salmier à droite de la défense et de Kader Mangane dans l’axe, n’ont pas abouti à un triomphe. La réorganisation à trois défenseurs centraux après la pause non plus.
Thierry Laurey espérait que son équipe présente un visage « plus compact ». L’appel du coach est resté un vœu pieux et il n’avait pas la tête à rire au moment des commentaires.
La sortie lui a même inspiré une certaine perplexité. « Il aurait été assez miraculeux de prendre un point et on n’y est même pas arrivé, a-t-il souligné. On concède des occasions de manière trop récurrente. On affronte des équipes plus dynamiques et on affiche des manques physiques. »
Le marathon de février aurait rincé un peu tout le monde, les rotations ont eu des effets tout relatifs. Mais, plutôt que dans les corps, c’est dans les têtes que se situerait la source des maux bleus. « Le week-end dernier, des équipes sont allées chercher des points dans le temps additionnel (Lens au Red Star, Reims à Auxerre) et nous, on en perd un dans les arrêts de jeu, a poursuivi le coach. On cherche à améliorer les choses. Si je ne faisais rien après avoir encaissé dix-sept buts en sept matches… Après, on n’agit pas, on ne réagit pas toujours bien. On a vu des garçons qui s’accrochent, qui courent, mais pas toujours de manière coordonnée. »
Le mal semble effectivement collectif. Le souffle de décembre est retombé laissant la place à un début 2017 plus quelconque. L’objectif maintien rempli, les Strasbourgeois seraient moins affamés.
« On n’a surtout pas le même état d’esprit à l’extérieur qu’à domicile », considère Khalid Boutaïb, auteur de son 13e but de la saison.
Il y a surtout une tendance du Racing à échouer quand l’affaire se tend, quand l’irrationnel gagne les débats, quand le mental prend le pas sur le normal. « Peut-être qu’il peut y avoir une forme de relâchement, même inconscient et qu’il y a un problème à gérer quelque chose que tu n’attendais pas, conclut Thierry Laurey. On doit avoir d’autres arguments que Brest, Lens, Troyes ou Reims, des équipes d’expérience. On doit offrir autre chose, comme sur la phase aller, quand on avait beaucoup d’enthousiasme, et reprendre la route d’avant la trêve pour recoller au peloton de tête. »
Cela semble indispensable pour éviter une fin de saison lové dans le ventre mou de la L2, ce qui, pour le promu, faut-il le rappeler, constituait l’objectif initial. Après avoir côtoyé les meilleurs, pendant plus de six mois, il serait bien dommage de terminer sur le bas-côté à dix étapes de l’arrivée.