L'Alsace a écrit : À ses côtés, un autre est à deux doigts de perdre ses nerfs. « Qu’il arrête, l’autre, parce que je vais lui casser les dents. » Certains trouvent néanmoins la force de plaisanter. « On va lui régler son compte dans le vestiaire à la façon dont on le fait en banlieue parisienne. Beaucoup d’entre nous en sommes originaires. » Évidemment, les Bleus ne passeront pas à l’acte, bien conscients que le supporter-propriétaire n’est qu’une marionnette instrumentalisée par l’investisseur londonien.