 
  
 Les inscriptions au forum sont rouvertes
 Les inscriptions au forum sont rouvertes  
 
    

 
  
  
  
    
 



il suffisait de demander......il aurait ete beaucoup plus simple que keller aille a paris, mange avec Sitterle, s'arrange avec lui pour la vente de la marque.....
 
   
  
Code : Tout sélectionner
La L1 j y crois encore
L'Alsace a écrit :Double discours et trouble jeu
Il fallait s’y attendre : la rencontre entre Marc Keller et Frédéric Sitterlé dimanche matin à Paris n’a en rien fait avancer le schmilblick. L’homme d’affaires de Blodelsheim a, comme si souvent, tenu ce jour-là un discours qu’il n’applique nullement depuis. Les négociations avec le pool de repreneurs coincent.
Christian Constantin, le président du FC Sion qui a recruté cette semaine le champion du monde italien en 2006 Gennaro Gattuso, a dû être surpris hier lorsque son téléphone a sonné. Sur son écran est apparu le nom de Frédéric Sitterlé. La semaine dernière déjà, ce dernier avait tenté d’approcher le dirigeant suisse via un tiers. Ce mardi, il l’a contacté directement. Sans plus de succès.
Car C. Constantin n’a pas décroché. Le président sédunois n’a pas oublié que lors de leur rencontre à l’aéroport de Strasbourg/Entzheim le 26 août 2011, le Haut-Rhinois lui avait proposé une participation minoritaire au RCS contre 400 000 euros. Constantin avait décliné, avant de découvrir un peu plus tard ce que « L’Alsace » révélait dans son édition du 14 janvier 2012, dans un article intitulé : « Sitterlé n’a rien mis. » Une de ces informations non vérifiées auprès de l’intéressé, mais qui ne s’en est pas moins révélée exacte, comme toutes les autres d’ailleurs. CQFD.
Aujourd’hui, l’avenir du Racing est en jeu. Une fois de plus. Et Frédéric Sitterlé affirme ne pas vouloir faire obstacle à une cession par le haut. Dimanche, quelques heures après leur entrevue parisienne, Marc Keller, désireux de ne pas s’épancher hier soir ( « Quand une négociation est en cours, il est préférable de garder le silence. Tout ce que je peux dire, c’est qu’il n’y a pas eu d’avancée significative. »), avait cru déceler « une volonté partagée d’aboutir vite. » Trois jours plus tard, rien n’est conclu. Loin s’en faut.
«Une question de principe »
Mieux même donc, F. Sitterlé renoue d’anciens contacts pour court-circuiter les repreneurs alsaciens. Selon nos informations, vérifiées et revérifiées, il a ainsi non seulement relancé Christian Constantin, mais aussi Bernard Graeff qui, il y a quelques jours, lui a opposé la même fin de non-recevoir. Il déclare vouloir céder sa SAS (1) pour l’euro symbolique ? Joli cadeau ! C’est une coquille vide sans valeur. En revanche, il souhaite récupérer l’intégralité de l’argent qu’il a dépensé l’été dernier pour racheter la marque RCS (150 000 euros) et le mobilier de la Meinau (6 000 euros) auprès du Tribunal de Commerce. Désormais sans plus-value, alors qu’en fin de semaine passée, il avait indiqué à l’un de ses interlocuteurs qu’il en escomptait 500 000. Là aussi, l’info a été contrôlée.
À Constantin, Sitterlé a laissé entendre hier que le pool regroupé autour de Marc Keller « n’arrive pas à réunir le tour de table » et qu’il manquerait 275 000 euros de trésorerie d’ici octobre. « Faux », dément un acteur du dossier. « La vérité, c’est que Sitterlé a tellement baladé les gens depuis un an que plus personne n’a envie de lui faire de cadeau. En fait, plus qu’une question d’argent, la reprise du club se joue autour d’une question de principe »
Laquelle ? Quelques repreneurs, parmi lesquels Egon Gindorf et Pierre Schmidt ne sont pas les moins virulents, n’en démordent pas : ils veulent que Frédéric Sitterlé prenne à sa charge une partie des besoins en fonds propres au 30 juin (850 000 euros). Un vœu qui relève de l’utopie. « Le besoin en fonds propres est de 850 000 euros, mais il ne faut pas oublier qu’en réalité, le déficit 2011-2012 est de 1,5 million et qu’il a été creusé par la politique et les orientations définies par Sitterlé », justifie l’un d’eux.
Bref, entre les 850 000 euros à verser au 30 juin et les 156 000 à payer à Sitterlé pour le rachat de la marque et du mobilier, les investisseurs devraient, si les choses restaient en l’état, sortir plus d’un million avant même d’avoir commencé à œuvrer. Une somme qu’ils ne pourraient utiliser pour financer 2012-2013.
Dans un SMS envoyé à « L’Alsace » le 12 mai, une heure après la victoire sur Chaumont synonyme d’accession en CFA, Frédéric Sitterlé écrivait : « Je souhaite au club de poursuivre la remontée vers les sommets plus sereinement. » Est-il capable d’un geste pour accompagner cette remontée ? Accepter, par exemple, un remboursement de la marque différé au retour en Ligue 2, comme certains le suggèrent en coulisses ? Rien n’est moins sûr quand on sait à quel point il est adepte d’un double discours et d’un trouble jeu, particulièrement ces jours-ci.
De fait, une rupture brutale des négociations n’est pas à exclure. Pas plus qu’un changement d’appellation du club, seul moyen radical de sortir F. Sitterlé du jeu sans qu’il puisse, d’une manière ou d’une autre, dicter ses conditions. Personne n’est vraiment enchanté par l’idée, car tout le monde reste attaché à la dénomination Racing. Mais comme le dit un observateur privilégié du dossier, « quand une négociation n’avance pas, la menace ne suffit plus. Il faut la mettre à exécution. »
Aujourd’hui, dernier délai ?
Alors que les tractations n’ont pas avancé d’un iota depuis le début de semaine, certaines patiences commencent à s’user, notamment au sein du pool d’investisseurs réunis autour de Marc Keller. D’aucuns considèrent qu’une « dead-line » doit être fixée au plus vite à Frédéric Sitterlé alors que le rendez-vous du Racing devant la DNCG, programmé mardi prochain à 9 h, approche à grands pas. La date d’aujourd’hui a même été suggérée. Ce qui est sûr, c’est que les pourparlers ne devraient plus s’éterniser. À jouer avec le feu, le Haut-Rhinois pourrait bien finir par se brûler. Il n’est pas impossible qu’une conférence de presse ait lieu cet après-midi pour officialiser la fin des discussions.
Stéphane Godin
(1) Société par actions simplifiée.


possible, mais difficile de juger puisqu'on ne connait pas l'offre..... si les repreneurs lui propose 1 euro symbolique pour la marque.....il ne faut pas etre surpris de son blocage.Il fallait s’y attendre : la rencontre entre Marc Keller et Frédéric Sitterlé dimanche matin à Paris n’a en rien fait avancer le schmilblick.
ca c'est une généralité, sans details il est impossible de juger. Et toi Godin tu n'as pas les details....L’homme d’affaires de Blodelsheim a, comme si souvent, tenu ce jour-là un discours qu’il n’applique nullement depuis.
encore du blabla, faire reference a un coup de telephone ou constantin n' a pas decroché....trop fortChristian Constantin, le président du FC Sion qui a recruté cette semaine le champion du monde italien en 2006 Gennaro Gattuso, a dû être surpris hier lorsque son téléphone a sonné. Sur son écran est apparu le nom de Frédéric Sitterlé. La semaine dernière déjà, ce dernier avait tenté d’approcher le dirigeant suisse via un tiers. Ce mardi, il l’a contacté directement. Sans plus de succès.
Car C. Constantin n’a pas décroché.
géneralité, et mensongeUne de ces informations non vérifiées auprès de l’intéressé, mais qui ne s’en est pas moins révélée exacte, comme toutes les autres d’ailleurs. CQFD.
trop facile de dire -> c'est la faute de sitterle...tout depend de l'offre faite a sitterlé. Je n'ai pas d'infos et godin non plus!!!! Mais lui ca fait longtemps qu'il n'est plus neutre.....Aujourd’hui, l’avenir du Racing est en jeu. Une fois de plus. Et Frédéric Sitterlé affirme ne pas vouloir faire obstacle à une cession par le haut. Dimanche, quelques heures après leur entrevue parisienne, Marc Keller, désireux de ne pas s’épancher hier soir ( « Quand une négociation est en cours, il est préférable de garder le silence. Tout ce que je peux dire, c’est qu’il n’y a pas eu d’avancée significative. »), avait cru déceler « une volonté partagée d’aboutir vite. » Trois jours plus tard, rien n’est conclu. Loin s’en faut.
normal qu'il souhaite recuperer les 156.000 qu il a investit, l'offre faite par les repreneurs pour la marque est a mon avis tres tres loin du compte......Mieux même donc, F. Sitterlé renoue d’anciens contacts pour court-circuiter les repreneurs alsaciens. Selon nos informations, vérifiées et revérifiées, il a ainsi non seulement relancé Christian Constantin, mais aussi Bernard Graeff qui, il y a quelques jours, lui a opposé la même fin de non-recevoir. Il déclare vouloir céder sa SAS (1) pour l’euro symbolique ? Joli cadeau ! C’est une coquille vide sans valeur. En revanche, il souhaite récupérer l’intégralité de l’argent qu’il a dépensé l’été dernier pour racheter la marque RCS (150 000 euros) et le mobilier de la Meinau (6 000 euros) auprès du Tribunal de Commerce.
info sorti du contexte, demande farfelue des uns, entraine demande farfelue des autresDésormais sans plus-value, alors qu’en fin de semaine passée, il avait indiqué à l’un de ses interlocuteurs qu’il en escomptait 500 000. Là aussi, l’info a été contrôlée.
À Constantin, Sitterlé a laissé entendre hier
des generalitésque le pool regroupé autour de Marc Keller « n’arrive pas à réunir le tour de table » et qu’il manquerait 275 000 euros de trésorerie d’ici octobre. « Faux », dément un acteur du dossier. « La vérité, c’est que Sitterlé a tellement baladé les gens depuis un an que plus personne n’a envie de lui faire de cadeau. En fait, plus qu’une question d’argent, la reprise du club se joue autour d’une question de principe »
Laquelle ? Quelques repreneurs, parmi lesquels Egon Gindorf et Pierre Schmidt ne sont pas les moins virulents, n’en démordent pas : ils veulent que Frédéric Sitterlé prenne à sa charge une partie des besoins en fonds propres au 30 juin (850 000 euros).
Un vœu qui relève de l’utopie.
 
 exact, malheureusement Sitterlé et Spielmann n'ont pas trouvé d'accord pour valider la convention....« Le besoin en fonds propres est de 850 000 euros, mais il ne faut pas oublier qu’en réalité, le déficit 2011-2012 est de 1,5 million et qu’il a été creusé par la politique et les orientations définies par Sitterlé », justifie l’un d’eux.
ben oui, c'est les conditions....si les investisseurs n'ont pas envie d'investir qu'ils restent sur la cote..Bref, entre les 850 000 euros à verser au 30 juin et les 156 000 à payer à Sitterlé pour le rachat de la marque et du mobilier, les investisseurs devraient, si les choses restaient en l’état, sortir plus d’un million avant même d’avoir commencé à œuvrer. Une somme qu’ils ne pourraient utiliser pour financer 2012-2013.
ca me parait etre une solution acceptable pour tout le monde. Mais moi, je n'ai pas à decider pour Sitterlé!!!Dans un SMS envoyé à « L’Alsace » le 12 mai, une heure après la victoire sur Chaumont synonyme d’accession en CFA, Frédéric Sitterlé écrivait : « Je souhaite au club de poursuivre la remontée vers les sommets plus sereinement. » Est-il capable d’un geste pour accompagner cette remontée ? Accepter, par exemple, un remboursement de la marque différé au retour en Ligue 2, comme certains le suggèrent en coulisses ?
de nouveau du blabla......prise de positionsRien n’est moins sûr quand on sait à quel point il est adepte d’un double discours et d’un trouble jeu, particulièrement ces jours-ci.
et reblabla....blablablabla.....De fait, une rupture brutale des négociations n’est pas à exclure. Pas plus qu’un changement d’appellation du club, seul moyen radical de sortir F. Sitterlé du jeu sans qu’il puisse, d’une manière ou d’une autre, dicter ses conditions. Personne n’est vraiment enchanté par l’idée, car tout le monde reste attaché à la dénomination Racing. Mais comme le dit un observateur privilégié du dossier, « quand une négociation n’avance pas, la menace ne suffit plus. Il faut la mettre à exécution. »
Code : Tout sélectionner
La L1 j y crois encore


Je me suis fait la même réflexion !alpons a écrit :Citation:
À Constantin, Sitterlé a laissé entendre hier
je croyais que Constantin n'avait pas pris l'appel!!!!! Bon alors il a decroché ou il n'a pas decroché!!!