Je l'ai appris en même temps que vous !lolo a écrit :Alors, dis-nous en un peu plus, puisque tu le connais...argueti a écrit : Du tout
Ca a au moins eu le mérite de faire revenir Manu ! bisousssssssssss
Je l'ai appris en même temps que vous !lolo a écrit :Alors, dis-nous en un peu plus, puisque tu le connais...argueti a écrit : Du tout
C'est quoi ce délire??! Bou a repris le racing pour 1 euro!!!!argueti a écrit :Du toutlolo a écrit :Dites, c'est une plaisanterie?
DNA a écrit :Un nouvel acteur entre en scène
Alors que tout semblait perdu pour le Racing hier après-midi avec le retrait définitif de Sébastien Graeff du processus de rachat, un énième rebondissement est intervenu dans la soirée : Jafar Hilali a revendu le club, pour un euro symbolique, à Thomas Fritz, un supporter âgé de 32 ans.
Ce dernier a indiqué vouloir « fédérer toutes les bonnes volontés » en transformant le Racing en une structure coopérative sur le modèle espagnol des “socios”. Le nouveau propriétaire du club strasbourgeois devrait être présent à la Meinau cet après-midi. Il a d’ores et déjà annoncé son intention de faire appel de la rétrogradation du Racing en CFA devant le CNOSF.
DNA a écrit :Hilali a passé la main
Dans l’impasse après la décision de Sébastien Graeff de jeter l’éponge, Jafar Hilali s’est tourné vers une ultime solution hier. Il aurait vendu le club pour un euro symbolique à Thomas Fritz.
Jafar Hilali n’en a donc pas fini de surprendre. Hier, alors que tout le monde annonçait la fin du club, le président a lancé une dernière piste. Sérieuse ou pas ? Seul l’avenir le dira.
« Nous n’avons pas encore reçu le courrier officiel de la DNCG. En attendant, sachant que Sébastien Graeff et ses proches ont démissionné de tous les rouages du club, nous avons laissé les commandes du Racing à Thomas Fritz », a indiqué hier Jafar Hilali, qui n’en est plus à un revirement près.
Ce matin, Thomas Fritz, ingénieur en informatique âgé de 32 ans, serait donc le nouveau propriétaire du club, papiers à l’appui. Le Strasbourgeois a d’ailleurs confirmé s’être déplacé à Paris, hier dans l’après-midi, et être parvenu à un accord avec Jafar Hilali pour un euro symbolique.
Jafar Hilali aurait sollicité depuis quelques jours celui qui porte un projet sur le modèle espagnol des « socios », avec une participation des supporters. Dont ceux regroupés sur la page Facebook de Jonathan Helbling, “Unis pour le Racing”.
« Je souhaite mettre en place une structure coopérative (une Société coopérative d’intérêt collectif – SCIC –, ndlr), avec un objectif non lucratif. Cela fait quelque temps que je réfléchis à ce projet, qui porte les valeurs démocratiques de l’olympisme. Mais au début, Jafar Hilali ne m’avait pas pris au sérieux ».
Amer en raison du comportement de Dominique Pignatelli, Jafar Hilali a finalement cédé la propriété du Racing « contre l’euro symbolique ».
« Thomas Fritz a déjà prévu de prendre la présidence du directoire, précise le président-vendeur. Les délais sont courts. Mais j’ai accepté de lui céder la propriété du club. On a finalisé les contrats cet après-midi (hier) . »
Le plus dur reste en tout cas à venir pour Thomas Fritz, qui a annoncé vouloir faire appel devant le CNOSF de la rétrogradation en CFA.
« Je vais aller voir les actionnaires minoritaires, les supporters, les entreprises… On n’a pas besoin de déposer le bilan. Je veux fédérer ceux qui ont tenté de sauver le club, Sitterlé, Calisesi, Graeff. Je suis prêt à travailler avec eux, sur un modèle démocratique », lance celui qui collabore avec le Conseil de l’Europe.
Et quid des inextricables problèmes financiers du club ? « On économise déjà les 1,6 million d’euros de la vente. Et l’Alsace est une terre de foot, elle est riche. On a tout ce qu’il faut pour faire un grand club. Mettre de l’argent, ce n’est pas tout », explique encore Thomas Fritz.
« Je suis ouvert à toutes les propositions, souligne aussi celui qui devrait faire sa première apparition à la Meinau cet après-midi. Mais le plus urgent, c’est de sauver le club ».
Reste à savoir comment un simple citoyen, supporter de longue date, pourra réussir là où tout le monde a échoué.
« Je sais que c’est compliqué, que les délais sont serrés, mais au moins j’aurai essayé et je n’aurai pas de regrets », pose celui qui se dit pour l’instant « simple propriétaire passionné par le club ».
Cette histoire ressemble fort à un invraisemblable rebondissement, typique de l’ère Hilali. Mais il n’est pas sûr que cette initiative de la dernière chance redonne beaucoup d’espoir aux salariés et aux joueurs du Racing. Et qu’elle ne fasse pas, elle aussi, “pschitt”.